Séance du Vendredi 6 Mai 2011 + Week End à la bourse de Casablanca

assia aladin a écrit:

Pixon a écrit:

Mng l'acheteur d'hier camp toujours sur sa position 5100 titres en demande à 830 et 2000 à 850dh ... pour l'instant il calme le jeu et ramasse les Kamikaz.

ou bien il liquide goute à goute
il y a quand meme une chose qui cloche, parce que normalement après une information tel que ( la mort du ben laden et ses effets sur le dollar et la baisse de l'or et l'argent ect) le cours concerné baisse et pas le contraire, dans tous les cas il doit baisser soit pour ramasser s'ils sont sure que ca va pas durer alors il vont profiter l'occasion de ces informations, soit par la peur si personne n'a aucune prévision claire, et le cours ne peut etre en hausse dans ces cas que pour liquider et sortir doucement, c'est ce que je pense wallaho a3lam

Alors la je dois intervenir pour te dire :
1- Conserve tes titres Mnagem si tu t'en disposes
2- Les quantités à l'achat introduites sur le carnet pour 5000 à 830 et 2000 à 850 sont un signe claire que l'acheteur reviendra en force pour ramasser le maximum, d'autant que l'opération d'augmentation du capital est sur les railles.
3- La cible de DH 1040 que j'ai avancée serait sur le point de se réaliser et trés prochainement. Alors Wait and see please.Le marché est entrain de tester un support qui me semble être brise qui est la barre de DH 890.
4- Rendzez vous en principe pour le Mercredi pour une eventuelle courant acheteur

khalidjdid a écrit:

Bonjour,



URGENT :


La Grèce envisagerait de quitter la zone EURO.

Cette info vient d'être démentie

bsr,a voir sur LCI le club de l economie tres interessant

Auditeur a écrit:

assia aladin a écrit:

Pixon a écrit:

Mng l'acheteur d'hier camp toujours sur sa position 5100 titres en demande à 830 et 2000 à 850dh ... pour l'instant il calme le jeu et ramasse les Kamikaz.

ou bien il liquide goute à goute
il y a quand meme une chose qui cloche, parce que normalement après une information tel que ( la mort du ben laden et ses effets sur le dollar et la baisse de l'or et l'argent ect) le cours concerné baisse et pas le contraire, dans tous les cas il doit baisser soit pour ramasser s'ils sont sure que ca va pas durer alors il vont profiter l'occasion de ces informations, soit par la peur si personne n'a aucune prévision claire, et le cours ne peut etre en hausse dans ces cas que pour liquider et sortir doucement, c'est ce que je pense wallaho a3lam

Alors la je dois intervenir pour te dire :
1- Conserve tes titres Mnagem si tu t'en disposes
2- Les quantités à l'achat introduites sur le carnet pour 5000 à 830 et 2000 à 850 sont un signe claire que l'acheteur reviendra en force pour ramasser le maximum, d'autant que l'opération d'augmentation du capital est sur les railles.
3- La cible de DH 1040 que j'ai avancée serait sur le point de se réaliser et trés prochainement. Alors Wait and see please.Le marché est entrain de tester un support qui me semble être brise qui est la barre de DH 890.
4- Rendzez vous en principe pour le Mercredi pour une eventuelle courant acheteur

tbarkallah aalyk assi auditeur. moi je te suivrai. liliha liha. bonne chance à tous les détenteurs de MNG. disons à la secte de Managem:D

creatori a écrit:

Pixon a écrit:

creatori a écrit:

faux, puisque c'est l'amicale des médecins royaliste qui a déclenché l'opération illico presto sur place. autre chose et comme tes amis les 20 .... adore les éloge , li dare chi haja dareha f sabile lah wi stareha. on a pas besoin de reconnaissance quand on fait un geste humanitaire. sinon titsama dayereha b jmiile

exacte, alors faut pas etre pompeux quand on presse des orange.

traiter les autres de cafards c'est du racisme, la discrimination, le manque flagrant de démocratie et la HOgra ... pire quand on voit qlqun comme cafard on se donne le droit de l'écraser.
ce genre de propos doit etre modéré sur ce forum .

quand tu les traites de baltaguia et maline lagrimate et 3oumala aussi je te signale.

sinon, quand tu touches au principes culturelle et religieux de ma nation, machi gha j'ecrase mais plus meme (je veux dire pire encore). jmale ki choufe gha 7dabt sa7bou jamais la sienne, quand tu cherches une democratie faut accepter de discuter et ecouter l'autre au lieu de crier tout le temps au complot etc etc c facile de dire que tout le monde est mauvais et y a que nous qui sommes bon et celui qui n'est pas avec nous est mauvais :|

Le Maroc est un pays de tolérance, il faut dénoncer tous les appels à la violence (même si ce n'est que verbale) tout encouragement du racisme (même le racisme déguisé) et surtout tout encouragement de la haine de l'autre même lorsque ses idées nous déplaisent (et même si cette haine de l'autre est présentée par son auteur comme du patriotisme).

