Séance du Mercredi 20 février 2013

Bonjour les amis et bon trade !

400 entreprises menacées de faillite… par la faute de l’ONEE

« Retards dans le paiement des arriérés des cotisations salariales, augmentation de l’endettement et des intérêts… », ainsi est dépeinte la situation des 400 entreprises prestataires de services de l’Office national de l’électricité et de l’eau potable (ONEE), qui imputent à ce dernier la responsabilité de leur situation financière alarmante. Selon les dirigeants de ces entreprises, l’Office tarde à régler les montants qu’il leur doit, bien qu’ils aient rempli leurs parts des contrats et achevé leurs travaux.
La fédération des entreprises d’électricité et d’autres encore, qui ne travaillent pas dans le même secteur, ont estimé le volume de cet endettement de l’Office national à quelque 5 milliards de DH qu’attendent toujours les entreprises qui, en conséquence, se trouvent sans trésorerie pour fonctionner et sont menacées de faillites en cascades. En effet, les fournisseurs de ces entreprises ne sont pas réglés à leur tour, les banques attendent les remboursements de leurs prêts et même les salariés ne sont plus payés à la fin du mois. Quant aux cotisations CNSS… Les sociétés concernées mettent ainsi en garde contre une série de faillites qui engendreraient des drames sociaux sans fin.
La fédération a saisi le chef du gouvernement, le ministre de l’Energie et le PDG de l’ONEE pour qu’ils interviennent en prenant les dispositions nécessaires, accélérer les règlements des marchés et permettre aux entreprises de poursuivre leurs travaux, surtout dans le monde rural. A défaut, les dirigeants des entreprises ont décidé de mener une action en deux temps, une grève d’abord devant les locaux de l’Office et, ensuite, la saisine de la justice pour non-paiement de créances en retard de plus d’une année.

Nbre méssages : 1100 Humeur : bonne Réputation : 7 Inscris le : : 05/06/2012

BCP : Progression de 7,8% de son PNB social au titre de l’année 2012 à 3 856,4 MDhs pour un résultat net en hausse de 3,3% à 1 706,4 MDhs…
...Et, proposition de distribution d’un dividende par action en hausse de 8% à 4,75 Dhs
LAFARGE MAROC : Baisse de 11,1% de son chiffre d’affaires en 2012, dont un effet volume de -8,2%
MAGHREB OXYGENE : Avis de convocation à son AGO le 26 mars 20013

L'Afrique, terre d'avenir et de business

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Une video interessante pour comprendre la necessité de developper la future CFC , pour qu'on soit plus visible dans les radars internationaux ...

Signature d'un contrat-programme pour la plasturgie

2013-02-20

La filière de la plasturgie devrait signer, ce 20 février à Tanger, son contrat programme 2013-2020. Ce partenariat privé public entre la Fédération marocaine de la plasturgie (FMP) et l’Etat s’articule autour de deux axes à savoir la logistique et la formation. Le secteur table sur un chiffre d’affaires de 28 Mrds DH d’ici 2020 et la création de près de 14 000 emplois directs et 7000 indirects.

source : flm .

Bonjour les amis et bon trade

De nouveaux secteurs intégrés au plan émergence

2013-02-20

Le Ministre de l'Industrie a annoncé que de nouveaux secteurs seront intégrés au plan émergence à travers des contrats programmes. Il s'agit de la chimie-parachimie, de la pharmacie et des industries métallurgiques et mécaniques. La signature aura lieu lors des assises de l'industrie à Tanger.

