Séance du Vendredi 19 Mars 2010 + Weekend

NOTE DT sur SONASID :

Secteur Industries de base Activité MATÉRIAUX DE CONSTRUCTION Nb. d'actions 3,900,000.00 Capitalisation boursière (MDH) 7,807,800,000.00

		Résumé de la note
		Le ralentissement du mouvement de baisse des prix de l’acier au niveau international (-15% sur l’année 2009 contre -13% juste sur le S1-09) ajouté à une reprise probable de la production (-8% sur l’année 2009 contre une baisse cumulée de -21% seulement sur le S1-09), présagent d’une hausse des capacités de production des sidérurgistes (croissance graduelle surtout à partir de 2010) et d’une amélioration significative des marges. La hausse des prix de l’acier pourrait entraîner une hausse des marges de profitabilité. Les coûts d’achat supérieurs relatifs à une matière première plus coûteuse pourraient cependant être impactés au niveau des prix de vente comme cela peut déjà être observé sur certains marchés à l’international. Sonasid, présente exclusivement sur le segment des produits longs, est en première position pour profiter de la reprise du marché à condition 1/ de pouvoir reprendre la production à des niveaux de capacité supérieurs à 70% (75% au T1-10 pour le Groupe Arcelor Mittal) alors que l’année 2009 fut fortement impactée par la fermeture d’aciérie 2/ de poursuivre sa stratégie de réduction de coûts (le coût par tonne des matières premières représente selon nos estimées plus de 80% du coût marginal total) 3/ d’avoir une force commerciale efficace permettant d’écouler la production et de transférer le sur-coût de production, sur-coût applicable à tous les acteurs du segment 4/ de poursuivre sa politique d’investissement dans le but d’améliorer sa productivité et de contrer la progression de la concurrence locale. L’analyse de l’impact d’une hausse de prix des matières premières sur la structure du coût marginal de production du sidérurgiste nous conduit à tracer deux scénarios qui démontrent tout deux une forte corrélation entre le prix d’achat de matières premières et le coût marginal de production de Sonasid. Notre scénario de base (base case) prévoit une hausse importante des importations de billettes en 2009 du fait de l’écrasement constaté du spread ferraille/billette puis une hausse de 45$/T ou de 25% du prix de la ferraille en 2010. Le scénario de base, considéré pour notre modèle de valorisation se Sonasid, nous conduit à une hypothèse de baisse de 6% des coûts de production en 2009 du fait de la forte baisse de la consommation de ferraille (rappelons que Sonasid aura écoulé durant le S1-09 près 700MDH de produits finis précédemment stockés), puis à une hausse de 39$/T (soit +317DH/T ou +7%) en 2010 suivant la reprise des prix. Notre scénario optimiste de reprise des prix (best case) prévoit une baisse de près de 14% des importations en 2010 ainsi qu’une hausse de 104$/T ou de 50% du prix de la ferraille, niveau proche de la moyenne des prix observée en 2008. Il nous conduit à une hypothèse de croissance supérieure des coûts de production de 70$/T (soit +577DH/T ou +12% en 2010). Sur la base d’une reprise progressive des cours de l’acier dans les prochaines années (mais légèrement supérieure à notre précédente hypothèse du 23/10/2009) et d’une hypothèse de retour modéré à une marge opérationnelle normative, notre méthode DCF fait ressortir un cours cible de 1 600 DH. Nous maintenons toujours notre recommandation de vendre le titre Sonasid. L’exercice de sensibilité de notre cours cible par rapport à des variations du taux de croissance des FCF ou du coût moyen pondéré du capital conforte notre niveau de valorisation avec une moyenne de 1 600 DH obtenue entre les bornes supérieure (1 656 DH) et inférieure (1 548 DH).

