Séance du Vendredi 15 Octobre 2010 + Weekend

CIH , FBR , M2M, SID. message a nos expert, que pensez vous de ses valeurs pour la semaine prochaine ?

madex a écrit:

allez comprendre qlq chose dans cette bourse,la valeur qui a pris le plus cette annee +120% a encore augmentée,pourtant pas de nouvelle ,effet des cours des matieres premieres ou autre chose et jusqu'ou elle peut aller

quand on s'interesse à la psychologie de marché la récompense est instantanée..
par contre quand on s'interesse aux fondamentaux d'une valeur la recompence prendra beaucoup de temps au moins une année.
managem est une valeur guidée par la psychologie plus que autres choses pour cela elle est parmi les valeurs les plus genereuse de la place à condition qu'on entre et on sort au bon moment.maintenant elle est sur sa 5ieme vague avec un gap haussier laissé derriere qui doit etre comblé par les vagues correctives (abc) avant toute eventuelle poursuite.

NB: quand on maitrise pas la psy de marché on doit s'attacher aux fondamentaux ces derniers representent la deuxieme ligne défensive pour tout investissement

creatori a écrit:

CIH , FBR , M2M, SID. message a nos expert, que pensez vous de ses valeurs pour la semaine prochaine ?

CIH meme si on est tente' de rentrer elle reste quand meme dangereuse,elle peut retourner a 300 facilement sinon moins

FBR d'apres l'AT elle est recommandee' a l'achat,il semble d'apres les ordres de ces jours on achete,a ce cours je ne touche pas

M2M ,avant le resultat on s'attendait quand meme a mieu,avec les contrats,cartes grises ,permis,tramway et autre en Afrique ,pas d'explication de leur part cache tjr le resultat et communique de moins en moins,le titre a un potentiel mais il y a mieu en ce moment

SID,la grande deception,d'apres moi elle ne sera plus comme avant,une grosse pointure mais il faut revoir sa strategie pour s'adapter avec la rude concurrence,a ne pas rater si elle baisse avec un PER plus bas comme ce fut tjr son cas dans le passe'

je vous propose ADH pour la semaine prochaine et BCP pour la fin de l'annee' une valeur sure

Projet de loi de Finances: Qui donnent les sous au Trésor?


