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| Séance du Vendredi 04 Décembre 2009 + Week End | |
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+14haakoo rahali AbaRhita Bob bra-da aymour Sissa alibaba40internautes mahdie Pelican Bell Admin Denar DaRk-H 18 participants | |
Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: Re: Séance du Vendredi 04 Décembre 2009 + Week End Ven 4 Déc 2009 - 15:54 | |
| - aymour a écrit:
- Amiir a écrit:
- aymour a écrit:
- c'est drôle quand je vois la SNEP a 450 DH, il y a le souvenir des blocs échangé sur la dite valeur a 1600 DH je crois quelque jours après son intro qui me reviennent a l'esprit a chaque fois, comme quoi il n y a pas que nous pauvres petits porteurs PPP qu'on se fait avoir.
LA GRANDE QUESTION C'EST : Est ce que les anciennes plus bas de fin 2008 début 2009 vont elles se briser ou non??? Cette question est valable pour SNP et d'autres valeurs. La raison est qu'on est encore loins de la fin décembre si tu veut parler d'un MASI a 9385 points, je crois pas qu'on va en arriver jusque la, mais bon ceux qui ont de bonnes valeurs dans leurs portefeuilles n'ont pas grand chose a craindre. Les 10 000 points du Masi sont déjà brisées. Il reste un 6% à 9400 pts et 19 jours ouvrables. La détermination du vendeur d'ADH en Clôture a fait échouer toutes les tentatives veines de sauvetage... Moi je parlais des plus bas des valeurs et pas du Masi et en l'occurence ADH à 78, IAM à 133 CIH à 318, SNP à 423, SAM à 520, BCP qui a fait fonctionner en clôture le Stop Loss de ATI à moins de 246.... Je crains que le Lundi risque de s'inscrire dans la même logique baissière enregistrée cette semaine. Wallahou A3lam |
| | | Admin Admin
Nbre méssages : 2820 Inscris le : : 11/08/2008
| Sujet: Fila Ven 4 Déc 2009 - 15:55 | |
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| | | darios
Nbre méssages : 2199 Réputation : 27 Inscris le : : 22/04/2009
| | | | Pelican
Nbre méssages : 16978 Humeur : En construction Réputation : 69 Inscris le : : 12/08/2008
| Sujet: Re: Séance du Vendredi 04 Décembre 2009 + Week End Ven 4 Déc 2009 - 16:06 | |
| _________________ visitez mon site Tikchbila-tiwliwla.com
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| | | darios
Nbre méssages : 2199 Réputation : 27 Inscris le : : 22/04/2009
| Sujet: Re: Séance du Vendredi 04 Décembre 2009 + Week End Ven 4 Déc 2009 - 16:07 | |
| - Pelican a écrit:
- Bob a écrit:
- plus d acheteurs pour ADDOHA , laisser là saigné jusqu a son prix d introduction .
35 dhs ? tout est possible. il ya une formation triangulaire, enorme sur douja. la chute de ADH s-est acceleree juste par la cassure de cette figure, dont les implications baissieres, si confirmation il ya, sont enormes. par ailleurs osn dernier gap haussier et d-acceleration a ete cloture en fin de seance. pour l-instant le seul repere valable qui reste est 82 dh +- un filtre | |
| | | darios
Nbre méssages : 2199 Réputation : 27 Inscris le : : 22/04/2009
| Sujet: Re: Séance du Vendredi 04 Décembre 2009 + Week End Ven 4 Déc 2009 - 16:11 | |
| 2 journee positive pour sonasid | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Séance du Vendredi 04 Décembre 2009 + Week End Ven 4 Déc 2009 - 16:22 | |
| - darios a écrit:
- Pelican a écrit:
- Amiir a écrit:
- aymour a écrit:
- c'est drôle quand je vois la SNEP a 450 DH, il y a le souvenir des blocs échangé sur la dite valeur a 1600 DH je crois quelque jours après son intro qui me reviennent a l'esprit a chaque fois, comme quoi il n y a pas que nous pauvres petits porteurs PPP qu'on se fait avoir.
LA GRANDE QUESTION C'EST : Est ce que les anciennes plus bas de fin 2008 début 2009 vont elles se briser ou non??? Cette question est valable pour SNP et d'autres valeurs. La raison est qu'on est encore loins de la fin décembre
Lorsqu'un indice touche un plus bas N, et que le rebond ne consomme pas 50% ( N+ 50% ) de la vague de baisse, il y'a a de forte de chance à ce que l'indice plonge à E = N- (2 x ( N+50% ) ).
