| | Séance du Vendredi 03 Aout 2012. | |
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+29ghassan alibaba40internautes hamadallah TILILA Oummih abk1 kassemoun paoula MIKOU rachidi RACHID sam2003 Barsaborsa ouane_mar i love morocco amrani abdelmalek Sissa moha1000 Hatim marwa backdoor18 Pixon YFER rissan du nord alpha74 adil79 azouz AKEL 33 participants | |
Situation du MASI : | Reprise technique, puis continuera sa baisse. | | 30% | [ 15 ] | Va consolider entre 9700 Pts et 10000Pts | | 24% | [ 12 ] | Fin de la vague baissière, et début de la hausse. | | 46% | [ 23 ] |
| Total des votes : 50 | | Sondage clos |
| Auteur | Message |
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MIKOU
Nbre méssages : 28 Inscris le : : 24/07/2012
| Sujet: Re: Séance du Vendredi 03 Aout 2012. Ven 3 Aoû 2012 - 14:16 | |
| - abk1 a écrit:
- MIKOU a écrit:
Cher ami, je pense qu'il y a une grande différence entre l’initié et le délit d'initié. Fin de citation. pour qu'il n'est pas de délit d'initié, ceux qui ont l'information ne doivent pas la diffuser et doivent s'abstenir d'investir sur la dite action. Merci pour l'info | |
| | | Pixon
Nbre méssages : 3504 Inscris le : : 11/03/2010
| Sujet: Re: Séance du Vendredi 03 Aout 2012. Ven 3 Aoû 2012 - 14:16 | |
| - KODAK a écrit:
- Barsaborsa a écrit:
je n'ai pas cesser de dir prennez vos plus values sur NAKL depuis 66dh 67dh a 65dh j'avais dis quitter le navir et voila on est a 59DH pourquoi M.auditeur a disparu des ecrans ? pas la fin du monde ;nakl c est normal fait comme ca car l a monte de 36 a 67 .maintenant je cherche entrer a 56 pour le cible 80 Nakl Tunis +0.64% à 13.95dt volume 59 317 = 827 940,68 DT (le plus gros de la séance ) A casa il a traité toute la séance au dessus de la clôture d'hier ce n'est qu'en clôture qu'un groupe de .... est venu se jeter en balançant 8500 titres qui ont été épongés ... SAM : on fera appel à l'épargne public de quoi renflouer les caisses et soulager les créanciers ... pour redorer le tout y a pas mieux que de belles RH en affilé vive la BVC efficiente | |
| | | MIKOU
Nbre méssages : 28 Réputation : 0 Inscris le : : 24/07/2012
| Sujet: Re: Séance du Vendredi 03 Aout 2012. Ven 3 Aoû 2012 - 14:18 | |
| - abk1 a écrit:
- MIKOU a écrit:
Cher ami, je pense qu'il y a une grande différence entre l’initié et le délit d'initié. Fin de citation. pour qu'il n'est pas de délit d'initié, ceux qui ont l'information ne doivent pas la diffuser et doivent s'abstenir d'investir sur la dite action. Merci pour l'info | |
| | | Pixon
Nbre méssages : 3504 Réputation : 27 Inscris le : : 11/03/2010
| Sujet: Re: Séance du Vendredi 03 Aout 2012. Ven 3 Aoû 2012 - 14:20 | |
| - Oummih a écrit:
Pixon, you make a good point. However, the arguments presented as to why a weak Dirham is good for Morocco are not completely without merit.
Rather than simply restating the obvious.... Yes, Morocco is not a developed Industrial Powerhouse like China, perhaps we could talk about the Value Added that Morocco does in fact possess and how to position ourselves in a way that allows our economy to develop.
We can all agree that Morocco has certain Geographical, Infrastructure and HR advantages over the rest of Africa.
