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 Séance du Jeudi 18 Février 2010

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MessageSujet: Re: Séance du Jeudi 18 Février 2010   Séance du Jeudi 18 Février 2010 - Page 9 Icon_minitimeJeu 18 Fév 2010 - 18:07

COL change de compartiment
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MessageSujet: Re: Séance du Jeudi 18 Février 2010   Séance du Jeudi 18 Février 2010 - Page 9 Icon_minitimeJeu 18 Fév 2010 - 18:09

wa ban liya had liyam DT dart lih felkhwa... wa kewesso 3lihom bkb wla chno
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nassimzoubir




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MessageSujet: Re: Séance du Jeudi 18 Février 2010   Séance du Jeudi 18 Février 2010 - Page 9 Icon_minitimeJeu 18 Fév 2010 - 18:10

NOUVELLES SECTORIELLES :
- PORT LIXUS : Livraison de la première tranche prévue pour mai 2011
- Fait : Visite de terrain effectuée par le Ministre de tourisme au chantier de la station PORT LIXUS.
- Analyse : Dans le cadre de la mise en oeuvre du PLAN AZUR, et après l’inauguration de 2 stations balnéaire (à SAADIA et à EL JADIDA), les travaux de réalisation de la première tranche de la station PORT LIXUS à Larache ont atteint un taux d’avancement de 95%.
- A ce titre, l’inauguration de cette 1ère tranche est prévue pour mai 2011. Pour leur part, les travaux de construction de la deuxième partie du projet devraient débuter dans 3 mois.
- Cette première partie du projet comprend notamment un hôtel 4 étoiles d’une capacité d’accueil de 400 lits ainsi que plusieurs installations touristiques et de loisirs. De son côté, la deuxième tranche du projet compte deux unités hôtelières 5 étoiles, l’une confiée à la chaîne hôtelière HYATT REGENCY (500 lits) et l’autre devrait être gérée par HILTON (450 lits).
- Conclusion : La réalisation de ce projet devrait permettre à la ville de LARACHE de
s’ériger en tant que nouveau pôle touristique du Royaume, à l’image de la ville d’El Jadida après l’ouverture du MAZAGAN BEACH RESORT.
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MessageSujet: Re: Séance du Jeudi 18 Février 2010   Séance du Jeudi 18 Février 2010 - Page 9 Icon_minitimeJeu 18 Fév 2010 - 18:16

Le FMI évalue le Maroc


Séance du Jeudi 18 Février 2010 - Page 9 12_98686
· Rabat doit maintenir le soutien à l’économie

· Le panier de monnaies reste un bon système…


· Mais il faut libérer le change


A
son tour, l’état de santé économique du Royaume est passé au crible par
les experts du Fonds monétaire international. Le conseil
d’administration du FMI dans sa Note d'information au public (NIP)
vient en effet de conclure les consultations au titre de l’article IV
avec le Maroc (voir encadré), entres autres politiques économiques de
ses membres.
Certes, «le Maroc a bénéficié de plusieurs années
d’expansion économique soutenue, mais reste confronté à des défis
majeurs». Il n’empêche que les administrateurs souscrivent aux grandes
lignes de l’appréciation des experts du FMI. Ils se «réjouissent des
bons résultats» enregistrés par l’économie marocaine, qui a connu, ces
dernières années, une croissance hors agriculture solide et une faible
inflation. Ils félicitent en particulier les autorités pour
«l’orientation judicieuse donnée à la politique conduite, qui leur a
permis d’accumuler des montants considérables de réserves extérieures
dans le Fonds de régulation des recettes (FRR)». Fait nouveau: le FMI
demande à ce que sur le budget, l’Etat soutienne l’investissement
public. Faut-il voir dans la nouvelle façon de faire de cette
institution, réputée pour sa politique plutôt libérale, la touche du
socialiste Dominique Strauss-Kahn, en poste depuis septembre 2007?
Certains le croient.
De toute évidence, ce n’est pas seulement le
FMI qui aurait revu sa philosophie. La preuve: les gardiens du temple
du dirham sont finalement d’accord pour la libéralisation du change,
mais leur divergence sur le rythme à imprimer à la politique à mettre
en place reste grande. Tant il est vrai que l’expansion rapide du
crédit ces dernières années fait craindre au FMI de voir les créances
en souffrance augmenter de façon significative. En conséquence, il
appelle les autorités monétaires du pays à «une vigilance continue».
Pourtant, l’expansion du crédit est tombée en moyenne de 23% par an
entre 2006 et 2008, à 12% environ en 2009. Parallèlement, la part des
créances en souffrance a fortement diminué au cours des cinq dernières
années. Ce qui rassure les experts du FMI est que Bank Al-Maghrib
continue de prendre des dispositions pour améliorer la surveillance du
secteur financier, notamment avec la mise en place d’une centrale des
risques, l’application intégrale prévue des recommandations de Bâle II,
ainsi que l’intention de relever le ratio de fonds propres à 12% pour
certains établissements bancaires, en fonction de leur profil de risque.