Pour faire plus simple, la baisse sera 2 fois l'amplitude de la reprise.
NB : Le masi n'a pas corrigé 50% de sa baisse. ni 50 % de toute la hausse juillet 2002 mars 2008 Le graphique ci-dessous affirme que les 50% LT(5 ans) ont strictement respectées !!! Pour moi, si les 9350 seraient brisés la prochaine cible (Allah yester) est à 8000 Wallahou A3lam
Dernière édition par Amiir le Ven 4 Déc 2009 - 16:24, édité 1 fois |
| | | Pelican
Nbre méssages : 16978 Humeur : En construction Réputation : 69 Inscris le : : 12/08/2008
| Sujet: Re: Séance du Vendredi 04 Décembre 2009 + Week End Ven 4 Déc 2009 - 16:24 | |
| quel graphe assi amiir ? _________________ visitez mon site Tikchbila-tiwliwla.com
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| | | 118
Nbre méssages : 960 Humeur : xy Réputation : 4 Inscris le : : 19/11/2008
| Sujet: Re: Séance du Vendredi 04 Décembre 2009 + Week End Ven 4 Déc 2009 - 17:14 | |
| BJR,ce n est pas par pessimisme mais j ai l impression que la descente n est pas finie ,il reste un - 5% ! | |
| | | Admin Admin
Nbre méssages : 2820 Réputation : 36 Inscris le : : 11/08/2008
| Sujet: Re: Séance du Vendredi 04 Décembre 2009 + Week End Ven 4 Déc 2009 - 18:14 | |
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| | | Admin Admin
Nbre méssages : 2820 Réputation : 36 Inscris le : : 11/08/2008
| Sujet: Re: Séance du Vendredi 04 Décembre 2009 + Week End Ven 4 Déc 2009 - 18:23 | |
| Des temps de turbulence financière
Le vent tourne! On le sait, la situation financière du gouvernement et des grandes institutions publiques et privées est inquiétante. Faut-il blâmer la crise internationale, la politique économique nationaliste ou est-ce le résultat de deux ans de politique sociale de Abbas El Fassi? Ce qui risque d’aggraver la situation davantage, c’est que l’Etat s’est engagé sur des projets qu’il va devoir honorer dans les mois à venir. Je citerai à titre d’exemple, le renforcement de l’action sociale, le soutien aux secteurs touchés par la crise et les grands chantiers et projets à financer. Face à ces engagements colossaux, on note un niveau d’épargne qui se dégrade, des réserves en devises qui fondent comme neige au soleil, des comptes extérieurs qui se détériorent, et des recettes fiscales en chute libre. Mais si la crise internationale est une situation inévitable, l’Etat marocain aurait pu lisser la crise de liquidité que le Maroc connaît, en faisant preuve de plus de prudence financière dans ses ambitions -qui très souvent dépassent ses moyens (…). Et encore plus, lorsque ces ambitions répondent à un objectif politique ou idéologique. Quand Abbas El Fassi a repris les rênes du gouvernement en octobre 2007, on s’est demandé comment le Maroc allait réussir la transition entre deux profils diamétralement opposés. Driss Jettou avait mené le gouvernement pendant quatre ans avec une croissance exceptionnelle, mais qui s’est faite au détriment des couches sociales démunies. El Fassi est ensuite venu pour rééquilibrer la balance sociale, et s’est montré plus flexible avec les syndicats qu’avec le patronat (10% d’augmentation du SMIG et des recrutements massifs). Aujourd’hui, la vision sociale d’El Fassi a mis à plat le plan DVD, et l’administration est redevenue ce mammouth qui pèse très lourd dans les finances publiques! La crise de liquidité provient aussi du fait que l’Etat -à travers tous ses organes- a très rarement intégré la notion de risque dans sa politique d’investissement, et s’est laissé emporter par une vision «nationaliste» qui se voile les yeux. Regardez par exemple combien de projets initialement menés par des investisseurs étrangers ont été repris par la seule Caisse de Dépôt et de Gestion, pour ne parler que de ce bras financier pour le développement. Ce fonds de pension a tellement investi ces dernières années, que le départ de Mustapha Bakkoury en juin dernier, a même coïncidé avec le plafonnement de la capacité d’endettement de la CDG, à en croire une source bancaire. Aujourd’hui, son successeur Anas Alami fait preuve de haute voltige financière pour sortir la Caisse de ce cul-de-sac. Il fait appel à la Caisse Marocaine des Retraites pour se donner plus de moyens pour financer les dernières décisions d’investissements