| | Séance du Vendredi 22 Janvier 2010 + Week End | |
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+17newline Admin lecteur habib AbaRhita Abderrahmane alibaba40internautes KAMALIDIR YNM Bell chsalah kappi01 HASSANJILALI torreszn Pelican Denar DaRk-H 21 participants | |
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Invité Invité
| Sujet: Re: Séance du Vendredi 22 Janvier 2010 + Week End Ven 22 Jan 2010 - 23:21 | |
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| | | Abderrahmane
Nbre méssages : 688 Inscris le : : 21/07/2009
| Sujet: Re: Séance du Vendredi 22 Janvier 2010 + Week End Ven 22 Jan 2010 - 23:35 | |
| Bourse des valeurs de Casablanca La place résiste vaille que vaille fatima-zohra jdily Le : 2010-01-21
D’après les analystes financiers, les pertes de la bourse de Casablanca frôlent les milliards de dirhams. Cette tendance est inquiétante, d’autant plus que le marché boursier évolue dans le clair-obscur tout en donnant, lors de certaines séances, l’impression de monter. Au passage, le MASI, indice de toutes les valeurs cotées, est entré dans une spirale haussière à l’issue de laquelle il a ramené sa performance annuelle dans un territoire positif. Cependant, une telle hausse n’a ni la vigueur ni le rythme de la chute qui l’a précédée. Elle reste en effet molle, étalée sur le temps, et surtout elle intègre de fortes fluctuations en intraday comme en témoignent les fortes variations à la hausse, comme à la baisse, qu’enregistraient les indices au cours d’une même séance. En fait, la tendance baissière est bien installée et les temps ont bien changé. Qui est donc derrière ce plongeon ? Quels que soient les arguments avancés pour justifier la dégringolade spectaculaire de la place boursière, l'activité de la bourse de Casablanca est donc concernée par les répercussions de la débandade de Wall Street. Comment une place boursière peut être à l’abri alors que ses acteurs sont des opérateurs dans l’économie réelle qui n’est pas, elle, à l’abri de la crise mondiale.
Impact D’après une analyste financière d’Attijari intermédiation, la chute du marché intervient après la présentation des résultats qui s’annoncent globalement peu satisfaisants. Alors que la publication des résultats annuels des sociétés cotées est censée insuffler une nouvelle dynamique à la place casablancaise, c’est le contraire qui se produit. La société estime que les résultats décevants expliquent en partie le manque de hardiesse qui caractérise le marché. Certes, des dividendes ont été distribués, très importants d’ailleurs par rapport à l’année dernière, mais c’est insuffisant pour encourager les détenteurs de capitaux à investir en bourse. Une autre raison invoquée concerne le désintéressement et le manque de confiance, confirmés par le coup d’arrêt donné à de nouvelles introductions. En 2009 aucune introduction n’a été enregistrée. Il ressort des résultats à fin 2009 à que les principaux indicateurs alimentent les craintes des investisseurs et des petits épargnants. Trarem a opté pour un crédit bancaire au lieu de s’introduire en bourse. En effet, en octobre dernier, le fabricant de mobilier de bureau, en plein processus de souscriptions, a décidé de différer son introduction. De même, SGTM a choisi de reporter son introduction en bourse. S’agissant de Méditel et de Marjane, le management de ces sociétés parle désormais sans équivoque de différer ses plans. Lors de la présentation des résultats annuels de l’ONA, Mouatassim Belghazi, président du groupe, en réaction à la proposition du directeur de CFG marché, Younès Benjelloun, d’introduire Marjane en bourse, avait répondu : «Vous conviendrez que ce n’est pas le bon moment.» Quant à Méditel, Mohamed El Mandjra ne laissait place à aucun doute. S’exprimant sur une éventuelle introduction, il a déclaré que le deuxième opérateur des télécoms préfère attendre avant de s’engager dans des transactions pour le moment incertaines sinon périlleuses. Kamal Bennani, directeur commercial à Orange Asset Management, souligne pour sa part que les niveaux de valorisation auxquels peuvent actuellement prétendre les émetteurs sont bas. Et pour cause. Mises à part les différentes méthodes d’évaluation, le vrai benchmark pour fixer la valeur d’un titre demeure la valorisation du marché. En contexte baissier, les titres nouvellement introduits doivent être raisonnablement valorisés pour trouver preneur.