Pixon, what are your positive ideas? What do you recommend to turn around the Moroccan economy? This question is open to everyone. I would love to hear ideas on how to improve the Moroccan Economy. Criticizing is ok, but we also need to suggest positive fixes. Ramadan Kareem to everyone and look forward to hearing some great suggestions! Sir there is " le conseil économique et social" to answer such big questions
Dernière édition par Pixon le Ven 3 Aoû 2012 - 14:38, édité 1 fois | |
| | | MIKOU
Nbre méssages : 28 Réputation : 0 Inscris le : : 24/07/2012
| Sujet: Re: Séance du Vendredi 03 Aout 2012. Ven 3 Aoû 2012 - 14:21 | |
| - MIKOU a écrit:
- abk1 a écrit:
pour qu'il n'est pas de délit d'initié, ceux qui ont l'information ne doivent pas la diffuser et doivent s'abstenir d'investir sur la dite action. Merci pour l'info Ai-je communiqué l'information ? | |
| | | Oummih
Nbre méssages : 263 Humeur : Happy Réputation : 0 Inscris le : : 23/07/2012
| Sujet: Re: Séance du Vendredi 03 Aout 2012. Ven 3 Aoû 2012 - 15:55 | |
| - Pixon a écrit:
- Oummih a écrit:
Pixon, you make a good point. However, the arguments presented as to why a weak Dirham is good for Morocco are not completely without merit.
Rather than simply restating the obvious.... Yes, Morocco is not a developed Industrial Powerhouse like China, perhaps we could talk about the Value Added that Morocco does in fact possess and how to position ourselves in a way that allows our economy to develop.
We can all agree that Morocco has certain Geographical, Infrastructure and HR advantages over the rest of Africa.
Pixon, what are your positive ideas? What do you recommend to turn around the Moroccan economy? This question is open to everyone. I would love to hear ideas on how to improve the Moroccan Economy. Criticizing is ok, but we also need to suggest positive fixes. Ramadan Kareem to everyone and look forward to hearing some great suggestions! Sir there is " le conseil économique et social" to answer such big questions
I was lucky enough to work with some ministries in developing the idea of the point system for Moroccan Drivers permits. Before it was done it was an idea. Hopefully, an idea that will eventually lower the number of accidents, increase legitimate revenue streams and create more responsible drivers. I realize this may not actually be what ends up happening with the drivers permit idea... but my point is that we cannot let the, "government" come up with idea's as the government cannot solve Morocco's problems, it is up to us, the individual entrepreneurs to leverage our networks and inshallah create real wealth. I ask you and others for your ideas because you are the entrepreneurs of Morocco and it is always the Entrepreneurs who bring real sustainable development. Thanks for your reply! | |
| | | TILILA
Nbre méssages : 2083 Réputation : -1 Inscris le : : 25/06/2011
| Sujet: Re: Séance du Vendredi 03 Aout 2012. Ven 3 Aoû 2012 - 16:40 | |
| - alpha74 a écrit:
- Dévaluer le dirham ou pas ?
par El Mostafa Belkhayate, samedi 10 décembre 2011, 05:02 ·
La dévaluation d’une monnaie peut être un levier considérable pour l’économie d’un pays, si les fondamentaux de son économie l’exigent. L’Espagne a dévalué régulièrement sa peseta de l’époque pendant plus de 20 ans et s’est retrouvée 8ème puissance mondiale. La Chine est en train d’aspirer des milliards de dollars des Etats-Unis et du monde entier en laissant sa devise sous-évaluée par rapport à ce qu’elle devrait être. Le Maroc, avec ou sans la mondialisation, devrait dévaluer progressivement, et sur les dix années à venir, sa monnaie locale. Voilà pourquoi :
Dynamiser les délocalisations européennes vers le Maroc
La mondialisation est en train d’obliger les industries européennes à délocaliser leur centre de production. Notre royaume peut devenir imbattable, vu sa position géographique, sa stabilité politique, et le haut niveau technique de sa main d’œuvre qualifiée. Avec un dirham plus bas et de savoir que sur les prochaines années il le sera davantage, les investisseurs étrangers s’installeront dans le pays et s’endetteront avec plaisir en dirhams. Leur crédit local perdra en valeur (par rapport à leur devise étrangère de base) chaque année et la masse salariale qu’ils doivent verser à leurs employés également.
Des usines entières débarqueront dans le pays, relançant fortement l’emploi dans tous les secteurs.
Nos exportateurs vont respirer
Il est clair pour tout le monde qu’il est devenu difficile de rester compétitif à l’export, que ce soit dans le textile, l’agroalimentaire ou même l’agriculture. Et pour pouvoir investir dans la qualité, il faut de la visibilité sur au moins 4 à 5ans. Ce qu’il est impossible d’avoir sans la certitude d’une dévaluation de notre devise locale. Annonçons que nous allons dévaluer progressivement sur plusieurs années le dirham et nos exportateurs investiront dans leur outil de production sans hésiter.
