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C.G.I
Titre possible de l’article journalistique :
LES PETITS PORTEURS DE LA C.G.I RECLAMENT LA TETE DE SON MANAGEMENT
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Après un rappel à l’ordre du management de la SNEP (L’Economiste 3798 du 5/6/2012), ….., petit porteur mécontent de la CGI, propose le changement pur et simple du management de cette dernière pour cause d’incapacité prouvée d’atteindre les objectifs qu’il s’est fixé lui-même.
A défaut de pouvoir assister à l’Assemblée Générale Annuelle du 26 juin 2012 pour cause d’indisponibilité, il a choisi d’exprimer son opinion dans les colonnes du quotidien L’Economiste ayant couvert le mécontentement des petits porteurs de la Snep. Ce quotidien a finalement opté pour la politique de « deux poids (Snep // CGI et CDG - deux mesures (publication à la une + une page + flashs + l’éditorial // silence radio en préférant la manne des annonces publicitaire au droit à l’information et à la déontologie de la presse)».
Sa démonstration de l’incapacité du management de CGI à réaliser ses objectifs est la suivante :
I - INCAPACITE DU MANAGEMENT DE LA C.G.I A REALISER LES OBJECTIFS QU'IL S'EST FIXE LUI-MÊME EN 2007 DANS LA N.I DE L'IPO
C.G.I
M. KDH Prév. N.I IPO s/ 5 ans Réalisations 2007 à 2011 NON REALISE A FIN 2011 TAUX D'ECHEC
Chiffre d’affaires 23 723 8 100 15 623 65,85%
Résultat net 4 602 1 520 3 082 66,97%
A fin 2011, les 2/3 des premiers engagements quinquennaux en 2007 non pas étaient tenus par le management de CGI.
II - INCAPACITE DU MANAGEMENT DE LA C.G.I A REALISER LES OBJECTIFS QU'IL S'EST FIXE LUI-MÊME EN 2010 DANS LA N.I DE L'EMPRUNT OBLIGATAIRE
C.G.I
M. KDH Prév. N.I EMPRUNT s/ 2 ans Réalisations 2010 + 2011 NON REALISE A FIN 2011 TAUX D'ECHEC
Chiffre d’affaires 5 216 4 896 320 6,13%
Résultat net 1 021 766 255 24,97%
A fin 2011, le 1/4 des seconds engagements en 2010 quant au résultat non pas été tenus par le management de CGI.
III – COMPARAISON DES PERFORMENCES POST IPO DU MANAGEMENT DE LA C.G.I A CELLES DE DOUJA ET ALLIANCE
M. KDH Prév. N.I IPO REALISATIONS TAUX DE REALISATION DES PROMESSES
C.G.I Chiffre d’affaires 23 723 8 100 34,14%
Résultat net 4 602 1 520 33,02%
DOUJJA
ADH Chiffre d’affaires 19 587 22 927 117,05%
Résultat net 5 718 4 939 86,37%
ALLIANCE
Alliance Développement Immobilier ( A D I ) Chiffre d’affaires 9 750 5 475 56,15%
Résultat net 1 694 1 038 61,27%
Sa conclusion est sans équivoque et est la suivante :
A la lecture des résultats de la comparaison de la capacité du management de chacune des trois sociétés dites immobilières cotées à la bourse des valeurs de Casablanca à réaliser et à concrétiser les objectifs qu’il s’est lui-même fixé pour séduire les souscripteurs à l’occasion de l’introduction en bourse, il est aisé de conclure que celui de C.G.I est le dernier de la classe. Il a quasiment réalisé la même performance que celui de la SNEP et dont il n’est pas permis d’être fière.
Au lieu de faire construire, de vendre des bâtisses et de réaliser des bénéfices conformes aux engagements, mission ratée incontestablement, le management de CGI a brillé dans la fabrication et de vente des rêves et des promesses dont il a démontré son incapacité de tenir.
En effet, le management de CGI a démontré son incapacité à planifier, à coordonner, à superviser ses projets et chantiers réalisés par les entreprises spécialisées. Tous les projets annoncés souffrent du retard d'exécution et de livraison aux clients. Ce retard a lésé les actionnaires, grands ou petits qui ont investi leurs propres fonds et pas ceux des autres, surtout que les frais du personnel stable (administratif) et de siège sont énormes et non récupérables sur l'activité future. Ces retards ont engendré une importante sous activité de la structure dont le coût est totalement supporté par les seuls actionnaires et indirectement par certains futurs retraités.
Dans tout système démocratique et rationnel, un management qui continuellement n'arrive pas à réaliser les objectifs, surtout ceux qu'il s'est fixé lui-même, et qui ont induits en erreur les investisseurs non privilégiés dont essentiellement les petits porteurs de la bourse, soit il présente honorablement sa démission, soit il est démis de ses fonctions par la majorité dont il est issue en respect de l'intérêt général de tous les actionnaires.
Dans le cas de CGI, l’actionnaire majoritaire CDG devrait normalement se demander s’il a doté sa filiale du management qui réussira à transformer les promesses et prévisions en réalisations concrètes. Aujourd’hui, la CDG est interpellée par les petits porteurs. Demain, elle risque de l’être dans des conditions plus dramatiques par certains futurs retraités dont les cotisations sont actuellement confiées pour gestion et placement à la CDG. La CDG a déjà été confrontée à cette problématique de management et elle a agit en confiant le CIH au sauveteur RAHOU. Devant le même mal la CDG appliquera-t- elle le même remède.
Pour rappel, un majoritaire qui use de sa majorité pour prendre ou ne pas prendre des décisions dans l’intérêt de toutes les catégories d’actionnaires , majoritaires ou minoritaires, peut se trouver dans la situation d’abus de majorité, de position et de conflit d’intérêt.
A la fin, il rappelle que sa réaction a pour objectif l’intérêt général en initiant une nouvelle culture boursière au Maroc qui consistera à responsabiliser le management même devant les petits porteurs avec qui dorénavant il faut compter et composer. Evidemment, il ne vise pas personnellement les membres du management de CGI, qu’il déclare ne pas connaître, mais la fonction seulement.