Jamais, depuis 1993, la Bourse de Casablanca n’a eu à réfléchir sur sa crise ni à chercher les moyens de dépasser les chocs. Au moment où certains expliquent la baisse des indicateurs de la place boursière par la conjoncture difficile, certains avancent d’autres raisons. D’après Mustapha Belkhayat, trader et analyste financier à la tête d’un fonds canadien, la forte chute cumulée n’est pas le résultat d’un manque de confiance. Pour lui, la place boursière marocaine manque de profondeur : nombre restreint d'intervenants sur le marché (sociétés de bourse, banques et fonds de gestion) et de sociétés admises à la cote (53 aujourd'hui, SOMAFIC ayant été radiée par manque de transparence); conditions d'admission à la cote peu flexibles et décourageantes, surtout pour les jeunes sociétés; régime fiscal jugé très contraignant, que ce soit pour les institutionnels ou pour les petits porteurs. Le trader précise par ailleurs que l’attractivité réelle de toute bourse dépend de son mode de gouvernance, de sa transparence et de sa connexion réelle à l’économie dans laquelle elle opère. Il souhaite que la correction soit "salutaire" et ce, en retrouvant les niveaux de valorisation en phase avec les fondamentaux des sociétés cotées et de l’économie en général afin d’attirer encore plus d’investisseurs, locaux et étrangers. D’après lui, c’est le moment ou jamais pour changer de cap et inciter les investisseurs étrangers à miser sur la place financière. Ce n’est pas tout. Seul un renforcement et un élargissement de l’assiette des sociétés cotées et cotables est capable de renverser la vapeur, recommande-t-il. Quant à Mohamed Berrada, ex-ministre des Finances, il soutient que c’est en situation de crise qu’il faut préparer la reprise. Il prône la mise en place d’un plan structurel d’anticipation, au lieu d’un plan conjoncturel consommé à court terme comme c’est le cas pour la solution des rachats d’actions pour animer la place boursière
http://www.lobservateur.ma/interne.php?reference=2297 | |
| | | Denar
Nbre méssages : 1588 Réputation : 11 Inscris le : : 18/05/2009
| Sujet: Re: Séance du Vendredi 22 Janvier 2010 + Week End Sam 23 Jan 2010 - 0:40 | |
| Commentaire de Marché | | | | A l'image des dernières séances, le marché témoigne en cette fin de semaine d’une certaine nervosité et d’une hésitation de la part des investisseurs. Ainsi les indices ont clôturé sur des notes négatives, et l'indice CFG25 a perdu 0.67%, après avoir touché au plus bas de la journée 22529 points, soit une baisse de 0.88%. La performance annuelle s’établit à – 4.32%.
Globalement la nervosité des investisseurs s’est traduite par un fort mouvement vendeur sur la quasi totalité des valeurs, en témoigne le cas de Maroc Telecom, Addoha, ONA, Attijariwafa Bank, BMCE et Alliances développement.
Les échanges, quant à eux se sont maintenus durant cette séance atteignant 155 MDH. Ils demeurent néanmoins concentrés sur les bluechips habituelles, à savoir Addoha, Maroc Telecoms et ONA, soit une part de 67%. Addoha, qui débute la séance au plus haut à 117.60 DH, avant de subir une forte pression à la vente touchant les 115.95 DH et puis se ressaisir en fin de séance à 116.60 DH. Notons que plus de 324k titres ont été échangés, dont plus de 212k, soit 65% du volume le dernier quart d’heure de la séance.
Sur un autre registre, ONA a terminé la session sur une note positive, après n’avoir traité aux alentours des 1330 DH qu’en fin de séance, la valeur enregistre 1349 DH en clôture, traitant au plus bas à 1280 DH après l’échange de plus de 14600 titres. Toujours parmi les grandes capitalisations, Attijariwafa Bank et la BMCE ont suivi la tendance globale du marché subissant un mouvement vendeur en fin de séance et clôturant respectivement en baisse de 1.99% et 0.38%.
Au niveau des small et mid caps, signalons l’animation sur la Autohall et Lydec, cette dernière qui a évolué de 330 DH en ouverture à 346 DH réalisant 4.54% de hausse.
Graphiquement, l’indice CFG25 a ouvert la séance à 22701 points avant de clôturer à 22638 points, évoluant ainsi en dessous du niveau de résistance établit à 22750 points. Nous pensons que le baisse du marché devrait se poursuivre pour un premier objectif à 22400 points.
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| | | Denar
Nbre méssages : 1588 Réputation : 11 Inscris le : : 18/05/2009
| Sujet: Re: Séance du Vendredi 22 Janvier 2010 + Week End Sam 23 Jan 2010 - 1:06 | |
| Commentaire technique hebdomadaire Le marché clôture cette semaine sur une progression de + 0.76 %, soit un niveau d’indice à 22638 pts. Ainsi, après une ouverture à 22419 pts, le CFG25 a oscillé entre un plus haut à 22852 pts et un plus bas à 22391 pts. Sur la base d’observations journalières, l’indice se maintient légèrement au-dessus de sa moyenne mobile 200 jrs, et ce depuis sept séances. Néanmoins, le CFG25 a buté contre le niveau à 22800 pts, correspondant au retracement 61.80% de la vague 24000 pts– 19600 pts. Techniquement, le MACD hebdomadaire bien qu’en zone négative, évolue toujours audessus de son lissage exponentiel. Par ailleurs, l’indicateur de tendance relative reflète la persistance du courant acheteur, appuyé par un comportement positif de la volatilité. mineur la prudence, dans la mesure où l’indice a buté contre le pivot En dépit des signaux techniques positifs, l’analyse graphique et fractalienne plaident tout de même pour à 22800 pts.Au final notre scénario initial de baisse du marché est toujours maintenu, tout en fixant un pivot majeur à 24000 pts.
