Séance du Jeudi 15 Octobre 2009

Méditel mobilise 2,25 M DH à l’action sociale

Méditel s’engage à parrainer quinze écoles primaires publiques dans le cadre de sa dynamique de mobilisation générale autour de l’éducation. Une initiative financée à hauteur de 2,25 millions de dirhams par cet opérateur.

«Méditel soutient et soutiendra le développement social du Maroc», a affirmé Mohamed Elmandjra, directeur général de Méditel. Cette déclaration a été faite lors d’une cérémonie de signature d’une convention, jeudi 8 octobre, à Casablanca. «De telles occasions permettent à Méditel de partager et de rendre à la société. Aujourd’hui, nous nous engageons à parrainer quinze écoles primaires publiques et je trouve que c’est un des meilleurs retours sur investissement que de s’attaquer à l’éducation», explique M. Elmandjra. En effet, cette initiative s’inscrit dans le cadre du programme Médi écoles qui, à son tour, rentre dans la dynamique de mobilisation générale autour de l’éducation, axe majeur de l’action citoyenne de Méditel. Dans ce sens, Méditel a signé une convention de partenariat avec l’association Al Jisr et les Académies régionales de Casablanca, Marrakech, Chaouia-Ouardigha et Tanger-Tétouan pour le parrainage de quinze écoles primaires en milieu périurbain et rural. Au total, ce sont près de 1.500 élèves qui bénéficieront de ce projet. Une initiative, financée à hauteur de 2,25 millions de dirhams par Méditel. Une somme considérable qui servira à la réhabilitation des infrastructures des établissements scolaires parrainés, à l’aménagement et l’équipement de bibliothèques et de salles multimédias dans ces établissements, à l’organisation d’activités parascolaires (culturelles, sportives et artistiques) et à la formation des enseignants aux NTIC. «Le niveau de développement d’un pays n’est pas uniquement lié à ses indicateurs économiques et à ses équilibres financiers mais aussi à ses performances sociales et à la qualité de son capital humain. C’est pourquoi la mise à niveau de l’école et du système éducatif dans son ensemble est l’affaire de toute la société et en premier lieu des opérateurs économiques», a déclaré M’hammed Abbad Andaloussi, président de l’association Al Jisr. Cette dernière se donne pour mission de soutenir l’école dans son effort de réhabilitation et de mise à niveau et de contribuer à l’amélioration des performances du système éducatif de notre pays. En particulier, l’association œuvre à la sensibilisation et à la mobilisation du réseau entrepreneurial pour une implication dans l’éducation. Cette implication se traduit par un appui multiforme à l’école dans le cadre de comités de soutien appelés à se constituer en sections locales de l’association.

Par : Dounia Mounadi

Maroc : Intégra Bourse défend ses programmes de rachat

« Il n’y a pas de dérapage ». C’est ce que laisse entendre Intégra Bourse au sujet du programme de rachat du Cartier Saada. Rappelons que les Finances avaient supprimé les prix planchés des programmes pour réanimer le marché. Cette dérogation a expiré le 30 juin. Au-delà de cette date, le CDVM a, vivement, recommandé de revenir au principe prix maximum d’achat et prix minimum de vente tout en réajustant les notes d’informations à ce titre, fait on valoir auprès d’Intégra Bourse. (Source : L’Economiste)