de la CDG. Le conseil de la CMR vient en effet d’approuver la révision de sa politique de placement en réduisant de 82% à 60% ses placements en bons du trésor. Ceci permettra à la CDG de dégager près de 12 milliards de dirhams à placer dans des actions non cotées et cotées, de quoi financer le projet Renault, le Bouregreg ou encore les 32% de Méditélécom. Il est aujourd’hui indispensable de créer les «gardes-fous» nécessaires afin de mieux cadrer les actions de l’Etat. Créer des murailles de Chine entre la vision politique, la vision financière et la vision de développement, devient un «mal nécessaire» pour éviter d’engager toutes les liquidités d’un pays dans des projets qui servent l’image et l’ego, mais pas ses fondamentaux. Et pour appuyer mon raisonnement, je m’inscrirai en droite ligne avec les propos tenus par le Gouverneur de Bank Al-Maghrib. Ce Monsieur, au passé riche en expériences, qui a négocié entre autres le Programme d’Ajustement Structurel des années 80, a souligné dans les colonnes d’Economie & Entreprises (septembre 2009) son inquiétude sur la situation actuelle: «Si l’on se remémore l’enchaînement des événements, il y a vingt-cinq ans, on comprendra mieux la vigilance à laquelle nous appelons».
| | Hassan M. Alaoui |
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| | | Admin Admin
Nbre méssages : 2820 Réputation : 36 Inscris le : : 11/08/2008
| Sujet: Re: Séance du Vendredi 04 Décembre 2009 + Week End Ven 4 Déc 2009 - 18:25 | |
| BMCE :
Médicapital Bank, un démarrage difficile
La sérénité qu’affiche Jaloul Ayed trahit un petit malaise. «Tout ce qui se dit à propos de mon départ de BMCE Bank est fallacieux. Mon engagement n’a jamais été aussi fort envers ma banque et mon président», s’indigne-t-il. L’Administrateur Directeur Général de la banque de Othman Benjelloun ne comprend pas pourquoi son départ à Londres a été interprété comme une disgrâce. Car il restera effectivement dans les instances de la BMCE. «Ce qui change, c’est que je m’impliquerai davantage dans le développement des activités à l’international en 2010», assure-t-il. En effet, depuis quelques semaines, les rumeurs les plus folles circulent à propos de Monsieur International de la BMCE à cause des mauvaises performances de la banque marocaine mais de droit anglais qu’il a conceptualisé et déployé pour le compte de son président. La santé financière de Médicapital Bank est sujette à interrogations. Entre 2007 et 2008, la filiale londonienne de BMCE Bank a perdu presque 16,3 millions de pounds (200 millions de dirhams). Depuis son lancement, elle est maintenue sous perfusion. «L’investissement de démarrage était important. Et cet effort a été visible car avec les normes IFRS, on ne peut pas amortir les frais d’établissement qui se sont établis à 14 millions de pounds. Cela a naturellement affecté notre rentabilité pendant les deux premières années», explique Ayed. Dans l’esprit du banquier, Médicapital reste une structure saine et les pertes qu’elle a amoncelées sont une donnée tout à fait normale pour une banque qui vient de démarrer. L’important pour lui est de stabiliser les coûts pour éviter qu’ils n’impactent encore plus les résultats. Et c’est chose faite puisqu’un retour au seuil de la rentabilité est attendu pour fin 2009. «A partir de 2010, nous espérons même un profit de l’ordre de 5 à 10 millions de dollars», assure Ayed. Si en effet, des pertes de 16 millions de pounds pour une banque anglaise en création n’est pas un montant alarmant, la communauté bancaire s’inquiète sur l’avenir de ce projet. «Je reste réservé quant à la réussite de ce projet et à son avenir. Honnêtement avec la crise, c’est toute une remise en question qui s’impose», glisse un haut responsable d’une banque marocaine de la place. Ce qui compliquera le plan de redressement, selon notre banquier, c’est la difficulté de plus en plus pesante de lever des fonds sur le marché international pour les déployer ailleurs. «Même s’ils (ndlr: dirigeants du groupe) réussissent ce pari, ils le feront avec un coût loin d’être compétitif», explique-t-il. Une banque orientée vers l’Afrique C’est la philosophie même du projet qui est donc remise en question. Au départ, Médicapital a été créée