Séance du Lundi 20 Avril 2009

Bonjour et bon trade a tous,

pour publier une image , vous n'avez qu'é l'ouvrir avec l'éditeur "paint" puis cliquez sur enregistrer sous , mettez le nom de l'image suivit du " .JPEG

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;) ;) c'est pas moi lolll

UE : quatre bourses ouvrent en retard

Les bourses de Paris, Amsterdam, Bruxelles et Lisbonne vont ouvrir à 9h40 au lieu de 9h ce matin, annonce Nyse-Euronext.

AFP
20/04/2009 | Mise à jour : 09:29

______

Timar a convoqué son assemblée générale ordinaire pour le 20 Mai. Elle propose la distribution d'un dividende de 7,5 DH, représentant un rendement de 2,8%, payable à compter du 10 juin.
WB

Le Gaucher a écrit:

ABOUAYOUB a écrit:

Pelican a écrit:

Samir :

Fin 2008, la compagnie pétroliére lance un emprunt obligataire de 800 MDHS. A 5 jours de cloture de l'éxérice 2008, la société prévoit un résultat net de 526 Mdhs. Finalement, la société cloture son exercice avec une perte séche de 1.2 Milliards de dhs


Par
ailleurs, la société justifie la baisse de son résultat net par la
dépréciation de son stocks de matiéres premiéres. Or le changement de
la méthode de calcul des stocks, tel que relévé par le commissaire au
compte, laisse apparaitre un gain net en 2007 de 271 MDHS.

Le
CDVM a raison de demander des comptes pour la Samir concernant son
obligation d'émettre un profit warning. De même, je vois mal comment la
communauté financière pourrait encore mettre la main dans la poche pour
le prochain emprunt que voudrait émettre la Samir.

c'est de l'escroquerie pure et simple..Sous d'autres cieux, c'est du pénal..Le premier test pour le nouveau CDVM

samir
était en négociation avec le gouvernement dans le but que ce dernier
prenne sa responsabilité dans la dépréciation de son stock constitué
sur incitation de l'Etat, mais cette dernière n'a pas répondu
favorablement à sa requuête, depuis samir achete au compte goute

Ce que je ne comprends pas c'est la subvention qu'octroie l'état à la samir au titre de la compensation sur la hausse des produits pétroliers. En effet, si l'état compense la hausse du prix du brut dans les marchés internationaux, comment se fait t'il que la samir ai à supporter la charge de l'appréciation de ses stocks ?

Pelican a écrit:

Le Gaucher a écrit:

ABOUAYOUB a écrit:

Pelican a écrit:

Samir :

Fin 2008, la compagnie pétroliére lance un emprunt obligataire de 800 MDHS. A 5 jours de cloture de l'éxérice 2008, la société prévoit un résultat net de 526 Mdhs. Finalement, la société cloture son exercice avec une perte séche de 1.2 Milliards de dhs


Par
ailleurs, la société justifie la baisse de son résultat net par la
dépréciation de son stocks de matiéres premiéres. Or le changement de
la méthode de calcul des stocks, tel que relévé par le commissaire au
compte, laisse apparaitre un gain net en 2007 de 271 MDHS.

Le
CDVM a raison de demander des comptes pour la Samir concernant son
obligation d'émettre un profit warning. De même, je vois mal comment la
communauté financière pourrait encore mettre la main dans la poche pour
le prochain emprunt que voudrait émettre la Samir.

c'est de l'escroquerie pure et simple..Sous d'autres cieux, c'est du pénal..Le premier test pour le nouveau CDVM

samir
était en négociation avec le gouvernement dans le but que ce dernier
prenne sa responsabilité dans la dépréciation de son stock constitué
sur incitation de l'Etat, mais cette dernière n'a pas répondu
favorablement à sa requuête, depuis samir achete au compte goute

Ce que je ne comprends pas c'est la subvention qu'octroie l'état à la samir au titre de la compensation sur la hausse des produits pétroliers. En effet, si l'état compense la hausse du prix du brut dans les marchés internationaux, comment se fait t'il que la samir ai à supporter la charge de l'appréciation de ses stocks ?

il ya un prix de référence indéxé sur amseterdem dont la méthode de calacul est convenu avec samir, sur la base duquel la régularisation des achats s'effectue. je m'explique, l'etat ne prend pas en compte le prix réel d'achat de samir, elle calcule un prix de référence, sur la base de ce prix, en sachant le cout de revient des produits finis (gazoil, essence), il est déterminé le taux de compensation.

cela veut dire si le cours de référence a été par exemple de 50$ et samir a un prix moyen d'achat de 80$, samir supporte les pertes, c'est le cas du déficit dégagé; par contre si samir a fait de trs bon achat, à 40$, l'etat ne lui demande de la rembourser la différence, puisque le prix considéré de compensation est de 50.

je ne sais pas si j'ai bien expliqué,

Je comprends mr " Le Gaucher ".

BKB donne un objectif de cours pour CIH à 300 Dhs.

Pelican a écrit:

Je comprends mr " Le Gaucher ".

BKB donne un objectif de cours pour CIH à 300 Dhs.

