| | Séance du jeudi 3 sept 2009 | |
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+10Admin mjid iabs MAB1909 pedro0502 moha Abderrahmane adil79 Pelican alibaba40internautes 14 participants | |
Auteur | Message |
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Admin Admin
Nbre méssages : 2820 Inscris le : : 11/08/2008
| Sujet: Re: Séance du jeudi 3 sept 2009 Jeu 3 Sep 2009 - 16:38 | |
| - fan a écrit:
- Admin a écrit:
- fan a écrit:
- que pensez vous des ptites capitalisations dans le giron de cette baisse du masi?
D'éxpérience :
Lorsque le Masi accélére, on vend les petites capitalisations et on achéte les big caps.
Lorsque les Big caps baissent, on vend les bigs caps et les small caps à la fois. ( Les small caps sont laissées à l'abandon, et les gérants ne s'en soucient pas car elles n'influencent pas leurs portefeuille ). Ils savent que le rendement et le gain global viendera des bigs caps. Le placement dans les small caps est spéculatif, ou trés long termiste. Elles figurent dans les portefeuilles comme étant des valeurs " éxotiques ". Alors qu'il y'a des fonds immobilier par exemple, aucun fonds n'est constitué pour investir dans les small caps cotées en bourse. ok et pourquoi ne pas dire le contraire,i.e, lorsue les bigs tombent, les smalls constituent un refuge qui peuvent aussi rapporter ? Se réfugier dans les small caps ? | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Séance du jeudi 3 sept 2009 Jeu 3 Sep 2009 - 17:07 | |
| - Admin a écrit:
- fan a écrit:
- que pensez vous des ptites capitalisations dans le giron de cette baisse du masi?
D'éxpérience :
Lorsque le Masi accélére, on vend les petites capitalisations et on achéte les big caps.
Lorsque les Big caps baissent, on vend les bigs caps et les small caps à la fois. ( Les small caps sont laissées à l'abandon, et les gérants ne s'en soucient pas car elles n'influencent pas leurs portefeuille ). Ils savent que le rendement et le gain global viendera des bigs caps. Le placement dans les small caps est spéculatif, ou trés long termiste. Elles figurent dans les portefeuilles comme étant des valeurs " éxotiques ". Alors qu'il y'a des fonds immobilier par exemple, aucun fonds n'est constitué pour investir dans les small caps cotées en bourse. Ce sort des small caps est apparement le même que celui de l'être humain quant à la nouriture. Un humouriste a dit un jour : Les pauvres meurent de faim; Les riches meurent de cancers car ils mangent trop. Moralité de l'histoire : on mange ou on ne mange pas, on crève quant même. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Séance du jeudi 3 sept 2009 Jeu 3 Sep 2009 - 18:29 | |
| - agora a écrit:
- Admin a écrit:
- fan a écrit:
- que pensez vous des ptites capitalisations dans le giron de cette baisse du masi?
D'éxpérience :
Lorsque le Masi accélére, on vend les petites capitalisations et on achéte les big caps.
Lorsque les Big caps baissent, on vend les bigs caps et les small caps à la fois. ( Les small caps sont laissées à l'abandon, et les gérants ne s'en soucient pas car elles n'influencent pas leurs portefeuille ). Ils savent que le rendement et le gain global viendera des bigs caps. Le placement dans les small caps est spéculatif, ou trés long termiste. Elles figurent dans les portefeuilles comme étant des valeurs " éxotiques ". Alors qu'il y'a des fonds immobilier par exemple, aucun fonds n'est constitué pour investir dans les small caps cotées en bourse. Ce sort des small caps est apparement le même que celui de l'être humain quant à la nouriture.
