Séance du jeudi 4 juillet 2013

les banques manquant de cash et pouvant de moins en moins voler des clients avertis(comme moi) ne soutiennent plus leurs titres durant toutes la seance(tres peu de transactions) et changent de tactique en n'intervenant qu'en fin de seance ce qui leur permet de maintenir les cours avec moins de frais.

safari10 a écrit:

mais s'il n'y avait pas de gens assez courageux pour risquer leur argent à acheter nos camelotes à qui nous vendrons?

 Soyez avare de votre mépris SAFARI 10

le maroc a toujours été et restera le paradis des escroc de tous poils tant que l'impunité reste la regle rien d'etonnant dans cela.
il est fort probable et par experience que tous les chiffres qui circulent au maroc sont faux et qu'entrer en guerre contre les faussaires serait une illusion puisque il faudrait tout revoir de fonds en comble.reformer de tels pays est chose plus qu'impossible:je dirais meme impensable

AKEL a écrit:

JET ALU, date détachement divd 15/07/13.

 http://www.casablanca-bourse.com/bourseweb/Calendrier_Dividendes.aspx

 je veut m rendre fou moi 
est que c'est un bon  moment d'achat ou pas
les amis un conseil svp?

saraspawn a écrit:

un vieux article qui n'a jamais été publié. Retour en arrière dans le temps dites moi ce que vous en pensez.


2000 entreprises à rencontrer au cours des sept étapes de la caravane
Sur les 120 entreprises contactées par la Bourse sur Tanger seule une dizaine a répondu présente
Une introduction en Bourse est envisageable, par peu, et surtout pas pour demain

La caravane de la bourse s’est posée à Tanger, première destination d’un voyage d’initiation à la Bourse. La rencontre du 22 avril a démarré sur une fausse note. L’événement phare de l’année censé relancer la vague des introductions n’a reçu qu’une dizaine d’entreprises, sur 120 invitées ! En cause, un désintérêt de la part des entreprises, une mauvaise communication sur l’événement entend-t-on par ci et là. La journée a commencé par un débat, animé à tour de rôle par M. Aomar YIDAR, Président du conseil d’administration de la Bourse de Casablanca, M. Karim HAJJI, Directeur général de la Bourse de Casablanca, M. Abdessamad ISSAMI, Directeur délégué à CDG Capital et M. Abdelhakim OUALIT, Président de la CGEM-Union régionale du Nord afin d’expliquer les mécanismes de la Bourse et le processus d’introduction ainsi que les avantages que procurent cette dernière, avec à l’appui des témoignages de sociétés déjà cotées notamment celui d’Aluminium du Maroc, une des trente entreprises recrutées à l’issue de la première caravane organisée en 1997, en la personne de son Directeur administratif et financier M. Benoit VAILLANT.

Le peu d’entreprises présentes ont été satisfaites de l’ensemble de la présentation dans la mesure où ils ont eu droit à des explications sur le rôle de la bourse en tant que source de financement, sur ses objectifs et sa stratégie les différents acteurs du marché et la symbiose qui les lient. Toutefois, le contenu n’a pas su éveiller la curiosité de la présence car peu d’interventions et de questions ont submergé de l’audience. Alors que les professionnels affichaient clairement leur ennui.

Après un déjeuner copieux, les rencontres ont repris mais cette fois-ci en one-to-one entre les dirigeants des entreprises présentes et les dirigeants des sociétés de Bourse et responsables des banques d’affaires. Des stands ont été aménagés pour accueillir une vingtaine d’entreprises sur rendez-vous. Déception encore une fois, moins que la moitié de la liste se sont pointés. Lors des rencontres B to B, les entreprises cherchaient à se faire financer à moindre coût et ont profité de l’occasion pour échanger sur l’éventail de moyens de financement qui leur est disponible sans manifester un intérêt particulier pour l’option d’introduction en Bourse. Celles qui y pensent, sont peu nombreuses et ne l’envisagent pas dans l’immédiat. L'événement les a tout de même fait réfléchir aux avantages d'une introduction sans que ça soit un garant pour qu’elle voie le jour. « Notre groupe, spécialisé dans l’import-export des céréales, commence à prendre de l’ampleur et a engagé une réflexion sur la consolidation de ses activités, une fois ce travail réalisé, il n’est pas exclus que l’on puisse songer à nous introduire en Bourse » explique alors le conseiller dudit groupe. Tandis que la Directrice administratif et financier d’une importante entreprise tangéroise explique clairement que son entreprise n’est pas intéressée par une introduction en Bourse et qu’elle est là juste pour s’informer et nouer de nouvelles relations d’affaires. L’événement s’est avéré certes une plate forme de rencontre B to B, M. Hajji explique d’ailleurs que « le plus de la caravane est qu’elle offre aux sociétés de bourse et banques d’affaires l’opportunité de rencontrer un plus grand nombre d’entreprises à travers des rencontres one-to-one », mais pas nécessairement en faveur des IPO ! La décision incombe aux sociétés elles mêmes et peut être influencée par les sociétés de bourse/banques d’affaires qui orienteront leur clients vers les moyens de financement qui cadrent le plus avec leurs besoins. Avec une telle attitude on est loin des 150 entreprises que la Bourse veut recruter à l’horizon de 2015 au même rythme que celui de 2006-2007. Et si on se fie à la première étape de la caravane, la déclaration de M. HAJJI, DG de la Bourse que « la caravane cible 2000 entreprises, évidemment toutes ne répondent pas mais si nous arrivons à rassembler le un tiers ou même la moitié de ces entreprises nous aurions réussi notre pari » s’avère un défit difficile à relever.


