Séance du Vendredi 25 Novembre 2011 + week end

TILILA a écrit:

fadel a écrit:

Selon moi la BVC (tous les organes rattachés compris) ne doit pas être le refuge, à bout portant, de malfrats et mafieux car elle a le devoir de sauvegarder cette image noble de baromètre de l'économie du pays.

Mais tout le monde tire sur JET ALU comme s'il s'agissait d'une sté qui opère dans le cannabis.

C'est tout comme voire pire ( cession vs désengagement) !!!! jetez un coup d'oeil sur les conventions inter-groupe, les prestations de services et facturations internes ( mention sans avis du CAC za3ma lfaham iafham ).....etc!!!!. Enfin passons pour ne pas polluer davantage le forum, merci.

Semaine contrastée à la Bourse de Casablanca


La Bourse de Casablanca.

La chute inattendue du cours de la SNEP, nouvellement introduite, a plombé la Bourse de Casablanca sur la semaine du 12 au 16 novembre 2007.

La souscription à l’introduction en bourse de la société informatique GSI, prévue entre les 21 et 23 novembre, intervient alors que l’enthousiasme des petits porteurs est au plus bas. Nombreux parmi les 120 000 souscripteurs à la Société nationale d’électrolyse et de pétrochimie (SNEP), ces investisseurs physiques ont au mieux, quitté la valeur au bout du troisième jour de cotation, alors qu’elle traitait à 1600 dirhams. Ceux qui sont restés au-delà, misant sans doute sur une possible remontée à 2500 dirhams, ont vu le cours de la société appartenant au groupe Chaâbi perdre 15,83% points sur la semaine du 12 au 16 novembre. C’est la plus forte baisse enregistrée sur le compartiment actions de la Bourse de Casablanca durant cette période.

La valeur a traité un volume de transactions de plus de 1 milliard de dirhams sur un volume global de 4,7 milliards. Thèses les plus avancées pour expliquer ce recul, une manœuvre tactique de certains institutionnels désireux de se positionner sur la SNEP et donc, de l’acheter au rabais. En tout cas, le cours aura plombé toute la place, puisque sur la semaine considérée, l’Indice général de la Bourse de Casablanca stagne à - 0,004%. L’indice des valeurs les plus liquides (MADEX) affiche quasiment la même tendance (-0,009) ramenant sa performance annuelle à 38,2%. Dans ce climat de morosité, ce sont les valeurs pour BPF (bon père de famille), comme Maroc Télécom, qui ont révélé leurs vertus de titres stables. Le cours de l’opérateur historique a tenu bon (+ 1,09 à 147 dirhams). Sans doute du fait de ses acquisitions à l’international, c’est Attijariwafa Bank qui aura le plus mobilisé les investisseurs. En témoigne un volume de transactions hebdomadaire de 1,8 milliards de dirhams (+1,62 à 3200). Ce sera l’une des valeurs à surveiller pour le reste du mois.

source : LES AFRIQUES .

LIVE STREAMING :


Suivi en direct des éléctions à partir du siége du RNI :

Le taux de participation aux élections législatives d'aujourd'hui au Maroc a atteint 45%, a annoncé le ministre marocain de l'Intérieur Taib Cherkaoui devant la presse à Rabat.

Le ministre faisait état d'estimations initiales à la fermeture des bureaux de vote à 19h00 GMT pour l'élection de la première chambre du parlement marocain. Ce taux de participation est en nette hausse par rapport à celui de 37 pc aux législatives de 2007.

Qui veut la peau de Miloud Chaâbi ?

