Séance du Mardi 22 Mars 2011

satoune a écrit:

Fshkel Mng aujourd'hui 0 transaction !!

La samir aussi surtout après le communiqué !

Plus mort que la BVC tu meurs.

ALAOUI a écrit:

Plus mort que la BVC tu meurs.

effectivement avec des volumes pareils, je me demande comment les SDB puissent-elles payer leurs redevances de fonctionnement!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

DOUJA PROM ADDOHA encore une fois vers 103?

Salam,

200 DOUJA PROM ADDOHA @ 105,95 m'a l'air suspect. Toujours la même quantité qui revient remonter le cours.

ALLAHou a3lam

haakoo a écrit:

KODAK a écrit:

salam calendrier dividende

Bonjour,tt le monde

https://bourse-maroc.forumactif.org/t1295p22-resultats-annuels-2010#64233

les resultats de ennakl automobile

KODAK a écrit:

haakoo a écrit:

KODAK a écrit:

salam calendrier dividende

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les resultats de ennakl automobile

svp

C'est comme si on était le Lundi et le dimanche était catastrophique!!!

notations de crédit ENCADRE se déplace au Moyen-Orient, l'Afrique du Nord

LONDRES, Mars 18 (Reuters) - Bahreïn coupé Standard & Poor's


évaluations de deux crans à BBB le vendredi à partir de A-et les a conservées sur
surveillance négative, en disant semaine de manifestations violentes ont causé la
environnement politique et économique du pays à se détériorer.
Le déménagement matches downgrade Fitch de cotes de Bahreïn à
BBB mardi, avertissement plus dégradations ont été possibles que
les risques politiques ont grimpé après que le pays a décrété la loi martiale.
Standard & Poor's le mercredi ont réduit les notes de la Tunisie à
BBB-, un cran au-dessus de 'junk' état, mais a levé ses perspectives de
stable.
Moody's a également dégradé la notation de l'Égypte à Ba3 de Ba2,
dire les préoccupations politiques ont été pesant sur les pays plus
performance économique et la situation financière.

PAYS DE L & FITCH MOODY'S P

ABU DHABI AA Aa2 AA
stable stable stable
S & P a confirmé notation AA Abu Dhabi le 22 novembre, affirmant que le
l'économie a été altération de la récession mondiale ainsi.

BAHREIN BBB BBB A3
watch Nég Nég Nég montre
S & P a abaissé cotes de Bahreïn de deux crans à BBB de A-
le 18 Mars 2011, et maintenu les notes sous surveillance négative, en disant:
Déclaration du gouvernement de la loi martiale pourrait provoquer la hausse
l'instabilité et des dommages économiquement le pays.
Fitch ont réduit les notes de crédit de Bahreïn de deux crans à BBB
de A sur Mars 15, 2011 et mis en garde plus dégradations ont été
possible que le risque politique a bondi après le pays a déclaré
la loi martiale.
Moody's a placé la note A3 de Bahreïn sur l'examen d'éventuelles
déclasser le 23 février, citant des troubles politiques en cours.

EGYPTE BB BB Ba3
sous surveillance négative neg négative
Moody's réduit de notation de la dette souveraine de l'Egypte le 16 Mars, 2011
à Ba3 de Ba2, et maintenu la perspective des notes à une valeur négative,
l'incertitude disent au sujet de la transition du pays à la stabilité
gouvernement ayant un impact négatif sur sa situation financière
et plus la performance économique.
Une détérioration de la situation politique en Libye a également eu
des conséquences négatives pour l'économie égyptienne et de la sécurité, Moody's
a dit.
S & P sur Mars 11 Enlevée l'Egypte de son crédit avec
implication négative, reculant d'un déclassement imminente.
L'agence de notation est le maintien d'une perspective négative sur la
pays, dont la notation elle rétrogradé à BB à BB +, le 1er février.
Fitch a abaissé sa recommandation à BB à BB +, le 3 février, la mise en Égypte
sous surveillance négative.

ISRAEL A A1 A
stable stable stable
Standard & Poor's a confirmé «investment grade» d'Israël une cote
en Mars 2010, affirmant que le pays avait surmonté le pire de la
récession mondiale et il ne s'attendait pas à une nouvelle détérioration budgétaire
que les réformes économiques ont continué à être mises en œuvre.

BB JORDANIE Ba2 -
négatif négatif -
Moody's a abaissé la perspective sur la Jordanie de Ba2 étrangers
Note devises de stable à négative sur le 8 février 2011 en disant
le nouveau gouvernement peut augmenter les dépenses pour détourner les protestations
inspiré par le soulèvement en Egypte.
S & P a également déplacé les perspectives de la Jordanie de stable à négative sur
8 février, en disant des troubles sociaux dans le pays est susceptible de conduire à
ralentissement de la croissance et les attentes des recettes fiscales.

KOWEIT AA-AA Aa2
stable stable stable
Moody's a relevé ses perspectives sur la notation souveraine du Koweït à
stable à partir de négatifs sur le 5 août 2010, affirmant une nouvelle législation
contribuerait à stimuler l'économie du pays et attirer les investissements étrangers
d'investissement.

