Séance du Jeudi 02 Décembre 2010

darios a écrit:

newline a écrit:

10 000 actions échangées sur CMT!!!!!!!!!!!
250 000 actions sur ADH!!!!!!!!!!!!!!

wach kano bloqué dans les routes de casa wala ?

bien vu.

il ya beaucoup de volume sur certaines valeurs tout pres de leur resistances. c-est le cas de CMT 1690
effet maquillage fin annee ???

Plutôt effet de rally vers une cible de pas moins de DH 1981 au vu du spread observé entre 1317 et 1649.

A suivre....

http://cablegate.wikileaks.org/cable/2007/10/07RABAT1657.html

Traduction :

Classe : Confidentiel
Date : 29-10-2007 à 16:04
De : Ambassade de Rabat
Au : Ministère des affaires étrangères - USA
Stations à informer : Ambassade USA à Londres, Bruxelles, Paris, Madrid

- Le président français Nicols Sarkozy a effectué une visite au Maroc, du 22 au 24 octobre 2007, considéré comme un succès par les deux parties.
- Lors d'une visite au Parlement marocain, M. Sarkozy a déclaré son soutien au plan d'autonomie du Maroc comme base pour un règlement négocié du conflit du Sahara.
- Sarkozy a également reconnu que la perte du contrat de vente des avions militaires « Rafale français » est dû à un manque de compétitivité, et que le Maroc a eu une offre meilleure
- Sarkozy a réalisé près de 3 milliards de dollars d'euros de transactions commerciales et de ventes de matériel militaire au cours de la visite notamment une frégate et la mise à niveau des hélicoptères Puma 25 et 140 véhicules blindés
- La visite a eu une attention favorable dans les médias locaux, mettant en vedette des images des deux chefs d'Etat en tant que partenaires égaux et amis, des images de Sarkozy saluant le roi, la famille royale, les responsables marocains et les citoyens.
- Les entreprises françaises ont signé un contrat pour la construction d’un réseau TGV pour un cout de 2 milliards d’euros.
- Le groupe nucléaire français Areva a signé un accord avec la Société nationale des phosphates (OCP) pour extraire l'uranium de l'acide phosphorique marocain. Dans un communiqué de presse, la compagnie a fait remarquer que les réserves total du Maroc est de 6 millions de tonnes, soit deux fois les réserves mondiales de minerai d'uranium.
- Le journal arabophone indépendant, Al Massae, a exprimé son ressentiment considérant la diplomatie francaise qu’elle est « gouverné par les concepts traditionnels et obtus » et a accusé le président de condescendance en délivrant un certificat de bonne conduite pour le régime.
- Sarkozy, lors de son discours au parlement marocain, a indiqué que l’islam est synonyme de bonté, de tolérance et de paix, tandis que l'islam politique est synonyme de séparation et d'hostilité envers l’autre. Le quotidien du parti islamiste a dénoncé cette expression considérée comme une gifle aux députés islamistes présents dans le public.

- Sarkozy a été généralement bien reçu, mais il y avait beaucoup de diffamations dans les salons marocains autour d'un geste durant une cérémonie de signature le 22 Octobre au Palais Royal à Marrakech. Dans une image, Sarkozy a été vu croisant les jambes et montrant la semelle de sa chaussure au roi - un geste tabou dans le monde islamique.
- Sarkozy a été accompagné tout au long de la visite, y compris lors d'un banquet avec la famille royale par son ministre de la Justice (d'origine marocaine) Rachida Dati.

je m'excuse aupres de mr google pour avoir utilisé son grqphe pour mettre une autre version des eventuelles vagues d'elliot en vert.

Google a écrit:

Sissa a écrit:

Pixon a écrit:

Surf dans les rues de CASA



c'est toi Pelican ?

C'est GOOGLE

Sans rancune

Je sens des cailloux siffler à coté de ma tête

Hahowa Google , il ne surf que dans les hautes mers.

