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rissan du nord

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MessageSujet: Séance de Mardi 08 Avril 2014   Séance de Mardi 08 Avril 2014 Icon_minitimeMar 8 Avr 2014 - 8:28

salam alikom et bon trad
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Castor




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MessageSujet: Re: Séance de Mardi 08 Avril 2014   Séance de Mardi 08 Avril 2014 Icon_minitimeMar 8 Avr 2014 - 8:52

Salam 3alaycom.

MARSA MAROC en bourse en septembre
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condillac

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MessageSujet: Re: Séance de Mardi 08 Avril 2014   Séance de Mardi 08 Avril 2014 Icon_minitimeMar 8 Avr 2014 - 9:18

CMT :

_________________
Une chose n'a pas une valeur parce qu'elle coûte, comme on le suppose, mais elle coûte parce qu'elle a une valeur.


Dernière édition par condillac le Mar 8 Avr 2014 - 9:47, édité 1 fois
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Umbrader

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MessageSujet: Re: Séance de Mardi 08 Avril 2014   Séance de Mardi 08 Avril 2014 Icon_minitimeMar 8 Avr 2014 - 9:22

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amrani




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MessageSujet: Re: Séance de Mardi 08 Avril 2014   Séance de Mardi 08 Avril 2014 Icon_minitimeMar 8 Avr 2014 - 9:22

salam;

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Castor




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MessageSujet: Re: Séance de Mardi 08 Avril 2014   Séance de Mardi 08 Avril 2014 Icon_minitimeMar 8 Avr 2014 - 9:38