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| | | Denar
Nbre méssages : 1588 Réputation : 11 Inscris le : : 18/05/2009
| Sujet: Re: Séance du Vendredi 22 Janvier 2010 + Week End Sam 23 Jan 2010 - 1:12 | |
| Commentaire technique hebdomadaire Le marché clôture cette semaine sur une progression de + 0.76 %, soit un niveau d’indice à 22638 pts. Ainsi, après une ouverture à 22419 pts, le CFG25 a oscillé entre un plus haut à 22852 pts et un plus bas à 22391 pts. Sur la base d’observations journalières, l’indice se maintient légèrement au-dessus de sa moyenne mobile 200 jrs, et ce depuis sept séances. Néanmoins, le CFG25 a buté contre le niveau à 22800 pts, correspondant au retracement 61.80% de la vague 24000 pts– 19600 pts. Techniquement, le MACD hebdomadaire bien qu’en zone négative, évolue toujours audessus de son lissage exponentiel. Par ailleurs, l’indicateur de tendance relative reflète la persistance du courant acheteur, appuyé par un comportement positif de la volatilité. En dépit des signaux techniques positifs, l’analyse graphique et fractalienne plaident tout de même pour la prudence, dans la mesure où l’indice a buté contre le pivot mineur à 22800 pts. Au final notre scénario initial de baisse du marché est toujours maintenu, tout en fixant un pivot majeur à 24000 pts.
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| | | Denar
Nbre méssages : 1588 Réputation : 11 Inscris le : : 18/05/2009
| Sujet: Re: Séance du Vendredi 22 Janvier 2010 + Week End Sam 23 Jan 2010 - 1:26 | |
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صلاح الدين مزوار - جون بول فيتوسي فتح الله سجلماسي - باسم جاي حكيمي
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منتدى باريس يبحث بالدار البيضاء سبل الخروج من الأزمة قال وزير الاقتصاد والمالية، صلاح الدين مزوار، إنه «ينبغي أن نبقى حذرين، فلا يمكن الإعداد لما بعد الأزمة إلا بضمان هوامش التدخل خلال الأزمة»، مشددا على أن الآثار الكاملة للأزمة الاقتصادية لم تظهر بعد، بحيث ستتحلى الحكومة بالحذر بشأن تداعيات الركود الاقتصادي العالمي على المغرب. وتوقع مزوار خلال كلمة ألقاها في منتدى باريس، الذي عقد أول أمس الأربعاء بالدار البيضاء، أن الأزمة ستكشف عن المزيد من آثارها، و هذا ما يدفع الحكومة المغربية إلى التحلي باليقظة و الحذر. وركز محمد حوراني، رئيس الاتحاد العام لمقاولات المغرب، على التدابير التي اتخذت في المغرب من أجل تجاوز تداعيات الأزمة الاقتصادية، داعيا إلى ضرورة التسريع بوتيرة الإصلاحات التي ساهمت في الحد من تداعيات الأزمة. وعبر عن تطلعه إلى تحويل لجنة اليقظة الاستراتيجية من آلية لدعم القطاعات التي تعاني من الأزمة، إلى هيئة وطنية دائمة تواكب التنمية في المغرب، على اعتبار أنها أسهمت في توجبه الاقتصاد و اتخاذ قرارات فعاله و قابلة للتطبيق. ولاحظ باسم جاي حوكيمي، الرئيس المدير العام، لـ«أطلاميد» الذي كان يشغل في السابق منصب الرئيس العام لمجموعة «أونا» أن المغرب تعاطى بشكل إيجابي مع الأزمة الاقتصادية العالمية. وشدد على أن العوامل التي ساهمت في التخفيف من تداعيات الأزمة الاقتصادية تمثلت في ضعف الصادرات المغربية و طبيعة عمل النظام البنكي، مؤكدا على ضرورة إيلاء الاهتمام للتربية و التعليم والتركيز على المؤهلات الذاتية من أجل تحاشي تأثيرات الأزمة. وتطرق أنس العلمي، المدير العام لصندوق الإيداع والتدبير، إلى السبل الكفيلة ببروز تكتل اقتصادي إقليمي مؤهل للمنافسة، مشيرا إلى أن الأزمة الحالية ساهمت في انخفاض الصادرات والاستثمارات الأجنبية المباشرة و تراجع التحويلات وعائدات السياحة. وشدد على ضرورة تنمية الادخار وتوجيه الاستثمارات للقطاعات