L'uranuim extrait du phosphate n'est pas une donnée confidentielle ou tenue secrête par le maroc; elle ne date pas d'hier, mais tous les spécialistes geologues savent qu'il est possible d'extraire de l'urnauim du phosphate au vu des ses composants chimiques. la presse aussi fait de temps en temps des étalages sur ce sujet. voici un article sur ce sujet

Alstom n'a pas été le seul à profiter du voyage de Nicolas Sarkozy au Maroc : Anne Lauvergnon, Présidente du Directoire d'Areva, y a également fait de bonnes affaires.
Pour Areva, la rencontre avec Mostapha Terrab, Directeur Général de l'Office Chérifien des Phosphates (OCP), a permis la signature d'une déclaration d'intention pour développer conjointement coopération et recherche dans le domaine de l'uranium naturel.

Ce document porte sur l'extraction de l'uranium contenu dans l'acide phosphorique, fabriqué à partir des minerais de phosphates marocains. Areva et l'OCP entendent ainsi donner une dimension industrielle à leur coopération scientifique initiée en 2005.

Les phosphates sont une ressource uranifère prometteuse, alors que le marché de l'uranium connaît un essor durable. Selon l'AIEA, les ressources d'uranium en sous-produit des seuls gisements de phosphates du Maroc avoisineraient les 6 millions de tonnes, soit deux fois plus que les ressources mondiales connues des gisements d'uranium.

Areva et l'OCP prévoient notamment de lancer en commun une étude de faisabilité pour un site industriel de production d'uranium à partir d'acide phosphorique, annonce le groupe français.


(src: CP - Areva)

S2M: IPO candidate à la bvc en janvier 2011 selon son president Aziz Daddane.

Créé en 1983, l’un des leaders marocains de la monétique, affiche une santé étincelante. Le moment idéal selon son dirigeant, Aziz Daddane, et ses actionnaires pour introduire 30 % du capital à la Bourse de Casablanca.

La crise ? Aziz Daddane, président du directoire de la Société maghrébine de monétique (S2M), affirme « ne pas l’avoir sentie passer ». La croissance annuelle de son chiffre d’affaires, qui dépasse les 10 % depuis 2003, est moins importante cette année. Mais pour le dirigeant, « il n’y a pas là de quoi remettre en question le modèle économique et technologique de S2M ». Avec des revenus 2010 estimés à 13,2 millions d’euros (12,9 millions en 2009) et un résultat net de 1,6 million d’euros en 2010, la SSII marocaine dédiée aux logiciels de monétique et à la production de moyens de paiement (chèques, cartes bancaires et terminaux de paiement) est sereine.

Prochaine étape du développement : la cotation à la Bourse de Casablanca. Dans leurs locaux flambant neufs du Casanearshore, dans le quartier de Sidi Maarouf, Aziz Daddane et ses troupes (250 salariés au Maroc) attendent avec impatience le visa du Conseil déontologique des valeurs mobilières (CDVM). « Rien n’est encore acté, mais nous espérons obtenir l’autorisation début janvier 2011, avec une introduction dans la foulée », indique Aziz Daddane.

Présent dans 20 pays africains

Depuis sa création en 1983 par Abdelhak el-Andaloussi (PDG du groupe Cofimag) en association avec la SSII française Sligos, S2M a réalisé un beau parcours, grâce à des produits conçus selon les meilleurs standards internationaux qui se diffusent progressivement sur le continent africain. Il a également su profiter de l’accompagnement des fonds Marocinvest et Africinvest (tous deux du groupe Tuninvest), qui ont racheté l’entreprise en 2003 et facilité les contacts clients au Maghreb et en Afrique subsaharienne.

