Séance du Mercredi 06 Juillet 2011

BOURSE DE CASABLANCA - Tendance à l'ouverture

La Bourse de Casablanca a ouvert en légère baisse ce matin, l'indice MASI à 11500,84 points.

Sur un total de 75 valeurs, le dynamisme du marché à l'ouverture reste sur le même rythme:

- Nombre de valeurs traitées = 29:

7 en hausse;
17 en baisse;
5 stables;

Le volume traité à l'ouverture sur le Marché Central est de 2 042 224,80 DH.

Les plus fortes hausses concernent les valeurs: CRS +5,96%, LYD +5,35%, COL +2,15%.

Les plus fortes baisses concernent les valeurs: DWAY -5,60%, BER -5,58%, SBM -4,06%.

Les valeurs les plus actives sont: BCE 1 400 titres échangés), STR 1 142 titres, SNP 750 titres.

C'est maigre

A compter du 1er juillet 2011 et jusqu’au 31 décembre 2012, la Bourse de Casablanca met en place une nouvelle offre dédiée aux PME afin de les encourager à s’introduire en bourse.

Consciente du :
==> rôle des PME dans le tissu économique marocain,
==> et du coût d’une introduction en bourse qui varie en moyenne entre 2,2% et 5% du montant de l’opération et qui peut constituer un frein pour s’introduire en bourse,

la Bourse de Casablanca a décidé d’octroyer, sous certaines conditions, un montant forfaitaire de 500 000 dirhams aux PME au moment de leur introduction en bourse.

Pour être éligible à cette offre, les entreprises doivent :

- avoir des capitaux propres inférieurs à 50 millions de dirhams,
- s’introduire sur le compartiment Croissance ou Développement,
- émettre au minimum 20% de son capital,
- et s’introduire par augmentation de capital (avec ou sans cession)

La Bourse de Casablanca clôture la séance du jour sur une note négative. En effet, le MASI et le MADEX enregistrent des variations
respectives de - 0.72% et de- 0.73 % à respectivement 11 523.65 points et 9 417.15 points. Les performances Year-To-Date de ces deux
indices s'établissent ainsi, à -8.94 % pour le MASI et -8.88 % pour le MADEX. Concernant les indices Footsie, en effet le FTSE 15 baisse
de 0.96 % à 10 897.77 points et le FTSE ALL LIQUID perd 0.73 % à 9 869.22 points. La capitalisation du marché s'établit à 525 MM DHS.
Le volume global de la journée s'affiche à 243.82 M DHS, échangé à hauteur de 23.97 M DHS sur le marché central actions, à hauteur de 104.51 M DHS sur le marché central obligataire et à hauteur de de 115.34 M DHS sur le marché de blocs obligataire.Les valeurs marquant les plus forts volumes de la journée sont ATTIJARIWAFABANK avec 10.61 M DHS, MAROC TELECOM avec 3.64 M DHS, ADDOHA avec 1.84 M DHS, STROC avec 1.03 M DHS et enfin BANQUE CENTRALE POPULAIRE avec un flux de 896 383 DHS.
Les plus fortes hausses de la journée ont concerné, NEXANS qui arrive en tête de liste en s'adjugeant une progression de 5.98%, avec un cours de 313.70 DHS, suivie d'INVOLYS qui se bonifie de 5.83 % à 190.50 DHS. Et enfin ALUMINIUM DU MAROC qui ferme la marche avec une progression de 4.94 % pour atteindre un cours de 1 380 DHS.
A l'inverse, les variations à la baisse ont concerné les valeurs CARTIER SAADA qui a perdu 4.74 % à 18.10 DHS. Contre-performance également pour LABEL VIE qui se déleste de 4 % à 1 151 DHS et CIH qui enregistre une baisse de 3.53 % pour atteindre 273 DHS et
enfin MANAGEM qui perd 2.99 % à 877 DHS.

