Seance du mercredi 23/02/2011

plus de 30000 marocains participent aux intoductions en bourse. je suppose que aumoins 10% ont un PF boursier et pourtant a peine 1 % sont inscrit dans un forum boursier marocain. a peine 25%des inscrits sont actifs sur ces forums.

pourquoi ce manque de motivation ???

douja tres belle percee, RESTE TRES PEU POUR LES 104.10, POUR QUE les choses accelerent

bonjour ,
soudain le co de atw est devenu acheteur

Pelican a écrit:

Pixon a écrit:

Service a écrit:

Bourse


La volatilité a augmenté sensiblement à la Bourse de Casa



La Bourse de Casablanca est devenue très volatile. Le trend haussier
que prévoyaient les analystes et traders pour le premier trimestre 2011 a
rapidement cédé la place à une évolution en dents de scie, avec des
variations à très forte amplitude. Le Masi, indice de toutes les valeurs
cotées, n’arrête pas d’enchaîner les hausses et les baisses de plus de
1% par séance. Il a fini par ramener sa performance depuis le début de
l’année à près de 1% le 15 février, et ce, après avoir atteint une
hausse de près de 6% vers la mi-janvier.
De fait, le comportement .......

La Vie éco
www.lavieeco.com

2011-02-22

Bjr

sans blague !!!!! ils viennent juste de se rendre compte qu'il y a volatilité

On a tous compris que la dernière chute du marché est lié au 20 Fév et tout le monde s'amusait à faire de l'AT pour justifier l'ETE.

Maintenant que le 20 Fèv a eu lieu heureusement sans gros dégâts et que des mesures correctives ont suivi en haut lieu sans parler des prévisions de bons résultats annoncés par les SDB et confirmé par IAM dans un 1er temps .... je ne vois pas pourquoi le marché va encore baisser.

c'est clair que les vendeurs de ce matin sont qlq amateurs qui font le bonheur des maitres magouilleurs cherchant le ramassage à bon prix.

S'amusait ? Le mot plutot réducteur envers ces personnes qui avaient anticipé sur la baisse. Heureusement vous aussi.
Bien que le 20 février n'est qu'un détonateur. Et la baisse ou plutot, la dérniére hausse qui engendré beaucoup de distribution s'est faite d'une maniére spéculative, rapide, donc dangereuse. Le mois de Janvier a laissé la chance à de nombreux spéculateurs ( donc institutionnels marocains ) de hausser le marché et de commencer une distribution avec des Atw et Bcp à 480 dhs, Iam à 158 dhs, ou Managem à plus de 800 dhs. L'article de LVE nous confirme, une nouvelle fois, que le comportement des " sages du marché " n'a de sage que le nom et que les plus gros spéculent...mais pour gagner gros. Le PEA, vite congelé dans les tiroires des banques aprés les nouvelles contraintes apportés par le Fisc a fait l'effet d'un Pcht. Rares les personnes qui l'ont ouverte et encore moins alimenté. Le marocain n'aime pas le fisc, surtout quand il sait que même le fisc ne sait pas exactement comment il va taxer ce PEA.

Eh oui, après chaque mouvement de hausse, il y'a un mouvement de baisse. L'effet balance, ou balançoire c'est selon. Dans toute cette gymnastique, il faut tout simplement prôner la prudence et la sécurité de vos os ( au propre comme au figuré ) et attendre que la tempête boursière, politique et - médiatique - se calme.

Attention à l'effet Week-end sur les marchés ...

Anas Sefrioui, Pdg du Groupe Addoha

Le projet Al Firdaous que Sa Majesté a inauguré vendredi 18 février 2011 sera développée par Immolog, détenue à part égale par groupe Addoha et la CDG. Pourquoi créer un nouveau pôle urbain ?