NOTE DT / CMA :

Secteur Industries de base Activité MATÉRIAUX DE CONSTRUCTION Nb. d'actions 7,218,001.00 Capitalisation boursière (MDH) 12,494,359,731.00

Résumé de la note
		Ciments du Maroc a communiqué ses performances financières au 31/12/2009 avec un chiffre d’affaires en hausse de +2,8% à 3 599 MDH, un EBE en nette amélioration à 1 516 MDH (+38%) et un RN consolidé en hausse de +52% à 970 MDH. Retombées positives des investissements entrepris pour améliorer la productivité du dispositif industriel. Produits financiers en baisse sous le poids des charges d’intérêts La saturation momentanée des capacités de production augmente la vulnérabilité de Ciments du Maroc face au nouveaux entrants. Poursuite du processus d’expansion de son dispositif industriel en ciblant de nouvelles régions. En attendant la publication des comptes détaillés et la présentation aux analystes, nous recommandons de conserver le titre tout en relevant notre cours cible à 1 850 DH par action, ce qui représente une décote de 5% par rapport au niveau de cours actuel.

NOTE DT / ATW :

Secteur Finance Activité BANQUES Nb. d'actions 192,995,960.00 Capitalisation boursière (MDH) 52,880,893,040.00

	Résumé de la note
		Attijariwafa Bank a publié un résultat net consolidé part du groupe de 3,94 MrdDH à fin 2009, en progression de +26,4% par rapport à fin 2008. En retraitant le RNPG de la plus value non récurrente et de l’effet périmètre, la progression aurait été de +11,4% en pro forma. Nous avons revu à la hausse notre estimation de résultat net 2010, hors éléments exceptionnels, à 4,00 MrdDH (en hausse de +1,5% par rapport à 2009) suite essentiellement à notre sous-estimation du PNB et à notre surestimation du coût du risque. Nous retenons les méthodes d'évaluation par le P/E d'équilibre, le P/B d’équilibre et la DCF et valorisons Attijariwafa bank à un cours cible de 300 DH. Lors de nos dernières notes, notre cours cible se situait dans une fourchette de prix entre 260 DH et 290 DH. Certes, le cours cible a été revu à la hausse, cependant compte tenu du cours en bourse de 275 DH au 08/03/10, soit une décote de 8%, nous maintenons notre recommendation de CONSERVER le titre Attijariwafa bank.

Lu pour vous :

Exclusif pour www.bourse-maroc.forumactif.org

"Les recommandations pertinentes se font de plus en plus rares en cette
période de l’année. Certaines sociétés de bourses sont totalement à
contre sens dans leurs prévisions et nous avons jugé raisonnable de ne
pas intervenir dans ce champ bien miné en ce moment. Et pour cause, des
manipulations bien à l’ancienne certes. Mais assez professionnelles il
faut l’avouer.



Nous allons donc nous contenter de commenter le passé.



Sur le plan fondamental, un seul mot d’ordre : les résultats.



En effet, les cours ont réagit aux résultats beaucoup plus qu’à des
configurations chartistes. Normal me diriez-vous.

Toutefois, les réactions restent difficiles à prévoir. Le dilemme d’un
investisseur est de savoir ce que cherche le marché. Un résultat
accompagné d’un dividende ou des perspectives de croissance importantes ?




Cette discipline appelée Trading de news est beaucoup utilisée sur le
marché de changes.

Elle comporte beaucoup de risques à cause de la volatilité. Toutefois,
l’avantage est que l’on sait ce qui fera réagir le marché : ce n’est pas
le chiffre en lui-même, mais sa situation par rapport aux prévisions.
Ainsi on peut attendre la publication avant de prendre position. On ne
profite pas de toute l’impulsion certes. Mais, on est sur d’être dans le
sens de la tendance.



Sur la BVC cet exercice n’est pas évident.



Prenons des exemples.



ATTIJARI WAFA BANK, l’un des meilleurs élèves de la classe a publié des
résultats en hausses et a consolidé sa position de leader. Un rendement
de 3%. Mais, pour une valeur spéculative c’est un bon chiffre. Aussi,
des perspectives d’évolution très intéressantes et notamment à
l’international. Réaction : une ouverture en hausse au lendemain de la
publication et le cours a rapidement incorporé le dividende pour
consolider et reprendre ça marche normale.