LE VIDE

Blague du jour :

البرلماني نجيب ولد العروسية "يسقط" في امتحانات الشهادة الابتدائية بعد حصوله على 2.44 على 10




لم يتمكن البرلماني نجيب رفوش (الاتحاد الدستوري)، نجل البرلماني عبد الله رفوش المعروف ب"ولد العروسية"، وفق ما علمته "كود"، من الحصول على الشهادة الابتدائية، التي سبق وأن شارك في امتحاناتها مع المرشحين الأحرار بنيابة التعليم بمدينة مراكش.

وحسب المعلومات التي توصلت بها "كود" من مصادر مطلعة، فإن نجيب ولد العروسية حصل على مجموع نقط بلغ: 2.44 على 10، وهو الأمر الذي جعله يحصل على ملاحظة "ضعيف".

وأكدت مصادر ل"كود" أن نجيب رفوش وجد صعوبات في مادتي الرياضيات والشكل، حيث لم يتمكن من شكل الجملة التالية:"المعلمون مجدون في القسم".

وإلى ذلك، فقد تم الاعلان مساء اليوم عن نتائج امتحانات الشهادة الابتدائية بالنسبة للمرشحين الأحرار على صعيد نيابة مدينة مراكش، حيث تمكن ثلاث مرشحين فقط من أصل 64 من تجاوز الامتحانات بنجاح وهم: محمد أيت فارس، بوزردة خديجة، وزهرة اعرابت.


HADA le fils amma le père....




يا أمة ضحكت من جهلها الأمم

Une étude pointe la faiblesse de la concurrence dans le secteur des grandes surfaces au Maroc
Rabat, 5/07/11- Le secteur des grandes surfaces pâtit de la faiblesse de la concurrence avec un fort taux de concentration dû au nombre limité d'opérateurs, révèle une étude rendue publique mardi à Rabat, qui établit un constat contraire pour le segment des moyennes surfaces.
Les grandes surfaces disposent "d'une demande relativement faible par rapport au commerce intérieur", a affirmé, au cours d'une conférence de presse, Rachid Fekkak, du cabinet +Mazars-Maroc+ qui a réalisé l'étude sur la concurrence dans le secteur des grandes et moyennes surfaces.

"Cette demande est appelée à évoluer notamment avec le développement du pouvoir d'achat des consommateurs, de l'urbanisation, de la croissance démographique et de l'évolution du comportement d'achat des consommateurs", a-t-il dit, dans le cadre de la présentation de l'enquête menée à la demande du Conseil de la concurrence.

Quant aux moyennes surfaces (supermarchés), l'étude fait état d'une "rude concurrence" et "de moins de concentration".

Les quatre groupes actifs dans le secteur des grandes et moyennes surfaces (GMS) détiennent sept enseignes, à savoir la Société nationale d'investissement (SNI, Marjane et ACIMA), Label vie (Label vie, Métro et Carrefour), le groupe Ynna Holding (Aswak Assalam) et le nouvel entrant "Bim", fait savoir l'étude.

L'étude, basée sur des données et résultats recueillis en 2009 et 2010, a porté sur le cadre réglementaire, la demande, l'offre, la structure du marché et les aspects horizontaux et verticaux de la concurrence au sein du secteur des grandes et moyennes surfaces (GMS).

Elle a relevé "une absence d'un dispositif réglementaire spécifique au secteur des GMS au Maroc, malgré son existence depuis plus 20 ans dans le pays", alors que dans des pays comme la France ou la Tunisie, ces dispositifs contribuent à la protection des petits commerces, le développement commercial, l'amélioration du secteur et de la concurrence au niveau de ce marché.

Dans une déclaration à la presse, le président du Conseil de la concurrence, Abdelali Benamour, a précisé que "les conclusions des études sont la propriété des cabinets eux-mêmes et servent comme une base documentaire pour l'avenir, en cas de saisine, une demande d'avis et l'auto-saisine".

Les résultats des études confiées aux cabinets d'expertise font l'objet d'une présentation lors d'un workshop ouvert aux opérateurs concernés qui peuvent faire des remarques aussi bien statistiques que de fond", a précisé M. Benamour.