 Lafarge/Holcim - Fusion mondiale, impact national
.-C'est acté, les deux leaders mondiaux de la cimenterie entament un processus de fusion. Fortement présentes au Maroc, les deux filiales représentent 55% de parts de marché et 57% de l'outil de production et seront de fait en position dominante. Le conseil de la concurrence n'a pas encore été saisi à ce sujet. Décryptage des impacts d'une opération qui changera le visage du secteur. 55% .Ce sont les parts de marché additionnées des filiales marocaines de Lafarge et Holcim dans le sec¬teur de la cimenterie au Maroc. Les deux géants mondiaux ont confirmé leur projet de fusion hier lundi à Paris, pour donner naissance à un méga-groupe: «Lafarge Holcim». Un projet d'envergure internationale dont les effets seront significatifs sur le marché marocain, au-delà des deux entités en soi. En effet, en plus de rassembler 55% de parts de marché, les deux cimentiers disposent de 57% de l'outil de production dans leur activité au niveau national. Quelles seront donc les répercussions sur ce marché, qui traverse encore une période difficile, marquée par des baisses successives des ventes de ciment? Il faut dire qu'au niveau international, l'opération de fusion se déroule dans une perspective de désinvestissement, en vue d'assainir les actifs du groupe commun, tout en optimisant les coûts du financement et en mobilisant les effets de synergie, découlant notamment de la complémentarité géographique qu'affichent les deux parties en rapprochement. Pour une fois, cette logique cadre parfaitement avec les prérequis «anti-trust» en vigueur dans plusieurs pays. Le communiqué commun des deux groupes annonce d'emblée la cession d'environ 6 milliards d'euros d'actifs, principalement en Europe. -Position dominante: Au Maroc, le futur groupe bénéficiera de fait d'une position dominante, la jurisprudence estimant à 40% le seuil de parts dans un marché donné à partir duquel la position d'un opérateur est dominante. Encore faut-il préciser la différence entre la position dominante en soi, qui est parfaitement légale, et l'abus de cette position qui lui est proscrit par les lois en vigueur, notamment la loi sur «la liberté des prix et la concurrence». «Nous n'avons pas été saisis pour cette opération. Ce n'est d'ailleurs pas encore un prérequis, sauf dans le cas où le chef de gouvernement le juge nécessaire. Mais globalement, la concentration dans un secteur est une chose normale en soi, à condition qu'elle se fasse dans le respect des bonnes règles concurrentielles», déclare aux ÉCO Abdelali Benamour, président du Conseil de la concurrence, en réaction à la confirmation du projet de fusion. Les autres acteurs du secteur ne semblent de leur côté pas inquiets des risques anticoncurrentiels que pourrait impliquer cette transaction sur le marché marocain. «Le sujet ne sera vraisemblablement pas abordé par l'association, puisqu'il concerne deux concurrents. Nous restons donc dans une posture de «wait and scc», tout en souhaitant que les effets de cette opération seront bénéfiques pour le secteur», estime Ahmed Bouhaouli, directeur de l'Association professionnelle des cimentiers. Dans le même registre, la fédération qui englobe la profession est également confiante. «Je ne pense pas qu'il y ait un risque d'abus de cette position dominante, car personne dans le secteur n'a intérêt à entamer une guerre de prix. Il faut bien entendu qu'il n'y ait aucune entente», estime David Toledano, président de la Fédération des industries des matériaux de construction (FMC). -Fusion juridique des filiales marocaines? Pour leur part, les deux filiales marocaines restent prudentes, et préfèrent temporiser avant de décliner les implications de cette opération internationale sur leurs activités au Maroc. Déjà, une première question se pose: procèdera-t-on à une fusion des entités juridiques au Maroc? «Nous n'avons pas plus d'informations sur la suite des événements au Maroc», coupe court un membre du management de Lafarge Maroc. Mais la question est essentielle, vu que les deux entités sont cotées à la Bourse de Casablanca. «La question qui se pose est de savoir si les deux filiales marocaines fusionneront juridiquement leurs entités, soulevant la question relative à la parité retenue entre les deux entités qui intéresse les minoritaires de ces dernières», détaille Majdouli ne Fakih, analyste financière spécialiste du secteur chez CFG, qui estime que «globalement, ce projet de fusion aura des effets bénéfiques sur le secteur cimentier: la fusion aura comme effet de réduire la surcapacité qui caractérise ce secteur au Maroc, une meilleure adaptation à la demande, induisant ainsi moins d'intensité concurrentielle et donc moins de pression sur les prix», décrypte notre analyste. -Suspension de projets: Pour le secteur au Maroc, cette annonce ne manquera pas de chambouler les chantiers en cours chez les différents opérateurs. Ainsi, la construction d'une nouvelle cimenterie Lafarge à Agadir, avec une capacité prévue entre 1,2 et 1,4 million de tonnes, serait selon toute vraisemblance annulée. «La perspective de la fusion et des effets de synergies attendus entre les deux entités impliquera sans doute l'annulation de ce projet», insiste un expert du secteur. «De même, l'opérateur le plus susceptible de reprendre les actifs cédés n'est autre que Ciment du Maroc. Or ce dernier projetait une nouvelle unité dans le Nord du Maroc, et qui devrait également être mise en suspens», poursuit cet expert. En tout cas, ce processus de désinvestissement ne devrait, selon les maisons mères, déboucher sur aucune fermeture. «Il n'y a pas de fermeture d'usine associée directement à cette transaction», rassure Bruno Lafont, PDG de Lafarge à Paris, lors de la conférence de presse qui s'est tenue hier matin. Mais de profondes transformations dans le secteur, autant que des opportunités à saisir par les autres acteurs du marché, ne font aucun doute. (Source : Les Eco)
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Mr Hicham




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MessageSujet: Re: Séance de Mardi 08 Avril 2014   Séance de Mardi 08 Avril 2014 Icon_minitimeMar 8 Avr 2014 - 9:42

