SM le roi Mohamed VI a nommé mr Abdeltif MENOUNI .... Biographie :

Abdeltif MENOUNI

Membre du Conseil constitutionnel
Professeur de l'Enseignement supérieur
Faculté de droit de Rabat/Agdal

Naissance: Meknès en 1944

Etudes et diplômes:
1975 Doctorat d'État en Droit Public (Université de Grenoble, France)
1970 Diplôme d'études supérieures en Droit Public
1965 Licence en droit, Section Droit public et Sciences politiques
1962 Baccalauréat Mathématiques Elémentaires, Meknès


Fonctions, activités associatives, sociales et nationas:
depuis 1994 Membre du Conseil Constitutionnel
depuis 1969 Professeur à la faculté de Droit
2004 - 2006 Membre de l'Instance Equité et Réconciliation
2002-2005 Membre du Comté Exécutif de l'Association Internationale de Droit Constitutionnel
2002-2005 Vice président de l'Académie Internationale de Droit Constitutionnel
2001 Membre de la commission pour la révision de la Constitution de l'Emirat de Bahrein
depuis 1994 Président de l'Association Marocaine de Droit Constitutionnel depuis sa fondation
1985 Figure parmi les fondateurs des Editions Toubkal
Membre fondateur de l'Association des Juristes maghrébins
1978 Figure parmi les fondateurs de la Confédération Démocratique du Travail
1977 Chef du Départment de droit public de la Faculté de droit de Rabat
Membre fondateur de l'Associatino Marocaine de Science politique

Abdellatif Menouni est un militant marocain né en 1944 à Meknès. Il est
membre de la commission nationale 'Instance Equité et Réconciliation'.
En 1976, il a obtenu un Doctorat en droit public de l'Université de
Grenoble, il est actuellement professeur de droit constitutionnel à
l'Université Mohammed V et président de l'association marocaine de droit
constitutionnel.
Membre du Conseil constitutionnel, Abdellatif Menouni a édité plusieurs
ouvrages tels que : "Institutions politiques et droit constitutionnel",
"Histoire des idées politiques", "Le syndicalisme ouvrier au Maroc" et
"L'Union nationale des étudiants du Maroc".



Professeur Abdeltif Menouni
Etat civil
Né en 1944 à Meknès
Marié, 3 enfants
Etudes et diplômes
Doctorat d’Etat en Droit Public (Université de Grenoble France) en 1975
Diplôme d’études supérieures en Droit Public en 1971 (Université Mohamed V)
Licence en droit, Section des Sciences politiques en 1965
Baccalauréat Mathématiques Elémentaires, Meknès en1962.
Fonctions, activités associatives, sociales et nationales.
Professeur, titulaire de chaire à la faculté de Droit de
Rabat depuis 1969. Il a été nommé en 2008 professeur à vie par Sa
Majesté Mohamed VI.
Il est depuis 2008 le représentant du Maroc à la Commission européenne
pour la démocratie par le droit. Celle-ci qui porte également le nom de
Commission de Venise est composée selon l’article 2 de son statut
« d’experts indépendants, éminents en raison de leur expérience au sein
des institutions démocratiques ou de leur contribution au développement
et des sciences politiques. »
Membre du Conseil Constitutionnel de 1994 à 2008.
Membre de l’Instance Equité et Réconciliation de 2004 à 2006
Membre du Comité Exécutif de l’Association Internationale de Droit Constitutionnel de 2002 à 2005
Vice président de l’Académie Internationale de Droit Constitutionnel de 2002 à 2005.
En 2003, il est membre de la commission chargée d’élaborer le projet d’autonomie pour les provinces du Sahara marocain.
Membre de la commission pour la révision de la Constitution de l'Emirat de Bahrein - 2001.
Président de l’Association Marocaine de Droit Constitutionnel depuis sa fondation de 1994 à 2008.
Figure parmi les fondateurs des Editions Toubkal en 1985
Membre fondateur de l’Association des Juristes maghrébins.
Figure parmi les fondateurs de la Confédération Démocratique du Travail en 1978
Chef du Département de droit public de la Faculté de droit de Rabat en 1977
Membre fondateur de l’Association Marocaine de Science politique.
Membre de la Commission administrative de l’Union Marocaine du Travail 1973.
Membre de la Commission administrative de l’Union Nationale des Forces Populaires en 1968.
Membre du Bureau national du Syndicat National de l’Enseignement supérieur de 1969 à 1974.
Président de l’Union Nationale des Etudiants du Maroc (UNEM) en 1967
Président de l’Association de la Jeunesse progressiste de Meknès en 1960.