IAM quant à elle, avec un rendement de 7% et des perspectives plus
modérée à cause d’une concurrence des plus rudes en 2010 n’a pas
enregistrée de changements notables. Toujours dans un range entre 151et
147.



CIH quant à elle a publiée un résultat en nette baisse et a été
sanctionnée par une réservation à la baisse cette séance. Pourtant les
perspectives sont bonnes.( asseinissement de la situation financiére en
2009)



En conclusions, trouver ce que cherche le marché dans les resultats
demeure un exercice difficile.



Il faut donc préconiser de petites positions avec des stops judicieux
placés avec des indicateurs techniques de volatilité plutôt qu’avec des
niveaux chartistes. En effet, ne sortir que si la volatilité devient
anormalement élevée. Les tests de supports étant fréquents.



Garder une grande partie de son portefeuille en cash est également une
attitude à avoir. Entre 30 et 40% en attendant une meilleure visibilité. "

Sur le portefeuille recommande de DT il y'a lieu de signaler un changement avec l'entrée de CMT et DHO et la sortie CSR et SBM.

Commentaire de Marché 19 / 03 / 2010


Toujours dans un climat incertain, le marché clôture la semaine sur une note légèrement négative de 0.26%, pour une performance hebdomadaire de -0.27%. Le chiffre d’affaires global de la journée a atteint 104 MDH, dominés à près de 44% par ONA et CGI.
L’attention du marché s’est essentiellement focalisé sur Samir, Lafarge et ONA. Cette dernière subit toujours une pression à la vente et ce malgré des anticipations positives des chiffres annuels. Lafarge, profite quant à elle d’un regain de la demande, et ce en dépit d’un début d’année assez morose pour le secteur. Le cimentier semble plus tirer profit de son rendement de dividende.
Ailleurs, les trois grandes capitalisations de la place à savoir Maroc Telecom, Attijariwafa et Addoha continuent de faire du surplace, face à un assèchement de la demande.
Sur un autre registre, CIH semble se stabiliser après quatre séances consécutives de baisse suite à ses publications annuelles.
CTM et Salafin ont par ailleurs présenté leurs chiffres 2009. La première a été réservée à la hausse après l’annonce d’un dividende jugé intéressant par le marché, alors que la seconde n’a progressé que de 1.34% suite à des indicateurs en ligne avec les prévisions.
Graphiquement, l’indice CFG25 évolue toujours au sein du triangle entre la moyenne mobile 20 et 50 jours clôturant à 22817 points. Nous pensons que le marché devrait poursuivre sa consolidation durant les prochaines séances.

Analyse technique hebdomadaire
Le marché clôture la semaine sur une contre performance hebdomadaire de –0.26% à
22817pts.
Le CFG 25 a oscillé entre un plus bas à 22647pts et un plus haut à 22962pts et ce, après
une ouverture la séance du lundi à 22788pts.
D’un point de vue graphique, l’indice maintient son évolution au sein du canal baissier
court terme r1/s1 tout en gravitant autour des 22800pts. Pour rappel, ce niveau constitue
non seulement un support/résistance majeur mais aussi un « noeud de bifurcation » important
sur le plan fractal.
S’agissant des moyennes mobiles, le CFG 25 demeure au-dessus de sa MM 200 jrs
néanmoins l’écart entre ces deux courbes se réduit d’avantage.
Sur le plan technique, aucun élément nouveau n’est à signaler.
En conclusion, nous estimons que les deux prochaines semaines seront décisives quant à
l’évolution moyen terme du marché. Notre conviction issue de l’analyse graphique,
technique et fractalienne plaide pour un retour à la baisse avec un pivot mineur autour
des 22800/22900pts et un pivot majeur autour des 24000pts.

