Séance du vendredi 15 juillet + weekend

Pelican a écrit:

@Yfer : ce serait sympa si on fait introduire le cours de la BVC en bourse !

Oui et surtout bénéfique pour l'ensemble de la place. Quelle place aura cette nouvelle recrue dans le marché? Ne risquerait-t-elle pas de rejoindre le club des mossibates? son PER ne risque-il pas d'être le plus cher de la place. Quand bien même ils inventeront le maquillage plus ultra, ses patrons (les Sociétés de bourse) ne sauraient la sauver sans sauver toute la pace, car ils seront obligés, à mon avis, d'ameuter le marché et s'ingénier à relever le volume quotidien et donc la liquidité des autres valeurs:
Admettons que les recettes accessoires de la BVC couvrent l'amortissement et la maintenance du SI, les autres charges doivent être couvertes par les commissions prélevées sur les transactions. Quel serait son CA annuel si on maintient un volume quotidien aussi dérisoire?(CA annuel généré par la commission sur les transactions = volume moyen quotidien * nombre de jours ouvrables). A titre d'exemple, avec un volume de 40 millions de DH et étant donné la faiblesse de la marge, la commission annuelle est inférieur à 10 millions de DH.
Combien de salariés à un salaire moyen de 35000 DH brut peut on payer avec cette somme?
Comment faire pour suporter les autres frais de fonctionnement? Quid de l'investissement?
Que faire pour calmer les fondamentaux? (afficher un chouiya de bénéfice, PER exige)

J'ai une autre idée introduire le forum en bourse

alpha74 a écrit:

En net : 2,96% * (1-30%) = 2% < Taux inflation.

@Hatim , l'immobilier est hors de prix , les comptes epargnes n'apportent rien , l'obligataire va se casser la gueule , la seule solution creer sa propre entreprise PME ( pas evident : savoir faire contraintes diverses concurence = risque de depot de bilan ...) , ah j'ai oublié on peut directement acheter du STROC , je crois que c'est bcp moins risqué et c'est plus rentable !!!

J'essaie juste d'établir un lien logique entre la baisse des taux intérêt du livret d'épargne et la hausse du plafond à 400.000 DH comme si on cherche à se financer gratuitement, en Europe les banques offrent déjà pour les clients d'une rémunération symbolique des comptes à vue alors que les notre ne savent qu'en déduire les frais de tenue de compte et des commissions incompréhensibles ..

Le crédit immobilier (ou charge locative) consomme une bonne partie du salaire, chaque banque vous offre une gamme ou carrément un book produit avec des dessins de personnes heureuses pour fructifier votre épargne et quand vous regardez le détail des choses vous découvriez des conditions ou des détails qui vous "piègent" pour garder votre épargne au moins de 2 ou 3 ans à défaut de perdre ou gratter toute votre misérable plus-value en cas de rachat avec un rendement de 3% ou 4% brute annuellement.

Il a aussi des formules d'épargne bizarre avec le mot tape à l'oeil " Capital Garanti " ou OPCVM contractuel, on vous garantit de verser le montant total de vos cotisations d'un X produits au bout de deux ou 3 si ce produit n'a pas dégagé de plus-value (une sorte de crédit gratuit à la banque).

Quand on y pense, mieux vaut dans ce cas de revenir aux vieux réflexes de grande mère et d'aller acheter des pièces d'or et les garder dans une chaussette pourrie à un tirroir oublié qui ne vous réclamera pas les frais de parking

20 000 dhs mis dans un compte sur carnet rapportent alors 34.50 dhs net par mois!!

Hatim a écrit:

alpha74 a écrit:

En net : 2,96% * (1-30%) = 2% < Taux inflation.

@Hatim , l'immobilier est hors de prix , les comptes epargnes n'apportent rien , l'obligataire va se casser la gueule , la seule solution creer sa propre entreprise PME ( pas evident : savoir faire contraintes diverses concurence = risque de depot de bilan ...) , ah j'ai oublié on peut directement acheter du STROC , je crois que c'est bcp moins risqué et c'est plus rentable !!!