Salwa Mansouri
Challenge hebdo : 24 - 11 - 2007

Depuis l'introduction en bourse de la SNEP, la valeur a grimpé, mais elle est rapidement revenue en arrière. Certains évoquent «des consignes» données pour ne pas soutenir le titre, d'autres la vente prématurée des petits porteurs.
Des rumeurs enflent, faisant état de machinations sur le marché boursier. Le marché serait devenu illogique, pas équilibré. Des analystes financiers n'hésitent pas à crier gare: il y aurait sur le marché «des consignes données pour ne pas soutenir le cours de la SNEP, la première société de Ynna Holding, du groupe Chaâbi». En plus clair, et si l'on en croit ces personnes, quelqu'un voudrait la peau de Miloud Chaâbi, et chercherait à faire tourner au cauchemar cette opération de cotation. En posant la question sur le but et l'identité de ces mystérieuses personnes qui joueraient le rôle de donneurs d'ordre, on nous oppose un silence radio. Ceux qui décrient la machination manquent subitement d'arguments pour soutenir leur thèse, qui, dans la foulée, notons-le, est difficilement prouvable. Auprès du groupe Chaâbi, la réaction à ce genre de révélation est disparate. Certains affirment avoir eu écho de ces rumeurs qui nuiraient à l'évolution du titre.
Refus de polémiquer
D'autres nient catégoriquement en avoir eu connaissance. Mais une chose est certaine, c'est que les proches du groupe Chaâbi ne veulent pas polémiquer sur le sujet. Pour eux, la baisse que subit l'action est tout à fait légitime et il n'y a rien d'alarmant dans ce qui se produit aujourd'hui sur le marché boursier. Des petits porteurs ont voulu se dessaisir du peu d'actions qu'ils avaient pour sécuriser leur placement et dégager un profit. «Nous acceptons ce qui se passe. C'est la loi du marché», lance un proche de Miloud Chaâbi. Et de poursuivre : «il est vrai que dernièrement, des sociétés nouvellement introduites ont permis aux détenteurs de titres de réaliser des méga profits, mais ceci n'est pas une règle. D'autant qu'il ne faut pas oublier que la SNEP n'est introduite que depuis une dizaine de jours. Ce n'est pas suffisant pour juger la valeur. Lorsque nous avons introduit la société, nous voulions faire introduire de nouveaux actionnaires qui nous accompagneraient dans notre développement. Une action, ça ne se détient pas 4 jours seulement. Ou l'on est capitaliste jusqu'au bout ou on ne l'est pas». Le message est clair. Chaâbi fait table rase de toute information pouvant le déstabiliser. A l'heure où nous mettons sous presse, le cours de l'action a baissé à 1.330 DH, alors qu'il avait atteint un pic de 1.663 DH le 9 novembre, deux jours après l'introduction. Ce niveau s'approche de plus en plus de la valeur d'introduction (1.250 DH). Chaâbi soutiendra-t-il le cours de la SNEP ? «Nous sommes catégoriques sur ce sujet, le groupe ne souhaite pas intervenir sur le cours (NDLR : en rachetant les titres et donc en boostant l'action). Nous refusons de faire quelque chose d'illogique. L'action est toujours pour l'instant au-dessus du niveau d'introduction. Il n'y a donc vraiment pas de raison de s'inquiéter, d'autant plus que nous n'en sommes encore qu'aux premières séances de cotations». Pourtant, il se murmure sur le marché que des centaines d'ordres annulés proviennent du groupe Chaâbi lui-même. Le proche du holding persiste et signe. Il n'a jamais été question de soutenir le titre. Pour leur part, les plus avisés des financiers, les seniors, ne s'inquiètent pas du sort de l'action. Un analyste va jusqu'à déclarer que la valeur est aujourd'hui sous-évaluée et qu'elle devrait atteindre des niveaux supérieurs à 2.000 DH. Pour lui, c'est une très bonne valeur et ce n'est pas un hasard si les plus grandes sociétés de bourse de la place la recommandent à l'achat. CFG a d'ailleurs fait un ramassage de titres SNEP pour une valeur de près de 140 millions de DH pour le compte d'un institutionnel. «Si je disposais de moyens, je n'aurais pas hésité à ramasser aujourd'hui le maximum de titres», confie ce gestionnaire de fonds. Il est certain qu'aujourd'hui, ce sont les institutionnels qui vont profiter de ce mouvement baissier de la valeur. Certains analystes vont jusqu'à avouer que leur tactique a été de semer la panique, entraînant la vente des titres détenus notamment par les petits porteurs, entraînant de fait la baisse du cours. Leur but étant de faire par la suite un ramassage d'actions au moindre coût. La baisse de l'action SNEP pourrait aussi trouver son origine dans la situation financière des gestionnaires de fonds. Ils ne disposeraient pas d'assez de cash pour financer des achats. Mais lorsque la situation s'améliorera, les financiers pronostiquent une bonne évolution de la valeur. «Le marché est aujourd'hui hésitant. Il n'est pas en forme et ce sont tous les titres qui en pâtissent, et pas la SNEP en particulier. Il n'y a rien d'anormal qui se produit sur cette valeur», soutient un responsable à CFG. Que les plus sceptiques soient alors rassurés !?

Je crois que le PJD dominera les villes mais l'équilibre et le contrôle sera opéré par le rural.

Pour leur part, les plus avisés des financiers, les seniors, ne s'inquiètent pas du sort de l'action. Un analyste va jusqu'à déclarer que la valeur est aujourd'hui sous-évaluée et qu'elle devrait atteindre des niveaux supérieurs à 2.000 DH.

@ Agora et Pelican , si les analystes séniors la voyaient à 2000 , je n'ose meme pas imaginer le cours des juniors

alpha74 a écrit:

Qui veut la peau de Miloud Chaâbi ?