ذات المردودية الكبيرة والكفيلة بخلق قيمة مضافة مباشرة، والعمل على تكوين أسواق محلية تستجيب لمرحلة ما بعد الأزمة الاقتصادية. وذهب فتح الله السجلماسي، المدير العام للوكالة المغربية لتنمية الاستثمارات، إلى أن البعد القطاعي في التعاطي مع الأزمة، ساهم في المغرب في تفادي انعكاسات الأزمة، مشددا على أن الاستثمار يشكل السبيل الأفضل لمواجهة تلك الأزمة. منتدى باريس بحث سبل الخروج من الأزمة بالدار البيضاء، حيث انكب طيلة يوم خبراء و مسؤولون أجانب ومغاربة على دراسة الموضوع من مختلف جوانبه. لكي يصلوا إلى أن الأزمة ما زالت تقيم بيننا، بل إن النمو الاقتصادي المتوقع تحقيقه سيكون هشا،ضعيفا ومرتهنا للتوترات التي تختلف من حيث حدتها، خاصة أن الأزمة قد تتخذ في المستقل أبعادا غذائية وطاقية وبيئية.. والندوة التي اهتمت بـ«بناء ما بعد الأزمةّ»، لاحظت أن تدخل الحكومات في العالم لإنقاذ النظام المالي وقطاع صناعة السيارات وقع تحت طائلة «التواطؤ الاقتصادي» للوبي البنكي مطالبا الدول الكبرى برفع يدها عن الاقتصاد. وافترض بعض المشاركين في المنتدى أن العالم يواجه عالما جديدا، تفرض تساؤلات حول مستقبل النظام المالي الحالي، في اتجاه استمراره أو البحث عن نظام بديل، غير أن الاتجاه الذي ساد خلال النقاش رجح فكرة ضبط السياسات المالية وسن قواعد لعب جديدة للمنافسة واعتماد نظام للحكامة، من أجل كبح الانزلاقات التي أفضت إلى نشوب الأزمة المالية التي امتدت إلى الاقتصاد الحقيقي، الأمر الذي فرض تدخل الدول من أجل المساعدة في الإنقاذ، غير أن العديد من المداخلات أشارت إلى أن السلوكات السابقة للأزمة بدأت تطل برأسها من جديد ما أن بدأ بعض الضوء يظهر في آخر النفق. وشدد المنتدى على ضرورة تأهيل الموارد البشرية لتجنب تكرار الأزمة المالية العالمية وتجاوز تداعياتها الاقتصادية والاجتماعية بأسرع وقت ممكن، مؤكدا على أن تحليل أسباب الأزمة وقراءة نتائجها سيساعد الخبراء على وضع تصور جديد لنظام مالي قوي. وتوقع بعض المشاركين في الندوة أن تتفاقم الأزمة الاقتصادية في ظل ما سيعرفه العالم من زيادة في عدد السكان في العام، الذي سيواكبه تقلص المساحات القابلة للزراعة.. حيث نبه المتدخلون على هذا المستوى إلى الأزمة الغذائية في ظل ازدياد الطلب عليها، بل إن الندوة توقعت أن ترتفع أسعار المحروقات في السنوات القادمة، و إن شددت على أن الرؤية غير واضحة حول ما يمكن أن تكون عليه أسعار المواد الأولية بالنظر للمضاربة التي تكون موضوعها. وشهد المنتدى مشاركة ألبير مالي، رئيس منتدى باريس وجون بو فيتوسي، رئيس المرصد الفرنسي للظرفيات الاقتصادية وكريستيان بواسيو، رئيس مجلس التحليل الاقتصادي لدى الوزير الأول الفرنسي و فيليب ريشار، مدير اللجنة البنكية ببنك فرنسا وفيليب شارمان، الخبير في أسواق المواد الأولية.
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Séance du Vendredi 22 Janvier 2010 + Week End Sam 23 Jan 2010 - 12:26 | |
| - Denar a écrit:
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صلاح الدين مزوار - جون بول فيتوسي فتح الله سجلماسي - باسم جاي حكيمي
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منتدى باريس يبحث بالدار البيضاء سبل الخروج من الأزمة قال وزير الاقتصاد والمالية، صلاح الدين مزوار، إنه «ينبغي أن نبقى حذرين، فلا يمكن الإعداد لما بعد الأزمة إلا بضمان هوامش التدخل خلال الأزمة»، مشددا على أن الآثار الكاملة للأزمة الاقتصادية لم تظهر بعد، بحيث ستتحلى الحكومة بالحذر بشأن تداعيات الركود الاقتصادي العالمي على المغرب. وتوقع مزوار خلال كلمة ألقاها في منتدى باريس، الذي عقد أول أمس الأربعاء بالدار البيضاء، أن الأزمة ستكشف عن المزيد من آثارها، و هذا ما يدفع الحكومة المغربية إلى التحلي باليقظة و الحذر. وركز محمد حوراني، رئيس الاتحاد العام لمقاولات المغرب، على التدابير التي اتخذت في المغرب من أجل تجاوز تداعيات الأزمة الاقتصادية، داعيا إلى ضرورة