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MessageSujet: Re: Seance du Vendredi 21 Mai 2010 + week end   Seance du Vendredi 21 Mai 2010 + week end - Page 16 Icon_minitimeLun 24 Mai 2010 - 1:25

Amiir a écrit:
taoufik a écrit:
comment sur acheté vous pouvez eclairsir un peu et merci
L'idicateur RSI est très élevé (+ de 80). Elle est également au somet de la bande de boolinger...

Dans de tels cas, et même si la tendence haussière est appelée à se maintenir, la valeur pourra baisser pour réaliser des prises de bénéfices avant que la tendence haussière reprènne, comme elle pourra ne pas reprendre.

Ceci dit, il est également possible que la flambée continue pour atteindre les 100% de Fibo. Pour moi, la prudence est de mise à ce stade.

Wallahou A3lam
merci
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taoufik




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MessageSujet: Re: Seance du Vendredi 21 Mai 2010 + week end   Seance du Vendredi 21 Mai 2010 + week end - Page 16 Icon_minitimeLun 24 Mai 2010 - 1:29

merci
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MessageSujet: Re: Seance du Vendredi 21 Mai 2010 + week end   Seance du Vendredi 21 Mai 2010 + week end - Page 16 Icon_minitimeLun 24 Mai 2010 - 2:45

GROUPE ADDOHA : Les dessous d'une augmentation du capital
Mar Bassine Ndiaye

14 2007


C’est pour garder son indépendance par rapport aux bailleurs de fonds qu’Anas Sefroui a décidé d’augmenter son capital, plutôt que de se financer par endettement. Cela correspond à un énorme manque à gagner en termes de bénéfice par action, puisqu’Addoha n’a aucune dette à long terme dans son bilan.


Anas Sefrioui, président du groupe Addoha.


C’est en fanfare que le géant de l’immobilier a annoncé l’augmentation de son capital. Les actionnaires seront bientôt appelés à apporter quelques 2,2 milliards de DH. Le conseil d’administration réuni fin août en a décidé ainsi, mais le dernier mot appartient à l’assemblée générale extraordinaire.
La question se pose d’emblée de savoir pourquoi avoir pris cette option qui consiste à augmenter les fonds propres du promoteur immobilier. En d’autres termes, comment une entreprise peut-elle décider de ne pas gagner plus d’argent pour ses actionnaires, quand elle en a l’opportunité ?
Addoha a, effectivement, la possibilité de se financer par endettement, mais il a choisi d’en appeler à l’effort financier des actionnaires. Selon toutes les théories financières, il s’agit d’une destruction de valeur car la rentabilité d’une entreprise endettée est généralement plus importante que celle d’une entreprise qui ne travaille qu’avec ses fonds propres comme compte le faire Addoha. C’est d’ailleurs ce qui est à l’origine de ce que les financiers appellent l’effet de levier.

L’effet de levier

La démonstration du manque à gagner qu’Anas Sefroui fait supporter aux petits porteurs est somme toute très facile. En effet, à la fin 2007, les fonds propres d’Addoha devraient avoisiner les quelques 2,4 milliards de DH. Il s’agit d’estimations qui partent des fonds propres à la fin de l’exercice 2006, auxquels s’ajoute naturellement le résultat prévisionnel de l’exercice en cours et duquel sont ôtés les dividendes versés en juillet dernier au titre de l’exercice 2006. Dans de telles conditions, solliciter les actionnaires pour 2,2 milliards de DH signifierait que l’entreprise a besoin de près de 4,6 milliards de DH de capitaux permanents à partir de 2008. En restant sur les propres prévisions d’Addoha d’après son business-plan révisé de janvier 2007, l’entreprise devrait réaliser un bénéfice de 2,1 milliards de DH en 2008. A partir de là, deux hypothèses sont possibles : l’augmentation de capital ou l’endettement. En procédant à une augmentation de capital, le bénéfice par action devrait diminuer sensiblement, puisque le nombre d’actions augmentera alors que le résultat stagnera. L’hypothèse d’une augmentation de ce bénéfice par action ne se soutient que si le nouvel investissement réalisé rapporte beaucoup plus. Alors que dans l’hypothèse d’un endettement, le groupe Douja Promotion Addoha supporte simplement les intérêts qui génèrent des économies d’impôts. Mieux encore, puisqu’il n’y a pas de création de nouvelles actions, le bénéfice par action est plus important, à condition que la rentabilité économique du projet soit supérieure au taux d’intérêt. Ce qui est sans doute le cas, puisqu’Addoha présente une rentabilité des fonds propres autour de 45%, d’après les prévisions contenues dans le business-plan. Alors que les taux d’intérêt supportés par des entreprises comparables actuellement sont d’environ 6% ou même moins. La question du choix de ce mode de financement par augmentation de capital reste entière. D’ailleurs, ni les analystes, ni les responsables de la place ne peuvent y répondre, puisqu’il ne rime avec aucune logique financière. Dans une grande société d’intermédiation de la place, on soutient simplement que l’entreprise a besoin de garder son indépendance vis-à-vis des banques. Il est vrai que l’histoire récente donnerait raison à Anas Sefroui, qui a peur de se voir arracher son entreprise des bras. En effet, les observateurs sont unanimes pour dire que si le groupe de Mustapha Amhal a vendu son fleuron du secteur du pétrole, la Somepi, au groupe d’Aziz Akhannouch, c’est parce qu’il ne pouvait pas faire face à ses engagements bancaires. Ce n’est donc que par peur de perdre son entreprise, ou plutôt par fierté de garder toute son indépendance, que la décision d’augmenter le capital, et donc de réduire le retour sur capitaux propres pour les actionnaires, a été prise.
Mais cette analyse ne résiste pas à la critique.

