Séance du Jeudi 31 Mars 2011

aboubarae a écrit:

Auditeur a écrit:

Auditeur a écrit:

Le potentiel de baisse pourrait être la barre des 11 905 points qui correpond à la limite inferieur du canal baissier declenché depuis le 12/01/2011, soit une cible à la baisse de 2.20%

Les valeurs à la casse
BMCE, LAFARGE, Holcim, Attijari Wafa-bank, HPS

Mais attention pour que cette cible soit atteinte de 11905 points, il faudrait que d'autre valeurs suivent et je cite la vedette de l'immobilier en l'occurence ADDOHA qui pourrait voir son cours baisser à moins que 100 DH les jours qui viennent
A suivre....

je crois pour DOUJA PROM ADDOHA , un retour vers les 100 dh lui fera du bien , un cours attrayant , résultats au RDV , une ETE inversée bien dessinée (ouis c'est vrai les DVD ne sont pas à la hauteur )

je crois qu'un retour vers les 110 est envisageable dans les deux semaines a venir ,

en fin , cette baisse , a mon simple avis n'est pas seulement lié au résultats mais plutôt , une reconstitution des portefeuille à bas prix .
reste à savoir qd faut il rentrer et que choisir ? small cap ou big one

Moi je dis attention à BCP et LAFARGE CIMENTS.
Vu la cloture,
se positionner à -6% me semble intéressant,les stop loss vont être déclenchés surtout en ce qui concerne LAFARGE CIMENTS ou il n'y avait plus d'acheteur en fin de journée et pour laquelle une rumeur tombe complétement à l'eau vu les circonstances actuelles.

Les Clés de l'Eco

Jean-Marc Sylvestre reçoit Ahmed-Reda Chami, ministre de l'Industrie et du Commerce du Maroc,

OK pour les Clés de l'Eco.

Auditeur a écrit:

Le potentiel de baisse pourrait être la barre des 11 905 points qui correpond à la limite inferieur du canal baissier declenché depuis le 12/01/2011, soit une cible à la baisse de 2.20%

Les valeurs à la casse
BMCE, LAFARGE, Holcim, Attijari Wafa-bank, HPS

Sans oublier MNG tant qu'on y est

Pelican a écrit:

Hier, lors d'une émission à 2M, on a invité Mostapha Ramid du PJD ( démissionnaire en fait ).

deux choses m'ont attiré l'attention, et j'espère que quelqu'un me fasse comprendre mieux :

premièrement :

Je me suis dit qu'il peut, d'une façon ou d'une autre donner le point de vue des islamistes ( ... ). J'étais été surpris par son intelligence à vouloir comprendre aux marocains, que la démocratie ne se décrète pas ( par des lois ) mais c'est aussi un état d'esprit. Personnellement je suis contre l'idée d'un " conseil suprême de l'Etat " malgré que le roi le préside. Je trouve, que pour des questions d'ordre stratégique voire de souveraineté au très haut sommet, on ne peut pas, vu notre spécificité et la jeunesse de notre démocratie, passer par un tel conseil pour par exemple déclarer la guerre ou l'état d'urgence. Ce conseil comprendra le 1er ministre, l'autorité judiciaire suprême, les présidents des 2 chambres...

Le schéma, d'après ce que j'ai compris, c'est que le roi doit toujours s'entretenir avec ce conseil...et là je me demande quels pouvoirs va t'il rester au roi, et surtout quel arbitrage pourra t'il faire si par exemple, le 1er ministre, et les présidents des 2 chambres sont d'une même formation. Avec un ministre des affaire étrangère partisan, ils auront un chemin constitutionnel presque balisé pour déclarer la guerre ( matalane ).

Moi je suis contre contre cette idée bien qu'en vérité on ne s'en servira presque jamais tant qu'on est dans une paix éxtérieur et intérieur.


J'aime bien la démocratie, mais pour moi, et pour des questions typiquement stratégiques, je fais plus confiance au roi qu'à n'importe quel parti. Je ne suis pas prêt de changer cette conviction de sitôt.


Deuxième chose :

c'est que RAMID a dit, que le plus difficile c'est pas la constitution, mais les années qui suivent son approbation. Et là j'ai eu peur sincèrement...il voulait dire quoi en disant " tous les peuples doivent souffrir avant d'arriver à la démocratie ? ". Z3ma on aura sda3 aprés le scrutin ?

bsr,enfin il ne comprend pas tout, il faut savoir que la democratie est necessaire, et que: vaut mieux l accompagner que la refuser,et que le monde arabe qui bouge fait partie d un plan diabolique , impose par l occident , et peut etre que en ce qui nous concerne, nous les arabes:surtout la syrie est visee , une fois leurs tets faits ,leurs machines reglees avec l etude des tenants et aboutissants leurs ennemies c est l iran et ensuite la chine,auront a subir ;le meme sort qu ils avaient reserve a l ancien empire soveitique mais bien sur chaque changement de regime dans tout pays arabe ou le maintient de l ancien edulcore ,il y a de nouveau gains pour le monde occidental :politique, econ, ou surtout :la stabilite d israel
et surtout cesser d etre agressif monsieur pelican