Libéraliser le change oui, mais...

Toutefois,
le FMI observe que la priorité immédiate est d’apporter une réponse
adéquate à la crise mondiale. Il reconnaît que le système économique et
financier est relativement protégé des turbulences financières
mondiales. Et que «l’ancrage sur un panier de monnaies a été bénéfique
au Maroc», note le FMI qui, pourtant, était opposé à ce choix. En
conséquence, «le système financier est sain» parce que peu exposé aux
marchés de capitaux internationaux. Et que «les répercussions directes
de la crise mondiale sur le Maroc ont été modérées». Ce qui ne met pas
totalement le système à l’abri, car le FMI redoute par effet mécanique
que les crédits en souffrance augmentent.
Par ailleurs, les
analyses suggèrent que le taux de change actuel est globalement en
ligne avec les paramètres économiques fondamentaux. D’autant plus que
l’évolution du solde extérieur courant ainsi que des indicateurs fondés
sur les prix laissent entrevoir une légère appréciation du taux de
change réel en 2009.
Cependant, note le conseil du FMI, le Maroc
doit encore relever d’importants défis à moyen terme. Des efforts
considérables s’imposent pour diversifier l’économie et la rendre moins
dépendante de l’agriculture, améliorer la productivité, le climat des
affaires, stimuler la croissance et améliorer les indicateurs sociaux,
notamment en vue d'abaisser le chômage des jeunes, qui reste élevé
(9,6% en 2008).
Parmi les autres réformes saluées par la NIP du
fonds figurent la politique de libéralisation du commerce et la
simplification de la fiscalité. De même, la poursuite de la réforme de
la justice, les stratégies à même de doper les investissements publics
dans les infrastructures et le renforcement de l’appui aux secteurs de
l’industrie, du tourisme et de l’énergie, ont reçu une bonne note de la
part du FMI.

Perspectives encourageantes

La
croissance, hors agriculture, a été de l’ordre de 2,3%, car l’important
programme d’investissements publics a continué de soutenir l’activité
dans les services et la construction. Selon les projections, la
croissance globale devrait s’élever à 4% en 2010. L’inflation est l’une
des plus faibles de la région. La politique budgétaire a été
expansionniste, mais les recettes considérables tirées des
investissements étrangers, des transferts des MRE ou encore des
recettes voyages se sont traduites par un excédent de 0,5% du PIB en
2008. Un surcroît d’épargne a été accumulé dans le FRR, dont les avoirs
ont atteint 29,9% du PIB. Le taux de change effectif réel est resté
proche de son niveau d’équilibre.
Selon la NIP du FMI, les
perspectives restent encourageantes en dépit d’une conjoncture
internationale difficile, mais les risques à moyen terme pour certains
secteurs pourraient prendre de l’ampleur. Le Maroc semble à l’abri
d’une contagion financière directe, étant donné la prééminence du
secteur financier public, l’endettement extérieur minime du pays
(21,9%) et la gestion prudente des réserves internationales, qui
étaient de près de 22 milliards de dollars en 2008.
En clair, «le
Maroc a fait face à la crise mondiale du fait d’une position solide,
favorisée par l’ensemble des réformes macroéconomiques et structurelles
opérées ces dix dernières années», souligne la Note d’information au
public du FMI sur le Royaume. Les administrateurs du FMI appuient la
décision de l’Etat consistant à maintenir les dépenses publiques à un
niveau élevé à court terme pour soutenir la croissance et amortir
l’impact de la contraction de l’économie mondiale.