Un humouriste a dit un jour : Les pauvres meurent de faim; Les riches meurent de cancers car ils mangent trop. Moralité de l'histoire : on mange ou on ne mange pas, on crève quant même. je pense que cet humoriste l'a dit la nuit :dance: |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Séance du jeudi 3 sept 2009 Jeu 3 Sep 2009 - 18:32 | |
| @agora et @adm non franchement, lors du dernier crash, en avril ou pense je pense, j'avais bien réalisé de bonnes+V dans les smalls: DST, BER . Et il y a des malls qui profitent bien de la baisse des grandes. |
| | | torreszn
Nbre méssages : 235 Humeur : septique Réputation : 9 Inscris le : : 06/09/2008
| Sujet: Re: Séance du jeudi 3 sept 2009 Jeu 3 Sep 2009 - 18:37 | |
| Votre tableau de bord ici -> https://bourse-maroc.forumactif.org/portal.htm En travaux
Un travail de développement et d'amélioration qui merite un encouragement certain. personnellement je visitais ce site qui me donnait des indications tres utiles quand à la prise de décision notamment les transactions en direct via le site de SBC et les carnets d'ordre en profondeur. Cela sera d'une grande utilité si possibilité il y a de recuperer ces rubriques.(sachant tous que cela reste presque de l'exlusivité des SB pour commercialiser leur site). Une indication sur l'evolution des principales places boursieres internationales apporterai un plus au site. Ne pas melanger dans la disposition les journeaux quotidiens et hebdomadaires. voila qq remarques personelles que je voudrais donner tout en souhaitant un tres bon courage au initiateur de ce site tout en etant convaincu que chaque travail est recompensé ici ou ailleurs et d'une maniere ou d'une autre. Bonne chance!! | |
| | | kamel99
Nbre méssages : 410 Humeur : Tranquille Réputation : 8 Inscris le : : 08/11/2008
| Sujet: rlais Jeu 3 Sep 2009 - 21:00 | |
| - agora a écrit:
- La prédiction d'un tsunami (en occident) par Belkheyate est pour demain.
A mon avis, elle est de la même nature que l'apparition de Mars à côté de la lune le 27/08/09.
Néanmoins, plusieurs intervenants bien de chez nous vont la prendre pour argent comptant et en dirhams en plus.
Donc, il faut s'attendre à une journée de massacre à Casa, ou encore pour positiver, à une journée de soldes dont profitront les initiés aventureux.
Le Masi sera malmené surtout à cause de l'arbitrage Casa/Paris de IAM.
ADH risque de donner des sueurs froides à plusieurs d'entre nous avant de se ressaisir quelques jours après.
Les bancaires risquent de jouer au yoyo sur une tendance baissière comme même.
Certaines smalls cap risquent de profiter de la secouse des grosses.
N.B : SIMPLE REFLEXION PERSONNELLE D'UN NON INITIE J'ai lu la note, il parlais du Dow pour le 4 Sept 2009, BELKHAYATE est conseiler chez BMCE il a donc une grande influance dans la place. d'apres lui la reprise sera pour octobre. Bon courrage a tous et bravo M. ADMIN pour le PORTAIL _________________ «Il perd, celui qui sait ce qu'il va faire s'il gagne. Il gagne, celui qui sait ce qu'il va faire s'il perd.» [ Nicolas Machiavel ]
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| | | adil79
Nbre méssages : 1104 Humeur : zee Réputation : 6 Inscris le : : 08/09/2008
| Sujet: Re: Séance du jeudi 3 sept 2009 Ven 4 Sep 2009 - 0:52 | |
| Télécommunications : FinanceCom et CDG se partagent le capital de Meditelecom
* FinanceCom et CDG acquièrent 64,36% du capital de Méditelecom pour un montant de 800 millions d’euros. Ils détiennent désormais, à parité égale (50-50), la totalité du capital du second opérateur national de télécommunications. * Fortes ambitions de développement en Afrique subsaharienne. Après plusieurs mois de supputations, avec les scénarii les plus improbables, le «sort» de Meditelecom est définitivement scellé. En effet, depuis lundi dernier, le tour de table du deuxième opérateur télécom national est devenu à 100% marocain avec le rachat de la totalité des parts de Portugal Telecom (PT) et de Telefonica par les groupes FinanceCom et CDG. Ainsi, à travers l’accord conclu, ces derniers ont acquis 64,36% du capital de Meditelecom pour la bagatelle de 800 millions d’euros, soit un peu plus de 9 milliards de DH. Déjà présents dans l’actionnariat de l’opérateur, FinanceCom et la CDG détiendront, in fine, à la réalisation de cette transaction, à parité égale, la totalité du capital de Medi Telecom. Il faut dire que l’aboutissement d’une telle opération n’était guère chose facile, comme l’a d’ailleurs précisé le président de FinanceCom, Othman Benjelloun. Il a fallu plusieurs mois d’âpres négociations, d’autant plus que les deux groupes n’étaient pas les seuls en lice pour la reprise de Portugal Telecom et Telefonica. Il y avait, en effet, sept autres repreneurs potentiels intéressés. «Nous avons jugé qu’il y avait là une formidable opportunité pour leurs partenaires marocains, en l’occurrence les groupes CDG et FinanceCom, de se porter acquéreurs de ces participations, étant donné leur connaissance intime de l’entreprise, leur présence active depuis le démarrage de son activité et leur confiance dans son potentiel et dans celui du marché marocain des télécommunications», souligne Anas Alami, DG de la CDG. Et, comme l’a dit Benjelloun, «PT et Telefonica ont fait le meilleur choix possible, d’autant plus que nous étions déjà présents dans le tour de table». Cet engouement aura certainement contribué à valoriser davantage Meditelecom, quand bien même Alami en a minimisé quelque peu l’impact. Toujours est-il que les différentes parties semblent, chacune, avoir fait une bonne affaire. En cela, d’après son Directeur général, Zeinal Bava, cité par Reuters, Portugal Telecom devrait tirer une plus-value nette de 270 millions d'euros de cette cession.