( Ailleurs, les trois grandes capitalisations de la place à savoir Maroc Telecom, Attijariwafa et Addoha continuent de faire du surplace, face à un assèchement de la demande.) cfg

[quote="Pelican"]Lu pour vous :

Exclusif pour www.bourse-maroc.forumactif.org

"Les recommandations pertinentes se font de plus en plus rares en cette
période de l’année. Certaines sociétés de bourses sont totalement à
contre sens dans leurs prévisions et nous avons jugé raisonnable de ne
pas intervenir dans ce champ bien miné en ce moment. Et pour cause, des
manipulations bien à l’ancienne certes. Mais assez professionnelles il
faut l’avouer.



Nous allons donc nous contenter de commenter le passé.



Sur le plan fondamental, un seul mot d’ordre : les résultats.



En effet, les cours ont réagit aux résultats beaucoup plus qu’à des
configurations chartistes. Normal me diriez-vous.

Toutefois, les réactions restent difficiles à prévoir. Le dilemme d’un
investisseur est de savoir ce que cherche le marché. Un résultat
accompagné d’un dividende ou des perspectives de croissance importantes ?




Cette discipline appelée Trading de news est beaucoup utilisée sur le
marché de changes.

Elle comporte beaucoup de risques à cause de la volatilité. Toutefois,
l’avantage est que l’on sait ce qui fera réagir le marché : ce n’est pas
le chiffre en lui-même, mais sa situation par rapport aux prévisions.
Ainsi on peut attendre la publication avant de prendre position. On ne
profite pas de toute l’impulsion certes. Mais, on est sur d’être dans le
sens de la tendance.



Sur la BVC cet exercice n’est pas évident.



Prenons des exemples.



ATTIJARI WAFA BANK, l’un des meilleurs élèves de la classe a publié des
résultats en hausses et a consolidé sa position de leader. Un rendement
de 3%. Mais, pour une valeur spéculative c’est un bon chiffre. Aussi,
des perspectives d’évolution très intéressantes et notamment à
l’international. Réaction : une ouverture en hausse au lendemain de la
publication et le cours a rapidement incorporé le dividende pour
consolider et reprendre ça marche normale.



IAM quant à elle, avec un rendement de 7% et des perspectives plus
modérée à cause d’une concurrence des plus rudes en 2010 n’a pas
enregistrée de changements notables. Toujours dans un range entre 151et
147.



CIH quant à elle a publiée un résultat en nette baisse et a été
sanctionnée par une réservation à la baisse cette séance. Pourtant les
perspectives sont bonnes.( asseinissement de la situation financiére en
2009)



En conclusions, trouver ce que cherche le marché dans les resultats
demeure un exercice difficile.



Il faut donc préconiser de petites positions avec des stops judicieux
placés avec des indicateurs techniques de volatilité plutôt qu’avec des
niveaux chartistes. En effet, ne sortir que si la volatilité devient
anormalement élevée. Les tests de supports étant fréquents.



[color=red]Garder une grande partie de son portefeuille en cash est également une
attitude à avoir. Entre 30 et 40% en attendant une meilleure visibilité. [/color

ودكر فان الدكرى تنفع المومنين
تحليل للاسهم و للسوق مهم وممتاز
نصف الشجاعة الحدر
شكرا الاخ بلكان

Tableau Actualisé des PER, et taux de Rendement DIV des valeurs qui ont annoncé leurs Résultats :

Créatori n'exagerait pas lorsqu'a annoncé que CTM Emprinterait pour distribuer le Dividende : Le taux de distribution des Résultats est à 146%

trop fort le proreal time qui va etre lancé par DT qlq1 aurait vu les video introductive?

Bonsoir,tt le monde

LESIEUR CRISTAL

CHIFFRE D'AFFAIRES -7% 3986 MDH

Résultat d'exploitation +62% 308 MDH

Résultat net +44% 278 MDH

Trésorerie nette +288% 542 MDH

DIVIDENDES 2010

79 DH +21 DH EXCEPTIONNEL