Séance du Mercredi 24 Aout 2011

Salam pour tout le monde...
Veuillez trouvez ci joint le fichier d'actualisation d'historique pour aujourd'hui le 24-08-2011:
http://www.mediafire.com/?wi2pllw5trx84fa
Bonne réception...

Merci pour le partage



voila un homme de principe pour une simple modif de son article il a prefere' claquer la porte .c'est comme ces hommes dont on a besoin notre classe politique nous fait honte ,les intelo ne sont pas en reste ,je reve d'un jour ou les marocains redeviendront au moins comme dans les annees 50 avec leur solidarité,courage.hospitalite',generosite' respect et surtout dignité



ne laissez pas le Maroc perdre son identité au nom d’impératifs financiers destructeurs. Au-delà de vos contradictions, n’est-il donc point possible de réconcilier tradition et ouverture, liberté et dignité ? Ce ne devrait point être le tourisme qui colonise de ses excès le Maroc mais ce dernier qui offre à ses touristes le sens de l’être, du don et du respect

chsalah a écrit:

salam ,
‎' Un si beau MAROC ' , recent article de Tarik RAMADAN , jai trouve que c interresant et je le partage avec vous....Bonne lecture
Ce devait être une belle et enthousiasmante collaboration. Le mensuel marocain "L’Economiste" m’avait demandé d’écrire une chronique par mois. Avec la fermeture du mensuel, l’article allait désormais être publié dans le quotidien. Le second devait l’être aujourd’hui même. Or, voilà que la rédaction en chef a voulu modifier le texte en remplaçant "aux allures d’un bateau royal" par "d’un bateau luxueux". Une censure inacceptable, mais surtout une auto-censure excessive. A l’heure où les peuples arabes se soulèvent pour leur dignité et leur liberté, et que le Maroc annonce des réformes contre la corruption et pour plus de transparence, il serait bon que les journaux et les journalistes marocains fassent honneur à leur fonction. Une attitude au fond honteuse, une histoire triste. Voici le texte en l’état. Le lecteur jugera et elle/il ferait bien de faire savoir à la rédaction de L’Economiste combien une telle attitude est indigne du Maroc que nous aimons. La collaboration s’arrête donc là. A bon entendeur.


Un si beau Maroc

J’aime le Maroc. Depuis le temps que je viens dans ce si beau pays, j’ai appris des paysages, des parfums, des cultures, des traditions ancestrales, riches et fières. J’ai rencontré des femmes et des hommes à la mémoire forte, à la dignité reconnue, avec du cœur, de la générosité et des sourires confiants en la vie. C’est un pays, c’est un être, c’est un destin.

Cet été, en y jeûnant pour la nième année consécutive, je réfléchissais aux racines de cette identité, à ce qu’elles étaient, et à ce que ce pays pouvait offrir non seulement à ses citoyens, mais également à ses visiteurs comme au monde. Au demeurant, je ne suis pas toujours persuadé que les Marocaines et les Marocains soient eux-mêmes conscients des richesses qui les habitent, de ce qu’ils portent intimement et qu’ils devraient pouvoir offrir. A soi, dans la célébration ; à autrui, dans le respect.

J’ai vu et aimé ce cœur, cette générosité, ce sens de la famille et du service. Le Maroc, c’est aussi cet Orient des origines qui, loin des projections orientalistes, se définit par soi, en une multitude de langues, d’appartenances, de cultures et de mémoires. Ces identités multiples ne se disputent que quand elles sont superficielles et instrumentalisées : dans le fond, elles sont la richesse du Maroc, elles s’enrichissent et se fertilisent mutuellement. Ecouter deux Marocain(e)s parler de leur origine au cœur de ce pays, c’est entrer dans un univers de villages, de liens locaux, d’une pluralité qui unifie. Et pendant le Ramadan, une ferveur si palpable et sincère : un mois où les mosquées débordent, où le cœur est ouvert et les yeux pleurent. Beaucoup, et profondément.

Le Maroc est aussi un pays de toutes les contradictions. J’entends encore les mots de certains touristes français, ou anglais, ou américains me parler de leurs séjours marocains. Trouvant à Casablanca, à Marrakech ou même à Tanger, les espaces de cette liberté chérie en Occident. C’est un pays, disent-ils, où le soleil est gratuit, l’alcool et la drogue bon marché, la prostitution jeune, discrète et peu chère. C’est le pays des nouveaux casinos qui colonisent des esprits, détruisent des vies, déciment des familles. Le Maroc qui devrait offrir de son être est colonisé au cœur de son être par les pires excès des sociétés industrialisées. La logique économique, et touristique, semblerait avoir raison, peu à peu, de l’âme marocaine.