Besoin d’indépendance

D’une part, la solidité financière d’Addoha est sans commune mesure avec celle du groupe de Mustapha Amhal dont plusieurs entreprises étaient déficitaires. D’autre part, rien n’est plus facile que de s’endetter en évitant le circuit bancaire. Il suffit pour cela d’émettre des obligations qui seront cotées à la bourse. Par ailleurs, d’après son business-plan, Addoha n’aurait même pas besoin de recourir à ces financements, puisqu’à partir de 2008, l’entreprise devrait dégager entre 2,6 et 3,8 milliards de DH de cash-flows. C’est du moins ce qu’estimait Attijari Intermédiation dans une étude datant de février 2007. Cet effort d’explication, on ne le retrouve même pas chez les dirigeants d’Addoha, tant le choix d’augmenter le capital leur paraît eux-mêmes arbitraire. Les lieutenants d’Anas Sefroui reconnaissent unanimement la pertinence de la critique qui leur est adressée. Et pour leur défense, ils évoquent des réponses évasives. «Le fait que les actionnaires majoritaires aient décidé de participer à l’augmentation de capital montre qu’ils ont confiance dans la société».
Cela devrait permettre au cours de l’action de croître, réplique le même analyste. Sans doute ont-ils oublié que la seule confiance en la société ne suffit pas. Aujourd’hui, il faut rentabiliser une action qui s’échange à 3.400 DH et dont les détenteurs n’ont reçu, en retour, que 25 DH de dividende par titre pour l’exercice 2007. Les petits porteurs n’auraient sans doute jamais craché sur les quelques dizaines de DH de dividendes supplémentaires qu’aurait permis de gagner un meilleur montage financier. Mais visiblement, le souci d’un Anas Sefroui, qui détient 65% de l’entreprise, n’est pas le même que celui des autres actionnaires. Malheureusement, le plus étonnant, c’est que quand la machine du marketing des sociétés de Bourse et des banques se mettra en route, on qualifiera l’opération de succès.
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MessageSujet: Re: Seance du Vendredi 21 Mai 2010 + week end   Seance du Vendredi 21 Mai 2010 + week end - Page 16 Icon_minitimeLun 24 Mai 2010 - 2:53

Addoha minimise son endettement20.04.2010
L’opérateur immobilier continue sur sa lancée. L’augmentation de capital prévue en 2010 réduira l’endettement du groupe.




Anas Sefrioui, Hassan Belbachir, Noraddine Ayoubi, Abderrazak Walliallah, Jawad Zyat et Mehdi Belghiti. Les têtes pensantes d’Addoha étaient toutes là, lors de la présentation des résultats annuels, mercredi dernier, pour rassurer sur les fondamentaux de l’opérateur immobilier. Devant un parterre de journalistes revenant à la charge, ils n’ont eu de cesse de minimiser l’endettement du groupe, sur toutes les bouches depuis le début d’année, et de balayer l’idée que le groupe «semble subir l’effet négatif de sa stratégie de diversification vers le résidentiel touristique à un timing inopiné», comme résument les experts de BMCE Capital.
Selon le top management, «la dette nette de 8,4 milliards de DH enregistrée en 2009 ne représentent qu’1,2 fois les fonds propres». Elle se répartit à près de 5 milliards dans l’endettement à court terme et les 3 restants à long terme. «D’ailleurs, cet endettement représente la totalité de notre dette bancaire et couvre à deux fois nos stocks», poursuit à ce sujet Mehdi Belghiti, secrétaire général du groupe.