Salwa Mansouri
Challenge hebdo : 24 - 11 - 2007

Depuis l'introduction en bourse de la SNEP, la valeur a grimpé, mais elle est rapidement revenue en arrière. Certains évoquent «des consignes» données pour ne pas soutenir le titre, d'autres la vente prématurée des petits porteurs.
Des rumeurs enflent, faisant état de machinations sur le marché boursier. Le marché serait devenu illogique, pas équilibré. Des analystes financiers n'hésitent pas à crier gare: il y aurait sur le marché «des consignes données pour ne pas soutenir le cours de la SNEP, la première société de Ynna Holding, du groupe Chaâbi». En plus clair, et si l'on en croit ces personnes, quelqu'un voudrait la peau de Miloud Chaâbi, et chercherait à faire tourner au cauchemar cette opération de cotation. En posant la question sur le but et l'identité de ces mystérieuses personnes qui joueraient le rôle de donneurs d'ordre, on nous oppose un silence radio. Ceux qui décrient la machination manquent subitement d'arguments pour soutenir leur thèse, qui, dans la foulée, notons-le, est difficilement prouvable. Auprès du groupe Chaâbi, la réaction à ce genre de révélation est disparate. Certains affirment avoir eu écho de ces rumeurs qui nuiraient à l'évolution du titre.
Refus de polémiquer
D'autres nient catégoriquement en avoir eu connaissance. Mais une chose est certaine, c'est que les proches du groupe Chaâbi ne veulent pas polémiquer sur le sujet. Pour eux, la baisse que subit l'action est tout à fait légitime et il n'y a rien d'alarmant dans ce qui se produit aujourd'hui sur le marché boursier. Des petits porteurs ont voulu se dessaisir du peu d'actions qu'ils avaient pour sécuriser leur placement et dégager un profit. «Nous acceptons ce qui se passe. C'est la loi du marché», lance un proche de Miloud Chaâbi. Et de poursuivre : «il est vrai que dernièrement, des sociétés nouvellement introduites ont permis aux détenteurs de titres de réaliser des méga profits, mais ceci n'est pas une règle. D'autant qu'il ne faut pas oublier que la SNEP n'est introduite que depuis une dizaine de jours. Ce n'est pas suffisant pour juger la valeur. Lorsque nous avons introduit la société, nous voulions faire introduire de nouveaux actionnaires qui nous accompagneraient dans notre développement. Une action, ça ne se détient pas 4 jours seulement. Ou l'on est capitaliste jusqu'au bout ou on ne l'est pas». Le message est clair. Chaâbi fait table rase de toute information pouvant le déstabiliser. A l'heure où nous mettons sous presse, le cours de l'action a baissé à 1.330 DH, alors qu'il avait atteint un pic de 1.663 DH le 9 novembre, deux jours après l'introduction. Ce niveau s'approche de plus en plus de la valeur d'introduction (1.250 DH). Chaâbi soutiendra-t-il le cours de la SNEP ? «Nous sommes catégoriques sur ce sujet, le groupe ne souhaite pas intervenir sur le cours (NDLR : en rachetant les titres et donc en boostant l'action). Nous refusons de faire quelque chose d'illogique. L'action est toujours pour l'instant au-dessus du niveau d'introduction. Il n'y a donc vraiment pas de raison de s'inquiéter, d'autant plus que nous n'en sommes encore qu'aux premières séances de cotations». Pourtant, il se murmure sur le marché que des centaines d'ordres annulés proviennent du groupe Chaâbi lui-même. Le proche du holding persiste et signe. Il n'a jamais été question de soutenir le titre. Pour leur part, les plus avisés des financiers, les seniors, ne s'inquiètent pas du sort de l'action. Un analyste va jusqu'à déclarer que la valeur est aujourd'hui sous-évaluée et qu'elle devrait atteindre des niveaux supérieurs à 2.000 DH. Pour lui, c'est une très bonne valeur et ce n'est pas un hasard si les plus grandes sociétés de bourse de la place la recommandent à l'achat. CFG a d'ailleurs fait un ramassage de titres SNEP pour une valeur de près de 140 millions de DH pour le compte d'un institutionnel. «Si je disposais de moyens, je n'aurais pas hésité à ramasser aujourd'hui le maximum de titres», confie ce gestionnaire de fonds. Il est certain qu'aujourd'hui, ce sont les institutionnels qui vont profiter de ce mouvement baissier de la valeur. Certains analystes vont jusqu'à avouer que leur tactique a été de semer la panique, entraînant la vente des titres détenus notamment par les petits porteurs, entraînant de fait la baisse du cours. Leur but étant de faire par la suite un ramassage d'actions au moindre coût. La baisse de l'action SNEP pourrait aussi trouver son origine dans la situation financière des gestionnaires de fonds. Ils ne disposeraient pas d'assez de cash pour financer des achats. Mais lorsque la situation s'améliorera, les financiers pronostiquent une bonne évolution de la valeur. «Le marché est aujourd'hui hésitant. Il n'est pas en forme et ce sont tous les titres qui en pâtissent, et pas la SNEP en particulier. Il n'y a rien d'anormal qui se produit sur cette valeur», soutient un responsable à CFG. Que les plus sceptiques soient alors rassurés !?

Article datant de 4 ans exactement. Quel est l'objectif de ce rappel ?

@ Tilila , le rappel pour la vaccination des pp c'est tous les 4 ans

Emission en direct sur les élections (Al Oula) :

http://www.fraja-maroc.com/consulterTV-13.html

Pour ceux qui ne sont pas devant la télé comme moi

alpha74 a écrit:

@ Tilila , le rappel pour la vaccination des pp c'est tous les 4 ans

SNEP ça doit être BOUHAMROUNE:lol:

TANGER et SALé aussi PJD