Séance du mercredi 19-08-2015

aboubarae a écrit:

Citation :

quand le nuage est étroit et non orienté en plus, n'en tient pas compte. passe au weekly ca peut etre plus parlant.

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] me déçoit à moins de 186, il faut attendre pour voir plus clair.

 Pourquoi décu de [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] ? 

 son objectif et vers les 160 wallahou aalam 
 graphe en weekly 

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pour [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] : son ichimoku weekly montre une tendance baissière sans aucun doute ( moi je parlais que du très court terme)

Le dépassement du triangle a eu lieu exactement au moment de la distribution du dividende (Evénement qu'ignorent malheureusement les Graphiques). 

La Particularité de ce type de valeurs c'est qu'elles sont très peu liquide et tout comportement à la hausse ou à la baisse est beaucoup plus accentué pour ces valeurs. Les manipulations des cours sont également plus faciles et la "Coincité" est plus accentuée. Cependant, DWAY reste avec de très bons fondamentaux pour les exercices précédents. Ce comportement peut aussi s'expliquer par l'attentisme de l'annonce du résultat semestriel pour savoir si sa santé est sereine ou bien s'elle a été contaminé par le même Effet vécu par MIC qui continue sa décente ?

Abdou a écrit:

amin a écrit:

quand le nuage est étroit et non orienté en plus, n'en tient pas compte. passe au weekly ca peut etre plus parlant.

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] me déçoit à moins de 186, il faut attendre pour voir plus clair.

Salam,

Regardez le RSI et les autres indicateurs techniques, c'est plus parlant!

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A voir, hier, la NI de ADI, j'ai mis une grande X sur toutes les Immobilières en attendant les années meilleures.

Pour ce jour, je m'attend à une petite reprise du Masi en Clôture. (merci pour celui qui m'a donné le -1  )

Bonjour à tous,

Des avis sur l'avenir de la Samir?

L’actionnaire principal de la Samir a rencontré les ministres concernés, mais ne propose aucune solution.

Point mort. Mohamed Boussaïd et Abdelkader Amara, respectivement ministres de l’Economie et de l’Energie, se sont entretenus le 18 août avec Mohamed Al Amoudi, patron de Corral holding, actionnaire principal de la Samir. Le but : trouver une sortie de crise. Mais d’après une source proche du dossier, le Saoudien « est venu sans solution ». Dans un communiqué en date du 10 août, l’entreprise annonçait une augmentation de capital, mais elle ne devait pas être actée avant le 12 octobre et d’après les rumeurs, l’actionnaire, qui n’a jamais recapitalisé la Samir, ne promettait d’injecter que 1,5 milliard de dirhams. Rien qu’auprès des banques, la société est créancière de 22 milliards de dirhams. Et l’entreprise est aussi en contentieux avec plusieurs de ses fournisseurs.
Lire aussi : La Samir poursuivie aux Etats-Unis pour un montant de 13,7 millions de dirhams

La même source évoque également « les griefs qu’a le Maroc envers la société » ainsi que les « manquements et dysfonctionnements de celle-ci ». Lors de la privatisation de la Samir en 1997, Corral s’était engagé à réaliser des travaux de mise aux normes et d’extension de la raffinerie de Mohammedia, pour un coût de 6 milliards de dirhams. Mais ces travaux n’ont finalement débuté qu’en 2004.
Les investissements ne se sont pas faits sur fonds propre, la société s’est endettée auprès de banques marocaines et étrangères. L’entreprise, qui devait se placer sur un marché concurrentiel, n’a pas acquis suffisamment de parts de marché pour rembourser ses créanciers.
Lire aussi : Qui est Mohamed Al Amoudi, le richissime actionnaire de la Samir?
Pour ce qui est de la gestion immédiate de la crise : « Heureusement que le Maroc a pris ses précautions en matière d’approvisionnement », nous précise notre source, qui regrette que la société ait décidé « de manière unilatérale de suspendre son activité ». L’Etat n’a visiblement pas été mis au courant de l’arrêt d’une partie des activités de raffinage. Le 5 août dernier, l’entreprise annonçait par voie de communiqué l’arrêt de certaines unités de production, du fait du retard d’approvisionnement de la raffinerie en pétrole brut, annonçant que la reprise totale de l’activité est prévue pour la mi-août.
Bien sûr, la situation financière était bien connue. En 2013, le responsable d’une banque créancière de la Samir affirmait déjà au journal Economie et entreprises : « Le plus facile pour lui [Mohamed Al Amoudi, ndlr] est de jeter l’éponge. Reste à savoir si l’Etat a un plan de rechange ».
Pour le moment, aucun chômage technique n’a été déclaré, d’après la CDT. Et la cotation de la Samir à la bourse de Casablanca est toujours suspendue.

l'Etat a tranché dans vl'affaire de la SAMIR, selon cet article:
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La part de 20/100  de Alliance dans la station taghazout a ete cede a la CDG pour 1 montant de 110 millions de dhs  source media24 mais ce montant ne figure pas dans le BP caduque 2015 d'alliance

fouad80 a écrit:

l'Etat a tranché dans vl'affaire de la SAMIR, selon cet article:
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Iwa hada houa alma3koul, car on n'en a assez du chantage qui, dans la durée, a mis SAM en métastase !!!!. Et que César récupère ce qui lui appartenait au dirham symbolique me semble légitime.

benji31 a écrit:

Bonjour à tous,

Des avis sur l'avenir de la Samir?

