séance du Mardi 3 Mars 2015

VERMEREN a écrit:

Pelican a écrit:

Ils vont alors vendre des terrains pour les payer.
Vendre de l'actif immobilisé pour payer des dettes du passif circulant. Les financiers vont retourner à leurs tomber.

Mr Pelican, c'est une vente de STOCKS de terrains. c'est de l'ACTIF CIRCULANT et non d'actif immobilisé

dans le cas général, un terrain est une immobilisation puisqu'il reste dans l'entreprise;
dans le cas d'une immobilière il fait parti du produit fini donc c,est un intrant et par la suite un stock (qui ressemble a de la matière première dans d,autres activité); donc contrairement a ce que dit mr pélican, pour les financiers, c'est une bonne chose de réduire le stock;

toutes les informations qu,on diffuse aujourd'hui sont anciennes; les gens de hay Rahma dont on parle aujourd'hui sont les mêmes qui ont manifesté devant le siège d'ADI lors de l'AG;

je pense qu'on est entrain de chercher a justifier la baisse actuelle.

pour moi tout ce qu'on a dit hier et aujourd'hui est déjà connu;

la seule question qui reste: est ce que l'emprunt obligataire a été souscrit ?

c,est ça le test de confiance des institutionnels; en d,autres termes va t-on continuer a financer ADI ou non?

VERMEREN a écrit:

Pelican a écrit:

Ils vont alors vendre des terrains pour les payer.
Vendre de l'actif immobilisé pour payer des dettes du passif circulant. Les financiers vont retourner à leurs tomber.

Mr Pelican, c'est une vente de STOCKS de terrains. c'est de l'ACTIF CIRCULANT et non d'actif immobilisé

Je m'attendais à cette réponse. Je vois les choses boursièrement parlant.....

Il faudera nous expliquer comment Alliances compte travailler après 2018 2020 ( cad demain) en vendant sa " matière première". Et surtout, ils commencent par vendre les bijoux (terrain) et vont rester à compter avec les stocks de logements dont personne ne veut à Marrakech, ou.... Larache.

Alliances va vendre ses réserves stratégiques pour payer des dettes. Normalement c'est une erreur dés le départ que de financer un stock stratégique par une dette LT ou CT. Celui ci devait être constitué par des dettes très long terme supérieur au cycle de l'exploitation. Un emprunt de 5 ans ne resoud pas le problème. Ni même 10 ans.

Deux modes de financement peuvent le permettre : Des augmentations de capital, ou par les réserves auquel cas il faut être avare en dividendes. Les deux options ne sont pas bonnes pour l'actionnaire.

Et pour cause, nous sommes dans une industrie qui demande de mobiliser des capitaux à long terme,pour une rentabilité espérée à long terme. Or c'est pénalisant pour l'actionnaire de l'après crise mondiale de 2008....D'où le problème stratégique de vouloir coter une entreprise immobilières dont la vie devrait être perpétuelle logiquement... Cependant, aujourd'hui on apprend que Fadesa est en faillite. Au même titre que de petits promoteurs chez nous qui vont quitter le secteur dans les prochaines années.

Un projet immobilier est bien sûr rentable, mais dès qu'on veut en faire une société avec plusieurs projets et avec une vision de 7 ou 8 ans, les choses deviennent compliquées.





Il faut imaginer ADI comme une sorte d'épicerie qui vend la marchandise sur les étalages sans en acheter. La suite dépend de votre imagination.

Pelican a écrit:

VERMEREN a écrit:

Mr Pelican, c'est une vente de STOCKS de terrains. c'est de l'ACTIF CIRCULANT et non d'actif immobilisé

Je m'attendais à cette réponse. Je vois les choses boursièrement parlant.....

Il faudera nous expliquer comment Alliances compte travailler après 2018 2020 ( cad demain) en vendant sa " matière première". Et surtout, ils commencent par vendre les bijoux (terrain) et vont rester à compter avec les stocks de logements dont personne ne veut à Marrakech, ou.... Larache.

Alliances va vendre ses réserves stratégiques pour payer des dettes. Normalement c'est une erreur dés le départ que de financer un stock stratégique par une dette LT ou CT. Celui ci devait être constitué par des dettes très long terme supérieur au cycle de l'exploitation. Un emprunt de 5 ans ne resoud pas le problème. Ni même 10 ans.

Deux modes de financement peuvent le permettre : Des augmentations de capital, ou par les réserves auquel cas il faut être avare en dividendes. Les deux options ne sont pas bonnes pour l'actionnaire.

Et pour cause, nous sommes dans une industrie qui demande de mobiliser des capitaux à long terme,pour une rentabilité espérée à long terme. Or c'est pénalisant pour l'actionnaire de l'après crise mondiale de 2008....D'où le problème stratégique de vouloir coter une entreprise immobilières dont la vie devrait être perpétuelle logiquement...  Cependant, aujourd'hui on apprend que Fadesa est en faillite. Au même titre que de petits promoteurs chez nous qui vont quitter le secteur dans les prochaines années.

Un projet  immobilier est bien sûr rentable, mais dès qu'on veut en faire une société avec plusieurs projets et avec une vision de 7 ou 8 ans, les choses deviennent compliquées.





Il faut imaginer ADI comme une sorte d'épicerie qui vend la marchandise sur les étalages sans en acheter. La suite dépend de votre imagination.

Comme dirait le ministre:"c'est clair, je suis clair"

Pelican a écrit:

VERMEREN a écrit:

Mr Pelican, c'est une vente de STOCKS de terrains. c'est de l'ACTIF CIRCULANT et non d'actif immobilisé

Je m'attendais à cette réponse. Je vois les choses boursièrement parlant.....