Enseignement et recherche
Il s’honore dans ce cadre d’avoir été professeur de Sa
Majesté Mohamed VI alors prince héritier et de son Altesse royale Moulay
RACHID.
Matières enseignées dans les facultés de droit de Fès, Rabat et Casablanca et à l’Ecole Nationale d’Administration.
En licence :
Droit constitutionnel
Histoire des idées politiques
Méthodes des sciences sociales
En doctorat.
Science Politique Générale
Droit constitutionnel
Justice constitutionnelle
Recherches
Articles et ouvrages, principalement :
L’exécution des décisions des juridictions
constitutionnelles, le cas du Conseil constitutionnel marocain,
Communication au colloque organisé par le Conseil constitutionnel
d’Andorre, 2005.
Le contentieux électoral, cours fait à l’Académie
Internationale de Droit Constitutionnel, in Constitution et élections,
Recueil de l’Académie Internationale de Droit Constitutionnel, Tunis
2002.
L’expérience du Conseil constitutionnel marocain, in Les
constitutions des pays arabes, colloque de Beyrouth 1998, Editions
Bruylant – Belgique, 1999.
L’évolution du constitutionnalisme africain, in Recueil
d’articles publiés en hommage à Feu le Professeur Abderrahman Kadiri.
1995
Constitution et séparation des pouvoirs, in trente années
de vie constitutionnelle au Maroc, ouvrage collectif, LGDG, collection
Edification d’un Etat moderne, 1993.
Lecture dans le projet de constitution révisée, in
révision de la Constitution, analyses et commentaires, Imprimerie
royale, Rabat, 1992.
Droit constitutionnel et institutions politiques, Editions Toubkal, 1990.
Le mouvement ouvrier au Maroc, conflits et changements
(en collaboration avec Mohamed Ayad), en arabe, Les Editions Toubkal,
1987.
L’alternance et la continuité dans la politique de l’Etat
(Etats-Unis, Grande Bretagne et France), Revue Française de Science
Politique, février 1986, N° 1.
Histoire des Idées politiques, Les Editions maghrébines, Casablanca, 1986.
Le recours à l’article 19, une nouvelle lecture de la
Constitution ?, Revue juridique, politique et économique du Maroc, N°
15, 1er semestre, 1984.
Le syndicalisme ouvrier au Maroc, Les éditions maghrébines, Casablanca, 1979.
Le contrôle de la constitutionnalité des lois au Maroc,
portée constitutionnelle et signification politique, en collaboration
avec Abdelkader Kadiri, communication présentée au colloque organisé par
le Département de droit public de la Faculté de droit de Rabat en 1976.
L’Union Nationale des Etudiants du Maroc, 1970.

Pour moi le plus important, c est LA JUSTICE, qui gouverne peut importe pour moi, l'essentiel c'est que je peut le contrôler et le juger par une instance 100% indépendante et qui peut interpeller n'importe quel fonctionnaire ( Sauf le roi avec tout mes respect- allah yanssar sidi -), et seul le roi . comme en Turquie pour ne pas dire France ou UK.

Bonjour tout le monde,
c'est vrai que le discours de sa Majesté a apporté des nouveautés sur la scène politique nationale je dirai même plus qu’il a dépassé les partis politiques mais je crois que ces modifications constitutionnelles sont en retard au moins de 8 ans, pourquoi attendre 10 ans pour effectuer ces changements ?
cela nous amènent au deuxième point est ce que ces modifications sont prise dans le cadre d’une vision globale, une stratégie de reforme et de modernisation de pays ? je ne crois pas et je pense que c’est simplement un calmant aux derniers revendications publiques qui a surpassé même les dirigeants politiques et une réaction de ce que ce passe au monde arabe.
Je pense que le Maroc, maintenant n’est pas besoin de nouveaux textes de loi pour les placés dans nos placards ou bien de nouveaux institutions rigides qui n’apporte aucun valeur ajouté aux citoyens. Nous sommes débordés par les lois et les organismes publics qui ne font rien sauf dépensé l’argent des pauvres pour leurs besoins personnels. Nous avons besoins des gens honnêtes et une politique nationale de moralisation de la vie publique pour protéger les biens des citoyens. Il faut déclarer la guerre contre la corruption, le favoritisme et le gaspillage de bien public, sous forme d’une action des mains blanches comme celles de l’Italie effectué par le juge Falconi contre La MAFIA.

Le roi a annoncé une réforme globale de la constitution dont les principaux éléments pratiques et immédiats sont l'indépendance de la justice et plus de pouvoir au parlement et au 1er ministre.

Maintenant c'est à:
- Mr Mnouni de mettre les choses bien en clair pour que justice soit faite rapidement et que tout responsable soit "punissable" haut et fort pour ses dérapages.
- Aux partis politiques, syndicats et autres contributeurs à cette réforme d'être honnête et ne pas laisser de vide pour se "faufiler".
- C'est aux citoyens de refuser toute sorte de corruption et dénoncer auprès des autorités compétentes le favoritisme et le gaspillage.

Les mutations sociales et politiques prennent souvent du temps pour s'installer et cette réforme constitutionnelle est toujours bonne à prendre.

Les médias et la cour des comptes seront confortés dans leur travail et les futures manifestations seront très fortes (comme on le voit en Tunisie).