Quant à la partie marocaine, elle hérite d’un opérateur solide qui présente des potentialités de développement non négligeables. Il faut savoir, à cet effet, que Meditelecom représente 36,7% de parts de marché, plus de 8,5 millions de clients, un chiffre d’affaires supérieur à 5 milliards de dirhams et un revenu net annuel dépassant 500 MDH. «En moins de dix ans, elle a investi 25 Mds de DH et son plan d’investissement 2008-2011 prévoit 4 Mds de DH, autofinancés à 75%», souligne Benjelloun. Actuellement, l’opérateur emploie directement 1.000 salariés et, indirectement, 18.000 personnes, avec un réseau de distribution de 7.000 points de vente, en plus de 30.000 autres où ses produits sont disponibles. Modèle à succès du partenariat euro-méditerranéen, Meditelecom a désormais ouvert une nouvelle page de son histoire en devenant un opérateur marocain à 100%, avec suffisamment d’expertise pour poursuivre sur la voie de la croissance. En réalité, depuis bien longtemps, l’opérateur était devenu indépendant tant sur les aspects techniques que technologiques, «Telefonica et PT étant davantage des actionnaires financiers». D’ailleurs, martèle Benjelloun, «son millier de salariés ne compte que quatre étrangers opérant dans le domaine de la finance». De quoi rendre fier Othman Benjelloun pour qui «cette transaction d’acquisition de la totalité du capital de Meditelecom par les groupes FinanceCom et CDG montre que des groupes marocains ont l’envergure de se substituer à quiconque des investisseurs étranger décide de céder ses parts pour des raisons qui lui sont propres et qui n’ont rien à voir ni avec la santé financière de la société, ni avec celle, économique, du Maroc».
Nouveaux horizons
Après une dizaine d’années d’existence, voilà donc de nouveaux horizons qui s’ouvrent pour le second opérateur national, détenteur de trois licences de téléphonie fixe et mobile. Un opérateur qui dispose désormais d’une marge de manœuvre encore plus importante, d’autant plus que le processus de prise de décision sera moins lourd qu’auparavant, notamment du temps où l’opérateur comptait dans son tour de table quatre actionnaires détenteurs de parts du capital plus ou moins proches. Une marge de manœuvre que FinanceCom et CDG comptent mettre à profit pour nourrir des ambitions de développement encore plus importants, en restant notamment ouverts à toute opportunité de partenariat et d’activité et en ciblant notamment des marchés porteurs comme l’Afrique subsaharienne. Othman Benjeloun ne dit d’ailleurs pas autre chose. Selon lui, «l’avenir des infrastructures, comme celle des Télécoms, se trouve également sur ce continent où vivent près d’un milliard d’habitants». Dans le même sens, Anas Alami tient à souligner que «nous n’avons pas de position arrêtée par rapport aux partenariats potentiels, et nous pouvons parfaitement envisager un jour d’ouvrir le capital à nouveau à un opérateur télécoms international». Reste que, poursuit-il, «ceci se fera en fonction de la qualité du partenariat que les actionnaires marocains pourront développer avec cet opérateur et de la valeur ajoutée qu’il peut apporter à Méditel». De même, l’introduction en Bourse d’une partie du capital de l’opérateur n’est pas à exclure dans le futur.