Anas SEFRIOUI : L’idée de créer une ville nouvelle n’est pas le fait du hasard. La ville nouvelle Al Firdaous apporte des réponses concrètes au déficit en logements, tous types confondus, que connaît la capitale Rabat, mais aussi et surtout la préfecture Skhirat-Témara. Al Firdaous, qui s’étend sur 625 ha et dont l’investissement global est de 14 milliards DH, est une ville nouvelle qui sera aménagée et développée par une seule entité selon un phasage cohérent. Le projet porte sur la construction de 34.460 logements, dont 17.000 unités d'habitat social. Elle permettra de générer à terme 12.000 emplois directs et indirects. Al Firdaous a également été conçue en projet intégré et global. Preuve en est la multitude d’équipements collectifs de proximité prévus (81 au total), notamment 28 établissements d'enseignement, 22 équipements sociaux, 10 administrations, 6 centres de santé, 6 mosquées, 5 équipements sportifs, un musée, un théâtre, une bibliothèque et une salle de fêtes.

Quelle sera la particularité et le positionnement d’Al Firdaous ?

Anas SEFRIOUI : Al Firdaous, comme son nom y fait référence, se veut une ville verte intégrée dans son environnement. Le plan d’aménagement du projet a été conçu autour d’un cours d’eau qui traverse la nouvelle ville. Cette dernière est également entourée d’une ceinture verte qui s’adapte parfaitement à la végétation locale. En outre, la ville sera équipée d’infrastructures de base respectant parfaitement les normes environnementales, comme par exemple une station d’épuration des eaux usées, une déchetterie à tri sélectif ainsi que différentes formes d’exploitation de l’énergie renouvelable. Nos architectes et ingénieurs, concepteurs du projet, ont même poussé la réflexion jusqu’à doter la ville nouvelle Al Firdaous d’un système novateur de récupération des eaux pluviales avec des noues et des bassins en cascades qui ne manqueront pas de constituer un élément d’embellissement de la ville.

Comment se porte le groupe ADDOHA dans un marché le moins qu’on puisse dire concurrentiel ?

Anas SEFRIOUI : Le groupe Addoha se porte très bien, et ce quelque soit le segment d’activité concerné. Concernant le logement social, le groupe a annoncé, au lendemain de l’entrée en vigueur du nouveau dispositif fiscal stipulé par la Loi de finance 2010, ses engagements de réaliser près de 150.000 logements à l’horizon 2015, à raison de 30.000 logements sociaux à réaliser par an. Sur le segment du Haut standing, Prestigia, marque haut standing du groupe, a réalisé de très bonnes performances. Depuis son lancement début 2009 et jusqu’à nos jours, Prestigia a pu écouler près de 6000 biens immobiliers pour un chiffre d’affaires sécurisé de 15 milliards DH. Il en est de même pour Excelia, marque du groupe spécialisée en résidences secondaires et touristiques. D’ailleurs, la station balnéaire Mediterrania-Saïdia a vécu une belle saison estivale 2010.

Dans le cadre du plan de relance des logements sociaux, quelles ont été les actions entreprises par le groupe à ce jour ?

Anas SEFRIOUI : Au lendemain de l’entrée en vigueur de la loi de finances 2010, visant d’encourager l’accès des millions de Marocains à la propriété immobilière, et comme je vous l’ai dit, Addoha s’est engagé à réaliser 150.000 logements sociaux à l’horizon 2015. Pour se doter de tous les moyens, notamment financiers, de mener à bien ce chantier gigantesque, le groupe a mené en août dernier une grosse opération d’augmentation de capital d’un montant de 3 milliards DH et a lancé sur la place casablancaise un emprunt obligataire de 2 milliards DH. Nous disposons de l’assiette foncière et du savoir-faire nécessaires pour la réalisation de ce gigantesque programme et il faut dire que les clients ont été au rendez-vous. Vous savez, suite à l’annonce de ce programme, le groupe a reçu pas moins de 350.000 demandes d’acquisition de ce type de logements.

Les militaires de l’ALEM, les salariés de l’ONDA et du ministère de la jeunesse et des sports représentent des milliers de clients potentiels pour ADDOHA, et ce dans le cadre de conventions leur permettant de bénéficier de prix préférentiels, est ce que cela s’inscrit d’une nouvelle politique de commercialisation ?