Maroc : Résultats semestriels - Mieux que prévu


Sans gros éclats, mais néanmoins consistantes. La contagion tant redoutée de la crise chez nos partenaires économiques sur les performances des sociétés cotées n’a pas eu lieu. Les résultats semestriels de ces entreprises sont bien meilleurs que prévu. Ils mettent en évidence le bon comportement général des entreprises financières (ce qui est au demeurant une continuité historique pour ce secteur) et, dans une moindre mesure, des holdings, mais confirment la méforme affichée par les valeurs industrielles, compte tenu des effets de la crise sur leur activité. Ainsi, les financières voient leur PNB, principalement généré par les banques, progresser de 12% à plus de 14 milliards de DH. Dans ce total, les banques contribuent pour 13,6 milliards de DH. Pour les sociétés de financement, le revenu est plus confiné. Quand les sociétés de crédit à la consommation enregistrent un PNB de 611 millions de DH en hausse de 5%, les sociétés de leasing, elles, affichent un revenu en hausse de 6%, à 165 millions de dirhams. Dans cette lignée, les assurances totalisent un chiffre d’affaires de près de 3 milliards de DH en progression de 13,5%. Ce secteur a été porté par les réalisations de Wafa Assurance qui totalise plus de 59% des primes émises du secteur. Enfin, les holdings qui drainent un chiffre d’affaires de 21 milliards de DH avancent à peine de 2% accaparés par l’ONA à hauteur de 87%. A l’inverse, la cote des sociétés industrielles est en berne. Leurs capacités bénéficiaires s’effritent de près de 12% pour se fixer à 65 milliards de DH. Le repli de 42% des revenus du secteur des pétroles et mines à 13,2 milliards de DH, y est pour beaucoup. Une baisse qui n’a pas été compensée par les bons revenus d’IAM (14,6 milliards de DH). De l’autre côté, Samir, qui accapare plus de 88% du chiffre d’affaires du secteur, ne décolle pas. La société affiche des revenus dégradés de 44%. Même constat pour Managem dont le chiffre d’affaires se contracte de 23%. Cependant, les revenus de l’agroalimentaire, du ciment et de l’immobilier passent en zone positive. En effet, le ciment progresse aussi de près de 10%, tandis que l’alimentaire limite son évolution à 0,8%. L’immobilier, pour sa part, constate un bond de 127% de son chiffre d’affaires à 4,1 milliards de DH. Dans ces conditions, la capacité bénéficiaire globale du semestre ressort à plus de 18 milliards de DH pour s’élargir de 13% comparativement à fin juin 2008. Toutefois en retraitant, la plus-value réalisée par ONA-SNI sur la cession partielle à Zain de ses participations dans Wana, la capacité bénéficiaire du marché recule de près de 2 milliards de DH (1,1%). Ce sont essentiellement les entreprises financières et notamment les banques qui contribuent à la capacité bénéficiaire globale : 93% émanent d’elles. Les banques enregistrent un résultat de 3,8 milliards de DH, en amélioration de 6,2%. Cette évolution englobe la dégradation des résultats du CIH et du Crédit du Maroc. Les bénéfices des sociétés de portefeuille bondissent, pour leur part, de 143% à 3,7 milliards de DH, essentiellement tirés part la plus-value exceptionnelle sur Wana. Sans cela, les holdings perdraient près de 7 points à 1,4 milliard de DH. Des projections qui confirment les performances semestrielles : En parallèle, le résultat net des sociétés de crédits à la consommation recule à 210 millions de DH, tandis que celui des entreprises de leasing progresse de 10% à 73 millions de DH. Même constat pour les assureurs dont les bénéfices se contractent de près de 4% à 455 millions de DH, compte tenu de la dégradation de plus de 50% du résultat d’Atlanta. Idem pour les entreprises industrielles, qui voient leurs bénéfices se déprécier de 2,7% à 10 milliards de DH. Et pour cause, la forte contraction (79,8%) des bénéfices de l’industrie métallurgique et des valeurs du secteur automobile. De leur côté, l’immobilier, les cimenteries et les télécoms s’en sortent bien et améliorent, ainsi, leurs résultats. Dans ce sillage, le marché revoit ses projections de croissance à la hausse et table sur une capacité bénéficiaire à fin décembre 2009 de l’ordre de 17% à 31,4 milliards de DH. Celle-ci stagnerait au même niveau en 2010. Dans ce sillage, le marché prévoit un PER pour la place de 17,4 fois à fin décembre et 17,5 fois en 2010. Le marché pourra à partir de là laisser apparaître un potentiel de croissance de l’ordre de 4,8% pour les deux prochaines années. (Source : L'Economiste)

sauf au Maroc ,l' économie est entrain de se rétablir par tout à travers le monde .
la relance de notre économie est pour quand?

Maroc : Résultats semestriels - Les indices boursiers avaient anticipé l’embellie