Freiner l’importation
Je ne suis pas contre les importateurs, mais je trouve absurde que notre pays plonge dans l’engrenage de la consommation alors que le fossé entre les riches et les pauvres s’approfondit de plus en plus. Avons-nous réellement besoin de toutes ces marques et franchises alors que la plupart des besoins vitaux de nos enfants (enseignement, soins, nourriture, logement) sont encore chancelants ? Dévaluer le dirham nous fera produire davantage sur place matières premières, produits finis et semi-finis. Un processus qui haussera le niveau social et économique de la population défavorisée avec un rythme beaucoup plus rapide qu’il ne baissera la richesse des nantis.
Freiner les sorties illégales de devises
Voilà un sujet qui a été rarement traité de manière publique au Maroc. Et pourtant, il s’agit d’un point crucial dans le développement du pays. Il n’est plus un secret pour personne que le dirham a ses filières informelles pour se retrouver converti en devise étrangère et placé dans un compte en suisse ou ailleurs. C’est un délit grave mais on n’y peut rien … à moins de dévaluer le dirham ! Ceux qui voudront sortir des dirhams auront de moins en moins de devises, et cette simple règle du marché jouera son rôle de régulateur moral et patriotique.
Mes années en suisse m’ont fait comprendre que les capitaux appartenant à des marocains et placés sur Genève et Zurich représentent pratiquement le montant de la dette extérieure. C’est impressionnant mais c’est une réalité dont il faut tenir compte. Pour la contrer, une seule et unique solution : dévaluer le dirham ! Car le citoyen marocain, surtout celui de la classe supérieure ne craint pas la loi. Il faut le toucher là où il aura mal : la valeur de son portefeuille exporté.
Encourager nos RME à investir davantage dans le pays
Un ouvrier marocain en France qui comprendra que ses économies en euros valent de plus en plus de dirhams ne pensera plus à acheter de la pierre en France mais dans son pays. Le rapatriement des devises de nos compatriotes travailleurs à l’étranger gonflera d’années en années. C’est la loi du marché de change.
Le tourisme connaîtra une embellie
La dévaluation du dirham augmentera le pouvoir d’achat de tous les touristes. Et les tours opérators (dont la majorité a négocié son contrat en dirham) auront beaucoup plus de facilité à vendre le Maroc.
Mais alors qu’adviendra-t-il de nos importations de pétrole ? De notre service de la dette extérieure ? De la caisse de compensation ?
Ces questions ne concernent pas la population car leur solution se trouve dans les marchés financiers internationaux. Comme je l’ai plusieurs indiqué dans le journal, il est totalement possible de se protéger à 100% contre les mouvements des matières premières et des devises. J’ai lu dans la Nouvelle Tribune de 2 Juin un intéressant papier de Afifa Dassouli. Voici un extrait :
De plus, le poids de la facture pétrolière dans les importations s’alourdit structurellement. De l’avis des experts internationaux, le prix du pétrole ne reviendra plus au cours de 35 dollars le baril, estimation utilisée par l’Etat marocain dans son Budget 2005. D’autre part, parmi les dépenses en devises, il faut compter le remboursement de la dette extérieure qui, tout en ayant diminué, avoisine les 115 milliards de dirhams.
Je propose de consulter des marocains spécialistes des couvertures sur les marchés à termes qui ont une compétence réelle pour aider le Royaume à maîtriser les aléas des marchés internationaux, permettant ainsi une dévaluation avec une gestion sous haut contrôle des inéluctables inconvénients liés à ce type de décision.
Conclusion
Le Maroc doit dévaluer sa monnaie comme toute l’Afrique Noire doit encore dévaluer son CFA. Cette arme est de bonne guerre par ces temps modernes. Elle encourage la production nationale et donc la consommation de produits locaux tout en aidant à mieux exporter.
Mostafa Belkhayate Bonjour, ça date de plus de 7 mois [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] | |
| | | Barsaborsa
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| | | | Invité Invité
| | | | Oummih
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| Sujet: Re: Séance du Vendredi 03 Aout 2012. Ven 3 Aoû 2012 - 18:20 | |
| - TILILA a écrit:
- alpha74 a écrit:
- Dévaluer le dirham ou pas ?