BCEK a toujours émis des notes en défaveur de CIH, si vous vous rappelez celle de 2007!!!

Articles » Finance
Dividendes 2008 : Les sociétés cotées vont distribuer plus de 19 milliards de dirhams de dividendes

Auteur : Moussa Diop

A chaque début d’exercice, les entreprises réunissent leurs conseils d’administration pour approuver les réalisations de l’année écoulée et l’affectation des résultats, si bénéfice il y a. A la lumière des dividendes annoncés par le marché, au titre de l’exercice 2008, on peut, sans hésiter, avancer qu’à l’image des années précédentes, les administrateurs ont été globalement généreux envers les actionnaires en proposant, globalement, aux assemblées générales des distributions de dividendes importantes. Malgré les importants paramètres qu’ils prennent en considération –politique d’investissement, stratégie de croissance, niveau d’endettement, importance du bénéfice, perspectives de croissance, etc.- auxquels est venu se greffer une crise financière internationale dont on arrive pas encore à cerner tous les contours et encore moins son impact sur l’économie marocaine, les administrateurs semblent privilégier la fidélités de leurs actionnaires. Ainsi, sur un bénéfice global dégagé par les sociétés cotées (1) de 26,44 milliards de dirhams, plus de 19 milliards de dirhams seront affectés à la rétribution des actionnaires sous forme de dividendes. Ce sont ainsi plus de 72 % du bénéfice global du marché qui reviendra aux différents actionnaires des sociétés cotées. Mais tout le monde ne sera pas logé à la enseigne, car ces chiffres globaux cachent aussi une certaine réalité. En effet, sur 73 entreprises ayant publié leurs résultats, au moins 8 d’entres elles n’ont pas annoncé de distributions de dividendes. C’est le cas notamment de la Samir et de Managem, qui, logiquement, après avoir enregistré des déficits abyssaux de respectivement 1 200 MDH et 589 MDH, sous l’effet d’une conjoncture internationale qui a eu des impacts très négatifs sur leurs résultats, ne comptent pas distribuer de dividendes. D’autres, bien qu’ayant enregistrer des résultats positifs, préfèrent consolider leurs assises financières pour faire face à des programmes d’investissement importants (cas de Risma) ou consolider tout simplement leurs fonds propres pour se conformer à des exigences règlementaires.

Maroc Telecom, Lafarge, AWB, …
En clair, la non distribution de dividendes devient UNE exception au niveau de la place de Casablanca. En plus, «en cette période d’incertitudes, ne pas distribuer de dividendes peut susciter quelques incompréhensions chez les investisseurs avec un impact négatif sur l’évolution du cours de la société en bourse», souligne un analyste financier d’une société de bourse de la place.
Du côté des 63 entreprises qui distribueront des dividendes, en absolu, le podium est occupé par la première capitalisation boursière de la place Maroc Télécom. L’opérateur historique des télécommunications va distribuer 9 494,23 MDH sous forme de dividendes à ses actionnaires, soit un peu plus de 48,7 % des dividendes qui seront distribués par l’ensemble des sociétés cotées. L’opérateur poursuit sa politique généreuse de rétribution des actionnaires qui bénéficie en premier lieu son actionnaire majoritaire, le groupe Vivendi Universal, qui contrôle 53 % du capital de la société. Confiant en l’avenir, malgré l’intensification de la concurrence suite à l’attribution d’une licence 2 G à Wana, Maroc Télécom va répartir entre ses actionnaires 99,72 % de son bénéfice 2008, après un taux de distribution de 100,68 % (résultat et une partie des réserves) en 2007, confirmant ainsi sa capacité à générer du cash et son statut de véritable valeur de fond du portefeuille. Loin derrière arrive Lafarge Ciments avec 1 048 MDH à distribuer. Malgré les importants investissements engagés, le leader du secteur cimentier maintient une politique de distribution généreuse. Le cimentier ne distribue tout de même qu’un peu plus de 62 % de son bénéfice, se gardant ainsi des ressources pour boucler son programme d’investissement et de préparer d’éventuels autres opérations de croissance. En troisième position suit Attijariwafa bank avec un montant à distribuer de 965 MDH. Comparativement à son résultat qui s’élève à 3 118 MDH (consolidé IFRS), la première banque du Royaume ne distribue qu’un peu plus de 30 % de son bénéfice, soit l’un des taux de distribution les plus bas du marché. Cette rétribution modérée se justifie par la volonté de la banque à poursuivre sa politique de développement aussi bien au niveau local qu’à l’international où elle est en train de tisser une véritable toile d’araignée sur les marchés ouest et centre africains. En plus, et à l’image des autres banques de la place, Attijariwafa bank doit consolider davantage ses fonds propres afin de mieux respecter les exigences de Bank Al-Maghrib en terme de ratios prudentielles.