A quoi servent les Notes


Les
Notes d’information au public du FMI servent à promouvoir la
transparence de ses prises de position et de son analyse de l’évolution
et des politiques économiques. Les NIP sont diffusées avec le
consentement des pays concernés, à l’issue de l’examen par le conseil
d’administration du fonds des rapports sur les consultations au titre
de l’article IV avec les pays, de la surveillance de l’évolution
économique à l’échelle régionale, du suivi post-programme et des
évaluations ex-post de la situation des pays membres où le FMI a appuyé
des programmes sur une longue durée.
Dans le cas du Maroc, c’était
le PAS qui a duré de 1983 à 1993. Ces Notes sont également diffusées à
l’issue de l’examen des questions de politique générale par le conseil
d’administration, sauf si le conseil en décide autrement.
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Pelican

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MessageSujet: Re: Séance du Jeudi 18 Février 2010   Séance du Jeudi 18 Février 2010 - Page 9 Icon_minitimeJeu 18 Fév 2010 - 18:28

CDG : La première maladresse de Anas Alami



Séance du Jeudi 18 Février 2010 - Page 9 7106_z

L’information est passée quasiment inaperçue. Pourtant, elle est
d’importance : la Caisse de Dépôt et de Gestion va, dans les prochaines
années, réduire, voire céder entièrement ses participations financières
pour se concentrer exclusivement sur l’immobilier, le tourisme et la
gestion des retraites. C’est, en substance, l’essentiel de
l’information relayée par l’Agence Reuters le vendredi 5 février
dernier…, dans une version anglaise.

Pour
une fois, l’agence officielle MAP n’a pas eu la primeur de
l’information et peut s’estimer victime de crime de lèse-majesté.
Ecartée… d’office, comme l’ont d’ailleurs été les médias nationaux et
autres agences de presse comme l’AFP.
Le plus étonnant dans cette «affaire», si tant est qu’on peut la
qualifier ainsi, est la démarche adoptée par le patron de la CDG. En
effet, selon certaines indiscrétions, c’est le bras financier de l’Etat
qui aurait lui-même contacté le bureau londonien de Reuters pour… se
confier, par la voix de Anas Alami. Ou du moins dévoiler la stratégie
du Groupe pour les prochaines années. Suite à cela, les correspondants
de Reuters au Maroc lui auraient été envoyés.
Il faut dire que Alami a choisi là une bien curieuse manière de
communiquer, surtout qu’il est à la tête d’un établissement financier
de renom, qui plus est public. Cette communication dirigée, pour ne pas
dire très sélective, cache-t-elle quelque chose ? Pourquoi n’avoir pas
partagé ces informations avec l’ensemble de la presse locale et
étrangère ou, au moins, avec les médias censés être intéressés par les
projets du groupe ? Difficile de répondre à ces interrogations pour
l’instant. Mais une chose est sûre : Anas Alami, dans son approche, a
été maladroit. Et il n’est point un cas isolé.

Cette manière de procéder, la presse l’a toujours reproché aux élites et élus marocains. En vain.