Il faut sauver l’industrie

Par Samir CHAOUKI Les Echos .
Mercredi, 20 Février 2013 08:49

L’industrie passe par des moments difficiles. En effet, les coûts d'investissement sont de plus en plus élevés et les bons de commandes davantage dégarnis. Devant ce tableau, l'État ne fait pas grand chose, à part quelques programmes dont la portée reste limitée. Pis encore, il laisse tout un secteur en proie à une concurrence déloyale, du fait du dumping ou de l'informel, d'où une compétitivité quasi nulle. Aujourd'hui, les assises de l'industrie se tiennent à Tanger, avec un seul mot d'ordre : mettre en place une feuille de route à même de la sauver. Cela passe par une volonté politique sans faille, qui devrait se traduire par des mesures concrètes. En effet, ces assises sont très attendues, afin de mettre un terme à une injustice longtemps décriée au sein de ce secteur. Actuellement, le Maroc, qui se veut une plateforme industrielle régionale, n'accompagne pas cette politique par des actions bien pensées. La problématique de l'industrie, en dépit de quelques initiatives isolées, a toujours été plutôt l'objet d'effets d'annonce que de décisions tranchées. Aujourd'hui, l'État n'a plus d'autre choix que de sauver l'industrie, par l'encouragement de la diplomatie économique et par la révision des différents ALE, la stimulation de la consommation du produit national, l'amélioration de la valeur ajoutée du secteur, l'élaboration d'une nouvelle mouture de la fiscalité industrielle, etc. C'est pourquoi les assises de Tanger doivent être celles de la franchise et de la construction. Abdelkader Aâmara, ministre de l'Industrie, du commerce et des nouvelles technologies a un joli coup à jouer. Il pourrait amorcer un cap historique de l'industrie marocaine. Encore faudrait-il que l'efficacité soit de mise et surtout la cohérence gouvernementale, par l'implication de tous les ministères concernés. En d'autres termes, le chef de gouvernement, en personne, doit exprimer son implication inconditionnelle.

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Nbre méssages : 1100 Humeur : bonne Réputation : 7 Inscris le : : 05/06/2012

IPAI:Confirmation de l’essoufflement des prix

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Fait : Publication des statistiques à fin 2012.

Analyse : Au terme de l’année 2012,
l‘Indice des Prix des Actifs Immobiliers affiche une hausse limitée à 1%
(contre une augmentation de 2,2% une année auparavant). Ce
ralentissement est imputable
principalement à la quasi-stabilité des prix des biens résidentiels (vs.
+2,4% en 2011). Les prix des biens fonciers et commerciaux progressent,
quant à eux, de 2,6% et de 1% respectivement.
En parallèle, le volume des transactions des biens immatriculés au
niveau de l’ANCFCC s‘apprécie de 7,8% à 110 250 unités. Par catégorie,
les biens résidentiels affichent une évolution de 8,7% pour 76 092
transactions, les biens fonciers augmentent de 5,5% pour 26 626 ventes
tandis que les biens
commerciaux se bonifient de 7% pour 7 532 transactions. La structure des
transactions demeure inchangée ; les biens résidentiels restent en tête
des ventes avec près de 69% de l’ensemble des opérations, suivie des
ventes des biens fonciers (24%) et celles des biens commerciaux (7%).
Par ville, les prix des biens immobiliers à Marrakech, à Tanger et à
Agadir baissent de 1,7%, de 1,6% et de 0,7% respectivement alors que les
autres villes du Royaume enregistrent des hausses dont la plus
importante a été constatée à Kénitra avec 10,9%.
En glissement annuel, les prix des actifs immobiliers augmentent de 0,9%
au 4ème trimestre 2012 suite à l’effet combiné de la stagnation des
prix des biens résidentiels, de la hausse des prix du foncier (+3,2%) et
de la baisse des prix des biens commerciaux (-1,8%). Pour sa part, le
volume des transactions baisse de 0,3% tenant compte notamment de la
diminution de 1,8% des opérations sur le foncier.

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Conclusion : En dépit d’un contexte
difficile marqué notamment par le renchérissement du foncier, le niveau
des transactions immobilières demeure en hausse au titre de l’exercice
2012 affichant ainsi le maintien de la demande mais pour des prix en
évolution limitée reflétant l’essoufflement
de la dynamique du marché.

BMCE Capital Bourse

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