LIBAN B B1 B
stable stable stable
S & P a abaissé la perspective de la notation de crédit B du Liban à
des perspectives stables de positif sur le 18 janvier 2011, en disant des
réformes économiques ont été endommagées par la chute du gouvernement.

BB LIBYE - BB
négatifs - montre neg
S & P coupe la Libye de notation à quatre encoches sur Mars 11, 2011 à BB
de BBB +, citant des combats entre le gouvernement de Mouammar
Kadhafi et les forces rebelles. La Libye n'a pas de dette commerciale ou
garanties souveraines sur la dette d'autres entités, mais S & P a déclaré que le
mise à niveau vers indésirable était due à des sanctions internationales qui
limiter les sources de financement de la Libye.
S & P a également indiqué qu'il allait suspendre sa note sur le pays en raison
aux sanctions.
Fitch note coupé de la Libye par trois crans à BB de BBB
1 mars, et a dit qu'il peut déclasser davantage le pays si
confrontation entre manifestants et forces pro-gouvernementales
devenus plus violents.

BBB MAROC-Ba1 BBB-
stable stable stable
Standard & Poor's a relevé de devises étrangères et locales du Maroc
notes d'un cran le 23 Mars 2010, disant que, en réduisant ses
la dette du gouvernement marocain s'est donné plus de flexibilité
dans la politique économique.

OMAN A A1 -
neg montre stable -
S & P a mis les cotes attribuées à Oman sous surveillance négative sur
7 mars 2011, en disant troubles récents dans le pays et le
répercussions possibles de conflits régionaux pourraient augmenter
les risques politiques et affectent négativement la croissance économique et publique
finances.

AA QATAR Aa2 -
stable stable -
Qatar amélioré Moody's Aa3 à Aa2 à partir de Juillet 2007, citant une
nette amélioration des fondamentaux économiques des pays du Golfe
pays, ce qui a amélioré leur capacité à résister à la fois
chocs politiques et économiques.

AA ARABIE SAOUDITE-Aa3 AA-
stable stable stable
Moody's a relevé le Royaume d'Arabie saoudite et de l'étranger
Les cotes du gouvernement local de change à Aa3 à A1 sur 15 février,
2010, citant fiche du pays bilan solide et le fait
que la dette publique consolidée générale a été que de 6 pour cent des
revenu national brut.

TUNISIE BBB-Baa3 BBB
stable négatif négatif
S & P coupe de notation de la Tunisie à BBB-de BBB, mais reçoivent une
perspective stable dans le pays, affirmant que les risques à la baisse de
l'instabilité politique sont susceptibles d'être contenus.
Fitch a dégradé le rating de la Tunisie à BBB-de BBB sur Mars
2 février 2011 sur les préoccupations que l'incertitude politique a aggravé la
perspectives à court terme pour l'économie, les finances publiques et la
système financier.
Moody's a abaissé sa note à Baa3 de Baa2 le 19 janvier et
a réduit ses perspectives à négatives en raison des troubles qui ont suivi la
renversement du président Zine al-Abidine Ben Ali.

Najib Akesbi : Des réformes politiques avant tout
publication 19.03.2011

Najib Akesbi est économiste et enseignant à l’Institut Agronomique et Vétérinaire Hassan II, de Rabat. Il détaille les réformes économiques voire politiques nécessaires au Maroc, dans le contexte régional des révolutions arabes.
Najib Akesbi

Quelles conséquences économiques les révolutions arabes ont-elles eu sur le Maroc ?

D’une part, les échanges entre les pays arabes sont très faibles et donc l’impact des révolutions sur les échanges du Maroc n’est pas très important. D’autre part, la Tunisie et l’Egypte exportent peu de capitaux vers le Maroc. Seul l’impact par les flux migratoires pourrait être significatif, surtout dans le cas de la Libye. Le Maroc a une forte communauté dans ce pays. Si un quart seulement de cette population revient au Maroc, cela poserait de sérieux problèmes car des milliers de familles vivent ici grâce aux transferts d’argent venus de Libye. De plus, il resterait à trouver de nouveaux emplois au Maroc pour cette population active.

Peut-il exister des effets indirects positifs ou négatifs sur l’économie marocaine à travers notamment les flux touristiques à destination des pays du Maghreb ?

Il n’y a pas eu réellement de transfert des flux touristiques à destination de l’Egypte et la Tunisie vers le Maroc. La confiance, le sentiment de sécurité - plus psychologique qu’autre chose, d’ailleurs - est capital dans des secteurs comme le tourisme. Or le Maroc n’offre pas l’image d’un « havre de paix » à côté de dangereux « foyers de subversion », même si sa situation n’est pas comparable sur ce plan à celle de ses voisins. Je crois qu’il est illusoire et dérisoire de croire que nous pourrions gagner au malheur de nos voisins. Le Maroc n’est pas une exception, nous sommes dans la mêlée. Notre pays partage les conditions objectives qui ont mené aux révolutions dans les autres pays arabes : l’existence d’une jeunesse marginalisée, frustrée et désœuvrée, la crise économique, la mal gouvernance (autocratie, népotisme, corruption,...).