Dans le royaume chérifien, S2M domine désormais le secteur des moyens de paiement : en 2008, il détenait 82 % du marché marocain de la production des cartes bancaires personnalisées. Côté solutions monétiques, S2M a installé ses logiciels dans 28 pays (dont 20 africains) auprès de 125 banques et institutions financières. Des clients aussi divers que BNP Paribas El-Djazaïr à Alger, Afriland First Bank au Cameroun ou encore la Banque internationale pour l’Afrique de l’Ouest (BIAO) à Abidjan ont adopté le système Multipac de S2M, qui s’est fait un nom sur le continent. Conforme aux normes européennes EVM (Europay Mastercard Visa), il permet aux clients de S2M de gérer toute la chaîne monétique initiée avec des cartes bancaires à puce, depuis le retrait ou le paiement jusqu’aux opérations de recouvrement bancaire.

Pour Brahim El Jai, directeur de Marocinvest, qui détient 85 % des parts de la société via les fonds Maghreb Private Equity Fund I et II, l’introduction arrive à point nommé : « Depuis notre arrivée au capital, S2M a multiplié par trois son activité et par quatre sa rentabilité, explique-t-il. Nous avons notamment accompagné sa croissance à l’export, particulièrement sur les marchés subsahariens. La société, une pépite dans notre portefeuille d’investissement, est maintenant solide, et le secteur monétique est positivement orienté. »

Aziz Daddane compte quant à lui sur l’épargne publique pour épauler les prochains développements de S2M vers l’Afrique subsaharienne : « Nous y sommes présents depuis la fin des années 1990, avec une forte progression depuis 2002, indique-t-il. Nous pourrions y installer une filiale en 2011, qui viendrait compléter celle que nous avons implantée en Tunisie en 2000. » Pour cette nouvelle entité, le président du directoire affiche sa préférence pour la Côte d’Ivoire, où S2M peut compter sur une base de clients étoffée.

Le Gaucher a écrit:

S2M: IPO candidate à la bvc en janvier 2011 selon son president Aziz Daddane.

Créé en 1983, l’un des leaders marocains de la monétique, affiche une santé étincelante. Le moment idéal selon son dirigeant, Aziz Daddane, et ses actionnaires pour introduire 30 % du capital à la Bourse de Casablanca.

La crise ? Aziz Daddane, président du directoire de la Société maghrébine de monétique (S2M), affirme « ne pas l’avoir sentie passer ». La croissance annuelle de son chiffre d’affaires, qui dépasse les 10 % depuis 2003, est moins importante cette année. Mais pour le dirigeant, « il n’y a pas là de quoi remettre en question le modèle économique et technologique de S2M ». Avec des revenus 2010 estimés à 13,2 millions d’euros (12,9 millions en 2009) et un résultat net de 1,6 million d’euros en 2010, la SSII marocaine dédiée aux logiciels de monétique et à la production de moyens de paiement (chèques, cartes bancaires et terminaux de paiement) est sereine.

Prochaine étape du développement : la cotation à la Bourse de Casablanca. Dans leurs locaux flambant neufs du Casanearshore, dans le quartier de Sidi Maarouf, Aziz Daddane et ses troupes (250 salariés au Maroc) attendent avec impatience le visa du Conseil déontologique des valeurs mobilières (CDVM). « Rien n’est encore acté, mais nous espérons obtenir l’autorisation début janvier 2011, avec une introduction dans la foulée », indique Aziz Daddane.

Présent dans 20 pays africains

Depuis sa création en 1983 par Abdelhak el-Andaloussi (PDG du groupe Cofimag) en association avec la SSII française Sligos, S2M a réalisé un beau parcours, grâce à des produits conçus selon les meilleurs standards internationaux qui se diffusent progressivement sur le continent africain. Il a également su profiter de l’accompagnement des fonds Marocinvest et Africinvest (tous deux du groupe Tuninvest), qui ont racheté l’entreprise en 2003 et facilité les contacts clients au Maghreb et en Afrique subsaharienne.