التسريع بوتيرة الإصلاحات التي ساهمت في الحد من تداعيات الأزمة. وعبر عن تطلعه إلى تحويل لجنة اليقظة الاستراتيجية من آلية لدعم القطاعات التي تعاني من الأزمة، إلى هيئة وطنية دائمة تواكب التنمية في المغرب، على اعتبار أنها أسهمت في توجبه الاقتصاد و اتخاذ قرارات فعاله و قابلة للتطبيق. ولاحظ باسم جاي حوكيمي، الرئيس المدير العام، لـ«أطلاميد» الذي كان يشغل في السابق منصب الرئيس العام لمجموعة «أونا» أن المغرب تعاطى بشكل إيجابي مع الأزمة الاقتصادية العالمية. وشدد على أن العوامل التي ساهمت في التخفيف من تداعيات الأزمة الاقتصادية تمثلت في ضعف الصادرات المغربية و طبيعة عمل النظام البنكي، مؤكدا على ضرورة إيلاء الاهتمام للتربية و التعليم والتركيز على المؤهلات الذاتية من أجل تحاشي تأثيرات الأزمة. وتطرق أنس العلمي، المدير العام لصندوق الإيداع والتدبير، إلى السبل الكفيلة ببروز تكتل اقتصادي إقليمي مؤهل للمنافسة، مشيرا إلى أن الأزمة الحالية ساهمت في انخفاض الصادرات والاستثمارات الأجنبية المباشرة و تراجع التحويلات وعائدات السياحة. وشدد على ضرورة تنمية الادخار وتوجيه الاستثمارات للقطاعات ذات المردودية الكبيرة والكفيلة بخلق قيمة مضافة مباشرة، والعمل على تكوين أسواق محلية تستجيب لمرحلة ما بعد الأزمة الاقتصادية. وذهب فتح الله السجلماسي، المدير العام للوكالة المغربية لتنمية الاستثمارات، إلى أن البعد القطاعي في التعاطي مع الأزمة، ساهم في المغرب في تفادي انعكاسات الأزمة، مشددا على أن الاستثمار يشكل السبيل الأفضل لمواجهة تلك الأزمة. منتدى باريس بحث سبل الخروج من الأزمة بالدار البيضاء، حيث انكب طيلة يوم خبراء و مسؤولون أجانب ومغاربة على دراسة الموضوع من مختلف جوانبه. لكي يصلوا إلى أن الأزمة ما زالت تقيم بيننا، بل إن النمو الاقتصادي المتوقع تحقيقه سيكون هشا،ضعيفا ومرتهنا للتوترات التي تختلف من حيث حدتها، خاصة أن الأزمة قد تتخذ في المستقل أبعادا غذائية وطاقية وبيئية.. والندوة التي اهتمت بـ«بناء ما بعد الأزمةّ»، لاحظت أن تدخل الحكومات في العالم لإنقاذ النظام المالي وقطاع صناعة السيارات وقع تحت طائلة «التواطؤ الاقتصادي» للوبي البنكي مطالبا الدول الكبرى برفع يدها عن الاقتصاد. وافترض بعض المشاركين في المنتدى أن العالم يواجه عالما جديدا، تفرض تساؤلات حول مستقبل النظام المالي الحالي، في اتجاه استمراره أو البحث عن نظام بديل، غير أن الاتجاه الذي ساد خلال النقاش رجح فكرة ضبط السياسات المالية وسن قواعد لعب جديدة للمنافسة واعتماد نظام للحكامة، من أجل كبح الانزلاقات التي أفضت إلى نشوب الأزمة المالية التي امتدت إلى الاقتصاد الحقيقي، الأمر الذي فرض تدخل الدول من أجل المساعدة في الإنقاذ، غير أن العديد من المداخلات أشارت إلى أن السلوكات السابقة للأزمة بدأت تطل برأسها من جديد ما أن بدأ بعض الضوء يظهر في آخر النفق. وشدد المنتدى على ضرورة تأهيل الموارد البشرية لتجنب تكرار الأزمة المالية العالمية وتجاوز تداعياتها الاقتصادية والاجتماعية بأسرع وقت ممكن، مؤكدا على أن تحليل أسباب الأزمة وقراءة نتائجها سيساعد الخبراء على وضع تصور جديد لنظام مالي قوي. وتوقع بعض المشاركين في الندوة أن تتفاقم الأزمة الاقتصادية في ظل ما سيعرفه العالم من زيادة في عدد السكان في العام، الذي سيواكبه تقلص المساحات القابلة للزراعة.. حيث نبه المتدخلون على هذا المستوى إلى الأزمة الغذائية في ظل ازدياد الطلب عليها، بل إن الندوة توقعت أن ترتفع أسعار المحروقات في السنوات القادمة، و إن شددت على أن الرؤية غير واضحة حول ما يمكن أن تكون عليه أسعار المواد الأولية بالنظر للمضاربة التي تكون موضوعها. وشهد المنتدى مشاركة ألبير مالي، رئيس منتدى باريس وجون بو فيتوسي، رئيس المرصد الفرنسي للظرفيات الاقتصادية وكريستيان بواسيو، رئيس مجلس التحليل الاقتصادي لدى الوزير الأول الفرنسي و فيليب ريشار، مدير اللجنة البنكية ببنك فرنسا وفيليب شارمان، الخبير في أسواق المواد الأولية.