Othman Benjelloun, président de BMCE Bank, raconte les ambitions de son groupe pour le continent.
Benjelloun: «Notre objectif est le développement de notre continent»
• Les opportunités y sont incommensurables, pour le président de BMCE Bank
• 600 millions de clients potentiels!
L’Afrique recèle une multitude d’opportunités, BMCE Bank compte bien en profiter. Le groupe, qui est déjà bien représenté dans le continent à travers sa filiale Bank of Africa, envisage y couvrir 54 pays dans la prochaine décennie. Othman Benjelloun, président de BMCE Bank, raconte les ambitions de son groupe pour le continent.
- L’Economiste: Comment s’est comportée Bank of Africa en 2013?
- Othman Benjelloun: La contribution du groupe BoA aux performances de notre groupe, au cours de ces derniers exercices, s’est hissée à près de 40% du résultat global, reflétant les retours très positifs de nos investissements en Afrique où le groupe est aujourd’hui présent dans 18 pays subsahariens.
Ces performances sont portées par la progression, à deux chiffres, du bilan BoA, se reflétant tant sur le plan de la collecte des dépôts qu’à travers la mobilisation de l’épargne pour le financement de l’économie africaine ainsi que par l’accompagnement de la bancarisation. L’exercice 2013 a, en effet, été marqué par le renforcement de son réseau de distribution avec l’inauguration de près d’une quarantaine d’agences et l’ouverture de plus de 350.000 comptes client.
Notre vision est de poursuivre notre expansion en Afrique par la croissance externe et de couvrir ainsi les 54 pays, dans les 10 à 15 prochaines années.
- Le potentiel des marchés subsahariens est jugé important. Mais quelle est la réalité du terrain? Quelle appréciation faites-vous du risque?
- Les opportunités de développement en Afrique subsaharienne sont incommensurables! Un indicateur-clé représente la forte progression du taux d’urbanisation: il devrait atteindre 60% de la population en 2050. L’Afrique sera alors composée de 1,2 milliard de consommateurs urbains sur 2 milliards au total, dont une classe moyenne forte de 600 millions de personnes. Nous les considérons comme autant de clients potentiels! Dans ce contexte, on ne doit pas craindre le risque lorsqu’il est correctement analysé et calculé. Une des garanties essentielles pour «faire affaire» dans ces pays est l’ancrage dans leur réalité et, donc, la connaissance intime de la clientèle, de ses habitudes et de sa culture. Je me plais à dire qu’avec une enseigne telle que Bank of Africa, «la Banque de l’Afrique», nous sommes Maliens au Mali, Ougandais en Ouganda, Kenyans au Kenya.
Au niveau du groupe, nous avons entamé un processus de consolidation et d’optimisation des risques, notamment par la mise en place d’un dispositif global de contrôle interne. Il contribue à la sécurisation et la pérennisation des performances financières de nos banques et, en consolidé, celles du groupe tout en permettant de disséminer parmi nos collaborateurs des normes comportementales pour savoir, identifier, comprendre et agir sur les risques.
- En quoi le soutien diplomatique est-il important dans votre stratégie de développement à l’international?
- Il n’y a pas de meilleur soutien diplomatique que le capital politique et le capital de crédibilité cultivé par SM le Roi Mohammed VI, que viennent consolider régulièrement ses visites en Afrique subsaharienne. Ses récents voyages au Mali, en Côte d’Ivoire, au Gabon et en Guinée ont permis de réaffirmer cette stratégie nationale désormais appropriée tant par les autorités publiques que par les opérateurs économiques, affirmant un engagement pérenne du Royaume auprès de pays amis et d’un continent en devenir.
- Vous êtes encore la seule banque marocaine à avoir intégré le marché anglophone. L'approche est-elle différente?
- Nous sommes, en effet, la seule banque marocaine à être activement présente dans la zone anglophone, nommément au Kenya, Ghana, Ouganda et Tanzanie. Depuis quelques semaines, BoA est également présente dans un pays très prometteur qu’est l’Ethiopie. L’approche d’implantation est foncièrement la même, quelle que soit l’ère linguistique à laquelle les pays-cibles appartiennent. En fait, nous avons toujours considéré que le plan de développement de Bank of Africa devait privilégier d’abord des pays ou des zones au plus fort potentiel. Notre approche se fonde, plus précisément, sur l’analyse des marchés concernés ainsi que sur les diligences des établissements ciblés.