D. W. |
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| | | adil79
Nbre méssages : 1104 Humeur : zee Réputation : 6 Inscris le : : 08/09/2008
| Sujet: Re: Séance du jeudi 3 sept 2009 Ven 4 Sep 2009 - 1:03 | |
| Immobilier : Malgré les remises, le marché stagne
* Le ralentissement du secteur se manifeste au niveau des ventes de ciment, des crédits immobiliers et des autorisations de construire.
* Faute de visibilité pour les années à venir, les promoteurs ont boudé le créneau de l’économique.
* Les professionnels prônent de nouvelles mesures incitatives pour développer le secteur. L’opération Retour des MRE durant la période estivale n’a pas boosté le secteur de l’immobilier comme l’espéraient les promoteurs. La crise économique a impacté les revenus de nos compatriotes à l’étranger et, de ce fait, leur capacité d’investissement s’est rétrécie. La baisse de la demande a poussé à la régression du marché ou du moins causé sa stagnation.
Le crédit à l’immobilier a, pour sa part, accusé un net ralentissement durant le premier semestre de l’année. Le volume a atteint 164,2 Mds de DH au cours du premier semestre de l’année, soit une progression de 19,4%. Alors que durant la même période de l’année dernière la croissance a dépassé les 50%.
Autre indicateur du secteur : la quasi-stagnation de la consommation de ciment du mois de mai 2009. Elle a atteint près de 1,4 million de tonnes contre 1,36 millions de tonnes en mai 2008, soit une petite progression de 2,35% et une augmentation de 4,38% par rapport au mois d’avril 2009.
Le cumul de la consommation de ciment à fin mai n’a enregistré qu’une baisse de 0,78%, passant de 6,21 millions de tonnes à fin mai 2008 à 6,16 millions de tonnes à fin mai 2009. Dans certaines villes comme Tanger ou Marrakech, c’est une véritable déprime. Des chantiers sont bloqués faute d’acquéreurs. Malgré les rabais et autres remises octroyées, la demande n’a pas suivi. Dans certains projets, la réduction des prix a atteint les 40 voire 50%. Les campagnes publicitaires n’ont eu qu’un effet limité. «Le marché a évolué en forte croissance durant les deux dernières années, surtout fin 2007 et début 2008. Les prix sont devenus moins attrayants et inaccessibles surtout pour la clientèle étrangère à la recherche de produits bon marché», souligne Christian Marel, agent immobilier à Marrakech.
Le marasme se manifeste également au niveau des autorisations de construire qui commencent à diminuer par rapport à l’année dernière.
A Casablanca et Rabat la tendance est à la stabilité et le marché affiche des prix de plus en plus raisonnables.
«La moyenne des prix se situe entre 11 et 13.000 DH le mètre carré dans les quartiers résidentiels au centre de Casablanca. Pour le très haut standing les prix démarrent à partir de 15.000 DH», indique-t-on auprès d’une agence immobilière. Autre indicateur de la stabilité du marché : le recul progressif de la pratique du «noir». Certains promoteurs, pour des raisons de transparence, déclarent tout le montant de l’opération. D’autres ont réduit considérablement le montant exigé. « Avec la concurrence existante et la croissance de l’offre dans le segment moyen et haut standing, rares sont les promoteurs qui demandent actuellement plus de 20% de la transaction. Ils ont intérêt à suivre la tendance du marché et à écouler leur produit pour respecter leur engagement vis-à-vis de leur banque et continuer leur expansion à travers de nouveaux projets », souligne un promoteur immobilier à Casablanca.
Dans l’ensemble, c’est le segment des résidences touristiques ou secondaires qui a été fortement impacté par le retour de tendance. Les différents promoteurs qui ont investi dans des complexes immobiliers de la région de Casablanca, notamment le long du littoral, surtout à Dar Bouazza et Bouznika, peinent à écouler leurs produits. Bien que les prix aient été à maintes reprises revus à la baisse. Les acquéreurs - conjoncture défavorable oblige - estiment que les prix sont hors de portée. A Dar Bouazza, le mètre carré des villas se négocie autour de 9 à 10.000 DH alors qu’une année plutôt les prix frôlaient les 15.000 DH.
La détente des prix a touché également les matériaux de construction et la baisse de régime a entraîné une disponibilité de main-d’œuvre.
Seul le segment du logement économique continue de suivre des tendances haussières. Le succès du produit fait que ce type de logement se vend toujours sur plan. Les acquéreurs peuvent parfois attendre plus d’une année, voire deux ans, pour pouvoir disposer de leur propriété.
C. J. |
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