Les récentes mesures économiques prises par le gouvernement sont-elles une réponse efficace aux difficultés du Maroc ?

C’est le traitement du cancer par l’aspirine ! Ces mesures sont non seulement dérisoires et démagogiques mais elles peuvent même aggraver la situation. Augmenter le budget de la Caisse de Compensation de 15 milliards de dirhams, c’est faramineux quand on sait que ce fonds représente déjà près de 4% du PIB et plus de la moitié des investissements du budget général de l’Etat. C’est consternant quand on sait que pour l’essentiel, les dépenses de cette « caisse » profitent surtout aux riches et très peu aux pauvres qui le méritent vraiment. C’est encore révoltant quand on sait que les impôts qui financent ces dépenses sont à leur tour largement supportés par les couches populaires à travers les multiples taxes à la consommation et l’impôt sur les revenus salariaux.

Je suis économiste mais je suis convaincu que la première réforme économique dont le Maroc ait besoin aujourd’hui est d’ordre politique. Il faut un système politique qui permette l’émergence de programmes économiques négociés avec la population qui obtiennent la légitimité des urnes et soient mis en œuvre par un exécutif comptable devant le peuple.

Le dernier discours du Roi correspond-t-il à la réformes que vous appelez de vos vœux ?

Ce que nous avons entendu est un discours qui prend acte potentiellement d’un certain nombre de revendications. En cela il va indéniablement dans le bon sens, mais l’essentiel reste à faire. Le discours offre un « contenant » mais au-delà, ce qui compte c’est le contenu et du contenu concret.

Par exemple, le Roi a annoncé un renforcement du pouvoir du gouvernement. Très bien, mais quid du Conseil des ministres ? Aujourd’hui aucun projet de loi ne peut aller au parlement sans surmonter le « verrou » du Conseil des ministres, dont la réunion dépend de la seule volonté du Roi et de son agenda. Si ce Conseil reste en l’état, qu’est ce qui aura réellement changé ?

Renforcer l’indépendance de la justice ? Très bien. Concrètement, est ce que le Conseil supérieur de la magistrature va être présidé par un juge élu par ses pairs ou continuera-t-il à être présidé par le Roi ? Par ailleurs, l’élargissement annoncé des libertés individuelles – à commencer par la liberté de culte - doit être inscrit explicitement dans le texte de la Constitution, sans quoi il sera impossible de les protéger dans les faits.

Dans un discours, ce que l’on ne dit pas est au moins aussi important que ce que l’on dit... Le Roi a rappelé les « fondamentaux » du Maroc en citant l’Islam comme religion d’Etat, l’intégrité territoriale... Est-ce à dire que ceux qui aspirent à la séparation de l’Etat et de la religion n’ont encore une fois aucune chance de s’exprimer, d’être entendus ?

Supposons que la réforme politique annoncée se concrétise en ce sens, quelles sont les réformes économiques à faire en tout premier lieu ?

Dans les conditions du Maroc d’aujourd’hui, les bonnes réformes ne sont que des réformes de simple bon sens. Prenez la fiscalité, elle pèse lourdement sur la classe moyenne et accentue les inégalités au lieu de les atténuer, alors que chacun sait que c’est la classe moyenne qui constitue le socle de la croissance économique, fondée sur l’élargissement du marché intérieur et l’accroissement de la demande globale.

Plus grave, depuis 40 ans les gouvernements n’ont cessé de mobiliser toutes les ressources du pays pour promouvoir un modèle de croissance tiré par les exportations. Ils ont notamment, au cours des quinze dernières années, signé une quantité impressionnante d’accords de libre échange, pour finir aujourd’hui par s’apercevoir que le résultat est catastrophique puisque, au moment où nos partenaires tirent le maximum des concessions que nous leur avons accordées, nous, nous en sommes incapables pour la simple raison que nous n’avons pas grand chose à exporter ! Au bout du compte, le commerce extérieur aujourd’hui plombe la croissance du Maroc au lieu de la promouvoir.

Avec le discours du Roi, les investisseurs marocains vont-ils reprendre leurs activités après cette période de flottement et d’expectative ?

Le message transmis est a priori positif, mais les investisseurs ne se décident pas à partir des discours. L’investissement est un « climat », notamment de confiance, et un climat de confiance ne se décrète pas. L’annonce du Roi amorce un contexte qui peut s’avérer plus favorable, mais si les choses ne se concrétisent pas rapidement, l’effet pourrait être encore plus désastreux que ce que l’on connaît actuellement car il n’y a rien de pire que la déception. Il faut que le système change et se stabilise rapidement par la suite, car l’investissement est un acte de foi

Yabiladi

Quand je vois que tout le monde attend et espère une baisse pour entrer à bon compte sur le marché, je me dit que la fameuse hausse n'est pas pour tout de suite....

Et comme d'habitude nous serons surpris par son arrivée, ainsi que par son origine