Sur les dizaines d’entreprises présentes peu d’entre elles sont intéressées par une introduction en Bourse et pas dans l’immédiat.
La première étape de la caravane n’a pas réussi à mobiliser même le nombre de personnes pour lesquels il était fixé un rendez-vous avec les sociétés de bourse et les banques d’affaire.

L’occasion était certes un lieu de rencontre mais pas nécessairement pour s’introduire en bourse. Le peu d’entreprises présentes cherchaient à se financer à moindre coût sans toutefois perdre le contrôle de leurs entreprises. D’autres cherchaient des opportunités de placement. Mais il est tôt pour faire sortir une tendance


La sphère boursière mobile réussira-t-elle à relever ce défi ? Les professionnels restent optimistes et sont unanimes sur le fait que la rencontre de Tanger n’est qu’un début. Affirmer une tendance sur les choix de moyens de financement qu’opéreront les entreprises n’est que pure spéculation. Il faudra donc attendre la fin de la caravane pour pouvoir en tirer des conclusions.
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Qu'au lieu de prendre le taureau par les cornes on le prend par la queue.
Mais le fait est là : Alors que les bourses mondiales cherchent à charmer les épargants afin qu'ils investissent en bourse, la notre cherche plutot les boites à se faire introduire. Il y'en a déja assez pour vous donner une image ingrate de notre état. Ils n'arrivent pas à controler et à pérénniser la soixtaine d'entreprises déja inscrites dans la cote. Il faut d'abord solidifier l'éxistant, rassurer les épargants, et aprés, ils peuvent " risquer " à chercher d'autres entreprises.

Aprés les folles introductions et les valorisations tout aussi folles, les managers révent encore à faire introduire leurs société avec des PER de 25 ou 35 avec des business plan irréalistes. Et c'est un vrai probléme, car on dirait que l'épargne institutionelle ne regarde absolument pas de ce coté. Et inéluctablement le marché achéte une camelotte, détruisant encore une fois un pan entirer d'investisseurs.

On est dans un shéma ou la bourse enrichit les actionnaires majoritaires ( une poignée ) et détruit le marché.
Qualitativement le marché a besoin de " catalyseurs " . de grandes entreprises puissantes qui ont une renommée et identifiables dans leurs secteurs réspéctifs. Là, on a charme PME que personne ne connait qui n'ont meme pas un budget de 500 000 dhs en communication.

J'ai beau essayer de comprendre le slogan de la Bourse ( créateur de valeurs ), j'y'arrive pas.

@yosef

à la bvc on specule sur des titres et pas sur leurs dividendes ou leurs resultats et le reste du blabla.
au maroc la bourse comme l'economie  n'ont aucune base réelle donc tout ce que vous pouvez apprendre sur ces deux choses là ne sont pas applicables chez nous

souviens toi qu'on a speculé avec succés sur des boites en faillites pendant des années

safari10 a écrit:

@yosef

à la bvc on specule sur des titres et pas sur leurs dividendes ou leurs resultats et le reste du blabla.
au maroc la bourse comme l'economie  n'ont aucune base réelle donc tout ce que vous pouvez apprendre sur ces deux choses là ne sont pas applicables chez nous

souviens toi qu'on a speculé avec succés sur des boites en faillites pendant des années

 La bourse de Caire a terminé aujourd'hui en forte hausse (presque 8%,), sur les 3 derniers jours elle a presque effacé toutes ces pertes de l'année 2013. Maintenant c'est notre BVC qui ferme le pletton des bourses les moins performantes dans la région MENA et Afrique, et ces responsables perdent leur temps dans des céromonies à cocktelles et de signatures de partenariats  inutiles juste pour passer à la télé,  ou lieu de s'attaque au vrai problèmes de marché et sa très longue la tonie!!

A la question de savoir qui investira dans des PME Karim Hajji répond à Médias 24 : «Sans doute bien plus d'investisseurs particuliers que d'institutionnels».


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@ Pelican , un petit commentaire ?   

au fait ton interview a la radio c'est a quelle heure ? ... on parle de toi sur la vie eco et en premiere page ...  

alpha74 a écrit:

au fait ton interview a la radio c'est a quelle heure ? ... on parle de toi sur la vie eco et en premiere page ...  

ça dit quoi LVE ? A propos de la radio, ça doit passer dans eco bourse 17h45 mais je sais pas quand.