par El Mostafa Belkhayate, samedi 10 décembre 2011, 05:02 ·
La dévaluation d’une monnaie peut être un levier considérable pour l’économie d’un pays, si les fondamentaux de son économie l’exigent. L’Espagne a dévalué régulièrement sa peseta de l’époque pendant plus de 20 ans et s’est retrouvée 8ème puissance mondiale. La Chine est en train d’aspirer des milliards de dollars des Etats-Unis et du monde entier en laissant sa devise sous-évaluée par rapport à ce qu’elle devrait être. Le Maroc, avec ou sans la mondialisation, devrait dévaluer progressivement, et sur les dix années à venir, sa monnaie locale. Voilà pourquoi :
Dynamiser les délocalisations européennes vers le Maroc
La mondialisation est en train d’obliger les industries européennes à délocaliser leur centre de production. Notre royaume peut devenir imbattable, vu sa position géographique, sa stabilité politique, et le haut niveau technique de sa main d’œuvre qualifiée. Avec un dirham plus bas et de savoir que sur les prochaines années il le sera davantage, les investisseurs étrangers s’installeront dans le pays et s’endetteront avec plaisir en dirhams. Leur crédit local perdra en valeur (par rapport à leur devise étrangère de base) chaque année et la masse salariale qu’ils doivent verser à leurs employés également.
Des usines entières débarqueront dans le pays, relançant fortement l’emploi dans tous les secteurs.
Nos exportateurs vont respirer
Il est clair pour tout le monde qu’il est devenu difficile de rester compétitif à l’export, que ce soit dans le textile, l’agroalimentaire ou même l’agriculture. Et pour pouvoir investir dans la qualité, il faut de la visibilité sur au moins 4 à 5ans. Ce qu’il est impossible d’avoir sans la certitude d’une dévaluation de notre devise locale. Annonçons que nous allons dévaluer progressivement sur plusieurs années le dirham et nos exportateurs investiront dans leur outil de production sans hésiter.
Freiner l’importation
Je ne suis pas contre les importateurs, mais je trouve absurde que notre pays plonge dans l’engrenage de la consommation alors que le fossé entre les riches et les pauvres s’approfondit de plus en plus. Avons-nous réellement besoin de toutes ces marques et franchises alors que la plupart des besoins vitaux de nos enfants (enseignement, soins, nourriture, logement) sont encore chancelants ? Dévaluer le dirham nous fera produire davantage sur place matières premières, produits finis et semi-finis. Un processus qui haussera le niveau social et économique de la population défavorisée avec un rythme beaucoup plus rapide qu’il ne baissera la richesse des nantis.
Freiner les sorties illégales de devises
Voilà un sujet qui a été rarement traité de manière publique au Maroc. Et pourtant, il s’agit d’un point crucial dans le développement du pays. Il n’est plus un secret pour personne que le dirham a ses filières informelles pour se retrouver converti en devise étrangère et placé dans un compte en suisse ou ailleurs. C’est un délit grave mais on n’y peut rien … à moins de dévaluer le dirham ! Ceux qui voudront sortir des dirhams auront de moins en moins de devises, et cette simple règle du marché jouera son rôle de régulateur moral et patriotique.
Mes années en suisse m’ont fait comprendre que les capitaux appartenant à des marocains et placés sur Genève et Zurich représentent pratiquement le montant de la dette extérieure. C’est impressionnant mais c’est une réalité dont il faut tenir compte. Pour la contrer, une seule et unique solution : dévaluer le dirham ! Car le citoyen marocain, surtout celui de la classe supérieure ne craint pas la loi. Il faut le toucher là où il aura mal : la valeur de son portefeuille exporté.
Encourager nos RME à investir davantage dans le pays
Un ouvrier marocain en France qui comprendra que ses économies en euros valent de plus en plus de dirhams ne pensera plus à acheter de la pierre en France mais dans son pays. Le rapatriement des devises de nos compatriotes travailleurs à l’étranger gonflera d’années en années. C’est la loi du marché de change.
Le tourisme connaîtra une embellie
La dévaluation du dirham augmentera le pouvoir d’achat de tous les touristes. Et les tours opérators (dont la majorité a négocié son contrat en dirham) auront beaucoup plus de facilité à vendre le Maroc.
Mais alors qu’adviendra-t-il de nos importations de pétrole ? De notre service de la dette extérieure ? De la caisse de compensation ?
