Séance du jeudi 12 mai 2011

BMCE Bank au chevet de Papelera de Tetoua


2003-07-04


Depuis son introduction en Bourse, le producteur de pâte à papier va de mal en pis
Embourbée dans ses propres problèmes, Cellulose du Maroc, la maison-mère, est incapable de conduire le plan de sauvetage.
Le 27 juin 2003, s’est tenu le conseil d’administration de Papelera
de Tetouan. En cette période où les sociétés réunissent
leurs actionnaires en assemblée générale ordinaire et convoquent,
à l’occasion, pour certaines d’entre elles, des conseils qui
jugent les résultats pré-semestriels, l’évènement
peut paraître anodin. Mais pour Papelera, ce dernier conseil s’apparente
davantage à une réunion de sauvetage qu’à une séance
de routine. En effet, des sources proches de la société ont révélé
à La Vie éco qu’un plan de restructuration aurait été
approuvé par les administrateurs en vue de faire face aux difficultés
actuelles dans lesquelles se débat la société.
Les capitaux propres ne représentent plus que les trois quarts du capital
social
Les mêmes sources signalent la tenue récente d’une réunion
des dirigeants de Papelera avec des représentants du groupe BMCE, appelé
à contribuer financièrement au sauvetage. Pourtant, la banque d’Othman
Benjelloun n’est actionnaire dans Cellulose du Maroc, la société-mère
de Papelera, qu’à hauteur de 1%.
Papelera de Tetouan, producteur de papier, incarne l’exemple de l’échec
le plus retentissant des annales de la Bourse de Casablanca. Depuis l’introduction
en bourse, en 1998, de 20 % de son capital par sa maison-mère, son cours
a entamé une baisse vertigineuse pour frôler , durant l’exercice
écoulé, la barre des 10 DH ! Cette descente aux enfers ne fut que
la traduction logique de la dégradation continue de ses ratios de rentabilité
et de productivité une année après l’autre. Pire, en
affichant des déficits de 56 MDH en 2001 et de 45 MDH en 2002, les fonds
propres ont fondu pour ne totaliser, à fin 2002, que 72 MDH, ce qui représente
tout juste les trois quarts de son capital social. Quant à la capitalisation
boursière actuelle, elle se situe à un niveau encore plus bas, avec
à peine 18 MDH. Ce qui signifie que le marché n’entrevoit
pas encore de perspectives de redressement et la valorise en dessous de ses fonds
propres. Et dire que Cellulose du Maroc avait déboursé plus de 200
MDH en 1996 pour l’acquérir dans l’optique de «sécuriser»
ses ventes domestiques de pâte à papier !
Le groupe Benjelloun pompier de service ?
Somme toute, le plan de restructuration, qui prévoit un refinancement important
et un programme de maîtrise drastique des coûts, serait à même
de sortir la société tétouanaise de l’impasse. La participation
de BMCE Bank qui en est le plus gros créancier pallierait ainsi l’incapacité
de Cellulose du Maroc, elle même embourbée dans ses propres déboires
financiers (Voir la Vie éco du 20 juin 2003), de voler au secours de sa
filiale.
Rappelons au passage qu’après la restructuration de la Comanav où
il était partie prenante, le groupe de Othman Benjelloun est ainsi appelé,
pour la deuxième fois en moins d’un mois, au chevet d’une société
au creux de la vague. Après la CDG, le microcosme des affaires serait-il
en train de connaître la naissance d’un nouveau pompier de service?


2003-07-04

salam

Quelqu'un aurait il le rapport Managem 2010 car sur le net je ne trouve que celui de 2008.

Tx

lecteur a écrit:

Admin a écrit:

Bonjour

Prompt retour à notre bienveillant Lecteurpour son premier enfant qui vient de voir le jour.

Félicitations et bon rétablissement pour la maman.

Cordialement.

Salam,
Merci Mr. Admin. C'est en fait mon deuxième garçon bini3mati Allah.

