Lundi 31 Aout 2009

Bonjour

Bonne reprise

Possibilité d'une reprise a 131 dhs corréspondant au support d'un canal haussier, mais aussi d'un support lattéral ou la valeur y rebondit depuis Mai 2009. Si le scénario se répété, l'inconvénient c'est que la valeur va se retrouver avec une résistance a 136 dhs corréspondant au canal baissier tracé sur le graphe. L'état sérré des bollinguers incite à la prudence, il n'ya pas de tendance suffisamment claire.

Selon l'édition de demain du journal "le soir", le sort de Meditel sera fixé en septembre.
Les sortants sont : Telefonica & Portugal telecom qui détiennent plus de 64% du capital.
Les soumissionnaires pour l'acquisition des parts de portugal : Qtel, Oger & Etisalat.
Pour la part de Telefonica, des rumeurs parleent de la possibilté qu'elle soit acquis par Finance.com & CDG



L’actionnariat actuel de Méditel se répartit comme suit:
RMA
Wataniya, 13,06%; Finance.com, 5%; Holdco, constitué du tandem Akwa
Group et CDG, 17,59%; Portugal Telecom, 32,18%; Telefonica, 32,18%.

Le parc global de téléphonie mobile a stagné au 2ème trimestre 2009, et a atteint 23,5 millions de lignes, soit un taux de pénétration de 75,5%.

Courant ce trimestre :
* IAM a perdu 342 000 clients mobile.
* Meditel a gagné 269 000 clients mobile
* Wana a gagné 91 000 clients mobile


Source: Le soir

CDVM - Profil des investisseurs au 2ème trimestre 2009

Sur le marché central, la ventilation des volumes de transactions par catégorie d’investisseurs reste similaire à celle observée pendant le premier trimestre 2009, sur fond de baisse générale du volume d’activité qui recule de près de 20%. Les évolutions se présentent comme suit : - Les investisseurs marocains restent dominants sur le marché central avec plus de 80% des volumes de transactions même si leur part accuse un léger recul par rapport au premier trimestre (85% des échanges) au profit du renforcement de la participation des étrangers dans les échanges. En effet, la participation des personnes morales étrangères passe de 13% au premier trimestre à 17,5%. Les personnes physiques étrangères, quant à eux, n’ont constitué que 1,3% des échanges. - Les personnes morales marocaines ont été moins actives au cours du 2ème trimestre 2009 en comparaison avec le trimestre précédent, tout en gardant une position acheteuse. Leur part dans le volume global a sensiblement baissé d’un trimestre à l’autre en passant de 39,1% à 27,7%. - La part des OPCVM dans le volume global enregistre également un recul au cours du 2ème trimestre 2009. Celle-ci passe de 21% à 19,8%. Il est à noter que d’une position nettement vendeuse au cours du 1er trimestre, les OPCVM passent à une position acheteuse. - La part des personnes physiques marocaines dans les échanges a progressé en passant de 21% à 27,1% avec un volume d’activité qui se maintient à un niveau comparable à celui du trimestre précédent. Les personnes physiques marocaines ont maintenu une position vendeuse. - Le réseau bancaire maintient sa position vendeuse observée depuis le début de l’année avec un renforcement de sa part dans le volume global. - Les opérations de contrepartie ont vu leur part doubler d’un trimestre à l’autre. Elles demeurent cependant marginales puisqu’elles n’ont représenté que 3% du volume global. Sur le marché de blocs, la répartition des volumes des transactions par catégorie d’investisseurs rompt ce trimestre avec la configuration habituelle. On note ainsi : - La baisse importante de l’activité sur ce marché de près de 60%. En effet, les volumes de transactions sont passés de 15, 9 milliards de dirhams au premier trimestre à 6,5 milliards de dirhams au deuxième trimestre 2009. - L’absence des institutionnels étrangers qui ne sont pas intervenus sur le marché de blocs lors de ce trimestre. Leur participation dans les échanges au titre du premier trimestre 2009 s’était élevée à 14,2%. - La baisse de la part des OPCVM dans les échanges dont la part est passée de 17,7% au premier trimestre à 7,2 % pendant le 2ème trimestre 2009. De même, la structure de leurs échanges a été principalement orientée vers la vente. - La dominance des personnes morales marocaines sur les transactions du marché de blocs qui ont enregistré 60,9% des échanges. On note également que la contrepartie a constitué près de 30% des échanges sur ce marché, consistant en des opérations d’aller-retour. (Source : SOGEBOURSE)

Al Barid Bank obtient son agrément
Al Barid Bank a obtenu l’agrément de la banque centrale en qualité de banque, et ce, sous réserve de l’adoption du projet de loi portant transformation de Barid Al Maghrib en société anonyme. Al Barid Bank SA regroupe l’ensemble des services financiers de Barid Al Maghrib. Elle est habilitée à exercer ses activités avec la clientèle des particuliers et principalement celle à bas revenus. (Source : L’Economiste)

Prospection pétrolière - Nouveaux investissements

Les deux sociétés pétrolières islandaise « Oil and Gas »et irlandaise « Circle Oil » ont décidé d’augmenter leurs investissements dans le secteur de prospection d’énergie. En effet, et suite aux contrats établis avec l’Onhym, des indices ont confirmé les importantes découvertes de gaz dans le nord de Rabat. Les deux sociétés cèderont leurs parts à d’autres entreprises pétrolières et émettront de nouvelles actions avec un prix bas par rapport au marché. L’objectif est d’avoir de quoi financer leurs projets au Maroc. De plus, « Circle Oil » a affirmé la poursuite de ses forages à la recherche de nouveaux gisements de gaz et de pétrole au Maroc. (Source : L’Economiste)

Rentrée chargée pour El Fassi

De gros dossiers et de gros défis
attendent le gouvernement. Les épreuves
de la rentrée pour l’équipe El Fassi touchent
les principaux secteurs socioéconomiques
dans un contexte international difficile.
Celle-ci doit non seulement poursuivre les
réformes engagées, mais aussi concrétiser
les promesses gouvernementales. Syndicats,
salariés, transporteurs, magistrats,
promoteurs immobiliers… tous espèrent
des plans d’action sur mesure. Enfin, sur le
plan politique, la rentrée sera marquée par
le renouvellement du tiers de la Chambre
des conseillers.

Leconomiste