Fadesa grève les résultats
Autre fait : le résultat net consolidé affiche une baisse de 20% et se fixe à 1,02 milliard de dirhams. «Il s’explique par le niveau de résultat de Fadesa Maroc qui se situe à 17 millions de dirhams en 2009 contre 520 millions de dirhams en 2008», est-il affirmé de même source. Les explications trouvent leur origine dans «une perte exceptionnelle». Il s’agit en substance de la cession des deux hôtels de la station Saidia. A ce titre, le résultat de Fadesa Maroc a été impacté par une perte de 260 millions de dirhams. Mais insiste-t-on, «une perte absorbée par les autres projets du groupe. D’ailleurs, c’est plus une relance de la station qu’une perte». Reste à savoir si les marchés espagnols et anglais répliqueront positivement à l’offre Saidia, contrairement à l’exercice précédent. Si les réalisations consolidées se sont inscrites à la baisse, tel le résultat net d’exploitation qui accuse une diminution de 22%, pour s’établir à près de 1,5 milliards de dirhams, il reste que le chiffre d’affaires affiche une progression de 25%, pour atteindre les 6 milliards de dirhams. De plus, si le résultat d’exploitation n’a évolué que de 7,3% pour 792,1 millions de dirhams, les raisons en sont multiples. Il se trouve que l’exercice 2009 a vu une augmentation des charges liées à l’installation de la marque Prestigia, filiale immobilière de haut standing du groupe Addoha, en terme de frais relatifs aux besoins en ressources humaines et de communication. Une situation à laquelle il convient d’ajouter la variation de stocks qui diminuent de 46,8% et les reprises d’exploitation qui régressent de 35,5%.
Les besoins en financement du groupe commencent à se faire sentir. La production d’une moyenne de 100 logements par jour nécessite des fonds. C’est pourquoi le groupe Addoha annonce les préparatifs d’une opération d’augmentation de capital durant l’année 2010. Deux banques d’affaires y planchent : une nationale et l’autre multinationale. Elles élaborent des études destinées à fixer les modalités et le montant de cette opération. «Il ne s’agit pas d’une cession d’actions, mais de l’argent frais qui sera certainement affecté aux fonds propres», tient à préciser Hassan Belbachir, le conseiller auprès de la présidence du groupe, à ceux qui y voient une manœuvre pour alléger le ratio d’endettement du groupe. Même si elle est démentie par le président Anas Sefrioui, la rumeur selon laquelle, la nouvelle entité née de la fusion ONA/SNI participera à cette augmentation de capital persiste.
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MessageSujet: Re: Seance du Vendredi 21 Mai 2010 + week end   Seance du Vendredi 21 Mai 2010 + week end - Page 16 Icon_minitimeLun 24 Mai 2010 - 3:04

Addoha lèvera 5 milliards de DH sur le marché

21 05 2010


■ Une augmentation qui représente 106% du capital actuel (2,835 milliards de DH).
■ Sera-t-elle réservée au public ou dédiée à un parterre d’institutionnels ?
■ Attijari Finance Corp parmi les conseillers ?


Anas Sefrioui s’apprête à renflouer sérieusement le capital de son groupe.


On l’attendait depuis la présentation des résultats 2009, le montant est désormais connu. L’augmentation de capital du géant immobilier portera, comme indiqué dans la convocation de l’assemblée générale, publiée mercredi dernier, sur 3 milliards de DH. Ce montant est supérieur de 165 millions de DH au capital social du groupe immobilier qui ressort, selon la publication officielle des résultats, à 2,835 milliards de DH. Si l’on s’en tient à ce chiffre, l’augmentation représente 106% environ du capital actuel. La règle comptable de base veut que l’augmentation de capital se fasse sur la base du capital social. A noter que les capitaux propres du groupe Addoha, qui regroupent en plus du capital social les réserves légales, les reports à nouveau et le résultat net de l’exercice, ressortent à 4,32 milliards de DH, toujours selon la publication officielle du groupe.