Dans le royaume chérifien, S2M domine désormais le secteur des moyens de paiement : en 2008, il détenait 82 % du marché marocain de la production des cartes bancaires personnalisées. Côté solutions monétiques, S2M a installé ses logiciels dans 28 pays (dont 20 africains) auprès de 125 banques et institutions financières. Des clients aussi divers que BNP Paribas El-Djazaïr à Alger, Afriland First Bank au Cameroun ou encore la Banque internationale pour l’Afrique de l’Ouest (BIAO) à Abidjan ont adopté le système Multipac de S2M, qui s’est fait un nom sur le continent. Conforme aux normes européennes EVM (Europay Mastercard Visa), il permet aux clients de S2M de gérer toute la chaîne monétique initiée avec des cartes bancaires à puce, depuis le retrait ou le paiement jusqu’aux opérations de recouvrement bancaire.

Pour Brahim El Jai, directeur de Marocinvest, qui détient 85 % des parts de la société via les fonds Maghreb Private Equity Fund I et II, l’introduction arrive à point nommé : « Depuis notre arrivée au capital, S2M a multiplié par trois son activité et par quatre sa rentabilité, explique-t-il. Nous avons notamment accompagné sa croissance à l’export, particulièrement sur les marchés subsahariens. La société, une pépite dans notre portefeuille d’investissement, est maintenant solide, et le secteur monétique est positivement orienté. »

Aziz Daddane compte quant à lui sur l’épargne publique pour épauler les prochains développements de S2M vers l’Afrique subsaharienne : « Nous y sommes présents depuis la fin des années 1990, avec une forte progression depuis 2002, indique-t-il. Nous pourrions y installer une filiale en 2011, qui viendrait compléter celle que nous avons implantée en Tunisie en 2000. » Pour cette nouvelle entité, le président du directoire affiche sa préférence pour la Côte d’Ivoire, où S2M peut compter sur une base de clients étoffée.

Espérant juste que sa performance en bourse ne rimera pas avec [b]M2M

abk1 a écrit:

je m'excuse aupres de mr google pour avoir utilisé son grqphe pour mettre une autre version des eventuelles vagues d'elliot en vert.

desolé mr abk on peut pas changer forcement de vagues et redessiner un scenario haussier à notre guise, tu risques d'induire les forumistes en erreur , il faut respecter les fondamentaux de la theorie d'Ellott : un cycle impulsif haussier se declenche à partir d'un plu bas et un cycle correctif baissier ( notre cas) se declenche à partir d'un plus haut

Le Gaucher a écrit:

S2M: IPO candidate à la bvc en janvier 2011 selon son president Aziz Daddane.

Créé en 1983, l’un des leaders marocains de la monétique, affiche une santé étincelante. Le moment idéal selon son dirigeant, Aziz Daddane, et ses actionnaires pour introduire 30 % du capital à la Bourse de Casablanca.

La crise ? Aziz Daddane, président du directoire de la Société maghrébine de monétique (S2M), affirme « ne pas l’avoir sentie passer ». La croissance annuelle de son chiffre d’affaires, qui dépasse les 10 % depuis 2003, est moins importante cette année. Mais pour le dirigeant, « il n’y a pas là de quoi remettre en question le modèle économique et technologique de S2M ». Avec des revenus 2010 estimés à 13,2 millions d’euros (12,9 millions en 2009) et un résultat net de 1,6 million d’euros en 2010, la SSII marocaine dédiée aux logiciels de monétique et à la production de moyens de paiement (chèques, cartes bancaires et terminaux de paiement) est sereine.

Prochaine étape du développement : la cotation à la Bourse de Casablanca. Dans leurs locaux flambant neufs du Casanearshore, dans le quartier de Sidi Maarouf, Aziz Daddane et ses troupes (250 salariés au Maroc) attendent avec impatience le visa du Conseil déontologique des valeurs mobilières (CDVM). « Rien n’est encore acté, mais nous espérons obtenir l’autorisation début janvier 2011, avec une introduction dans la foulée », indique Aziz Daddane.