L’information importante et essentielle est rarement destinée à la
presse nationale, laquelle se réfère souvent aux publications
étrangères pour s’informer de ce qui se passe dans son propre pays. Une
presse nationale qui se contente régulièrement de miettes et qui est,
malheureusement, souvent obligée de broder autour pour remplir ses
colonnes.
Il ne faut donc guère s’étonner, quand bien même on ne peut,
déontologiquement parlant, le cautionner, qu’une certaine presse
s’autorise des dérives. Car, forcément, le déficit d’informations prête
foi à la rumeur et aux mauvaises interprétations.
Et la CDG, en tant qu’institution publique que la presse a toujours
accompagnée dans le cadre de son processus de développement, devait
s’inscrire dans une logique autre que celle de distiller, en catimini,
des informations stratégiques de cette importance. Même si, dans ce qui
semble être ses déclarations, Anas Alami s’est voulu évasif en ce qui
concerne le timing choisi : «les prochaines années».
Mais, à moins que Anas Alami ne nous éclaire là-dessus, il est permis
de croire que la cession totale ou partielle des participations
financières de la CDG peut intervenir beaucoup plus tôt que prévu. Car,
quel est l’intérêt de communiquer sur quelque chose qui va intervenir
dans deux, trois ou quatre ans, surtout dans un domaine aussi changeant
que le monde financier ?

Pour dire que s’il a choisi de s’adresser à la presse, fut-elle
une seule agence, c’est parce que le projet est bien mûri et que le
timing dépendra davantage des conditions du marché.
Enfin, les ultimes interrogations consistent à savoir qu’est-ce qui sera cédé et au profit de qui ?

Pour rappel, la CDG est, entre autres, présente, à travers sa filiale
Massira Capital Management (où le Groupe français Caisse d’Epargne
détient 35% du capital), à hauteur de 67,88% (au 23 septembre 2009)
dans le capital du CIH. La Caisse détient également 40,23% du capital
de Maroc Leasing (au 30 septembre 2009), 45,99% de Sofac Crédit (au 29
janvier 2010) et, via CDG Développement, 10,28% de Med Paper (au 30
juin 2009). Elle est également présente à hauteur 39,81% dans le
capital d’Atlanta (au 17 juillet 2009)… Toutes ces sociétés sont cotées
à la Bourse de Casablanca.

Et, au regard des pourcentages détenus dans le capital de ces
sociétés, il ne serait pas faux de dire que des cessions de
participations risquent fort de perturber le marché, pour ne pas dire
ces valeurs cotées. Car, faut-il souligner que si certains
investisseurs se sont positionnés sur ces valeurs, c’est surtout parce
que la CDG est un actionnaire de référence qui jouit d’une crédibilité
et d’une surface financière importante à même de permettre à ces
sociétés cotées de s’inscrire dans une dynamique de croissance durable.

Et maintenant que la Caisse a décidé de changer de fusil d’épaule,
certains investisseurs vont sûrement reconsidérer leurs positions.
En attendant, gardons un œil sur le marché boursier !

D. W.

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MessageSujet: Re: Séance du Jeudi 18 Février 2010   Séance du Jeudi 18 Février 2010 - Page 9 Icon_minitimeJeu 18 Fév 2010 - 20:03

BSR,est ce que la cdg va ceder son patrimoine financier a la BP! a noter la bp n a tjr pas de cpgnie d assurances!
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MessageSujet: Re: Séance du Jeudi 18 Février 2010   Séance du Jeudi 18 Février 2010 - Page 9 Icon_minitimeJeu 18 Fév 2010 - 20:44

WAFA ASSURANCE : Des résultats 2009 bien orientés

Fait : Publication des résultats annuels 2009.

Analyse : A l’issue de l’exercice 2009, WAFA ASSURANCE réalise un chiffre d’affaires de M MAD 4 298, en amélioration de 3,5% comparativement à 2008. Cette croissance est essentiellement redevable à la bonne performance de l’activité Non-Vie dont les primes émises s’apprécient de 15,4% à M MAD 1 717, soit 40% du chiffre d’affaires global.
Pour leur part, les revenus de la branche Vie ressortent à M MAD 2 581, en léger repli par rapport à l’exercice 2008. Ce retrait s’explique par la volonté de la compagnie de privilégier la collecte de l’épargne longue.
Dans ce sillage, le résultat technique Non-Vie s’élève à M MAD 933,4, en hausse de 57,3% par rapport à 2008 en raison, d’une part, de l’amélioration de la marge opérationnelle et, d’autre part, de l’intégration de la plus-value issue de la cession de 24% du capital du CREDIT DU MAROC.
A contrario, le résultat technique Vie diminue de 67,3% à M MAD 55 compte tenu de la non réalisation de plus-value dans une optique de renforcement des plus-values latentes.
Au final, la capacité bénéficiaire se bonifie de 44,9% à M MAD 677, contre M MAD 468 une année auparavant. Retraité de la plus-value exceptionnelle, le résultat net ressortirait à M MAD 500, en progression de 6,8%.
Signalons que la compagnie devrait proposer la distribution, au titre de l’exercice 2009, d’un dividende ordinaire de MAD 50 (vs MAD 45 au titre de 2008) ainsi que d’un dividende exceptionnel de MAD 20 par action.