Les levées de fonds envisagées par le groupe Addoha ne se limitent pas à l’augmentation du capital. En effet, la convocation de l’assemblée générale porte également sur la validation d’un programme d’émission obligataire pour 2 milliards de DH, répartis sur 20.000 titres de 100.000 DH chacun. Ce montant viendra s’ajouter au 1,5 milliard de DH d’emprunt obligataire qui figure déjà dans le bilan du groupe. Au total, le groupe aura, au terme de ces deux opérations, levé 5 milliards de DH.

A priori, l’annonce est très bien accueillie par les opérateurs du marché. Preuve en est, le titre Addoha fait l’objet d’un engouement de la part des investisseurs de la place. Des levées de fonds aussi colossales signifient-elles que le groupe serait en difficulté et qu’il chercherait à s’en sortir en réalisant de grosses émissions ? «Le message est plutôt que le groupe est engagé sur de gros investissements et qu’il se tourne vers le marché pour optimiser leurs financements», nous assure-t-on auprès du marché.

L’annonce faite mercredi dernier émane de l’obligation légale de convoquer les actionnaires à l’assemblée générale à la fois ordinaire et extraordinaire, afin de valider les décisions d’augmentation du capital et d’émission obligataire. De ce fait, elle ne comporte qu’un strict minimum d’informations, à savoir les montants des opérations. Pour ce qui est des détails de ces deux opérations, le groupe Addoha reste motus et bouche cousue. Il explique son mutisme par les contraintes règlementaires qui lui sont imposées par le CDVM.

Depuis près de deux ans, les deux seuls opérateurs qui interviennent dans la zone logistique sont le Français Geodis et le Japonais Makita.

L’absence d’autres informations laisse libre cours aux interprétations du marché. La question qui ressort en premier est de savoir si l’augmentation du capital sera ouverte au grand public ou sera réservée à un parterre limité d’investisseurs, voire même à un seul institutionnel. Nos sources au sein de la place casablancaise ne cachent pas leur préférence pour la première option. En effet, si l’augmentation de capital est ouverte au grand public son effet sur le marché sera beaucoup plus important que l’introduction en bourse d’Addoha en 2006. La place casablancaise retrouvera donc les heures de gloire des années 2006 et 2007. Les actionnaires, notamment particuliers et étrangers reviendront en masse à l’investissement boursier.

Mais nos sources au sein du marché ne vont pas au bout de leur rêve. Ils sont conscients que l’opération peut bel et bien être réservée à un ou plusieurs investisseurs privilégiés. Un raisonnement lié aux rumeurs insistantes d’une éventuelle prise de participation de la CDG dans le capital d’Addoha. Il n’est donc pas exclu que, tout ou partie, de l’augmentation du capital soit réservé au groupe public. Jusqu’à maintenant, les déclarations des dirigeants d’Addoha et de la CDG ont démenti cette éventualité.

Une solution intermédiaire serait de répartir l’augmentation du capital entre le grand public et une sélection d’institutionnels. Mais la décision appartient désormais au groupe et à ses conseillers financiers. Ces derniers sont, comme indiqué lors de la présentation des résultats, un groupe français et autre marocain. Nos sources précisent que le conseiller marocain serait Attiijari Finance Corp. Là aussi, Addoha reste motus et bouche cousue.

Quelle que soit l’option retenue pour l’augmentation du capital celle-ci chamboulera sensiblement la structure du tour de table d’Addoha. En effet, si Anas Sefrioui ne se réserve pas le droit de souscrire à une bonne partie du montant de l’opération, il perdrait sans doute la majorité qu’il détient actuellement dans le capital (61,74% selon le site de la bourse). Mais perdre la majorité ne signifierait peut-être pas perdre le contrôle. Le patron d’Addoha peut orchestrer l’opération de manière à ce qu’il détienne une part du capital supérieuer à celles des autres actionnaires, tout en étant inférieure à 50%. Un troisième scénario se solderait par une perte de majorité et de contrôle d’Anas Sefrioui. Ce qui reste envisageable compte tenu de l’importance de l’augmentation du capital (106%). Personne ne peut s’exprimer par rapport au scénario qui sera retenu. Le suspense est maintenu en attendant les prochaines annonces.
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