La présentation de l'étude sur les GMS est le 3-ème workshop organisé par le Conseil de la concurrence. MAP

conexabim a écrit:

A compter du 1er juillet 2011 et jusqu’au 31 décembre 2012, la Bourse de Casablanca met en place une nouvelle offre dédiée aux PME afin de les encourager à s’introduire en bourse.

Consciente du :
==> rôle des PME dans le tissu économique marocain,
==> et du coût d’une introduction en bourse qui varie en moyenne entre 2,2% et 5% du montant de l’opération et qui peut constituer un frein pour s’introduire en bourse,

la Bourse de Casablanca a décidé d’octroyer, sous certaines conditions, un montant forfaitaire de 500 000 dirhams aux PME au moment de leur introduction en bourse.

Pour être éligible à cette offre, les entreprises doivent :

- avoir des capitaux propres inférieurs à 50 millions de dirhams,
- s’introduire sur le compartiment Croissance ou Développement,
- émettre au minimum 20% de son capital,
- et s’introduire par augmentation de capital (avec ou sans cession)

Zwina hadi, en plus des + values qu'il dégage sur le dos des PP et des avantages fiscaux on va leur donner de l'argent du contribuable directement.

MITAH a écrit:

LE VIDE

VOUS AVEZ RAISON C EST COMME UN TUNELLE ON SAIS PAS OU IL VA TERMINE
IWA HI LAHE YJ3ALE SALAMA

POINT SUR LES I

QUE FAIT UN PARLEMENTAIRE, DEPUTE OU UN CONSEILLER:

Le parlementaire travaille sur deux tâches.

1. Le travail décretal :

Les décrets sont les règles juridiques qui émanent du Parlement et qui s'appliquent sur le territoire national. Ils ont (les décrets) la même force juridique que les lois qui émanent du Parlement .

Le parcours d'un décret

L'élaboration d'un décret est identique à celui d'une loi.

Les députés font des propositions de décret qui sont déposées sur le Bureau du Parlement pour être prises en considération. Elles sont ensuite envoyées en commission* selon le thème abordé.

Le projet** ou la proposition de décret est d'abord examiné, discuté et voté en Commission. Il est ensuite envoyé en séance publique pour une dernière discussion suivie du vote final.
La majorité des membres doivent être présents et la majorité des suffrages exprimés positifs pour que le décret soit adopté, c'est ce que l'on appelle les quorums de présence et de vote.

Le texte est, enfin, transmis au Gouvernement qui sanctionne et promulgue le décret.
Le décret entre en vigueur, en principe, après sa publication au BO.

2. Le contrôle du Gouvernement
Le Parlement dispose de différents outils pour cette tâche: l'interpellation, la motion, et les questions.

L'interpellation

Chaque député a le droit d'interpeller un ministre soit en séance publique de commission, soit en plénière. Le député interpelle un ministre sur la manière dont il gère ses compétences.
Une motion peut-être déposée en conclusion d'une interpellation.
La motion

Après la clôture de la discussion et au plus tard avant la fin de la séance plénière ou de la réunion de la commission, tout membre du Parlement peut déposer un projet de motion en conclusion d’une interpellation ou d’une déclaration du Gouvernement. Les motions déposées en commission sont votées lors de la plus proche séance plénière.

Les questions

Les questions d'actualité

Ces questions, en lien avec l'actualité, sont posées au début d’une séance publique de l’après-midi, au maximum une fois par semaine. Elles doivent être précises, concises et ne doivent requérir aucune recherche étendue de la part du Gouvernement. Il est consacré une heure trente minutes à leur développement.
Les questions orales

Elles sont quant à elles posées en séance publique de commission ou en plénière. Elles concernent, comme les interpellations, la manière dont un ministre gère ses compétences.

Les questions écrites

Ces questions concernent des sujets plus techniques comme des statistiques ou l'interprétation de textes ou encore des aspects plus locaux.

Les députés et les parlementaires doivent avoir en plus de l'expérience dans les domaines juridiques, financiers et économiques un niveau d'instruction élevé pour pouvoir élaborer des lois et contrôler le gouvernement.