Conclusion : Les indicateurs d’activité de WAFA ASSURANCE confirment son positionnement particulièrement sur la branche Non-Vie qui affiche des réalisations opérationnelles très satisfaisantes.

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MessageSujet: Re: Séance du Jeudi 18 Février 2010   Séance du Jeudi 18 Février 2010 - Page 9 Icon_minitimeJeu 18 Fév 2010 - 20:45

AL OMRANE : Investissements en accroissement continu

Fait : Un investissement prévisionnel de MAD 8,5 Md en 2010.

Analyse : Le Groupe AL OMRANE prévoirait la mobilisation d’un investissement de l’ordre de MAD 8,5 Md en 2010 pour la mise en chantier de 70 000 unités dont 10 000 logements sociaux à MAD 250 000. En outre, le Groupe compte réaliser 50 000 logements sans le cadre de partenariats avec le secteur privé.
Pour rappel, AL OMRANE a réalisé un investissement de MAD 8,3 Md en 2009, en hausse de 14% par rapport à l’exercice précédent.

Conclusion : AL OMRANE continue d’occuper un rôle stratégique dans le secteur immobilier marocain à travers la promotion du segment social aussi bien en propre que dans le cadre de partenariats avec des opérateurs privés.

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Abderrahmane

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MessageSujet: Re: Séance du Jeudi 18 Février 2010   Séance du Jeudi 18 Février 2010 - Page 9 Icon_minitimeJeu 18 Fév 2010 - 20:55

Séance du Jeudi 18 Février 2010 - Page 9 100218095442855885471514
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MessageSujet: Re: Séance du Jeudi 18 Février 2010   Séance du Jeudi 18 Février 2010 - Page 9 Icon_minitimeJeu 18 Fév 2010 - 21:27

Pelican a écrit:

CDG : La première maladresse de Anas Alami



Séance du Jeudi 18 Février 2010 - Page 9 7106_z

L’information est passée quasiment inaperçue. Pourtant, elle est
d’importance : la Caisse de Dépôt et de Gestion va, dans les prochaines
années, réduire, voire céder entièrement ses participations financières
pour se concentrer exclusivement sur l’immobilier, le tourisme et la
gestion des retraites. C’est, en substance, l’essentiel de
l’information relayée par l’Agence Reuters le vendredi 5 février
dernier…, dans une version anglaise.

Pour
une fois, l’agence officielle MAP n’a pas eu la primeur de
l’information et peut s’estimer victime de crime de lèse-majesté.
Ecartée… d’office, comme l’ont d’ailleurs été les médias nationaux et
autres agences de presse comme l’AFP.
Le plus étonnant dans cette «affaire», si tant est qu’on peut la
qualifier ainsi, est la démarche adoptée par le patron de la CDG. En
effet, selon certaines indiscrétions, c’est le bras financier de l’Etat
qui aurait lui-même contacté le bureau londonien de Reuters pour… se
confier, par la voix de Anas Alami. Ou du moins dévoiler la stratégie
du Groupe pour les prochaines années. Suite à cela, les correspondants
de Reuters au Maroc lui auraient été envoyés.
Il faut dire que Alami a choisi là une bien curieuse manière de
communiquer, surtout qu’il est à la tête d’un établissement financier
de renom, qui plus est public. Cette communication dirigée, pour ne pas
dire très sélective, cache-t-elle quelque chose ? Pourquoi n’avoir pas
partagé ces informations avec l’ensemble de la presse locale et
étrangère ou, au moins, avec les médias censés être intéressés par les
projets du groupe ? Difficile de répondre à ces interrogations pour
l’instant. Mais une chose est sûre : Anas Alami, dans son approche, a
été maladroit. Et il n’est point un cas isolé.