Se peut-il qu’il en soit ainsi ? Se peut-il que les Marocains s’ignorent tant qu’ils acceptent d’être emportés par la culture de l’ivresse de l’alcool, des casinos et des drogues et que leurs enfants soient les proies faciles d’un tourisme sexuel immoral. Se peut-il vraiment ? Au Nord du Maroc, j’ai tourné mes yeux vers la mer et j’ai aperçu au loin une belle embarcation aux allures d’un bateau royal. J’ai souri et pensé à tous ceux qui sont, soit responsables des réformes, soit qui y aspirent. Mon imagination et mon cœur leur envoyèrent ensemble une requête : ne laissez pas le Maroc perdre son identité au nom d’impératifs financiers destructeurs. Au-delà de vos contradictions, n’est-il donc point possible de réconcilier tradition et ouverture, liberté et dignité ? Ce ne devrait point être le tourisme qui colonise de ses excès le Maroc mais ce dernier qui offre à ses touristes le sens de l’être, du don et du respect.

J’ai tourné mes yeux vers la mer, en cette fin du Ramadan, et espéré que les portes des Royaumes soient aussi ouvertes que les portes du ciel, celles du Miséricordieux en Sa Royauté suprême.

Bonsoir,

Article intéressant et attitude de l'Economiste peu surprenante.

En tant que marocain, l'exploitation sexuelle des enfants de mon pays me fait très mal et me fait très honte.

concernant ennakl

La Tunisie confisque le groupe d’El Materi

Sakhr El Materi est le gendre de l’ex-tyran de Tunis, Zine El Abidine Ben Ali. «Les entreprises de Sakhr El Materi sont définitivement confisquées par l’Etat. Au nombre de 41, ces sociétés comprennent le groupe Princesse Holding, la Banque Zitouna, la Société de développement agricole Zitouna, la société de développement et d’Exploitation Zitouna II, Princesse Holding, Princesse Privât Aviation, Ennakl Automobiles, Goulette Shipping Services et autres», rapporte le site tunisien. webmanagercenter.com. «L’Etat tunisien compte nationaliser ces entreprises ou les mettre en vente pour pouvoir assurer la pérennité de ces entreprises, sécuriser les actionnaires, les employés, les investisseurs et les opérateurs économiques ?», s’interroge le média électronique

Quelqu'un a parlé de HPS entre 400 et 410 DHS ?


Sur quelle base s'est-il basé ?

@chsalah
Bonsoir
merci pour le partage..Je te donne mon avis
J’approuve la décision de modifier l’expression à cause du non dit. Le style journalistique est par définition très explicite.
Si tu permets je souhaite donner mon avis sur l'article que je trouve superficiel et léger.qui ressemble a un texte écrit par un touriste. Peut etre que c’est la cas.
Le Maroc n'a pas de problème de drogue, casino, sexe et compagnie. C’est des problèmes de riches.
Combien sont ils les marocains qui en souffrent? Cent mille? Un million?
Combien sont ceux qui agressent, agressés, volent, volés, demandent du tadouira pour avoir un droit, pourtant garantit par la loi. et ceux qui en donne le tadouira? Combien sont ceux qui ont fait appelle à la police pour défendre leurs droits et ont été servi comme des citoyen?
Des millions je pense !

Le Maroc ne souffre pas de « l’impératifs financiers destructeurs », mais plutôt de l'injustice social la plus intolérable, et qui existait depuis de décennie et qui s'accélère de jour en jour...subventionné une bonbonne gaz pour le pauvre et une dizaine pour le riche. Les quelques litre de diesel pour le grand taxi et le bus et les centaines de litre pour la voiture de Mr de Mme des gosses la bonne et co...

Je pense que le Maroc est moche, nos rues sont pleines de saletés de sac de plastic et poubelles renversées. Nos villes sont pleines de mendiants, de bidonvilles et de constructions illégales. Nos villes sont effrayantes la nuit et les agressions en plein jour ne sont pas des exceptions.
A Ifrane dans les plus beaux sites touristiques en hiver, vous pourrez voir des femmes et des gosses presque nus, bleu de froid...louer des luges.
Sur nos routes les lois tombent à l’eau. On stationne ou on veut on insulte on brule les feux et on écrase les piétons.
Dans nos administrations…
Dans nos écoles….
Dans nos hôpitaux…
Chez nous, enfin la paix et le calme. A part qu’on les gosses des voisins hurlent et courent comme des fous, quant on stationne devant votre garage, quand vous trouvez les dépliants publicitaire dans le jardin, et

Des chroniqueurs en mal de polémiques.