Des Pay out généreux
Si ce trio a distribué les montants les plus élevés en valeur absolue, en terme de générosité, mesurée par le pay out, pourcentage de la part du bénéfice qu’une entreprise distribue à ses actionnaires sous forme de dividendes, on notera que certaines entreprises ont fourni d’énormes efforts pour fidéliser leurs actionnaires. C’est le cas notamment d’Involys, qui malgré un résultat net en chute libre de 74,07 % à 1,4 MDH, la société a préféré maintenir son niveau de distribution de dividendes de 10 dirhams, pour un montant global à distribuer de 3,83 MDH correspondant à un taux de distribution de 273,57 %. En clair, la société va puiser dans ses réserves afin de maintenir son niveau de dividende de l’année passée et espérer ainsi fidéliser ses actionnaires déjà échaudés par la dégringolade du titre qui est passé d’un plus haut de 460 dirhams l’action à seulement 128 dirhams actuellement (séance du 13 avril 2009) après avoir touché un plus bas de 110 dirhams. Derrière, Lesieur Cristal a également été très généreuse envers ses actionnaires avec un taux de distribution de 119 %. Tout en maintenant un dividende ordinaire de 47 dirhams, la société fait bénéficier à ses actionnaires un dividende exceptionnel de 21 dirhams, soit un total de 68 dirhams par action à distribuer. Outre les perspectives meilleures avec la décrue des cours mondiaux des matières premières, le rétablissement de la marge sur l’huile de table et la forte progression du résultat net de l’exercice écoulé, ce dividende exceptionnel se justifie par la réalisation d’une plus-value sur cession des actifs de l’activité des produits de nettoyage. Idem pour la CTM qui affiche un taux de distribution 118,45 % suite à une distribution d’un dividende ordinaire de 18 dirhams et d’un dividende exceptionnel de 22 dirhams consécutif à la réalisation de plus-values sur cessions d’actifs. Hormis ces trois cas, la Société des Brasseries du Maroc, Agma Lahlou-Tazi, Maroc Télécom, CMT et Branoma affichent des taux de distribution respectifs de 100,1 %, 100 %, 99,73 %, 99,25 % et 98,36 %, contribuant ainsi à tirer le pay out du marché vers le haut. A noter que si les pay out élevé peuvent être synonymes de générosité des entreprises envers leurs actionnaires, ils peuvent aussi dans certains cas un manque de visibilité des managers et donc un renoncement à l’investissement productif au profit de la fidélisation des actionnaires.

Rendements bruts intéressants
A l’opposé, les promoteurs immobiliers Addoha et Alliances figurent parmi les entreprises qui affichent des taux de distribution les plus bas de la place avec des pay out respectifs de 24,5 % et 29,1 %. Engagés dans des projets d’investissements importants dans un secteur qui semble connaître, pour certaines de ses segments, quelques ralentissements, les deux promoteurs semblent avoir privilégier une distribution de dividende modérée afin de faire face à des financements colossaux dans les années à venir dans un contexte national marqué par le resserrement des liquidités bancaires et donc de durcissement des conditions d’octroi de crédits. Ainsi, les managements de ces entreprises vont privilégier, autant que possible, l’autofinancement de leurs investissements au détriment de l’endettement bancaire.
Outre le pay out, l’autre indicateur à même de donner une idée sur le niveau du dividende est le dividende yield qui exprime la rentabilité d’une valeur, c'est-à-dire le retour que peut attendre l’actionnaire de son investissement en Bourse, abstraction de la plus-value potentielle. Sur ce point, signalons que les rendements de dividendes bruts des sociétés cotés distributrices sont compris dans une fourchette large allant de 0,68 % à 20,30 %. Et parmi celles-ci, 35 affichent des rendements bruts supérieurs à 4 %. Autrement dit, un niveau de rendement supérieur à celui sans risque qu’offre les emprunts d’Etat de 5 ans. Et dans ce registre, CTM, Microdata et Compagnie Minière de Touissit trônent au dessus du lot avec des rendements respectifs de 20,30 %, 13,47 % et 12,25 %. Si pour la CTM, le rendement est boosté par le dividende exceptionnel, Microdata affiche un dividende yield élevé consécutif surtout à un dividende très appréciable et à une chute de son cours en bourse durant l’exercice 2008. La société qui a vu son bénéfice net croître de 32,16 % a augmenté son dividende ordinaire de 26,31 % à 48 dirhams par action, contre 38 dirhams pour l’exercice précédent, figurant ainsi parmi les entreprises les plus généreuses en matière de distribution de dividendes au niveau de la place.
Signalons que ces rendements élevés, qui résultent bien évidemment d’un effort de distribution du management très encourageant, sont également, en partie, le résultat mathématique des décrochages de cours de certains titres cotés durant l’exercice 2008. Cela est notamment valable pour nombre de petites et moyennes capitalisations délaissées par les institutionnels et qui ont vu leurs cours chuter sous l’effet de faibles volumes et ce indépendamment de la solidité de leurs fondamentaux.
Bref, la bourse demeure le meilleur outil de placement pour les investisseurs, sachant qu’en plus des dividendes perçus, l’épargnant peut aussi bénéficier des plus-values intéressantes


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(1) ce résultat ne tient pas compte de celui réalisé par les entreprises ayant un exercice fiscal à cheval sur 2 années : Cartier Saada, Unimer, IB Maroc et LGMG.
NOUVELLE TRIBUNE