Cette manière de procéder, la presse l’a toujours reproché aux élites et élus marocains. En vain.

L’information importante et essentielle est rarement destinée à la
presse nationale, laquelle se réfère souvent aux publications
étrangères pour s’informer de ce qui se passe dans son propre pays. Une
presse nationale qui se contente régulièrement de miettes et qui est,
malheureusement, souvent obligée de broder autour pour remplir ses
colonnes.
Il ne faut donc guère s’étonner, quand bien même on ne peut,
déontologiquement parlant, le cautionner, qu’une certaine presse
s’autorise des dérives. Car, forcément, le déficit d’informations prête
foi à la rumeur et aux mauvaises interprétations.
Et la CDG, en tant qu’institution publique que la presse a toujours
accompagnée dans le cadre de son processus de développement, devait
s’inscrire dans une logique autre que celle de distiller, en catimini,
des informations stratégiques de cette importance. Même si, dans ce qui
semble être ses déclarations, Anas Alami s’est voulu évasif en ce qui
concerne le timing choisi : «les prochaines années».
Mais, à moins que Anas Alami ne nous éclaire là-dessus, il est permis
de croire que la cession totale ou partielle des participations
financières de la CDG peut intervenir beaucoup plus tôt que prévu. Car,
quel est l’intérêt de communiquer sur quelque chose qui va intervenir
dans deux, trois ou quatre ans, surtout dans un domaine aussi changeant
que le monde financier ?

Pour dire que s’il a choisi de s’adresser à la presse, fut-elle
une seule agence, c’est parce que le projet est bien mûri et que le
timing dépendra davantage des conditions du marché.
Enfin, les ultimes interrogations consistent à savoir qu’est-ce qui sera cédé et au profit de qui ?

Pour rappel, la CDG est, entre autres, présente, à travers sa filiale
Massira Capital Management (où le Groupe français Caisse d’Epargne
détient 35% du capital), à hauteur de 67,88% (au 23 septembre 2009)
dans le capital du CIH. La Caisse détient également 40,23% du capital
de Maroc Leasing (au 30 septembre 2009), 45,99% de Sofac Crédit (au 29
janvier 2010) et, via CDG Développement, 10,28% de Med Paper (au 30
juin 2009). Elle est également présente à hauteur 39,81% dans le
capital d’Atlanta (au 17 juillet 2009)… Toutes ces sociétés sont cotées
à la Bourse de Casablanca.

Et, au regard des pourcentages détenus dans le capital de ces
sociétés, il ne serait pas faux de dire que des cessions de
participations risquent fort de perturber le marché, pour ne pas dire
ces valeurs cotées. Car, faut-il souligner que si certains
investisseurs se sont positionnés sur ces valeurs, c’est surtout parce
que la CDG est un actionnaire de référence qui jouit d’une crédibilité
et d’une surface financière importante à même de permettre à ces
sociétés cotées de s’inscrire dans une dynamique de croissance durable.

Et maintenant que la Caisse a décidé de changer de fusil d’épaule,
certains investisseurs vont sûrement reconsidérer leurs positions.
En attendant, gardons un œil sur le marché boursier !

D. W.

le fait qu'Anas Alami s'adresse a REUTERS pour annoncer la cession des partipation de la CDG dans plusieurs societés marocaine n'est pas anodin. d'abord reuters a une grande audience dans le milieu des affaires. d'ailleurs meme s,ils s'adresse a la map, les journaux du coin ou meme l,AFP ca n'ira pas plus loins si ce n'est pas relayé pas des agence de presse specialisés dans les affaires telque reuters-thomson. j'ai l,impression qu'il vise plutot les milieux d,affaires anglosaxons pour trouver des candiadats potentiels. en plus des anglosaxons les pays arabes du golf sont anglophones aussi. peut etre qu'il est deja en discussion avec des anglosaxons et qu'il veut diffuser l'information pour assurer plus de concurence.