مبرووووووووووووووووووووووووووووووووووووووووووووووووووووووووك


مبروك كلمة أقولها من قلبي
أهنيك فيها على ما رزقك ربي

Maroc : Réserves CNSS - La CDG défend ses taux de rendement.Le débat sur les réserves CNSS n'est pas près de faiblir. Les réunions entre les différentes parties, Finances, CDG et CNSS, se poursuivent, la prochaine était prévue la semaine prochaine. Les discussions devraient porter sur la régularisation du passé, soit les fonds que la CNSS n'a pas déposés. Un transfert échelonné sur plusieurs mois serait écarté, mais la CDG défend l'option d'un versement en une seu1e tranche. Une opération que l'Institution garantit sans impact sur le marché. Pour cela, elle fera jouer toute son ingénierie. Selon nos informations, la question des engagements futurs entre la CNSS et la CDG ainsi que la gestion des fonds l'assurance maladie seront également abordées. Comme c'est le cas pour la Cnops, CNSS et CDG sont parvenus à un accord pour que la Caisse de dépôt et de gestion gère les excédents dégagés par, cette branche. Depuis sa création, la CNSS a déposé 6,5 milliards de dirhams auprès de la CDG. Des dépôts quadruplés depuis le temps puisque les réserves atteignent aujourd’hui plus de 21 milliards de dirhams. Un montant qui ne tient pas compte des dépôts que la CNSS a réalisés depuis décembre 2010, soit un premier versement de 1,4 milliard de dirhams et un second de 500 millions de dirhams. La question qui fâche porte essentiellement sur les excédents de la CNSS, habituellement placés à la CDG. Habituellement, car en 2008, la CNSS a créé un précédent, officiellement dans un souci d'optimisation des rendements, passant outre les dispositions de la loi en plaçant les excédents dans un fonds dédié OPCVM. Un pari risqué qui lui a valu un rappel à l'ordre par le ministère des Finances et la Cour des comptes. Sur les impératifs d'optimisation des rendements, la CNSS a-t-elle pour autant convaincu? Pas du tout, si l'on en croit les arguments de la CDG qui ne veut surtout pas voir ces ressources lui échapper. « Nous sommes aujourd'hui sur des rémunérations qui sont essentiellement issues des bons du Trésor sur 15 et 10 ans», précise le management de la CDG. Lequel, sans vouloir polémiquer, brandit ses taux de rémunération nets de frais de gestion: 4,74% en 2008, 4,68% en 2009 et 4,65% en 2010. Des niveaux jugés même supérieurs à ceux des OPCVM dans lesquels les excédents de la CNSS ont été « indûment » placés. La CDG refuse toute comparaison puisque la nature même des placements ne le permet pas, dit- elle. « La comparaison entre fonds dédiés et fonds CNSS déposés à la CDG ne veut rien dire. Quand nous sommes sur des instruments de placement comme les OPCVM, nous parlons d'une performance latente et non réalisée. Elle est sujette aux aléas du marché». En clair, pour la CDG, ce qui est réalisé est déposé dans les comptes et devient de la vraie réserve garantie et sécurisée. A titre d'exemple, une hausse des taux se traduirait différemment au niveau des deux systèmes, CDG ou fonds dédiés CNSS. A la CDG, ce sera une augmentation de la rémunération puisque les dépôts sont indexés sur les bons du Trésor. Pour les OPCVM, et donc les fonds dédiés CNSS, elle se traduirait par une baisse de l'actif et de la performance (et ce, en tenant compte de la sensibilité). «Nous garantissons les capitaux. Les aléas du marché, c'est nous qui les assumons. Nous servons des rémunérations fixes garanties contre la hausse des taux et les différents aléas». Au-delà des questions de rendement, pour la CDG, il y a un débat de fond qui ne doit pas être négligé. A savoir que tous les systèmes de retraite au monde sont en train d'avoir cette séparation des rôles entre gestionnaire technique et administratif et gestionnaire financier. Ce sont là même «les best practices» en termes de gestion des régimes de retraite. Reste à savoir si la CNSS en est convaincue... (Source : L'Economiste)

Bonjour et bonnes opérations.


12/05/2011 : Le CDVM met en ligne une étude sur le financement des PME au Maroc

http://www.cdvm.gov.ma/uploads/docs/PME_au_Maroc.pdf

faible négociation

il ya plus de liquidité chez Paul casa que sur le marcher

par rapport au débat d'hier sur la presse TELQUEL etc...et que les journalistes peuvent dire des trucs completement faux.
"Quoi qu’il en soit, la palme du mensonge revient à Al-Jazeera. La chaîne
qatarie est allée jusqu’à présenter des images d’une manifestation de
40 000 moscovites réclamant l’arrêt du soutien russe à la Syrie. Il
s’agissait en fait d’images tournées lors de la manifestation annuelle
du 1er mai, dans laquelle la chaîne avait implanté des acteurs pour
réaliser de faux micro-trottoirs."

iblis a écrit:

il ya plus de liquidité chez Paul casa que sur le marcher

tu sais que Fredéric Cassel draine plus de Cash que le MASI en 1 semaine!

(its à joke , of course)!

MDP +3.11 Est-ce la dance du coq égorgé? (رقصة الديك المذبوح)

t sur it's a joke