Anas SEFRIOUI : Notre groupe a conclu en tout une quinzaine de conventions de commercialisation avec de grands groupes et entités au Maroc notamment avec l’Office national des chemins de fer (ONCF), l’ALEM (Agence des logements et équipements militaires), l’Office national des aéroports (ONDA), Dell Maroc et BMCE Bank pour ne citer que ceux-là. Ces conventions s’inscrivent dans le cadre de la politique commerciale des différentes marques de Douja Promotion, à travers des offres s’adressant aussi bien aux clients particuliers qu’aux grands comptes et grandes institutions de la place.

Quelle est la politique du groupe dans son ouverture à l’international ?

Anas SEFRIOUI : En Novembre dernier, Prestigia a réalisé sa première opération à l’international, à Dubaï plus précisément. Nous sommes partis à la recherche d’une clientèle de Marocains résidents dans ce pays du Golfe et d’acquéreurs émiratis qui sont à la recherche d’un bien immobilier d’exception au Maroc. Cette première opération d’ouverture à l’international a été un franc succès. La réflexion est amorcée pour l’initiation d’actions semblables en 2011, et qui viseraient des pays d’Europe et d’Amérique du Nord, qui comptent une forte présence de la diaspora marocaine. Pour ce qui est d’Addoha, notre marque de logements économiques et intermédiaires, elle s’est, depuis plusieurs années déjà, ouverte à l’international à travers une clientèle de Marocains résidents à l’étranger, notamment en Europe, à la rencontre de qui nous partons à l’occasion de la tenue de salons professionnels dédiés. Le dernier en date, le SMAP Immo de Bruxelles s’est tenu au début du mois de février et a connu un grand engouement de la clientèle sur les produits d’Addoha.b

PRESTIGIA, votre marque d’immobilier de luxe est très effervescente dans un secteur fortement concurrentiel et exigeant, quel regard portez-vous sur sa position pour l’année 2011 ?

Anas SEFRIOUI : Prestigia est le promoteur immobilier qui développe le plus grand nombres d’unités résidentiels haut standing à travers tous le Maroc. Notre grand atout est l’emplacement sans égal de nos projets. A Marrakech, Prestigia est en train de construire le seul golf urbain de la ville ocre, avec une composante immobilière et touristique de premier choix. A Rabat, le projet Ryad Al Andalus occupe une place stratégique au centre du quartier huppé de Hay Ryad. En résumé, la force de Prestigia est de proposer des biens immobiliers luxueux, adaptés et originaux, sur des sites uniques dotés d’équipements intégrés, et ce à des prix défiant toute concurrence. Ce niveau de prix se justifie par des coûts de production bas découlant d’un effet de volume important.

Le titre Addoha connaît un engouement à la bourse Casablanca, tant au niveau performance que volume. Comment expliquez-vous cette situation ?

Anas SEFRIOUI : Il est tout à fait normal que le titre du groupe Addoha connaissent l’engouement dont vous parlez et ce pour de nombreuses raisons. Le groupe fait partie des cinq plus grosses capitalisations boursières de la place casablancaise. Dans ce sens, le titre Addoha est suivi par tous les analystes marocains. Cet engouement est également à lier à la dynamique que connaît le groupe à travers ces projets et programmes immobiliers, tous segments confondus, à travers tout le Maroc.