je pense que le message est adressé aussi aux francais qui considere le maroc comme une chasse gardée.
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adil79

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MessageSujet: Re: Séance du Jeudi 18 Février 2010   Séance du Jeudi 18 Février 2010 - Page 9 Icon_minitimeJeu 18 Fév 2010 - 23:11

Maroc : Méditel dément l'acquisition par l'opérateur qatari "Qtel" de 30% de son capital



Le capital de Méditel est détenu par la CDG et le FinanceCom



L'opérateur télécoms marocain "Méditel" a démenti, jeudi, l'information selon laquelle la société de télécommunications qatarie "Qtel" aurait acquis 30 pc de son capital.

Cette information est "entièrement fausse", a souligné Méditel dans un communiqué.

Méditel est devenu 100% marocain, après l'acquisition par la Caisse de dépôt et de gestion (CDG) et le groupe FinanceCom des parts des opérateurs espagnol et portugais, "Telefonica" et "Portugal Telecom".

Les deux groupes marocains avaient conclu le 1-er septembre 2009 un accord définitif relatif à l'acquisition de 64,36 pc du capital de Méditel, représentant la totalité des participations de Telefonica et de Portugal Telecom dans la société, pour environ 800 millions d'euros.

Méditel, dont le capital est ainsi détenu par la CDG (50%) et le FinanceCom (50%), revendique actuellement 10 millions de clients, soit environ 37 pc de part de marché, un chiffre d'affaires de plus de 5 milliards de dirhams, plus de 1.000 emplois directs et 20.000 indirects.

Créée en 2000, la société a investi 23 milliards de dirhams durant les dix dernières années et son plan d'investissement 2008-2011 prévoit 4 milliards de dirhams, autofinancés à hauteur de 75 pc.


Source : MAP

Mise en ligne le : 18/02/2010
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fadel




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MessageSujet: Re: Séance du Jeudi 18 Février 2010   Séance du Jeudi 18 Février 2010 - Page 9 Icon_minitimeJeu 18 Fév 2010 - 23:24

abk1 a écrit:
Pelican a écrit:

CDG : La première maladresse de Anas Alami



Séance du Jeudi 18 Février 2010 - Page 9 7106_z

L’information est passée quasiment inaperçue. Pourtant, elle est
d’importance : la Caisse de Dépôt et de Gestion va, dans les prochaines
années, réduire, voire céder entièrement ses participations financières
pour se concentrer exclusivement sur l’immobilier, le tourisme et la
gestion des retraites. C’est, en substance, l’essentiel de
l’information relayée par l’Agence Reuters le vendredi 5 février
dernier…, dans une version anglaise.

Pour
une fois, l’agence officielle MAP n’a pas eu la primeur de
l’information et peut s’estimer victime de crime de lèse-majesté.
Ecartée… d’office, comme l’ont d’ailleurs été les médias nationaux et
autres agences de presse comme l’AFP.
Le plus étonnant dans cette «affaire», si tant est qu’on peut la
qualifier ainsi, est la démarche adoptée par le patron de la CDG. En
effet, selon certaines indiscrétions, c’est le bras financier de l’Etat
qui aurait lui-même contacté le bureau londonien de Reuters pour… se
confier, par la voix de Anas Alami. Ou du moins dévoiler la stratégie
du Groupe pour les prochaines années. Suite à cela, les correspondants
de Reuters au Maroc lui auraient été envoyés.
Il faut dire que Alami a choisi là une bien curieuse manière de
communiquer, surtout qu’il est à la tête d’un établissement financier
de renom, qui plus est public. Cette communication dirigée, pour ne pas
dire très sélective, cache-t-elle quelque chose ? Pourquoi n’avoir pas
partagé ces informations avec l’ensemble de la presse locale et
étrangère ou, au moins, avec les médias censés être intéressés par les
projets du groupe ? Difficile de répondre à ces interrogations pour
l’instant. Mais une chose est sûre : Anas Alami, dans son approche, a
été maladroit. Et il n’est point un cas isolé.