L’actionnaire principal de la Samir a rencontré les ministres concernés, mais ne propose aucune solution.

Point mort. Mohamed Boussaïd et Abdelkader Amara, respectivement ministres de l’Economie et de l’Energie, se sont entretenus le 18 août avec Mohamed Al Amoudi, patron de Corral holding, actionnaire principal de la Samir. Le but : trouver une sortie de crise. Mais d’après une source proche du dossier, le Saoudien « est venu sans solution ». Dans un communiqué en date du 10 août, l’entreprise annonçait une augmentation de capital, mais elle ne devait pas être actée avant le 12 octobre et d’après les rumeurs, l’actionnaire, qui n’a jamais recapitalisé la Samir, ne promettait d’injecter que 1,5 milliard de dirhams. Rien qu’auprès des banques, la société est créancière de 22 milliards de dirhams. Et l’entreprise est aussi en contentieux avec plusieurs de ses fournisseurs.
Lire aussi : La Samir poursuivie aux Etats-Unis pour un montant de 13,7 millions de dirhams

La même source évoque également « les griefs qu’a le Maroc envers la société » ainsi que les « manquements et dysfonctionnements de celle-ci ». Lors de la privatisation de la Samir en 1997, Corral s’était engagé à réaliser des travaux de mise aux normes et d’extension de la raffinerie de Mohammedia, pour un coût de 6 milliards de dirhams. Mais ces travaux n’ont finalement débuté qu’en 2004.
Les investissements ne se sont pas faits sur fonds propre, la société s’est endettée auprès de banques marocaines et étrangères. L’entreprise, qui devait se placer sur un marché concurrentiel, n’a pas acquis suffisamment de parts de marché pour rembourser ses créanciers.
Lire aussi : Qui est Mohamed Al Amoudi, le richissime actionnaire de la Samir?
Pour ce qui est de la gestion immédiate de la crise : « Heureusement que le Maroc a pris ses précautions en matière d’approvisionnement », nous précise notre source, qui regrette que la société ait décidé « de manière unilatérale de suspendre son activité ». L’Etat n’a visiblement pas été mis au courant de l’arrêt d’une partie des activités de raffinage. Le 5 août dernier, l’entreprise annonçait par voie de communiqué l’arrêt de certaines unités de production, du fait du retard d’approvisionnement de la raffinerie en pétrole brut, annonçant que la reprise totale de l’activité est prévue pour la mi-août.
Bien sûr, la situation financière était bien connue. En 2013, le responsable d’une banque créancière de la Samir affirmait déjà au journal Economie et entreprises : « Le plus facile pour lui [Mohamed Al Amoudi, ndlr] est de jeter l’éponge. Reste à savoir si l’Etat a un plan de rechange ».
Pour le moment, aucun chômage technique n’a été déclaré, d’après la CDT. Et la cotation de la Samir à la bourse de Casablanca est toujours suspendue.

« Le plus facile pour lui [Mohamed Al Amoudi, ndlr] est de jeter l’éponge". Alma wa lkarrata 7atta....Le Maroc est suffisamment outillé et organisé pour ne pas s'incliner devant une poignée de crapules de son genre. 

Le pétrole au dessous des $40 pour la 1ere fois depuis 2009.

Visiblement les soucis d'ADI ne finissent pas 

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Bonjour à tous, 

La campagne électorale à officiellement démarré, avec des torchons brûlés entre Moncef Belkhyat...accusé de sexisme par les pro Nabila Mounib. 

Y a t il des candidats qui souhaitent présenter leur programme ou défendre une liste ?

bluehorseshoe a écrit:

Bonjour à tous, 

La campagne électorale à officiellement démarré, avec des torchons brûlés entre Moncef Belkhyat...accusé de sexisme par les pro Nabila Mounib. 

Y a t il des candidats qui souhaitent présenter leur programme ou défendre une liste ?

A Fes, un candidat très célèbre offre des formations en trading pour les élécteurs contre leur soutien, et promet une fois élu de déplacer la BVC à Fes, et de créer une société de bourse avec des frais dérisoires à ses disciples...  on s'attend a ce que ce Monsieur va remporter la majorité des sièges tellement les gens sont satisfaits de son offre 

Je pense sérieusement à déménager à Fes