Ces questions ne concernent pas la population car leur solution se trouve dans les marchés financiers internationaux. Comme je l’ai plusieurs indiqué dans le journal, il est totalement possible de se protéger à 100% contre les mouvements des matières premières et des devises. J’ai lu dans la Nouvelle Tribune de 2 Juin un intéressant papier de Afifa Dassouli. Voici un extrait :
De plus, le poids de la facture pétrolière dans les importations s’alourdit structurellement. De l’avis des experts internationaux, le prix du pétrole ne reviendra plus au cours de 35 dollars le baril, estimation utilisée par l’Etat marocain dans son Budget 2005. D’autre part, parmi les dépenses en devises, il faut compter le remboursement de la dette extérieure qui, tout en ayant diminué, avoisine les 115 milliards de dirhams.
Je propose de consulter des marocains spécialistes des couvertures sur les marchés à termes qui ont une compétence réelle pour aider le Royaume à maîtriser les aléas des marchés internationaux, permettant ainsi une dévaluation avec une gestion sous haut contrôle des inéluctables inconvénients liés à ce type de décision.
Conclusion
Le Maroc doit dévaluer sa monnaie comme toute l’Afrique Noire doit encore dévaluer son CFA. Cette arme est de bonne guerre par ces temps modernes. Elle encourage la production nationale et donc la consommation de produits locaux tout en aidant à mieux exporter.
Mostafa Belkhayate
Bonjour,
ça date de plus de 7 mois [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] I was not referring to this particular article. Policy generally takes some time to push forward - I was simply referring to the idea of keeping currency weak or any other ideas that people think will push the economy forward on the right track. | |
| | | sam2003
Nbre méssages : 406 Humeur : aqueuse Réputation : 8 Inscris le : : 20/04/2011
| Sujet: Re: Séance du Vendredi 03 Aout 2012. Ven 3 Aoû 2012 - 18:58 | |
| - Pixon a écrit:
- alpha74 a écrit:
- Dévaluer le dirham ou pas ?
par El Mostafa Belkhayate, samedi 10 décembre 2011, 05:02 ·
La dévaluation d’une monnaie peut être un levier considérable pour l’économie d’un pays, si les fondamentaux de son économie l’exigent. L’Espagne a dévalué régulièrement sa peseta de l’époque pendant plus de 20 ans et s’est retrouvée 8ème puissance mondiale. La Chine est en train d’aspirer des milliards de dollars des Etats-Unis et du monde entier en laissant sa devise sous-évaluée par rapport à ce qu’elle devrait être. Le Maroc, avec ou sans la mondialisation, devrait dévaluer progressivement, et sur les dix années à venir, sa monnaie locale. Voilà pourquoi :
......
Mostafa Belkhayate avec ses analyses d'experts nous allons finir droit dans le mur, se comparer avec la Chine ou l'Espagne pays dont les économies sont lourdement industrialisées et diversifiées est une pure bêtise, ces pays ont travaillé l'infrastructure de leurs pays, mis des plans, fait des choix économiques sérieux, la dévaluation a elle seule n'est pas la solution et encore moins si on considère que nos principaux partenaires sont en récession .... tout ce que nous avons fait c'est d'opter pour le libéralisme sauvage de l'économie sans penser développer d'offre à valeur ajoutée pour rééquilibrer la balance commerciale !!!!
Hier c'été le ministre de l'économie qui déclarait que l'issue de la crise c'est "augmenter les prix" aujourd’hui on nous parle carrément de dévaluer le DH ... à ce rythme on finira avec combien comme taux d'inflation !!! il y auraient ni investissement ni consommation ni épargne et bonjour le grippage économique pour des années . Bien dit Pixon | |
| | | sam2003
Nbre méssages : 406 Humeur : aqueuse Réputation : 8 Inscris le : : 20/04/2011
| Sujet: Re: Séance du Vendredi 03 Aout 2012. Ven 3 Aoû 2012 - 19:07 | |
| - Barsaborsa a écrit:
- rachidi a écrit:
- adh bye bye les 69
cgi la plus chere immobiliere au monde correction terminée pas de rh idem pour le cih retour à la case de dep
le secteur ciment en mauvaise posture
ennak l heure de verité a sonné les reves fous se cassent sur la realité le 60 etait bel et bien la cible realiste selon les fondamentaux et non les spread bidons je n'ai pas cesser de dir prennez vos plus values sur NAKL depuis 66dh 67dh a 65dh j'avais dis quitter le navir et voila on est a 59DH pourquoi M.auditeur a disparu des ecrans ? Vous parlez de Ennakl comme si son titre a perdu 75% de sa valeur en une semaine avec du volume ! Le cours en Tunisie est à 13.95 DT C'est à dire autour de 77DH ! | |
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