J'essaie juste d'établir un lien logique entre la baisse des taux intérêt du livret d'épargne et la hausse du plafond à 400.000 DH comme si on cherche à se financer gratuitement, en Europe les banques offrent déjà pour les clients d'une rémunération symbolique des comptes à vue alors que les notre ne savent qu'en déduire les frais de tenue de compte et des commissions incompréhensibles ..

Le crédit immobilier (ou charge locative) consomme une bonne partie du salaire, chaque banque vous offre une gamme ou carrément un book produit avec des dessins de personnes heureuses pour fructifier votre épargne et quand vous regardez le détail des choses vous découvriez des conditions ou des détails qui vous "piègent" pour garder votre épargne au moins de 2 ou 3 ans à défaut de perdre ou gratter toute votre misérable plus-value en cas de rachat avec un rendement de 3% ou 4% brute annuellement.

Il a aussi des formules d'épargne bizarre avec le mot tape à l'oeil " Capital Garanti " ou OPCVM contractuel, on vous garantit de verser le montant total de vos cotisations d'un X produits au bout de deux ou 3 si ce produit n'a pas dégagé de plus-value (une sorte de crédit gratuit à la banque).

Quand on y pense, mieux vaut dans ce cas de revenir aux vieux réflexes de grande mère et d'aller acheter des pièces d'or et les garder dans une chaussette pourrie à un tirroir oublié qui ne vous réclamera pas les frais de parking

Le probléme c'est que la génération actuelle a changé d'habitudes. On n'épargne plus, on consomme et on sur-endette. C'est une donnée sociologique qui a des retombées économiques. L'épargne institutionnel disponible et en progréssion c'est l'épargne géré par les caisses sociales et les fonds d'assurance géré sous forme d'opcvm. Les personnes physiques, hormis les riches qui épargent dans l'immobilier, n'ont plus cette culture d'épargner.

Plus il y'a une sorte de " protections sociales " et moins on se sent en danger, d'ou une baisse du sentiment d'insécurité qui vous oblige à épargner.

alpha74 a écrit:

@ Pelican , bonsoir , j'ai envoyé une requete au CDVM concernant la non utilisation des sociétés cotées de leur site internet comme support dans la diffusion de l'information financiere ( j'ai fait allusion a qq societes cotées dont SOFAC et M2M ) qui ont simplement oublié le fait qu'ils sont cotées a la BVC !!!

Faudra aussi dire au CDVM de raffraichir et de rajeunir leur site et l'enrichir davantage.
Il faut aussi leur dire qu'entre CDVM et site BVC il y'a des incohérences comme par exemple la structure du capital des sociétés.
Et on veut les rencontrer !

Et là je relance le débat sur l'association :

A mon avis c'est une mauvaise bonne idée. Au lieu de faire une "organisation privée " il faut - institutionnaliser - la voix du petit porteur dans les institutions actuelles. Je ne sais pas comment, mais le petit porteur doit siéger en tant que partie prenante dans CDVM ou BVC, dans la conféction des lois. Qui par exemple a fait entendre la voix du petit porteur lorsqu'on a augmenté la TPCVM ? Personne.

Il faut un organisme PUBLIQUE qui représante le petit porteur afin de garantir sa survie dans le temps et légitimer l’institutionnalisation de son pouvoir dans les prises de décisions.

C'est aux juristes de transformer cette idée en projet.

Pelican a écrit:

alpha74 a écrit:

@ Pelican , bonsoir , j'ai envoyé une requete au CDVM concernant la non utilisation des sociétés cotées de leur site internet comme support dans la diffusion de l'information financiere ( j'ai fait allusion a qq societes cotées dont SOFAC et M2M ) qui ont simplement oublié le fait qu'ils sont cotées a la BVC !!!

Faudra aussi dire au CDVM de raffraichir et de rajeunir leur site et l'enrichir davantage.
Il faut aussi leur dire qu'entre CDVM et site BVC il y'a des incohérences comme par exemple la structure du capital des sociétés.
Et on veut les rencontrer !