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mara mezouar dit pas de crise au maroc, tantôt il dit le contraire. je pense qu'il ferait mieux de s'occuper de son différend avec mansouri, ou baraka. |
| | | Admin Admin
Nbre méssages : 2820 Réputation : 36 Inscris le : : 11/08/2008
| Sujet: Re: Séance du Vendredi 22 Janvier 2010 + Week End Sam 23 Jan 2010 - 12:57 | |
| Cow-boys / Bandits
La Bourse va mal. Ce n'est pas faire preuve d'un pessimisme démesuré que de l'affirmer. C'est juste un constat. Pourtant, à voir les initiatives des différents intervenants du marché, l'on est tenté de croire qu'il y a une réelle volonté de sortir le marché boursier de l'ornière. Préparation d'un nouvel indice, bataille pour la reconduction des mesures fiscales incitatives en faveur des sociétés cotées, relookage de son site Web, mise en place d'un plan ambitieux de séduction des entreprises potentiellement cotables…, la Société gestionnaire est, à ce titre, sur beaucoup de fronts. Objectif : faire du marché boursier une place dynamique et liquide, offrant aux investisseurs du papier de qualité, en quantité suffisante.
La société gestionnaire n'est pas, pour autant, la seule à s'agiter comme un beau diable. Différemment, le gendarme du marché bouge également. A travers ses circulaires, il essaie, au mieux, de mettre en place un cadre réglementaire idoine permettant de protéger l'épargne investie. Et pour tous ceux qui osent faire entorse à la réglementation en vigueur, il remet les points sur les «i» et sanctionne. Souvent d'une manière assez désinvolte, pour ne pas dire laxiste. D'ailleurs, les relations entre le CDVM et les sociétés cotées et sociétés de Bourse rappellent un peu ce jeu auquel s'adonnaient les enfants à une époque lointaine : Cow-boys / bandits. S'inspirant des films western, les enfants, pistolets en carton comme arme, s'amusaient en effet à s'entretuer, l'un endossant le rôle de cow-boy bienfaiteur (ou «jeune homme», si l'on veut), les autres s'identifiant aux bandits de grands chemins traqués. C'était assez ludique, et tout se terminait par des éclats de rire
L'analogie peut paraître, à maints égards, risible. Pourtant, avec le recul, c'est ce qui semble se jouer sur le marché financier. Sauf qu'avec les tripatouillages des cours et autres agissements dépourvus d'éthique, le tout assorti d'impunité, il y a cette fois-ci de vraies victimes : de simples et inoffensifs épargnants. L'on peut alors comprendre que, malgré toutes les mesures initiées, le marché boursier s'embourbe encore dans l'atonie, fouetté par le vent frais de la circonspection et de la suspicion. F. Z. Ouriaghli |
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| | | Admin Admin
Nbre méssages : 2820 Réputation : 36 Inscris le : : 11/08/2008
| Sujet: Re: Séance du Vendredi 22 Janvier 2010 + Week End Sam 23 Jan 2010 - 12:58 | |
| Marché boursier : Beaucoup d’espoir pour 2010
* Le marché à terme et le plan d’épargne en actions n’étant pas d’actualité pour 2010, les autorités de tutelle se contentent de reconduire certaines incitations fiscales jusqu’en 2012.
* Plusieurs analystes estiment que le marché pourrait s’inscrire dans une tendance haussière dès le deuxième semestre. L’année 2010 à peine entamée, les analystes de la place commencent à faire leurs premières prévisions de l’exercice boursier en cours. C’est notamment le cas de BMCE Capital qui vient d’achever son «annuel boursier». D’autres sociétés de Bourse, contactées par nos soins, affirment qu’elles sont en phase de conclure leur rapport d’analyse. En attendant, nous vous proposons de faire le point sur les premiers signaux de ce que sera l’année boursière en cours. On notera, tout d’abord, que la communauté financière a bien accueilli la reconduction des incitations fiscales jusqu’en 2012. BMCE Capital et d’autres opérateurs de la place estiment que cette mesure contribuerait significativement à un retour de confiance des investisseurs et, de surcroît, un retour à la croissance. Pour rappel, les principaux catalyseurs que l’on espérait mettre en place en faveur du développement du marché boursier marocain, n’ont pas été retenus par les autorités publiques pour l’année en cours. Il s’agit, notamment, de la mise en place du marché à terme et du projet de mobilisation de l’épargne longue investie en Bourse, à travers le Plan d’épargne en actions et les abattements fiscaux en faveur des compagnies d’assurance. Par ailleurs, «sur le plan fondamental, la décélération de l’économie marocaine, prévue en 2010, devrait impacter l’activité d’une majorité de sociétés cotées à des degrés divers», annonce-t-on chez BKB. De ce fait, la capacité bénéficiaire de la place est attendue en quasi-stagnation au titre de l’année 2010, alors que les prochaines publications de résultats devraient afficher une hausse approximative de 17% des bénéfices de l’ensemble des sociétés de la place. Du côté des indices boursiers, les analystes des sociétés de Bourse s’attendent à ce que le marché de Casablanca renoue avec une croissance positive dès le second semestre de l’année. Cette conclusion est d’autant plus justifiée par l’analyse chartiste de l’évolution du Masi qui indique que, sauf événement exceptionnel, la place casablancaise toucherait son plus bas de l’année 2010 durant le premier semestre, avant de s’inscrire sur un trend haussier pour le restant de l’année. Ceci étant, il n’en demeure pas moins que la mobilisation de l’ensemble des acteurs de la place est toujours de mise afin de «réduire les pesanteurs et les appréhensions présentes chez les investisseurs, aussi bien institutionnels que particuliers, ainsi que chez les émetteurs, tant publics que privés, pour permettre une sortie de crise plus rapide», concluent les analystes de BMCE Capital. Dossier réalisé par Younes A. Tantaoui |
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| | | Admin Admin
Nbre méssages : 2820 Réputation : 36 Inscris le : : 11/08/2008
| Sujet: Re: Séance du Vendredi 22 Janvier 2010 + Week End Sam 23 Jan 2010 - 12:58 | |
| Secteur financier : L’aggravation du coût du risque toujours d’actualité
* Les résultats des banques et des sociétés de financement risquent d’être encore affaiblis par la détérioration de la qualité des portefeuilles clients. * Le relèvement du ratio de solvabilité à 12% pourrait profiter au marché obligataire. Comme à chaque exercice, et au vu de sa forte capitalisation boursière, le secteur bancaire retient particulièrement l’attention. Et pour cause, l’évolution de l’indice sectoriel ne se fait pas sans affecter l’indice de l’ensemble de la place boursière.