@mr amir et khaldejdid et tous les autres qui ont debattu sur le nucléaire et l'énergie solaire comme sources d'électricité ce lien pourra vous étre util
Les cellules solaires en plastique font un bond en avant

http://mondedurable.science-et-vie.com/2010/12/les-cellules-solaires-en-plastique-font-un-bon-en-avant/

naruto a écrit:

Cet article c'est du n'importe quoi, tu dois le savoir toi, forumiste d'ici.

Tu serais gentil de ne plus poster des conneries pareilles venant des sites nuls qui ont poussé partout ces derniers temps.

Merci naruto.

Des fois Nini dit juste!

http://www.almassae.press.ma/node/19829


Avec des commentaires bien.

Mr Ahmed Chami chapeau.
Très bonne émission.Interventions de très bon niveau sans démagogie et avec beaucoup d'objectivité.

LAFARGE CIMENTS

Assurance : les bon points de Standard & Poor's

L’assurance marocaine fait globalement mieux que ses voisins
maghrébins. C’est en somme ce qui ressort de la lecture de la dernière
«étude sur les marchés maghrébins de l’assurance» menée par Standard
& Poor’s. Une étude qui sonde les marchés marocain, tunisien et
algérien et brosse l’esquisse de leurs réalisations et leurs
potentialités. Un potentiel entouré d’optimisme par les analystes de la
«major» de la notation financière. «Nous estimons que la croissance de
la demande d’assurance peut potentiellement dépasser celle des économies
locales sur le long terme», avance l’étude. Pour cette conclusion,
S&P s’appuie sur le faible taux de pénétration dans la région, la
faible exploitation de certaines lignes de métier comme l’assurance-vie
et habitation, ainsi que sur le développement soutenu de certains
secteurs générateurs de primes tels l’immobilier et les infrastructures.
Ceci dit, il est clair que le secteur des assurances marocain a une
nette longueur d’avance sur ses deux voisins. Si les trois pays
présentent plusieurs similitudes, des différences de taille persistent.
Bourse à double tranchant
Outre le volume
d’affaires (primes émises), nettement plus profond au Maroc, dépassant
le double du volume algérien et le triple de celui réalisé en Tunisie,
le royaume se distingue particulièrement par le développement de ses
canaux de distribution, dont le partenariat avec les banques est la clé
de voûte. «La percée de la bancassurance au Maroc est un facteur clé
dans le développement de l’assurance-vie et épargne ces dernières
années», analyse-t-on chez S&P.
Également, la diversification des placements des assureurs, notamment
leur recours au marché action, est un signe de maturité à souligner.
D’autant plus que «le marché action marocain offre des investissements
plus profonds et plus variés», comparé à ses voisins. Toutefois, ce
dernier point, certes positif, est en fait un avantage à double
tranchant. En ce sens où les participations en capital sur le marché
accroissent l’exposition des compagnies aux risques boursiers et
entraînent un renchérissement relatif du coût du risque.
«Le secteur marocain connaît une pression sur la solvabilité ajustée
du risque (Risk-Adjusted Capital) en raison de la forte exposition des
assureurs au risque action», estime l’agence de notation. La gestion du
risque et l’adéquation des fonds propres constituent en effet l’un des
axes d’amélioration les plus saillants de l’assurance marocaine, qui est
quelque part mise sous pression par sa forte dynamique commerciale et
l’amélioration rapide de son taux de pénétration. Par contre, en mars
2010, Standard & Poor’s a relevé le rating de la Société centrale de
réassurance (SCR) qui affiche désormais la meilleure notation de la
région (BBB+ contre BBB, donc positive au lieu de stable).
De son côté, le marché algérien se caractérise par la prépondérance
de l’État et les exigences minimales de participations publiques dans le
tour de table des compagnies, ce qui limite l’attractivité. La
situation actuelle en Tunisie conditionne l’analyse, mais les
perspectives à long terme sont jugées nettement positives. «La
transition politique que connaît actuellement la Tunisie, et le
ralentissement économique qui en résulte, pourrait temporairement
stopper la croissance du secteur de l’assurance. De plus, nous estimons
que les assureurs locaux font face à une hausse des risques financiers»,
analyse S&P dans son étude. Un risque financier accru notamment lié
à la volatilité du marché action et à la hausse du risque de crédit, et
qui devrait entraîner l’orientation des assureurs tunisiens vers la
gestion du risque en portefeuille plutôt que vers le développement de
l’activité et la croissance du chiffre d’affaires.