DE JEAN-MARC VITTORI
La grande panne du crédit



L'économie ressemble souvent à un puzzle. Un puzzle en quatre dimensions, où les formes et la place des pièces changent au fil du temps. Aujourd'hui, ce puzzle en mouvement dessine en Europe et aux Etats-Unis l'image de la croissance malgré tout. L'activité progresse depuis bientôt deux ans après la grande falaise du début 2009, les industriels ont un moral bien supérieur à la moyenne de long terme, le chômage semble amorcer sa décrue même si les consommateurs restent inquiets, les déficits budgétaires refluent tout en restant élevés. Dans ce tableau plutôt encourageant, il manque cependant une pièce majeure : le crédit au secteur privé ne repart pas. 

Comme souvent, l'absence ne se repère pas du premier coup d'oeil. En France, par exemple, le crédit est sur une pente annuelle de plus de 4 % contre moins de 1 % fin 2009. Mais, en réalité, ce n'est pas beaucoup. Avant la crise, le même crédit galopait à plus de 10 % l'an. Et, aujourd'hui, seul l'immobilier est dynamique, à plus de 8 % l'an. Un dynamisme en voie de disparition car, comme l'explique Olivier Eluère du Crédit Agricole, « les taux de crédit habitat remontent graduellement, les avantages fiscaux vont devenir moins attractifs et l'effet "valeur refuge" devrait moins jouer ». La France va se rapprocher de la zone euro, où le crédit au secteur privé a augmenté de 2,6 % en un an - moins que la production en valeur. Aux Etats-Unis, le crédit stagne. Au Royaume-Uni, il recule. Les Anglo-Saxons parlent d'ailleurs de « creditless recovery », comme ils parlaient il y a une décennie de « jobless recovery » - reprise sans emploi. 

A en croire les financiers, cette grande panne du crédit est loin d'être réparée. Si les banquiers américains sondés par la Réserve fédérale affirment qu'ils deviennent moins sourcilleux avec leurs clients, leurs collègues du Vieux Continent interrogés par la Banque centrale européenne (BCE) affirment au contraire qu'ils ont durci leurs critères pour octroyer des prêts aux entreprises et aux particuliers au premier trimestre de cette année et qu'ils vont continuer à le faire au deuxième. Les dirigeants de PME, aussi questionnés par la BCE, sont 15 % à affirmer que l'accès à la finance est leur principal problème. Le patron de la Banque, Jean-Claude Trichet, ne perd d'ailleurs jamais une occasion de rappeler que le métier des banques est de prêter de l'argent. 

Il serait pourtant injuste de faire porter le chapeau aux seuls financiers. Car la grande panne du crédit vient à la fois de l'offre et de la demande. Les emprunteurs ont perdu leur appétit. Avec des marchés immobiliers déprimés, les Anglais, les Espagnols, les Irlandais ou les Américains n'ont aucune envie de se ruer au guichet afin d'emprunter l'argent pour acheter leur maison. La folie du crédit à la consommation est elle aussi terminée. Les particuliers pensent d'abord à rembourser. Beaucoup d'entre eux ont encore une indigestion de crédits. Ce n'est pas un hasard si la France vient tout juste d'adopter un nouveau dispositif pour tenter de limiter les recours abusifs au crédit - tout comme elle avait mis en place les commissions de surendettement au début des années 1990, juste après la dernière vague de frénésie emprunteuse. 

Du côté des entreprises, la situation est un peu différente. Les grands groupes ont été douchés par le blocage brutal des marchés du crédit à l'automne 2008, juste après la faillite de la banque Lehman Brothers. Ils ont engagé une gigantesque course au cash et accumulé un énorme matelas de sécurité qui leur paraissait inutile quelques mois plus tôt. Pour ce faire, ils ont actionné tous les leviers possibles : réduction des dépenses, compression des salaires, voire des effectifs, coupes claires dans les investissements, émission d'actions et surtout d'obligations. Avec une redoutable efficacité. Ils financent donc de plus en plus leurs nouveaux investissements sur leurs propres ressources. Tandis que les PME, moins riches (en particulier en France), ont eu du mal à trouver des prêteurs. 

La panne du crédit est donc tout simplement une bonne vieille gueule de bois. Plus jamais ça, se disent à la fois débiteurs et créanciers, en se demandant les uns et les autres comment ils ont pu boire autant. La cause de la crise était simple : trop de dettes. Après, la crise, c'est trop peu de dettes. Sauf bien sûr du côté des Etats, qui compensent la sobriété nouvelle des acteurs privés... au risque pas encore conjuré de devenir à leur tour complètement ivres. 