· Les entreprises publiques ont versé 9 milliards de DH d’IS

· OCP SA, Maroc Telecom, BAM, trois vaches laitières


Dans la vie, il y a ceux qui donnent et ceux qui prennent!
Une règle à laquelle n’échappent pas les entreprises publiques. Celles-ci font partie du portefeuille public et qui compte aussi 481 sociétés où l’Etat a les statuts d’actionnaire unique, majoritaire ou ayant des parts ne dépassant pas les 50%.
L’Etat fait des affaires, mais à sa manière. D’où la relation financière qu’il entretient avec ses entreprises publiques. Difficile parfois, surtout lorsque la Cour des comptes épluche les bilans. Dans les 240 entreprises publiques du Royaume, il y a aussi les bons et les mauvais élèves, les riches et les pauvres… Avant de faire ses comptes, l’Etat réalise d’abord via la loi de Finances des transferts budgétaires à ses entreprises: un peu plus de 24,6 milliards de DH en 2009, soit une hausse de 43% par rapport à 2008.
Ces fonds publics ont été «orientés prioritairement aux infrastructures, enseignement, agriculture et services publics de base», selon le ministère des Finances. Les établissements non marchands à vocation éducative, culturelle ou sociale accaparent 77% des transferts budgétaires de l’Etat. Académies, universités, hôpitaux… en sont les principaux bénéficiaires. Ce sont près de 19 milliards de DH dédiés à relever notre indice de développement humain.
Puis il y a les entreprises publiques marchandes. L’Office national des chemins de fer est en tête des bénéficiaires des subventions budgétaires directes (1,3 milliard de DH), suivi par l’audiovisuel public (SNRT), le Crédit Agricole, le CIH et Al Omrane. 5,8 milliards au total qui, lorsqu’ils ne sont pas dédiés à l’investissement, servent à des restructurations financières ou à financer des «programmes structurants». Tels que la ligne TGV Tanger-Kénitra, autoroutes, énergies renouvelables… Il y a certes une prédominance des transferts à l’équipement. Mais 43% des subventions de l’Etat sont absorbées par le fonctionnement. A part les transferts budgétaires de l’Etat, les entreprises publiques se servent également dans les produits des taxes parafiscales (2,5 milliards de DH). L’Office de formation professionnelle, la SNRT ou encore l’Office national interprofessionnel des céréales et légumineuses en sont les premiers à s’en servir depuis 2007. Le concours financier de l’Etat prend également en charge leur personnel, contribue à la formation…
L’Etat a transféré jusqu’à fin juin dernier 12,3 milliards de DH. Et ceci au titre de la loi de Finances 2010. Soulignons que ses prévisions initiales (24,6 milliards de DH) ont été actualisées. Le ministère des Finances les a donc ramenées à près de 22 milliards, avec tout de même un taux de réalisation de 56%. Certes l’Etat débourse des fonds, mais il en reçoit aussi. Les entreprises publiques ont dû lui verser près de 10,5 milliards de DH en 2009. Ce qui représente une hausse de 35% par rapport à 2008 et un taux de réalisation de 105% par rapport aux prévisions de la loi de Finances!
Ces produits qui proviennent des entreprises publiques participent à hauteur de 1,4% du PIB en 2009 toujours et 6% des recettes ordinaires du budget de l’Etat. Ils sont en hausse par rapport aux performances réalisées en 2008. A ces produits s’ajoutent les dividendes et redevances domaniales notamment. Elles sont cinq entreprises sur 240 à renflouer les caisses du Trésor. Aves ses 2,8 milliards de DH, Bank Al-Maghrib se place comme 1er contributeur. Maroc Telecom la talonne (2,6 milliards de DH), OCP SA évidemment (2,4 milliards de DH), l’imprévisible Conservation foncière (1,2 milliard de DH), puis la Caisse de dépôt et de gestion ferme la marche. A fin août 2010, les versements ont atteint 6,8 milliards de DH, soit un taux de réalisation de 74%. Les prévisions 2011 de l’argentier du Royaume tablent sur 10,02 milliards.
Rappelons que l’Etat est actionnaire à 30% dans Maroc Telecom. L’opérateur -ayant un statut de société mixte dans le portefeuille public- s’active dans un secteur qui demeure le 1er contributeur fiscal du pays et dont le chiffre d’affaires participe à hauteur de 7% dans le PIB. Quant à l’OCP SA – il reprend des couleurs. La reprise est au rendez-vous après les vaches maigres de 2009 et les performances record de 2008. A fin juillet 2010, ses exportations de phosphates bruts notamment ont quasiment doublé par rapport à juillet 2009: de 2,9 à 5,7 millions de tonnes. Si la CDG figure avec l’OCP SA au top 5 des plus gros contributeurs publics, c’est qu’il y a une raison. Les deux établissements sont, au côté de la BCP, les holdings publics qui détiennent 46% des sociétés relevant du portefeuille public. Autant dire qu’ils sont les trois mousquetaires financiers de l’Etat. Les dividendes ont participé en 2009 de plus de la moitié aux produits versés par les entreprises publiques à l’Etat. En revanche, la part des redevances domaniales n’atteint que 3%. Quant à la contribution fiscale des entreprises publiques, elle est de 9,02 milliards de DH pour l’IS et près de 3,3 milliards pour l’Impôt sur le revenu.
La baisse enregistrée en 2009 pour l’IS (plus de 5 milliards) s’explique par la baisse de la contribution de l’OCP. Les montants dus par les entreprises publiques en 2009 représentent 8,5% du montant total de l’IS réalisé en 2010. Chez ces établissements, OCP SA, Conservation foncière, Al Omrane et l’ONDA versent plus de la moitié de l’IS.
Pour l’impôt sur le revenu, on retrouve l’OCP toujours, RAM, ONE, Conservation foncière et Onep. Là aussi l’apport de Maroc Telecom et de Bank Al- Maghrib pèse.

madex a écrit:

creatori a écrit:

CIH , FBR , M2M, SID. message a nos expert, que pensez vous de ses valeurs pour la semaine prochaine ?

CIH meme si on est tente' de rentrer elle reste quand meme dangereuse,elle peut retourner a 300 facilement sinon moins

FBR d'apres l'AT elle est recommandee' a l'achat,il semble d'apres les ordres de ces jours on achete,a ce cours je ne touche pas

M2M ,avant le resultat on s'attendait quand meme a mieu,avec les contrats,cartes grises ,permis,tramway et autre en Afrique ,pas d'explication de leur part cache tjr le resultat et communique de moins en moins,le titre a un potentiel mais il y a mieu en ce moment

SID,la grande deception,d'apres moi elle ne sera plus comme avant,une grosse pointure mais il faut revoir sa strategie pour s'adapter avec la rude concurrence,a ne pas rater si elle baisse avec un PER plus bas comme ce fut tjr son cas dans le passe'

je vous propose ADH pour la semaine prochaine et BCP pour la fin de l'annee' une valeur sure

J'evoque slmnt l'aspect technique ddes valeurs precitees et sur une tendance hebdomadaire ?

Bonsoir,

Un information concernant la BCP qui peut encore booster le cours :


La BCP recherche très activement une compagnie d'assurance à acquérir.