Présent dans 20 pays africains

Depuis sa création en 1983 par Abdelhak el-Andaloussi (PDG du groupe Cofimag) en association avec la SSII française Sligos, S2M a réalisé un beau parcours, grâce à des produits conçus selon les meilleurs standards internationaux qui se diffusent progressivement sur le continent africain. Il a également su profiter de l’accompagnement des fonds Marocinvest et Africinvest (tous deux du groupe Tuninvest), qui ont racheté l’entreprise en 2003 et facilité les contacts clients au Maghreb et en Afrique subsaharienne.

Dans le royaume chérifien, S2M domine désormais le secteur des moyens de paiement : en 2008, il détenait 82 % du marché marocain de la production des cartes bancaires personnalisées. Côté solutions monétiques, S2M a installé ses logiciels dans 28 pays (dont 20 africains) auprès de 125 banques et institutions financières. Des clients aussi divers que BNP Paribas El-Djazaïr à Alger, Afriland First Bank au Cameroun ou encore la Banque internationale pour l’Afrique de l’Ouest (BIAO) à Abidjan ont adopté le système Multipac de S2M, qui s’est fait un nom sur le continent. Conforme aux normes européennes EVM (Europay Mastercard Visa), il permet aux clients de S2M de gérer toute la chaîne monétique initiée avec des cartes bancaires à puce, depuis le retrait ou le paiement jusqu’aux opérations de recouvrement bancaire.

Pour Brahim El Jai, directeur de Marocinvest, qui détient 85 % des parts de la société via les fonds Maghreb Private Equity Fund I et II, l’introduction arrive à point nommé : « Depuis notre arrivée au capital, S2M a multiplié par trois son activité et par quatre sa rentabilité, explique-t-il. Nous avons notamment accompagné sa croissance à l’export, particulièrement sur les marchés subsahariens. La société, une pépite dans notre portefeuille d’investissement, est maintenant solide, et le secteur monétique est positivement orienté. »

Aziz Daddane compte quant à lui sur l’épargne publique pour épauler les prochains développements de S2M vers l’Afrique subsaharienne : « Nous y sommes présents depuis la fin des années 1990, avec une forte progression depuis 2002, indique-t-il. Nous pourrions y installer une filiale en 2011, qui viendrait compléter celle que nous avons implantée en Tunisie en 2000. » Pour cette nouvelle entité, le président du directoire affiche sa préférence pour la Côte d’Ivoire, où S2M peut compter sur une base de clients étoffée.

On parle de bonnes perspectives du secteur quel pourrai etre la portée et l'impact du plan Maroc numéric 2013 sur ces stés opérant dans le secteur de la monétique

Google a écrit:

abk1 a écrit:

je m'excuse aupres de mr google pour avoir utilisé son grqphe pour mettre une autre version des eventuelles vagues d'elliot en vert.

desolé mr abk on peut pas changer forcement de vagues et redessiner un scenario haussier à notre guise, tu risques d'induire les forumistes en erreur , il faut respecter les fondamentaux de la theorie d'Ellott : un cycle impulsif haussier se declenche à partir d'un plu bas et un cycle correctif baissier ( notre cas) se declenche à partir d'un plus haut

Vous m'excusez pour l'intervention, mais je ne vois nul part vos intervention au vu que la valeur n'a meme pas passé un mois pour que l'on parle d'une analyse technique.

Google a écrit:

abk1 a écrit:

je m'excuse aupres de mr google pour avoir utilisé son grqphe pour mettre une autre version des eventuelles vagues d'elliot en vert.

desolé mr abk on peut pas changer forcement de vagues et redessiner un scenario haussier à notre guise, tu risques d'induire les forumistes en erreur , il faut respecter les fondamentaux de la theorie d'Ellott : un cycle impulsif haussier se declenche à partir d'un plu bas et un cycle correctif baissier ( notre cas) se declenche à partir d'un plus haut

allaho akbar !

et elliot vous a dit que ses vagues passent par les plus haut de la journee ?