Wall Street : finit bien la séance, l'or dévisse 150$ en 48H.
Mais l'évènement du jour, c'est le soudain dégonflement de la bulle sur l'or (-5,75% à 1.755$, plus forte baisse en 3 ans), suite au relèvement des 'marges' sur les contrats à terme... ce qui a amplifié les dégagements amorcés parallèlement au rebond des actions et de l'Euro: l'once d'or chute de plus de 150$ en 48H.
Extrait de boursorama .

alibaba40internautes a écrit:

@chsalah
Bonsoir
merci pour le partage..Je te donne mon avis
J’approuve la décision de modifier l’expression à cause du non dit. Le style journalistique est par définition très explicite.
Si tu permets je souhaite donner mon avis sur l'article que je trouve superficiel et léger.qui ressemble a un texte écrit par un touriste. Peut etre que c’est la cas.
Le Maroc n'a pas de problème de drogue, casino, sexe et compagnie. C’est des problèmes de riches.
Combien sont ils les marocains qui en souffrent? Cent mille? Un million?
Combien sont ceux qui agressent, agressés, volent, volés, demandent du tadouira pour avoir un droit, pourtant garantit par la loi. et ceux qui en donne le tadouira? Combien sont ceux qui ont fait appelle à la police pour défendre leurs droits et ont été servi comme des citoyen?
Des millions je pense !

Le Maroc ne souffre pas de « l’impératifs financiers destructeurs », mais plutôt de l'injustice social la plus intolérable, et qui existait depuis de décennie et qui s'accélère de jour en jour...subventionné une bonbonne gaz pour le pauvre et une dizaine pour le riche. Les quelques litre de diesel pour le grand taxi et le bus et les centaines de litre pour la voiture de Mr de Mme des gosses la bonne et co...

Je pense que le Maroc est moche, nos rues sont pleines de saletés de sac de plastic et poubelles renversées. Nos villes sont pleines de mendiants, de bidonvilles et de constructions illégales. Nos villes sont effrayantes la nuit et les agressions en plein jour ne sont pas des exceptions.
A Ifrane dans les plus beaux sites touristiques en hiver, vous pourrez voir des femmes et des gosses presque nus, bleu de froid...louer des luges.
Sur nos routes les lois tombent à l’eau. On stationne ou on veut on insulte on brule les feux et on écrase les piétons.
Dans nos administrations…
Dans nos écoles….
Dans nos hôpitaux…
Chez nous, enfin la paix et le calme. A part qu’on les gosses des voisins hurlent et courent comme des fous, quant on stationne devant votre garage, quand vous trouvez les dépliants publicitaire dans le jardin, et

ALLAH AWDDI la drogue et le sexe sont des problèmes de riches :

* Le KARKOUBI et le HACHICH et d'autres substances similaires (el kala wa majawaraha) qui sont monnaie courante dans tous les quartiers populaires du Maroc pire encore dans les lycées et collèges publics ;

* La prostitution des enfants est une exclusivité des pauvres et celle des femmes est monnaie courante dans noss quartiers populaires plus que dans des quartiers chics;


La souffrance d'1 million de marocains n'est pas importante pour vous ?



لا يمكن حجب الشمس بالغربال

@ alibaba , une petite precision concernant les produits soit disant subventionnés qui profitent surtout au riches : le prix du litre de gazoil il est constitué de 60 % de taxes imposé par l'etat et qui vont directement dans sa poche , sans parler de la parité de change avec le dollar ( baril en hausse mais le dollar baisse ) .
un autre point  : Je pense que le Maroc est moche, nos rues sont pleines de saletés de sac de plastic et poubelles renversées.
se sont nos pauvres et nos riches qui sont responsable c'est a dire nous tous simplement par manque de civisme ...


Je crois que le vrai defi pour le maroc c'est de creer suffisament de croissance 6 % minimum  pour creer de l'emploi , et pour creer de l'emploi c'est simple il faudra investir , et pour investir il faut restaurer la confiance et encourager les entrepreneurs , on est dans un tournant historique et nos politiques n'ont pas le droit a l'erreur sinon on se dirige vers le scenario catastrophe ....

Pelican a écrit:

Des chroniqueurs en mal de polémiques.

Ce qui me surprend c'est le choix de Tariq Ramadan par l'Economiste comme chroniqueur sachant qu'il est connu par ces polémiques