La dynamique vécue au début du règne de SM Mohammed 6 reprendra vite et je suis assez confiant qu'elle va être relancée avec moins d'opportunisme aveugle de la part des partis politiques, des syndicats et des lobbies. Les marocains y veilleront.

Pourquoi un forum de bourse démocratique (A l'image du Maroc) ouvre un débat sur ce sujet, sachant que tout message qui ne sera pas de l'avis de ces modérateurs et son administrateur recevra des points en moins et un ban ?

omarf1 a écrit:

Pourquoi un forum de bourse démocratique (A l'image du Maroc) ouvre un débat sur ce sujet, sachant que tout message qui ne sera pas de l'avis de ces modérateurs et son administrateur recevra des points en moins et un ban ?

Bonjour Monsieur,

Les points de réputation ne sont pas otorgés que par les modérateurs uniquement, mais par toute personne ayant 15 points ou plus. Quand au ban, il n'est utilisé que comme ultime moyen.

Bien sur que vous pouvez débattre tout ce que vous voulez, tout en respectant le règlement auquel vous vous êtes engagé lors de votre inscription sur le forum.

Salutations

N.B: Personnellement je suis très à l'écart de la politique.

RACHIDo a écrit:

Bonjour tout le monde,
c'est vrai que le discours de sa Majesté a apporté des nouveautés sur la scène politique nationale je dirai même plus qu’il a dépassé les partis politiques mais je crois que ces modifications constitutionnelles sont en retard au moins de 8 ans, pourquoi attendre 10 ans pour effectuer ces changements ?
cela nous amènent au deuxième point est ce que ces modifications sont prise dans le cadre d’une vision globale, une stratégie de reforme et de modernisation de pays ? je ne crois pas et je pense que c’est simplement un calmant aux derniers revendications publiques qui a surpassé même les dirigeants politiques et une réaction de ce que ce passe au monde arabe.
Je pense que le Maroc, maintenant n’est pas besoin de nouveaux textes de loi pour les placés dans nos placards ou bien de nouveaux institutions rigides qui n’apporte aucun valeur ajouté aux citoyens. Nous sommes débordés par les lois et les organismes publics qui ne font rien sauf dépensé l’argent des pauvres pour leurs besoins personnels. Nous avons besoins des gens honnêtes et une politique nationale de moralisation de la vie publique pour protéger les biens des citoyens. Il faut déclarer la guerre contre la corruption, le favoritisme et le gaspillage de bien public, sous forme d’une action des mains blanches comme celles de l’Italie effectué par le juge Falconi contre La MAFIA.

Si tu veux qu'il un assaissinissement, ça doit se faire par les lois. Pour faire des lois, il faut un parlement. Pour avoir un parlement il faut un cadre constitutionnel qui lui donne les moyens et le droit. C'est ce que le souverain a proposé.
Pour votre quéstion sur la durée " perdu " , moi je reprends la parole du souverain lors du discours du conseil économique et sociale : " chaque chose en son temps ".
Je ne pense pas que le Maroc était prét avec l'état de l'économie des années 80. Je ne pense pas que le roi s'amuserait à modifier la constitution dés la 1ére année de son reigne.
Il faut savoir que chaque nouveau roi, donne un nouveau Maroc. Et chaque nouveau Maroc aura besoin d'une nouvelle constitution.
Au contraire, je préfére qu'il y'ait une évolution qui a fait que la constitution a changé. Si on l'avait changé il y'a 10 ans, je suis sur qu'on voudera changer quelque chose en 2011, ne serait que par mimétisme à ce qui se passe.


Je fais un peu confiance aux jeunes, mais parfois la profondeur de leurs méssage laisse à désirer.

omarf1 a écrit:

Pourquoi un forum de bourse démocratique (A l'image du Maroc) ouvre un débat sur ce sujet, sachant que tout message qui ne sera pas de l'avis de ces modérateurs et son administrateur recevra des points en moins et un ban ?

Attention, le Maroc est plus démocratique que les USA

DaRk-H a écrit:

omarf1 a écrit:

Pourquoi un forum de bourse démocratique (A l'image du Maroc) ouvre un débat sur ce sujet, sachant que tout message qui ne sera pas de l'avis de ces modérateurs et son administrateur recevra des points en moins et un ban ?

Bonjour Monsieur,

Les points de réputation ne sont pas otorgés que par les modérateurs uniquement, mais par toute personne ayant 15 points ou plus. Quand au ban, il n'est utilisé que comme ultime moyen.

Bien sur que vous pouvez débattre tout ce que vous voulez, tout en respectant le règlement auquel vous vous êtes engagé lors de votre inscription sur le forum.

Salutations

N.B: Personnellement je suis très à l'écart de la politique.

Merci pour la réponse,

Je n'ai pas pu lire le règlement !
Je suis contre tous les politiciens marocains, mais en étant musulman, je ne peux être à l'écart de la politique (Ma religion m'oblige)!
J'avais parlé de l'histoire du Maroc (Je n'avais pas donné mon opinion personnel) et on m'avait banni pendant 24 heures.