Premier semestre à rebondissement à la Bourse de Casablanca. Après un début d’année très difficile marqué par l’intervention massive des institutionnels à travers les «dressing windows», la place casablancaise a retrouvé des couleurs en fin de semestre. Les deux indices, le Masi et le Madex, ont achevé les six premiers mois de l’année sur de remarquables performances après les réalisations catastrophiques de janvier 2009 où ils ont atteint leurs plus bas niveaux, autour de 9.406. Ainsi, l’indicateur de toutes les valeurs du marché progresse de 11,41%. Pour le baromètre des valeurs les plus liquides, la progression est un peu plus importante, 11,75%. Dans ces conditions, Masi et Madex terminent le semestre en se bonifiant respectivement de 5,50% à 11.588,55 points et 5,15% à 9.527,15 points. «Partant, la Bourse a commencé à présenter des niveaux de valorisation attractifs pour de nouveaux investisseurs». Ce retournement de tendance s’est traduit par la hausse de certaines valeurs compte tenu de bonnes perspectives des résultats des sociétés cotées. Conséquence: un trend haussier entrecoupé de phases de prise de bénéfices, un retour progressif de la confiance et une performance annuelle de 5,5%. Une réalisation qui permet à la Bourse de se hisser au cinquième rang des meilleures performances de la région Mena, juste devant son homologue du Koweït (3,8%) et derrière Dubaï (9,1%) dans un classement dominé par le marché de Tunis (27,1%). En dépit de l’effet de la crise sur certains secteurs au cours du 1er trimestre, les analystes ont pu projeter qu’une grande partie des entreprises cotées verront leur capacité bénéficiaire progresser. En effet, les prévisions tablent sur une croissance des bénéfices pour 2009 de l’ordre de 16%. Fruit de ces réalisations, la capitalisation s’élargit de plus de 46 milliards de DH d’un trimestre à l’autre pour se fixer à près de 552 milliards à fin juin. Une capitalisation principalement concentrée sur les valeurs phares de la cote, notamment IAM, AWB et Addoha, respectivement avec 123,8 56 et 42 milliards de DH. Concernant le volume, le bilan semestriel reste la plus grande déception. «Les institutionnels traditionnellement actifs en fin de semestre se font toujours attendre», indique un analyste. En témoigne le recul notable enregistré. «En effet, avec un volume moyen quotidien de 307 millions de DH, nous sommes loin des 713 millions de DH de volumes quotidiens drainés en 2008», constate stupéfait notre analyste. A signaler que le marché central demeure principalement animé par Addoha, IAM et AWB qui se sont accaparés plus de 41,7% des volumes drainés, à respectivement 8,4, 5 et 3 milliards de DH. De son côté le marché de blocs a enregistré un flux de 15 milliards de DH contre 8,4 milliards en 2008. Côté physionomie, le marché a vu les «small» et «mid» capitalisations performer. En témoigne le palmarès des plus fortes hausses du semestre qui a été dominé par CTM. Sa valeur s’est alors bonifiée de plus de 72,5% à 340 DH. Aluminium du Maroc suit le transporteur de près avec un bond de près de 66% à 1.080 DH. Dans ce classement, les minières ne sont pas en reste. En effet, Imiter et Touissit ont occupé les troisième et quatrième places respectivement en hausse de 61% à 716 DH et 60% à 813 DH. Un peu plus loin, Addoha s’en est bien sortie en avançant de 43,7% à 148,5 DH. A l’inverse, Ciments du Maroc et Auto Nejma occupent les deux dernières places du classement des plus fortes baisses. Les titres ont respectivement régressé de 33,75% à 1.325 DH et 31,43% à 1.680 DH. Du point de vue rendement, et en dépit de la correction de septembre dernier, le marché reste globalement plus rémunérateur par rapport aux obligations et au monétaire. En effet, plus de la moitié des valeurs offre un rendement de 4,5%, soit un niveau plus important que celui offert par les bons du Trésor. (Source : L'Economiste)

lecteur a écrit:

Salam,
Espérons que le MASI va rebondir sur son support fibo ou sa mm200. Il est tout proche des deux
Bon trade à tous.

Je suis encore plus pessimiste, le masi commence à fléchir avec des résistances " long terme ".




ceci corrobore le fait qu'on évolue toujours dans un couloir baissier stratégique d'autant plus que lors de la hausse le masi n'a pas réussi à combler 50% de sa vague baissiére.

A court-moyen terme, le masi évolue dans un canal baissier dont le sommet avait été tésté sans bris :

IBM entre dés maintenant en sur-achat...la cible stratégique c'est 419...


ce qui est joli chez elle, c'est qu'elle ne peut pas etre déclarée RH ( enfin d'aprés ce que je pense )

Pelican a écrit:

IBM entre dés maintenant en sur-achat...la cible stratégique c'est 419...

ce qui est joli chez elle, c'est qu'elle ne peut pas etre déclarée RH ( enfin d'aprés ce que je pense )

Hi,

Pourquoi pas de RH? il y aura toujours des vendeurs

Regards

@ bamoulay: Du nouveau concernant MLE?

Abderrahmane a écrit:

sauf au Maroc ,l' économie est entrain de se rétablir par tout à travers le monde .
la relance de notre économie est pour quand?

nous sommes à l'envers par rapport au monde :loos

CTM +5.90%