Séance du Mercredi 24 Juillet 2013

@ Mr Abdou 

Mr Abdou est ce que vous pouvez me donner une conseille suite a ce volume important qui connait jet alu 
je suis encore confondus entre la réserve ou la vente de mes action sur cette boite là   
et merci auparavant

yosefkeys2 a écrit:

@ Mr Abdou 

Mr Abdou est ce que vous pouvez me donner une conseille suite a ce volume important qui connait jet alu 
je suis encore confondus entre la réserve ou la vente de mes action sur cette boite là   
et merci auparavant

Je pense que je vous avez demandé de vendre entre 174/177, maintenant vous pouvez toujours vendre à 170/172 si ce n'ai pas déjà fait. Wallahoaalam

Abdou a écrit:

yosefkeys2 a écrit:

@ Mr Abdou 

Mr Abdou est ce que vous pouvez me donner une conseille suite a ce volume important qui connait jet alu 
je suis encore confondus entre la réserve ou la vente de mes action sur cette boite là   
et merci auparavant

Je pense que je vous avez demandé de vendre entre 174/177, maintenant vous pouvez toujours vendre à 170/172 si ce n'ai pas déjà fait. Wallahoaalam

Non ce n'ai pas encore fait
 et merci encore pour vous soutien Mr Abdou

bonjour
C'est le 15ème jour de jeun.:| 

Sissa a écrit:

bonjour
C'est le 15ème jour de jeun.:| 

j'ai aperçu l'oiseau de loin a derb omar le pauvre il a fondu kihkihkih

Instauration de l'indemnité de perte d'emploi

2013-07-24

La CGEM a finalement accepté la proposition du gouvernement pour l'instauration de l'indemnité de perte d'emploi. Ce nouveau régime a un financement assuré pour 3 ans avant un recalibrage. Ainsi, les salariés devraient cotiser à hauteur de 0,19% contre 0,38% pour les patrons, l'Etat apportant une première contribution de 500 MDH. Les salariés justifiant 780 jours de cotisation seront éligibles à cette indemnité durant les 6 mois suivant la perte d'emploi. L'indemnité sera équivalente à 70% du salaire mensuel des 3 dernières années sans dépasser le SMIC.

Épuisement attendu des ressources en or de la mine d'Akka de Managem

2013-07-24

Ismail Akalay, le DG de Managem "Pôle Métaux" a indiqué à l'Economiste que la mine d'or d'Akka est entrain de devenir une mine de cuivre en raison de l'épuisement de ses ressources aurifères. En particulier, la production d'or en 2013 est déjà en baisse de 25 à 30% par rapport à 2012.

bennis a écrit:

Instauration de l'indemnité de perte d'emploi

2013-07-24

La CGEM a finalement accepté la proposition du gouvernement pour l'instauration de l'indemnité de perte d'emploi. Ce nouveau régime a un financement assuré pour 3 ans avant un recalibrage. Ainsi, les salariés devraient cotiser à hauteur de 0,19% contre 0,38% pour les patrons, l'Etat apportant une première contribution de 500 MDH. Les salariés justifiant 780 jours de cotisation seront éligibles à cette indemnité durant les 6 mois suivant la perte d'emploi. L'indemnité sera équivalente à 70% du salaire mensuel des 3 dernières années sans dépasser le SMIC.

 Je vois deja les arnaques qu'il va y avoir 780 jours après...
tu vas en avoir des "chômeurs fictifs"...

bennis a écrit:

Sissa a écrit:

bonjour
C'est le 15ème jour de jeun.:| 

j'ai aperçu l'oiseau de loin a derb omar le pauvre il a fondu kihkihkih

Alors, sutout de n'approche pas de la zone avant 19 h
Moi, je prends mon vélo pour une virée de 30 Km:D 

Un échec des privatisations au profit d'investisseurs étrangers ?

2013-07-24 | Maroc FLM .


Le désengagement de Vivendi de Maroc Telecom sonne comme une redondance de ceux d’ABB, de Telefonica, de Portugal Telecom, de Veolia ou de Fadesa. D’où la question sur le bilan des privatisations ou de concessions concédées à des groupes étrangers ainsi que sur le mode opératoire.

En effet, la liste est longue des multinationales venues au Maroc pour un engagement long terme qui se transforme illico en investissement financier, une fois l’opération de rachat conclue. Sans être exhaustif, nous pouvons citer ABB avec JLEC, Telefonica et Portugal Telecom avec Méditel, Fadesa avec Saidia, Thomas&Piron avec Lixus et Mogador, Veolia avec Amendi et Redal ainsi que Vivendi avec Maroc Telecom. Ce dernier cas est illustratif avec un conglomérat français qui a financé une partie du prix de rachat par des crédits locaux tout en distribuant la totalité du résultat de Maroc Telecom avant de se désengager avec une belle plus-value.

Quand il ne s’agit pas de désengagements, les entreprises privatisées sont gérées de manière opportuniste. C’est ainsi le cas de la SAMIR dont Corral a retardé l’investissement de modernisation de plusieurs années tout en fermant la raffinerie de Sidi Kacem. Sonasid n’échappe pas à la règle avec subissant la surenchère de la bataille entre Mittal et Arcelor.

Il est ainsi clair que les investisseurs étrangers ne font pas du mécénat, cherchant avant tout de faire des opérations financières juteuses en soumissionnant aux privatisations ou aux concessions. La tactique est souvent rodée avec un faible investissement de base en fonds propres, le reliquat étant complété par des crédits locaux, une entrée dans le capital d’investisseurs locaux. La deuxième étape est celle qu’on appelle dans le jargon financier « se payer sur la bête » avec une optimisation des actifs et des charges d’exploitation (cession des terrains, co-investissements, détachement d’expatriés…) suivie naturellement d’une distribution régulière et généreuse de dividendes. La troisième étape est souvent celle du désengagement via une cession permettant de dégager une plus-value (les dividendes et les managements fees ont souvent déjà remboursé une large part de l’investissement initial).

Bien entendu, l’Etat ne peut être complètement fermé à l’investissement étranger. Toutefois, pour protéger ses intérêts vitaux, l’Etat gagnerait à modifier ses appels d’offres en intégrant une forte quote-part de la note pour (1) l’engagement de maintenir l’investissement sur le très long terme sous peine d’une imposition élevée de la plus-value dégagée (2) le projet industriel notamment dans son volet de transfert de savoir-faire au management local (3) l’inclusion d’administrateurs locaux indépendants dans les organes de gouvernance.



Ceci est d’autant plus vrai, que l’Etat n’avait pas besoin de Fadesa ou de Thomas&Piron pour concéder une station touristique à Addoha ou à Alliances. Il en est de même pour Taqa ou Etisalat dans le cas de JLEC et de Maroc Telecom.

Une question est ce que Etisalat peut faire une OPA a un cours sup a 92 dh ? . Moi je ne vois pas pourquoi tout le monde veut que Etisalat paye le prix fort alors que l'argent ira directement dans les caisses de Vivendi ? .

Alpha74 :

L'Etat n'a pas le choix. En dessus de ces deals, il y'a des intéréts économiques mais aussi politiques. Maintenant les intéréts politico-économiques se détachent de l'Europe et vont s'arrimer aux pays des golfs. C'est un tournant stratégique.

Si on a notre "indépendance politique ", notre " indépendance économique " n'est pas encore tranchée. Nous sommes encore à troquer quelques déclarations ou des prises de position par des concessions ou des marchés dans notre pays.