- Amiir a écrit:
- exmomand a écrit:
- l'UE demande la tenue d'un sommet mondial d'ici la fin de l'année
BRUXELLES, 15 oct 2008 (AFP)
Tous les pays européens demandent la tenue d'un sommet mondial d'ici la fin de l'année pour réformer le système financier, a indiqué mercredi le chef de l'Etat français Nicolas Sarkozy, dont le pays préside l'UE.
"Tout le monde est d'accord sur la nécessité à bref délai d'un sommet mondial sur ce sujet", a indiqué M. Sarkozy lors d'une conférence de presse à l'issue du premier jour du sommet européen à Bruxelles.
"Avec (le président de la Commission européenne José Manuel) Barroso, nous porterons ce message aux Etats-Unis samedi", a-t-il dit. Les deux hommes doivent rencontrer le président américain George W. Bush à Camp David pour parler de la crise financière.
Ce sommet des principales puissances "doit se faire avant la fin de l'année, nous pensons que le mieux c'est novembre", a déclaré M. Sarkozy
J'ai vu l'interview Avec Sarkozy et Barroso
Sarkozy a été confiant et a déclaré qu'il partira ce aux USA pour obtenir ce week end de Bush une date d'un sommet Mondial qui réunira en plus du G8 quelques autres pays tel que la chine et l'INDE. Il a parlé du G13 :roll: , voir G20 pour regrouper tous le continents.
Il a parlé du 20 /20 /20 : -20 d'emmitions de gaz carboniques; 20% energie propres; 20%...(hmmm :roll: j'ai oublié)
Les 27 auraient approuvé à l'unanuimité le plan europen de lute cotre la crise.
Climat: Sarkozy maintient le calendrier malgré les difficultésBRUXELLES, 15 oct 2008 (AFP)
Le président français Nicolas Sarkozy a réaffirmé mercredi sa volonté d'arriver "avant janvier" à un accord des pays de l'UE sur le plan européen de lutte contre le changement climatique, malgré les menaces de blocage de la Pologne et de l'Italie.
"Il faut trouver une solution avant janvier", a déclaré M. Sarkozy lors d'une conférence de presse à l'issue du premier jour du sommet européen à Bruxelles. "Je ne renonce pas au calendrier", a-t-il souligné.
"Il faut qu'on tienne compte des problèmes spécifiques d'un certain nombre de nos collègues" et "peut-être qu'on n'en a pas assez tenu compte", a-t-il toutefois admis. "On va s'attacher à trouver un compromis", a-t-il ajouté, en soulignant qu'il avait maintenant "deux mois et demi pour le faire".
"La question environnementale, c'est une question essentielle, une responsabilité historique", a-t-il poursuivi. "La crise (financière) ne doit pas diminuer nos ambitions, au contraire: il faut sortir du dilemme croissance ou protection de l'environnement, la croissance propre c'est une possibilité de rebond de la croissance", a souligné M. Sarkozy.
Interrogé sur la menace de veto brandie par le président du Conseil italien Silvio Berlusconi contre le "paquet énergie-climat" européen, le président français s'est dit "persuadé" de pouvoir trouver avec lui "un bon accord".
"D'abord, moi j'apprécie beaucoup l'Italie. Et moi monsieur, je l'ai prouvé", a-t-il lancé sous les rires des journalistes en faisant allusion à son épouse d'origine italienne Carla Bruni.
"J'apprécie aussi beaucoup le président du Conseil italien. Il est intervenu avec des arguments qui étaient très pertinents", a poursuivi Nicolas Sarkozy.
"Je suis persuadé qu'avec Silvio Berlusconi on trouvera un bon accord. Ce n'est pas un homme qui bloque les processus. C'est un homme qui, au début de la discussion, appelle l'attention sur les convictions qu'il a ou les intérêts qu'il veut défendre, mais c'est un homme (...) avec qui il a toujours été possible de trouver un compromis", a estimé le chef de l'Etat français.
"Il a toujours fait en sorte que l'Italie, quand il était aux responsabilités, soit un facteur d'unité", a-t-il conclu.
M. Berlusconi a menacé mercredi de bloquer le plan d'action européen en raison de son coût et à cause de la crise financière.
L'UE veut arriver d'ici fin décembre à un accord politique sur une série de mesures pour réduire les émissions de gaz à effet de serre des industriels, des transports et des ménages, afin d'arriver en 2020 à une baisse globale de 20% des émissions par rapport à 1990.