Et là je relance le débat sur l'association :

A mon avis c'est une mauvaise bonne idée. Au lieu de faire une "organisation privée " il faut - institutionnaliser - la voix du petit porteur dans les institutions actuelles. Je ne sais pas comment, mais le petit porteur doit siéger en tant que partie prenante dans CDVM ou BVC, dans la conféction des lois. Qui par exemple a fait entendre la voix du petit porteur lorsqu'on a augmenté la TPCVM ? Personne.

Il faut un organisme PUBLIQUE qui représante le petit porteur afin de garantir sa survie dans le temps et légitimer l’institutionnalisation de son pouvoir dans les prises de décisions.

C'est aux juristes de transformer cette idée en projet.

Bonsoir , c'est pour cela que j'avais suggerer la derniere fois une visite au siege de la BVC et leur soumettre notre idée d'association , a mon avis il n'y a que les personnes du forum qui peuvent le faire , ensuite on pourra elargir la base ...

Analyse émotionnelle de la contre tendance

(article du 11 décembre 2009)




En contre tendance, on va privilégier un marché qui ne sait pas ou il va. Plus encore, on va chercher des actifs dont le prix s’est éloigné de ce point d’équilibre (dans une période de tergiversation). On va essayer de profiter de cette période de doute du marché pour travailler un retour de ce prix vers sa zone d’équilibre.
 
Les accélérations de marché sont bien plus rares que les phases de congestion. En conséquence, il est plus naturel pour un trader de chercher à profiter de ces périodes de doutes (plus fréquentes) que de ces accélérations.
 
Comme ces périodes de doutes sont bien plus fréquentes, elles permettent au trader de soigner son taux de réussite. Cela flatte l’ego en plus, encore un argument qui rend ce trading encore plus tentant.
 
C’est certainement ce qui explique que plus de 90% des traders particuliers font un trading de type contre tendance.
 
Pourtant à y regarder de près, même si le taux de réussite des opérations une fois clôturé est important, le trading n’est pas si confortable psychologiquement que cela car il sera impossible d’acheter au plus bas et de vendre au plus haut à chaque fois. Cela implique que chaque trade débute par une période de frustration et se termine de même. Quand on achète sur un seuil qu’on pense être le plus bas et que le marché continue de descendre, pendant toute cette phase qui va confirmer ou infirmer le trade ou la position est perdante en attendant que le prix repasse au dessus de celui sur lequel on est intervenu, la psychologie du trader est mise à mal.
 
En fait, par curiosité, j’ai pris quelques comptes gagnants sur quelques semaines pour observer le temps passé en gain ou en perte lors des trades et les résultats sont plus qu’étonnant. Les traders de contre tendance passent prêt de 90% du temps à perdre de l’argent.
 
Je suis d’ailleurs certain en les observant que c’est cette frustration de rester en perte aussi longtemps qui les empêche de conserver leurs positions plus longtemps pour essayer de gagner plus. Une fois qu’ils ont retrouvé le prix sur lequel ils sont intervenus, ils ne tarderont pas à couper leurs positions avec un petit gain. On sent vraiment le soulagement, du genre : j’ai passé tellement de temps avec cette position en perte qu’il est hors de question qu’elle y retourne. Et dès que le marché menace leurs frêles gains si longuement acquis, ils s’empressent de couper alors que souvent, c’est enfin le mouvement qu’ils ont attendu si longtemps.
 
Paradoxal non ?
 
On observe facilement que cette frustration qui naît de cette sortie prématurée et de l’observation du marché qui va poursuivre au moins un temps dans le sens qu’ils ont tant espéré est aussi à l’origine de nombreuses erreurs.
 
La manifestation la plus évidente se voit souvent lorsque ces traders finissent par entrer dans le mouvement qu’il avait joué à l’origine après en être sorti avec un tout petit gain alors que le marché leur a donné raison. Mais ils ont trop attendu et le potentiel qu’il avait souvent diagnostiqué correctement a quasiment disparu et il se trouve coincé dans un trade qu’ils n’ont pas vraiment réfléchi, qui ne correspond pas vraiment à aucune logique et qu’ils ont déclenché par dépit.
 