Cette manière de procéder, la presse l’a toujours reproché aux élites et élus marocains. En vain.

L’information importante et essentielle est rarement destinée à la
presse nationale, laquelle se réfère souvent aux publications
étrangères pour s’informer de ce qui se passe dans son propre pays. Une
presse nationale qui se contente régulièrement de miettes et qui est,
malheureusement, souvent obligée de broder autour pour remplir ses
colonnes.
Il ne faut donc guère s’étonner, quand bien même on ne peut,
déontologiquement parlant, le cautionner, qu’une certaine presse
s’autorise des dérives. Car, forcément, le déficit d’informations prête
foi à la rumeur et aux mauvaises interprétations.
Et la CDG, en tant qu’institution publique que la presse a toujours
accompagnée dans le cadre de son processus de développement, devait
s’inscrire dans une logique autre que celle de distiller, en catimini,
des informations stratégiques de cette importance. Même si, dans ce qui
semble être ses déclarations, Anas Alami s’est voulu évasif en ce qui
concerne le timing choisi : «les prochaines années».
Mais, à moins que Anas Alami ne nous éclaire là-dessus, il est permis
de croire que la cession totale ou partielle des participations
financières de la CDG peut intervenir beaucoup plus tôt que prévu. Car,
quel est l’intérêt de communiquer sur quelque chose qui va intervenir
dans deux, trois ou quatre ans, surtout dans un domaine aussi changeant
que le monde financier ?

Pour dire que s’il a choisi de s’adresser à la presse, fut-elle
une seule agence, c’est parce que le projet est bien mûri et que le
timing dépendra davantage des conditions du marché.
Enfin, les ultimes interrogations consistent à savoir qu’est-ce qui sera cédé et au profit de qui ?

Pour rappel, la CDG est, entre autres, présente, à travers sa filiale
Massira Capital Management (où le Groupe français Caisse d’Epargne
détient 35% du capital), à hauteur de 67,88% (au 23 septembre 2009)
dans le capital du CIH. La Caisse détient également 40,23% du capital
de Maroc Leasing (au 30 septembre 2009), 45,99% de Sofac Crédit (au 29
janvier 2010) et, via CDG Développement, 10,28% de Med Paper (au 30
juin 2009). Elle est également présente à hauteur 39,81% dans le
capital d’Atlanta (au 17 juillet 2009)… Toutes ces sociétés sont cotées
à la Bourse de Casablanca.

Et, au regard des pourcentages détenus dans le capital de ces
sociétés, il ne serait pas faux de dire que des cessions de
participations risquent fort de perturber le marché, pour ne pas dire
ces valeurs cotées. Car, faut-il souligner que si certains
investisseurs se sont positionnés sur ces valeurs, c’est surtout parce
que la CDG est un actionnaire de référence qui jouit d’une crédibilité
et d’une surface financière importante à même de permettre à ces
sociétés cotées de s’inscrire dans une dynamique de croissance durable.

Et maintenant que la Caisse a décidé de changer de fusil d’épaule,
certains investisseurs vont sûrement reconsidérer leurs positions.
En attendant, gardons un œil sur le marché boursier !

D. W.


le fait qu'Anas Alami s'adresse a REUTERS pour annoncer la cession des partipation de la CDG dans plusieurs societés marocaine n'est pas anodin. d'abord reuters a une grande audience dans le milieu des affaires. d'ailleurs meme s,ils s'adresse a la map, les journaux du coin ou meme l,AFP ca n'ira pas plus loins si ce n'est pas relayé pas des agence de presse specialisés dans les affaires telque reuters-thomson. j'ai l,impression qu'il vise plutot les milieux d,affaires anglosaxons pour trouver des candiadats potentiels. en plus des anglosaxons les pays arabes du golf sont anglophones aussi. peut etre qu'il est deja en discussion avec des anglosaxons et qu'il veut diffuser l'information pour assurer plus de concurence.

je pense que le message est adressé aussi aux francais qui considere le maroc comme une chasse gardée.

ceci dit et entendu ok, mais rien ne l'aurait empecher d'y associer notre presse locale!!!!!!!!!!!.
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