Il faudera nous expliquer comment Alliances compte travailler après 2018 2020 ( cad demain) en vendant sa " matière première". Et surtout, ils commencent par vendre les bijoux (terrain) et vont rester à compter avec les stocks de logements dont personne ne veut à Marrakech, ou.... Larache.

Alliances va vendre ses réserves stratégiques pour payer des dettes. Normalement c'est une erreur dés le départ que de financer un stock stratégique par une dette LT ou CT. Celui ci devait être constitué par des dettes très long terme supérieur au cycle de l'exploitation. Un emprunt de 5 ans ne resoud pas le problème. Ni même 10 ans.

Deux modes de financement peuvent le permettre : Des augmentations de capital, ou par les réserves auquel cas il faut être avare en dividendes. Les deux options ne sont pas bonnes pour l'actionnaire.

Et pour cause, nous sommes dans une industrie qui demande de mobiliser des capitaux à long terme,pour une rentabilité espérée à long terme. Or c'est pénalisant pour l'actionnaire de l'après crise mondiale de 2008....D'où le problème stratégique de vouloir coter une entreprise immobilières dont la vie devrait être perpétuelle logiquement...  Cependant, aujourd'hui on apprend que Fadesa est en faillite. Au même titre que de petits promoteurs chez nous qui vont quitter le secteur dans les prochaines années.

Un projet  immobilier est bien sûr rentable, mais dès qu'on veut en faire une société avec plusieurs projets et avec une vision de 7 ou 8 ans, les choses deviennent compliquées.





Il faut imaginer ADI comme une sorte d'épicerie qui vend la marchandise sur les étalages sans en acheter. La suite dépend de votre imagination.

- 2018 -2020 une date qui revient souvent sans qu'on explique pourquoi ?

en fait l'immobilier marocain obéit a un cycle long; certains disent que sa période est de 10 ans; je n,ai pas les paramètres exactent mais beaucoup de monde se rappelle de la flambée des années 80 ensuite la correction des années 90 puis la flambée des année 2000 ; maintenant la correction des années 2010 et ensuite tout le monde attendra la flambée des année 2020;
donc en 2018-2020 au pire on sera au creux de la vague et c,est la qu'on doit encore une fois reconstituer le stock de terrain;

- la constitution stock de terrain durant la periodes de flambée peut booster le résultats mais devient handicapant durant la période de baisse c,est ça que toutes les immobilières tentent de le minimiser actuellement (c'est la période de baisse);

- l'immobilier ne peut en aucun cas ne peut être résumé a ADI et ADH; c'est un secteur du PIB qui représente un millions d,emploi; donc ce n'est pas une industrie qui est appelée a disparaitre; elle passera par des haut et des bas mais l'immobilier restera l,immobilier; pour le cas de Fadesa j'aurai bien aimé que les opportunités qui s'offre au capital espagnol existent chez nous et que ADH et ADI fassent faillite;

simourayane a écrit:

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C'est bien que les citoyens commencent à mettre à nu les actions frauduleuses des "Promoteurs" immobiliers...

"Le promoteur espagnol Martinsa-Fadesa, symbole des excès ayant conduit à l'explosion de la bulle immobilière en 2008, a décidé lundi soir de demander sa liquidation judiciaire, faute de soutien à son plan de redressement, a-t-il annoncé dans un communiqué.

Le groupe, dont le dépôt de bilan à l'été 2008 fut le plus important de l'histoire du pays avec une dette colossale de 7,2 milliards d'euros, avait déjà été sauvé de justesse en mars 2011 par un plan de refinancement

"Le conseil d'administration de ce jour a décidé de demander l'ouverture d'une procédure de liquidation judiciaire", indique-t-il après le rejet de son plan par ses créanciers ce qui l'accule à la faillite avec une dette estimée à 7 milliards d'euros.

Comme Martinsa-Fadesa, plusieurs autres importants groupes immobiliers espagnols ont déposé le bilan ces dernières années: le promoteur Reyal Urbis, croulant sous plus de 3,6 milliards de dette, ReyalHabitat (2,8 milliards), ou Sacresa (1,8 milliard)."




Du moment qu'il y a soutien de l'emprise, ça va aller après on verra bien.

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prière de mettre en gras votre commentaire, ça se confond avec l'article;

MITAH a écrit:

"Le promoteur espagnol Martinsa-Fadesa, symbole des excès ayant conduit à l'explosion de la bulle immobilière en 2008, a décidé lundi soir de demander sa liquidation judiciaire, faute de soutien à son plan de redressement, a-t-il annoncé dans un communiqué.

Le groupe, dont le dépôt de bilan à l'été 2008 fut le plus important de l'histoire du pays avec une dette colossale de 7,2 milliards d'euros, avait déjà été sauvé de justesse en mars 2011 par un plan de refinancement

"Le conseil d'administration de ce jour a décidé de demander l'ouverture d'une procédure de liquidation judiciaire", indique-t-il après le rejet de son plan par ses créanciers ce qui l'accule à la faillite avec une dette estimée à 7 milliards d'euros.

Comme Martinsa-Fadesa, plusieurs autres importants groupes immobiliers espagnols ont déposé le bilan ces dernières années: le promoteur Reyal Urbis, croulant sous plus de 3,6 milliards de dette, ReyalHabitat (2,8 milliards), ou Sacresa (1,8 milliard)."




Du moment qu'il y a soutien de l'emprise, ça va aller après on verra bien.

J'espère que cela ne fasse pas tache d'huile avec son ancien partenaire marocain et ses confrères

Bonsoir . Si quelqu'un pourrait publier un graphe de MDP depuis son introduction. ?

Bonsoir . Si quelqu'un pourrait publier un graphe de MDP depuis son introduction. ?