La concrétisation est pour bientôt : En principe avant la fin de l'année.

L'action BCP est entrée dans le stade d'actions stars "bien animée" par UPLINE avec des annonces de temps en temps.

Informations bien sûr à recouper.

_______

aucune position sur CIH n'est conseillée pour le moment,le cours pourra facilement evouluer au dessous de 300 DH pour des raison fondamentales


__________________

la croissance de FBR est corrompue durant ce premier semestre le cours doit suivre alors la situation,le signal d'achat de ces derniers jours est invalide vue le faible volume constaté durant ces dernieres seances



__________________

Sans tenir copmte des contrats qui peuvent etre signés , M2M n'a fait aucun progrès durant ce premier semestre le cours n'ira pas loin la tendance est completement baissiere
retour au 489 DH



__________________

SID a perdu presque la moitié de son rendement ,les cibles de cours sont: 1942-1901-1855 et si la societé termine l'année par un resultat deficitaire le cours se dirigera vers 1498DH

Google a écrit:

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aucune position sur CIH n'est conseillée pour le moment,le cours pourra facilement evouluer au dessous de 300 DH pour des raison fondamentales


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la croissance de FBR est corrompu durant ce premier semestre le cours doit suivre alors la situation,le signal d'achat de ces derniers jours est invalide vue le faible volume constaté durant ces dernieres seances



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Sans tenir copmte des contrats qui peuvent etre signés , M2M n'a fait aucun progrès durant ce premier semestre le cours n'ira pas loin la tendance est completement baissiere
retour au 489 DH



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SID a perdu presque la moitié de son rendement ,les cibles de cours sont: 1942-1901-1855 et si la societé termine l'année par un resultat deficitaire le cours se dirigera vers 1498DH

bon retour Google
voila l'AT qui est venue pour confirmer ce que j'ai avance' plus haut
maintenant j'ai propose' 2 titres qlq'1 peut nous suggerer 1 ou 2 titres pour en discuter

madex a écrit:

Google a écrit:

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aucune position sur CIH n'est conseillée pour le moment,le cours pourra facilement evouluer au dessous de 300 DH pour des raison fondamentales


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la croissance de FBR est corrompu durant ce premier semestre le cours doit suivre alors la situation,le signal d'achat de ces derniers jours est invalide vue le faible volume constaté durant ces dernieres seances



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Sans tenir copmte des contrats qui peuvent etre signés , M2M n'a fait aucun progrès durant ce premier semestre le cours n'ira pas loin la tendance est completement baissiere
retour au 489 DH



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SID a perdu presque la moitié de son rendement ,les cibles de cours sont: 1942-1901-1855 et si la societé termine l'année par un resultat deficitaire le cours se dirigera vers 1498DH

bon retour Google
voila l'AT qui est venue pour confirmer ce que j'ai avance' plus haut
maintenant j'ai propose' 2 titres qlq'1 peut nous suggerer 1 ou 2 titres pour en discuter

justement c'est l'elloitisme pur et dure qu'on combine avec du fondamentale l'AT donne autre chose

Le titre Diac Salaf a été suspendu de la cote de la Bourse des valeurs de Casablanca,

vendredi 15 octobre 2010, à la demande du CDVM

Cette suspension est liée à des informations importantes à annoncer par la société de crédit à la consommation présidée par Abdelkrim Bencherki. Il semblerait que le partenaire tant attendu par le président de Diac Salaf et par le CMKD a été trouvé.

Pour rappel, en 2008, la société de financement, contrôlée à hauteur de 51,13% par le holding financier FinInvest présidé à son tour par Abdlekrim Bencherki, a signé un partenariat avec le groupe CMKD pour sauver la société de crédit à la consommation de la faillite. Seulement, aucune transition n'a eu lieu du moment que le nouveau partenaire aurait exigé l'intégration des produits islamiques et de la formule de Location avec option d'achat (LOA) dans l'offre des produits. Un développement qui serait possible, aux yeux des deux partenaires, avec la participation d'un troisième intervenant à cette mission de pérennisation de l'activité de l'établissement financier créé en 1948.

C'est ainsi que la société de crédit a accumulé les pertes. Les réalisations financières affichées au terme du premier semestre 2010 sont, en effet, désastreuses. L'encours net de crédit fait état d'un retrait de 3% à 201,6 MDH. Le produit net bancaire se situe à 442 KDH, intégrant une baisse de 25,6% des produits d'exploitation bancaire à 7,5 MDH et une contraction de 34,3% des charges d'intérêts à 7 MDH.