Les traders sont émotions !
 
Le trading de contre tendance est probablement plus fréquent (en terme de période propice), plus gratifiant (grâce au taux de réussite important), plus naturel (on a tous un penchant à vouloir faire des bonnes affaires en achetant un actif dont le prix recule) mais sa réalisation (pendant le trade) est probablement beaucoup plus difficile psychologiquement que le trading en tendance. 
 

Samuel RONDOT

alpha74 a écrit:

Pelican a écrit:

alpha74 a écrit:

@ Pelican , bonsoir , j'ai envoyé une requete au CDVM concernant la non utilisation des sociétés cotées de leur site internet comme support dans la diffusion de l'information financiere ( j'ai fait allusion a qq societes cotées dont SOFAC et M2M ) qui ont simplement oublié le fait qu'ils sont cotées a la BVC !!!

Faudra aussi dire au CDVM de raffraichir et de rajeunir leur site et l'enrichir davantage.
Il faut aussi leur dire qu'entre CDVM et site BVC il y'a des incohérences comme par exemple la structure du capital des sociétés.
Et on veut les rencontrer !

Et là je relance le débat sur l'association :

A mon avis c'est une mauvaise bonne idée. Au lieu de faire une "organisation privée " il faut - institutionnaliser - la voix du petit porteur dans les institutions actuelles. Je ne sais pas comment, mais le petit porteur doit siéger en tant que partie prenante dans CDVM ou BVC, dans la conféction des lois. Qui par exemple a fait entendre la voix du petit porteur lorsqu'on a augmenté la TPCVM ? Personne.

Il faut un organisme PUBLIQUE qui représante le petit porteur afin de garantir sa survie dans le temps et légitimer l’institutionnalisation de son pouvoir dans les prises de décisions.

C'est aux juristes de transformer cette idée en projet.

Bonsoir , c'est pour cela que j'avais suggerer la derniere fois une visite au siege de la BVC et leur soumettre notre idée d'association , a mon avis il n'y a que les personnes du forum qui peuvent le faire , ensuite on pourra elargir la base ...

Bonjour , Pelican , c'est vraiment grave sur le site du cdvm a titre d'exemple ADH :
 
Anas Sefrioui          25-08-2010           56.0%
Flottant                  25-08-2010          39.87%
Noraddine El Ayoubi 25-08-2010          4.13%

Alors que sur le site de la BVC Principaux actionnaires au 30/06/2010 :

SEFRIOUI ANAS   61,74 %
FLOTTANT        35,04 %
EL AYOUBINoraddine 3,22 %

Alors deux choses ou bien on donne aux investisseurs une information eronnée dans ce cas c'est grave , ou bien Mr Sefrioui a vendu 5.7% sur le marché central en l'espace de 2 mois 


  

المغرب يلجأ إلى بيع جزء مما تبقى من حصته في اتصالات المغرب لتغطية عجز ميزانيته


ذكرت تقارير صحفية أن الحكومة المغربي بصدد طرح جزء مما تبقى من حصصها في اتصالات المغرب للبيع. وحسب معلومات متطابقة حصلت عليها موقع "لكم" فإن الحكومة بصدد دراسة بيع ما بين 7 و8 من حصتها البالغة 30 في المائة في رأسمال الشركة المملوكة في أغلبيتها لشركة "فيفاندي" الفرنسية.

وتوقعت نفس المصادر أن تجلب هذه العملية إلى خزينة الدولة المغربية ما بين 8 و9 ملايير درهم. ويتوقع أن يتم طرح هذه الأسهم للبيع مع نهاية شهر يوليو من خلال بورصة الدار البيضاء للمستثمرين المؤسساتيين المغاربة وللأشخاص الطبيعيين.

