j,ai l'impression que les chiffres d,affaires de beaucoup d'entreprises ne sont pas significatifs pour le premier et peut etre deuxième trimestre; en effet le premier trimestre 2022 a vu le declenchement de la guerre en ukraine avec toutes les consequences de penuries et de flambee des cours des intrants et produits finis; il est donc logique que les chiffres d,affaire passent par des pics; en 2023 on retourne progressivement a la normal; il est donc normal que le chiffre d'affaires baissent pour beaucoup d'entreprises; cela ne passe pas necessairement par une baisse du résultats; donc il ne faut pas necessairement conclure qu'une baisse du chiffre d'affaire est baisse de l'activité; l'exemple type est snep ou le chiffre d'affaire baisse de 12 % alors que la production monte;
j,ai l'impression que les chiffres d,affaires de beaucoup d'entreprises ne sont pas significatifs pour le premier et peut etre deuxième trimestre; en effet le premier trimestre 2022 a vu le declenchement de la guerre en ukraine avec toutes les consequences de penuries et de flambee des cours des intrants et produits finis; il est donc logique que les chiffres d,affaire passent par des pics; en 2023 on retourne progressivement a la normal; il est donc normal que le chiffre d'affaires baissent pour beaucoup d'entreprises; cela ne passe pas necessairement par une baisse du résultats; donc il ne faut pas necessairement conclure qu'une baisse du chiffre d'affaire est baisse de l'activité; l'exemple type est snep ou le chiffre d'affaire baisse de 12 % alors que la production monte;
Effectivement, tel est le cas pour les entreprises avec des entrants/ sortants qui dépendent des cours à l'échelle mondiale.
Je pense que seules les sociétés de services vont déroger de cette règle. Par exemple RISMA qui va probabelement bénéficier de la hausse du secteur touristique au Maroc ( d'ailleurs son cours est passée de 110 à 150 en l'espace de quelques semaines )et qui semble avoir des résultats qui auront plus de sens. ( ceci n'est qu'un avis)
j,ai l'impression que les chiffres d,affaires de beaucoup d'entreprises ne sont pas significatifs pour le premier et peut etre deuxième trimestre; en effet le premier trimestre 2022 a vu le declenchement de la guerre en ukraine avec toutes les consequences de penuries et de flambee des cours des intrants et produits finis; il est donc logique que les chiffres d,affaire passent par des pics; en 2023 on retourne progressivement a la normal; il est donc normal que le chiffre d'affaires baissent pour beaucoup d'entreprises; cela ne passe pas necessairement par une baisse du résultats; donc il ne faut pas necessairement conclure qu'une baisse du chiffre d'affaire est baisse de l'activité; l'exemple type est snep ou le chiffre d'affaire baisse de 12 % alors que la production monte;
Effectivement, tel est le cas pour les entreprises avec des entrants/ sortants qui dépendent des cours à l'échelle mondiale.
Je pense que seules les sociétés de services vont déroger de cette règle. Par exemple RISMA qui va probabelement bénéficier de la hausse du secteur touristique au Maroc ( d'ailleurs son cours est passée de 110 à 150 en l'espace de quelques semaines )et qui semble avoir des résultats qui auront plus de sens. ( ceci n'est qu'un avis)
Salam
Pour Risma, j ai constaté un manque de communication par rapport à deux faits majeurs. Le premier concerne la cession des Ibis budget detenu à hauteur de 50 % avec Akhennouch. Probablement de l exceptionnel dans les resultats du 1er semestre 2023.
Le 2 eme concerne la ste Saemog detenue jusque là a hauteur de 40% par Risma. C est l actif toxique du groupe avec une moyenne de perte annuelle (en consolidé) de environ -65 Mdh. Recemment un memorandum a été signé de 4 mds de DH pour relancer cette station..... Je pense qui Risma cherche a se debarrasser de ses participations et laisser la mains aux nouveaux investisseurs (le reve du PDG Achcherki va enfin se concretiser).