Le déficit net s'est élevé à -10 MDH intégrant des dotations nettes de reprises de provisions pour créances en souffrance de 17 KDH.
A souligner, par ailleurs que les commissaires aux comptes ont soulevé un sous-provisionnement de 153 MDH, dont la constatation pourrait mener à la faillite de la société. Une situation catastrophique qui n'a que trop duré au point que les analystes ont commencé à douter d'un éventuel partenariat capitalistique.

Un doute qui serait sur le point de se dissiper avec l'apparition du partenaire recherché. Selon des informations qui circulent il y a quelques jours sur le marché, c'est le Crédit agricole du Maroc, présidé par Tarik Sijelmassi, qui serait intéressé par la reprise d'une partie du capital de la société de crédit à la consommation encore indépendante et dont la capitalisation boursière se chiffre à quelque 96,91 MDH. La banque verte chercherait à se positionner dans un secteur qu'elle n'a pas encore investi.

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l'oscillateur Elliotique montre que la valeur NAKL a bien consommé sa baisse ,elle est à zero ,il est fort probable que le cours marquera son premier batonnet vert une fois les 72 DH seront battus avec du volume, la prochaine cible sera le sommet de la 3ieme vague à 75.
une reservée à la hausse plus au moins longue à ne pas exclure

haakoo a écrit:

Le titre Diac Salaf a été suspendu de la cote de la Bourse des valeurs de Casablanca,

vendredi 15 octobre 2010, à la demande du CDVM

Cette suspension est liée à des informations importantes à annoncer par la société de crédit à la consommation présidée par Abdelkrim Bencherki. Il semblerait que le partenaire tant attendu par le président de Diac Salaf et par le CMKD a été trouvé.

Pour rappel, en 2008, la société de financement, contrôlée à hauteur de 51,13% par le holding financier FinInvest présidé à son tour par Abdlekrim Bencherki, a signé un partenariat avec le groupe CMKD pour sauver la société de crédit à la consommation de la faillite. Seulement, aucune transition n'a eu lieu du moment que le nouveau partenaire aurait exigé l'intégration des produits islamiques et de la formule de Location avec option d'achat (LOA) dans l'offre des produits. Un développement qui serait possible, aux yeux des deux partenaires, avec la participation d'un troisième intervenant à cette mission de pérennisation de l'activité de l'établissement financier créé en 1948.

C'est ainsi que la société de crédit a accumulé les pertes. Les réalisations financières affichées au terme du premier semestre 2010 sont, en effet, désastreuses. L'encours net de crédit fait état d'un retrait de 3% à 201,6 MDH. Le produit net bancaire se situe à 442 KDH, intégrant une baisse de 25,6% des produits d'exploitation bancaire à 7,5 MDH et une contraction de 34,3% des charges d'intérêts à 7 MDH.

Le déficit net s'est élevé à -10 MDH intégrant des dotations nettes de reprises de provisions pour créances en souffrance de 17 KDH.
A souligner, par ailleurs que les commissaires aux comptes ont soulevé un sous-provisionnement de 153 MDH, dont la constatation pourrait mener à la faillite de la société. Une situation catastrophique qui n'a que trop duré au point que les analystes ont commencé à douter d'un éventuel partenariat capitalistique.

Un doute qui serait sur le point de se dissiper avec l'apparition du partenaire recherché. Selon des informations qui circulent il y a quelques jours sur le marché, c'est le Crédit agricole du Maroc, présidé par Tarik Sijelmassi, qui serait intéressé par la reprise d'une partie du capital de la société de crédit à la consommation encore indépendante et dont la capitalisation boursière se chiffre à quelque 96,91 MDH. La banque verte chercherait à se positionner dans un secteur qu'elle n'a pas encore investi.

Une information s'il s'avère véridique comme je le disais il y'a 2 jours pourrait non seulement booster le cours, mais le réserver à la hausse pour plusieurs séances et ce, abstraction du mode de paiement qui sera décider entre les parties concernées car tout simplement le marché va saluer cette initiative des 2 partenaires en l'occurence le CMKD et le crédit Agricole.
Ceci étant, je m’attends à des séries de réservations à la hausse dans les séances à venir pour le titre DIAC avec une cible sur le moyen terme de pas mois de DH 200 avec une escale à la barre de DH 130 et 180 DH.
Cette cible a été dégagée comme je l'avais annoncé à l'aide la droite linéaire suite aux différents cours de clôtures du tickers depuis 2003 comme illustre le graph suivant.

Certes, pour certain cette vous semble lointaine, mais croyez moi, certain fourmistes voyaient Managem à DH 540 aujourd’hui irréalisable lorsqu'elle était à 140

A cet effet, mes félicitations pour les anciens actionnaires qui ont su conserver leurs titres et allez jusqu‘au bout et j'espère que je serais servi dans les prochaines séances pourvu que je tire profit moi aussi.

Ceci reste avis personnel et ne peut être interprété comme une incitation à l'achat.