وقال محللون اقتصاديون تحدثوا للموقع إن الهدف من طرح هذه الحصة للبيع في الوقت الحالي هو توفير السيولة لمواجهة العجز المالي الكبير الذي أحدثته سياسات حكومة عباس الفاسي من خلال الزيادة في مخصصات صندوق المقاصة، والرفع من أجور الموظفين. وكانت جريدة "العلم" الناطقة باسم حزب الاستقلال الذي يتزعمه عباس الفاسي، قد أعلنت أن الحكومة ستفي بوعدها بالزيادة في الأجور ابتداء من نهاية الشهر الجاري.

من جهة أخرى قالت وكالة "رويترز" إن الحكومة المغربية سبق لهت أن ألغت العام الماضي بيع حصة نسبتها ثمانية في المائة في اتصالات المغرب والذي كان يهدف لجمع سيولة.

وقدرت الوكالة سعر نفس الحصة بـ 10.1 مليار درهم (1.27 مليار دولار) وفقا لسعر إغلاق السهم في البورصة اليوم.

وقالت الوكالة إنه مع بدء احتجاجات شعبية مطالبة بالإصلاح في فبراير شباط أبلغ وزير المالية والاقتصاد صلاح الدين المزوار رويترز أن الدولة ستحتاج لبيع بعض الأصول لإبقاء عجز ميزانية 2011 عند مستواه المستهدف 3.5 في المائة.

ومع تصاعد الاحتجاجات والإضرابات وافقت الحكومة على حزمة بمليارات الدولارات لرفع أجور موظفي القطاع العام وقوات الجيش والأمن.

كما زاد المغرب مخصصات دعم الاغذية والطاقة في الميزانية إلى نحو مثليها لتصل إلى 35 مليار درهم بعد ارتفاع أسعار السلع العالمية.


http://lakome.com/%D8%A7%D9%82%D8%AA%D8%B5%D8%A7%D8%AF/79-%D8%A3%D8%AE%D8%A8%D8%A7%D8%B1-%D8%A5%D9%82%D8%AA%D8%B5%D8%A7%D8%AF/6605-2011-07-16-15-02-24.html

Christophe Gautheron : Bourse et bonheur

(article du 12 avril 2010)




L’argent ne fait pas le bonheur, mais le bonheur fait gagner beaucoup d’argent

Vous passez vos journées à être concentré devant vos écrans d’ordinateur afin de tenter de capter un magnifique signal qui générera de confortables plus values ?

Vous utilisez vos soirées pour sélectionner de manière complexe les valeurs qui feront l’objet d’un prochain investissement ?

Une partie de vos week end croule sous le temps que vous consacrez à détecter des configurations graphiques à potentiel élevé ?

Alors, arrangez vous pour être de bonne humeur !

En effet, une équipe de psychologue de l’université de Toronto vient de mettre en évidence que le cerveau est d’autant plus apte à réaliser des associations très complexes que l’humeur est positive.

Il semblerait que la tristesse renforce un mécanisme qui se nomme le contrôle inhibiteur cérébral .

Ce système permet de sélectionner les informations que le cerveau doit traiter, et d’exclure les informations n’ayant pas un rapport direct avec l’objectif poursuivi.

Ainsi, lorsque l’on est heureux, le contrôle inhibiteur se relâcherait, et d’avantage de concepts, d’informations perçues ou mémorisées, seraient intégrés au raisonnement.

Trouver le bonheur, être joyeux, c’est une tâche éminemment difficile, souvenez vous des mots de l’écrivain Jules Renard : « Si l’on bâtissait la maison du bonheur, la plus grande pièce serait la salle d’attente ».

Ainsi, à ce problème, je ne connais pas de remède, ni de solution toute faite … c’est la même chose que pour la réussite en bourse, il n’existe pas de martingale.

Le paradoxe de tout cela est que pour beaucoup d’investisseurs, et de spéculateurs, le bonheur serait … de ne plus investir, pour ne plus avoir peur, pour ne plus subir de contrariétés.

Moralité : pour gagner en bourse, il faut être heureux.

Et pour être heureux, il ne faut pas jouer en bourse !

Alors, si vous souhaitez malgré tout vous accrocher aux marchés, vous êtes prévenus … Soyez heureux, et ne faites rien !