CFG Group - Conseils et recommandations


Le marché a clôturé l’année 2010 sur une performance de +20,7% en ligne avec notre précédente estimation. L’ensemble des indicateurs techniques et graphiques confirment l’inscription du marché dans une tendance haussière de fond à moyen et long termes. Notre analyse à moyen terme fait ressortir une orientation à la hausse du marché pour aller tester un niveau de 30 500 points avec un support majeur du fond haussier à 23 500 points. En effet, pour l’année 2011, nous pensons que le marché connaîtra une tendance similaire à celle de 2010, avec une progression entre +10% et +20% sur fond de : 1) Fort dynamisme prévu sur le marché primaire, 2) Croissance de la masse bénéficiaire du marché 3) Renforcement de flottant des filiales de la SNI et 4) Mise en place du Plan Epargne Action. En ce qui concerne les fondamentaux du marché, la masse bénéficiaire devrait croître de +10% par an en moyenne selon nos estimations entre 2010e - 2012e. De plus, le marché marocain atteste d’une performance opérationnelle remarquable. Les marges attendues (hors financières) sont de l’ordre de 21% et 14% pour la marge opérationnelle et la marge nette respectivement. Les financières prévoient des niveaux de rentabilité de l’ordre de 13% sur les deux prochaines années. En termes de valorisation du marché marocain, celle-ci est de l’ordre de 16,5x le PER11 hors PERs non significatifs et à 11,7x l’EV/EBIT11. Ces niveaux restent justifiés au regard des fondamentaux et des croissances solides cités ci-dessus. D’après nos estimations, les secteurs qui se distingueront par leurs rentabilités sont l’Immobilier et les Banques, et ceux par leurs croissances sont le Tourisme, la Distribution et les Nouvelles Technologies. Nous pensons néanmoins, qu’une stratégie de stock picking est à privilégier au sein des secteurs. (Source : CFG Group)

haakoo a écrit:

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Le marché a clôturé l’année 2010 sur une performance de +20,7% en ligne avec notre précédente estimation. L’ensemble des indicateurs techniques et graphiques confirment l’inscription du marché dans une tendance haussière de fond à moyen et long termes. Notre analyse à moyen terme fait ressortir une orientation à la hausse du marché pour aller tester un niveau de 30 500 points avec un support majeur du fond haussier à 23 500 points. En effet, pour l’année 2011, nous pensons que le marché connaîtra une tendance similaire à celle de 2010, avec une progression entre +10% et +20% sur fond de : 1) Fort dynamisme prévu sur le marché primaire, 2) Croissance de la masse bénéficiaire du marché 3) Renforcement de flottant des filiales de la SNI et 4) Mise en place du Plan Epargne Action. En ce qui concerne les fondamentaux du marché, la masse bénéficiaire devrait croître de +10% par an en moyenne selon nos estimations entre 2010e - 2012e. De plus, le marché marocain atteste d’une performance opérationnelle remarquable. Les marges attendues (hors financières) sont de l’ordre de 21% et 14% pour la marge opérationnelle et la marge nette respectivement. Les financières prévoient des niveaux de rentabilité de l’ordre de 13% sur les deux prochaines années. En termes de valorisation du marché marocain, celle-ci est de l’ordre de 16,5x le PER11 hors PERs non significatifs et à 11,7x l’EV/EBIT11. Ces niveaux restent justifiés au regard des fondamentaux et des croissances solides cités ci-dessus. D’après nos estimations, les secteurs qui se distingueront par leurs rentabilités sont l’Immobilier et les Banques, et ceux par leurs croissances sont le Tourisme, la Distribution et les Nouvelles Technologies. Nous pensons néanmoins, qu’une stratégie de stock picking est à privilégier au sein des secteurs. (Source : CFG Group)

une stratégie de stock picking est à privilégier au sein des secteurs. Ne pas se mouiller en somme.

Bourse


La volatilité a augmenté sensiblement à la Bourse de Casa





dificile à utiliser des outils d'analyse en vue de la circonstancielle international;après la crise économique et financière mondial; maintenant: la crise du tous le système politique arabes.................
personne ne connait l'avenir .
bis n'est pas soumis à des équations mathématiques seul....
et tout ce qui brille n'est pas ...........
la bourse est belle aujourd'hui pour ceux qui maitrisent l'art de la spéculation


très fier de suivre les interventions de tous le groupe

MITAH a écrit:

haakoo a écrit:

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Le marché a clôturé l’année 2010 sur une performance de +20,7% en ligne avec notre précédente estimation. L’ensemble des indicateurs techniques et graphiques confirment l’inscription du marché dans une tendance haussière de fond à moyen et long termes. Notre analyse à moyen terme fait ressortir une orientation à la hausse du marché pour aller tester un niveau de 30 500 points avec un support majeur du fond haussier à 23 500 points. En effet, pour l’année 2011, nous pensons que le marché connaîtra une tendance similaire à celle de 2010, avec une progression entre +10% et +20% sur fond de : 1) Fort dynamisme prévu sur le marché primaire, 2) Croissance de la masse bénéficiaire du marché 3) Renforcement de flottant des filiales de la SNI et 4) Mise en place du Plan Epargne Action. En ce qui concerne les fondamentaux du marché, la masse bénéficiaire devrait croître de +10% par an en moyenne selon nos estimations entre 2010e - 2012e. De plus, le marché marocain atteste d’une performance opérationnelle remarquable. Les marges attendues (hors financières) sont de l’ordre de 21% et 14% pour la marge opérationnelle et la marge nette respectivement. Les financières prévoient des niveaux de rentabilité de l’ordre de 13% sur les deux prochaines années. En termes de valorisation du marché marocain, celle-ci est de l’ordre de 16,5x le PER11 hors PERs non significatifs et à 11,7x l’EV/EBIT11. Ces niveaux restent justifiés au regard des fondamentaux et des croissances solides cités ci-dessus. D’après nos estimations, les secteurs qui se distingueront par leurs rentabilités sont l’Immobilier et les Banques, et ceux par leurs croissances sont le Tourisme, la Distribution et les Nouvelles Technologies. Nous pensons néanmoins, qu’une stratégie de stock picking est à privilégier au sein des secteurs. (Source : CFG Group)

une stratégie de stock picking est à privilégier au sein des secteurs. Ne pas se mouiller en somme.

C'est un " Texte type "...ça fait 2 ans qu'ils ne font que changer les chiffres et laisser les mots

haakoo a écrit:

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Le marché a clôturé l’année 2010 sur une performance de +20,7% en ligne avec notre précédente estimation. L’ensemble des indicateurs techniques et graphiques confirment l’inscription du marché dans une tendance haussière de fond à moyen et long termes. Notre analyse à moyen terme fait ressortir une orientation à la hausse du marché pour aller tester un niveau de 30 500 points avec un support majeur du fond haussier à 23 500 points. En effet, pour l’année 2011, nous pensons que le marché connaîtra une tendance similaire à celle de 2010, avec une progression entre +10% et +20% sur fond de : 1) Fort dynamisme prévu sur le marché primaire, 2) Croissance de la masse bénéficiaire du marché 3) Renforcement de flottant des filiales de la SNI et 4) Mise en place du Plan Epargne Action. En ce qui concerne les fondamentaux du marché, la masse bénéficiaire devrait croître de +10% par an en moyenne selon nos estimations entre 2010e - 2012e. De plus, le marché marocain atteste d’une performance opérationnelle remarquable. Les marges attendues (hors financières) sont de l’ordre de 21% et 14% pour la marge opérationnelle et la marge nette respectivement. Les financières prévoient des niveaux de rentabilité de l’ordre de 13% sur les deux prochaines années. En termes de valorisation du marché marocain, celle-ci est de l’ordre de 16,5x le PER11 hors PERs non significatifs et à 11,7x l’EV/EBIT11. Ces niveaux restent justifiés au regard des fondamentaux et des croissances solides cités ci-dessus. D’après nos estimations, les secteurs qui se distingueront par leurs rentabilités sont l’Immobilier et les Banques, et ceux par leurs croissances sont le Tourisme, la Distribution et les Nouvelles Technologies. Nous pensons néanmoins, qu’une stratégie de stock picking est à privilégier au sein des secteurs. (Source : CFG Group)

Bullshit ..... ils sont où les minières dans un contexte d'instabilité mondiale (quelle suite leur réserver ???) et l'agroalimentaire alors que les prix des denrées alimentaire enregistrent des pics.

CFG Group - Conseils et recommandations
On dit que la boite va mal mais quand on voit l'effort qu'ils font depuis deux ans on le comprend.
ils nous rabâchent depuis 2 ans des recommandations de stock picking.
Dommage ils avaient en plus une note technique quotidienne assez interessante.

et puis ils nous conseillent le tourisme.Risma ça fait 4 ans qu'on attend de voir et vu les circonstances actuelles je ne sais pas d'où ils peuvent avoir la visibilité suffisante pour conseiller ce secteur.