A cet effet, le groupe BMCE Bank mobilise habituellement des compétences multidisciplinaires issues tant de BoA que de BMCE Bank et BMCE Capital. Elles agissent de concert afin d’identifier les modalités les plus pertinentes d’implantation, soit le rachat d’établissements existants, soit l’introduction de demande d’agrément auprès des autorités compétentes concernées (greenfield).
- Votre développement sur le continent est pour l’instant principalement axé sur la banque de détail. Quid du déploiement des autres métiers de la banque?
- Le groupe BOA en Afrique subsaharienne, c’est la banque des particuliers, des professionnels, des PME et de la grande entreprise avec, pour chacune des BoA, une histoire -la première à plus de 30 ans d’âge!- et donc une tradition de clientèle prédominante.
Je suis surpris, en formulant ainsi votre question, que vous n’ayiez pas mesuré à sa juste valeur ce qui s’est passé dernièrement en Côte d’Ivoire à l’occasion de la visite de Sa Majesté le Roi.
La convention qui fut signée en sa présence a, pour le groupe BMCE Bank/BoA, porté sur l’engagement de notre filiale BoA-Côte d’Ivoire de contribuer au financement du budget de l’Etat de ce pays au titre de l’exercice 2014 et ainsi de favoriser la levée de 310 millions de dollars. En l’espace de 48 heures, cette levée fut entièrement souscrite de la part d’investisseurs de 7 pays de la région. Il s’agit d’une opération de structuration relevant donc de la banque de financement et d’investissement et non de la banque de détail. Pareillement, BOA-CI a été sélectionnée en qualité de conseil financier de la République de Côte d’Ivoire dans l’opération d’émission d’un emprunt obligataire de 500 millions de dollars sur le marché international des capitaux. C’est vous dire que les métiers de Banque d‘Affaires sont présents et actifs, au service de nos clients en Afrique subsaharienne.
En outre, nous avons lancé BoA Capital. A l’image de BMCE Capital au Maroc, elle ambitionne d’être un leader panafricain sur toute la chaîne de valeur, prévue d’accompagner la création de richesse en Afrique, avec des pôles dédiés aux marchés des capitaux actions et dettes, la gestion d’actifs et le conseil en fusions-acquisitions, en financement de projets et en introduction boursière.
- Et de l’assurance…
- En tant que groupe de bancassurance, les produits y afférents sont inscrits au cœur de notre stratégie qui se verra davantage affirmée par les acquisitions en cours par RMA Watanya de plusieurs compagnies d’assurances en Afrique subsaharienne.
Enfin, dans un autre domaine qui nous tient particulièrement à cœur, le groupe BMCE Bank, à travers sa Fondation pour l’Education et l’Environnement, compte construire après le Sénégal, le Congo Brazzaville et le Mali, d’autres complexes scolaires au Niger, au Bénin et au Kenya. Ces actions, dans un domaine prioritaire qu’est l’éducation, traduisent une solide alliance maroco-africaine de lutte contre l’analphabétisme et la pauvreté et en faveur du développement humain. L'objectif final de notre groupe est le développement de notre continent: l'Afrique.
Propos recueillis par Moulay Ahmed BELGHITI et Franck FAGNON
17 mars 2014 – L’Economiste

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MessageSujet: Re: Séance de Mardi 08 Avril 2014   Séance de Mardi 08 Avril 2014 Icon_minitimeMar 8 Avr 2014 - 9:46

salam alikoum.quelqu'un sait comment annulée un ordre d'achat de compte en ligne de bmce?et merci

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MessageSujet: Re: Séance de Mardi 08 Avril 2014   Séance de Mardi 08 Avril 2014 Icon_minitimeMar 8 Avr 2014 - 9:52

IAM, va acheter les filiales d'ettisalat dans les pays de l'Afrique de l'ouest (5 nouveaux pays en plus du renforcement dans d'autre). ça fait beaucoup d'argent. qui va payer ça? la dette ? augmentation de capital ?

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MessageSujet: Re: Séance de Mardi 08 Avril 2014   Séance de Mardi 08 Avril 2014 Icon_minitimeMar 8 Avr 2014 - 10:14

Pourqoui FBR augmente et DHO non?
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MessageSujet: Re: Séance de Mardi 08 Avril 2014   Séance de Mardi 08 Avril 2014 Icon_minitime

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