Et il faut dire qu’au titre de l’exercice 2010, la donne ne s’annonce pas différente de celle de l’année écoulée. «En 2010, l’activité bancaire devrait évoluer à l’instar du rythme observé en 2009, sauf en cas de baisse du taux directeur qui pourrait dynamiser davantage l’économie locale», prévoient les analystes de BMCE Capital, sachant que plusieurs opérateurs du marché monétaire pensent savoir qu’aucun changement n’interviendrait sur le taux directeur, au moins durant le premier semestre de l’année. Dans ce contexte, la conjoncture continuerait à peser, en 2010, sur les établissements bancaires cotés à la tour de verre du boulevard des FAR, induisant la poursuite du renforcement des provisions. Car, les résultats de 2009 seront certainement impactés par l’aggravation du coût du risque. Les dernières publications financières l’ont d’ailleurs clairement démontré. «Ce renflouement des provisions a d’ores et déjà été constaté au niveau des résultats semestriels des établissements de la place, anticipant une possible dégradation au niveau des engagements dans le contexte économique actuel», ajoute la même source. Ce sera donc une année où les gestionnaires des banques de la place accorderont une attention particulière à l’évolution des créances en souffrance. A ce niveau, il serait utile de signaler que les banques ne sont pas les seules à subir les méfaits de la conjoncture. Les entreprises opérant dans le secteur du crédit à la consommation y sont autant exposées. Les analystes de la place prévoient un net repli de la production dans le secteur en 2010, consécutivement à la stratégie prudentielle dont font preuve les opérateurs depuis 2009, et qui ne manquera certainement pas de se refléter sur leur rentabilité. Côté refinancement, et en raison des tensions à la hausse sur les taux interbancaires, le marché prévoit une réorientation des sociétés de crédit vers le marché financier, à travers l’émission de bons de sociétés de financement dans le but d’optimiser leur coût de refinancement. Par ailleurs, 2010 sera l’année de la consolidation de la mise en place de Bâle II dans le secteur. Le ratio de solvabilité que les banques et les sociétés de financement devraient assurer atteindra 12%, après avoir été relevé à 10% en 2009. Pour rappel, plusieurs établissements bancaires de la place ont eu recours, l’exercice écoulé, à des émissions obligataires subordonnées qui leur ont permis d’assurer le minimum de fonds propres requis par la réglementation. Au final, ce ne sont pas moins de 4,5 Mds de DH qui ont été levés sur le marché de la dette pour compenser les 2% de hausse qu’a connue le ratio de solvabilité en 2009. Ceci étant, le renforcement des fonds propres sera aussi d’actualité durant l’exercice en cours faisant, fort probablement, du secteur le principal fournisseur du marché en titres frais. Dans le même sillage, les analystes de BKB craignent que ce changement réglementaire induise la disparition de certaines sociétés de financement, faute de possibilités de recapitalisation.
* M-Sociétés de financement : L’année des approchements ?
Le mouvement de concentration que connaît le secteur des sociétés de financement depuis 2006, devrait se poursuivre en 2010, notamment avec la fusion juridique effective entre Taslif et Salaf, ainsi que la concrétisation de l’opération de recapitalisation de Diac Salaf par le Groupe CMKD. A terme, «cette tendance au regroupement devrait s’accentuer en raison du durcissement des conditions concurrentielles et de la dégradation générale de la qualité des clients dans un secteur contenant un nombre élevé d’opérateurs», mentionne-t-on au sein de BKB. En effet, à fin 2009, on a noté l’existence d’une vingtaine d’enseignes dans le secteur, un chiffre jugé trop important par les spécialistes.