Mais, évidemment, comme le savent tous ceux qui ont expérimenté la gueule de bois, on repart ensuite lentement, car on est un peu vaseux. La situation a même fini par attirer les économistes du Fonds monétaire international (FMI). Trois d'entre eux ont étudié méthodiquement les lendemains de récession dans 50 pays depuis près d'un demi-siècle (1). Ils en tirent deux conclusions. Premièrement, « les reprises sans crédit ne sont pas rares. Elles représentent le cinquième des reprises ». Et sont généralement précédées d'une crise bancaire, de boom du crédit et d'explosion de bulle immobilière. Deuxièmement, « la croissance de la production est un tiers plus faible » que lors des redémarrages de l'activité à crédit. Il manque bien une pièce au puzzle de la reprise. 

Cette fois-ci, l'impact pourrait être plus sévère. D'abord parce que les prêteurs que sont les banques vont être soumis à des règles de prudence plus sévères, qui vont amputer leur capacité de prêt. Ensuite, le dénouement à venir de la crise des dettes publiques en Europe pourrait affaiblir à nouveau les banques. Enfin, les taux d'intérêt ont été exceptionnellement bas pendant la crise et le retour à des niveaux plus classiques risque d'être douloureux. Mais, au bout du compte, nous irons vers une finance plus saine, moins risquée, moins excitante. C'est bien ce qu'on voulait, non ? 

(1) « Creditless Recoveries », par Abdul Abiad, Giovanni Dell'Ariccia et Bin Li, « Working Paper », n° 11/58, FMI, mars 2011.Jean-Marc Vittori est éditorialiste aux « Echos »

AGORA


Merci beaucoup pour l’accueil. Tes conseils sont les bienvenus


La bourse c’est un lieu fascinant que je contemplais de loin
depuis longtemps et j’y suis aujourd’hui et j’y reste pour les raisons
suivantes L’espoir du gain et l’acceptation de la perte.



Autre chose, tu m’as dis que vous êtes des courts termistes OK
j’en conviens, mais dans vos
raisonnements il y’a toujours un soupçon de moyen et long terme.
.......................................encore merci................................

korich a écrit:

AGORA


Merci beaucoup pour l’accueil. Tes conseils sont les bienvenus


La bourse c’est un lieu fascinant que je contemplais de loin
depuis longtemps et j’y suis aujourd’hui et j’y reste pour les raisons
suivantes L’espoir du gain et l’acceptation de la perte.



Autre chose, tu m’as dis que vous êtes des courts termistes OK
j’en conviens, mais dans vos
raisonnements il y’a toujours un soupçon de moyen et long terme.
.......................................encore merci................................

Très honnetement moi je suis court termiste mais je ne fait des allers / retours que sur des valeurs avec de bons fondamentaux donc intéressantes pour le long terme.
j’essaie de me placer uniquement sur des valeurs avec une tendance haussière et à partir de la j’essaie de trader les tendances CT, supports et resistances...

Mais chacun à sa stratégie du moment qu'elle est gagnante.

Bonne chance et bon courage

Bonsoir à tous,

Ceci est un avis de recherche. Je souhaiterais retrouver "samourai" qui, si il est parmi nous, est prié de se manifester

Passez une agréable soirée!

MC4 a écrit:

korich a écrit:

AGORA


Merci beaucoup pour l’accueil. Tes conseils sont les bienvenus


La bourse c’est un lieu fascinant que je contemplais de loin
depuis longtemps et j’y suis aujourd’hui et j’y reste pour les raisons
suivantes L’espoir du gain et l’acceptation de la perte.



Autre chose, tu m’as dis que vous êtes des courts termistes OK
j’en conviens, mais dans vos
raisonnements il y’a toujours un soupçon de moyen et long terme.
.......................................encore merci................................

Très honnetement moi je suis court termiste mais je ne fait des allers / retours que sur des valeurs avec de bons fondamentaux donc intéressantes pour le long terme.
j’essaie de me placer uniquement sur des valeurs avec une tendance haussière et à partir de la j’essaie de trader les tendances CT, supports et resistances...

Mais chacun à sa stratégie du moment qu'elle est gagnante.

Bonne chance et bon courage

au début j'ai opté pour un petit tour sur la situation économique et financière du pays ainsi que de l'évolution du MASI et j'ai constaté une tendance baissière pour la majorité des actions je me suis rué sur quelques actions que j'ai jugé prometteuse je me suis fait un peut de fric mais je me suis aussi coincé sur quelques unes c'est alors que je me suis posé la question pourquoi pas le court terme?
c'est ainsi que je suis partis à la recherche des outils d'analyses.

alors j'ai pris les décisions suivantes:
1-ne jamais vendre à perte et d'attendre de meilleurs jours la PEA sur cinq ans me le permet
2-jouer sur le court terme le jeux vaut la chandelle
............ai je raison?..............
............................................ bon fin de semaine .......................

mes amis il y a quelqu un

salim79 a écrit:

mes amis il y a quelqu un

oui