* Assurances : Sous de bons auspices
Dans le secteur financier, les compagnies d’assurance se distinguent particulièrement par les perspectives optimistes qu’elles présentent. En effet, si 2009 a confirmé que leur activité a été particulièrement épargnée par la crise économique internationale, 2010 devrait être marquée par la poursuite du renforcement des réseaux de distribution, ainsi que par l’optimisation des synergies avec les partenaires financiers. Aussi, il ne faut pas omettre que les différents plans gouvernementaux destinés à dynamiser l’économie locale, en l’occurrence Maroc Vert, Emergence 2 et autres, contribueront significativement à l’essor de l’activité des assureurs de la place. D’ailleurs, le contrat-programme qui a été initié par le gouvernement, de concert avec la Fédération Marocaine des Sociétés d’Assurance et de Réassurance, devrait permettre au secteur d’avoir une stratégie claire de développement sur les cinq prochaines années. Enfin, longtemps considérée comme un moyen d’élargir leur activité de base par les banquiers et un outil pour accroître leur clientèle par les assureurs, la bancassurance semble atteindre son rythme de croisière après l’enregistrement de fortes croissances ces dernières années. Dossier réalisé par Younes A. Tantaoui |
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| | | Admin Admin
Nbre méssages : 2820 Réputation : 36 Inscris le : : 11/08/2008
| Sujet: Re: Séance du Vendredi 22 Janvier 2010 + Week End Sam 23 Jan 2010 - 13:00 | |
| Q&R : Avis d’un analyste
* Adnane Charkaoui, de TPS Finance, nous livre ses prévisions pour l’année en cours. - Finances News Hebdo : Quelles sont vos perspectives pour le marché boursier au titre de l’exercice en cours ?
- Adnane Charkaoui : Dans les conditions actuelles, et en excluant tout événement exceptionnel tel que les introductions en Bourse, le marché devrait continuer sur le trend baissier entamé depuis 2008, et ce au moins jusqu’au terme du premier semestre. D’après notre analyse technique, nous estimons que le marché tend vers un plus bas de 7.500 points. Une fois ce seuil atteint, nous pourrions alors parler d’une reprise, avec 11.300 points comme objectif pour l’indice du marché. Nous pensons que la place ne pourra renouer avec la croissance qu’à partir de 2011.
- F.N.H. : Quelle stratégie recommandez- vous aux investisseurs ?
- A.C. : En terme de recommandations, il faut privilégier une stratégie de stock picking. Les petites capitalisations semblent présenter les meilleurs attraits de la place. Si leurs dividendes sont en général inférieurs à ceux distribués par les mastodontes de la place, elles présentent néanmoins de bonnes perspectives de croissance de cours. Par ailleurs, nous pensons que dans les conditions actuelles, il faut privilégier l’analyse technique des valeurs pour toute stratégie de placement court-termiste.
- F.N.H. : Qu’en est-il des secteurs cotés ?
- A.C. : Il faut savoir qu’aucun des secteurs de la place ne se distingue des autres en terme d’opportunités de placements. Certes, les secteurs qui dépendent de la consommation interne semblent être plus sûrs que ceux exposés à l’international. Néanmoins, il faut savoir que même si un secteur présente des perspectives intéressantes, on pourrait retrouver certaines valeurs y appartenant qui ne présentent pas autant d’opportunités. Et vice versa. C’est dans ce sens que nous privilégions une approche par valeurs pour décider de tout placement. Dossier réalisé par Younes A. Tantaoui |
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Séance du Vendredi 22 Janvier 2010 + Week End Sam 23 Jan 2010 - 13:46 | |
| - Admin a écrit:
Q&R : Avis d’un analyste
* Adnane Charkaoui, de TPS Finance, nous livre ses prévisions pour l’année en cours.
- Finances News Hebdo : Quelles sont vos perspectives pour le marché boursier au titre de l’exercice en cours ?
- Adnane Charkaoui : Dans les conditions actuelles, et en excluant tout événement exceptionnel tel que les introductions en Bourse, le marché devrait continuer sur le trend baissier entamé depuis 2008, et ce au moins jusqu’au terme du premier semestre. D’après notre analyse technique, nous estimons que le marché tend vers un plus bas de 7.500 points. Une fois ce seuil atteint, nous pourrions alors parler d’une reprise, avec 11.300 points comme objectif pour l’indice du marché. Nous pensons que la place ne pourra renouer avec la croissance qu’à partir de 2011.
- F.N.H. : Quelle stratégie recommandez- vous aux investisseurs ?
- A.C. : En terme de recommandations, il faut privilégier une stratégie de stock picking. Les petites capitalisations semblent présenter les meilleurs attraits de la place. Si leurs dividendes sont en général inférieurs à ceux distribués par les mastodontes de la place, elles présentent néanmoins de bonnes perspectives de croissance de cours. Par ailleurs, nous pensons que dans les conditions actuelles, il faut privilégier l’analyse technique des valeurs pour toute stratégie de placement court-termiste.
- F.N.H. : Qu’en est-il des secteurs cotés ?
- A.C. : Il faut savoir qu’aucun des secteurs de la place ne se distingue des autres en terme d’opportunités de placements. Certes, les secteurs qui dépendent de la consommation interne semblent être plus sûrs que ceux exposés à l’international. Néanmoins, il faut savoir que même si un secteur présente des perspectives intéressantes, on pourrait retrouver certaines valeurs y appartenant qui ne présentent pas autant d’opportunités. Et vice versa. C’est dans ce sens que nous privilégions une approche par valeurs pour décider de tout placement.
Dossier réalisé par Younes A. Tantaoui | |
Bonjour, AWAH 7500 points mchina fiha wsafi |
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