pour réaliser une reconfiguration complète des activités de BMCE Bank à l’international. C’est le bras armé du groupe bancaire sur le continent. Depuis Londres, elle développe l’activité de banque corporate, d’investissement et de marché, servant de relais entre les investisseurs européens et l’Afrique et entre les Africains eux-mêmes. Une banque basée à Londres a certainement plus d’atouts à faire valoir qu’une banque marocaine basée au Maroc. Les Européens auront une structure près de chez eux, et qui plus est, dans le pays où la réglementation financière est la plus stricte. C’est une assurance. Pour les Africains, avoir affaire à une banque londonienne est une référence qui pourrait transcender les sensibilités politiques qu’ils pourraient avoir avec un pays africain. Le projet a été donc bien pensé et Benjelloun l’a doté de toutes les conditions de réussite. Il l’a ainsi autorisé à reprendre toutes les filiales internationales du groupe et à se servir de son réseau commercial dans le monde pour ratisser les opportunités d’investissement. En somme, Médicapital Bank devrait constituer autour d’elle un bloc international solide et autonome. Mais la jeunesse de la banque dans un contexte de marasme économique mondial et ses coûts élevés ont fait qu’elle a eu besoin d’un soutien financier supplémentaire. La première augmentation de capital a été réalisée en 2008 à travers l’intégration par Médicapital Bank de la succursale de Paris. L’opération s’est faite par une simple cession d’actifs de cette succursale à sa marraine londonienne en contrepartie d’émissions de titres. Ce qui a eu une incidence directe sur son actif réel qui est ainsi passé de 41 millions de pounds en 2007 à 290 millions en 2008. Mais cette opération est en réalité restée sans aucun impact réel sur la trésorerie puisqu’il s’agit d’un échange d’actions. En filigrane, les managers de la BMCE voulaient jouer sur les mouvements intra-groupes sans avoir à débourser de fonds. Or, si ce scénario a marché pour l’acquisition de la succursale de Paris, il n’a pu être exécuté pour l’intégration de la succursale de Madrid. En juin 2009, le groupe BMCE a préféré injecter du cash dans le capital: 30 millions de pounds. En fait, explique le management, cette augmentation n’aurait pas eu lieu si l’intégration de la succursale de Madrid s’était faite selon le planning initial, c’est-à-dire avant fin mars 2009. Naturellement, cette intégration aurait dopé encore plus les actifs de la banque et l’aurait prémunie contre une situation fragilisée. «Mais pour différentes raisons, nous avons préféré attendre et prendre tout notre temps avant d’intégrer la filiale espagnole», justifie Ayed. Pour le moment donc, l’intégration de la filiale de Madrid n’est que fonctionnelle: partage d’actifs et implication dans la gestion. Conquérir l’Afrique à partir de l’Europe Face aux besoins en financement de sa filiale qui ne vont certainement pas s’arrêter de sitôt, le groupe BMCE pourra-t-il continuer à la soutenir? Devra-t-il faire appel à un soutien extérieur? C’est une piste qui pourrait s’avérer incontournable pour soutenir un projet qui reste incontestablement visionnaire. Le seul hic est que ce dernier n’est pas venu au bon moment à cause de la crise et que beaucoup d’argent a été investi pour son lancement. Logé dans le prestigieux immeuble du Juxon House, son train de vie est des plus fastueux. Dans une City où le revenu annuel d’un cadre junior commence à 50.000 pounds (626.556 dirhams), ses cadres sont parmi les mieux rémunérés. Débauchés des grandes banques opérant dans la place (Lehman Brothers, Goldman Sachs, Morgan Stanley…), ils ont été payés au prix fort pour réaliser la vision du Président Benjelloun: conquérir l’Afrique à partir de l’Europe. «J’agissais dans un environnement complètement cosmopolite où il y avait des anglais, des français, des espagnols, des tunisiens… et j’ai été agréablement surpris par le niveau des compétences extrêmement élevé», raconte un ancien cadre dans cette banque. Depuis son lancement, Jaloul Ayed supervisait lui-même le projet. Deux fois par mois, il partait à Médicapital pour suivre les moindres détails du projet, y compris les recrutements. Son ambition était de faire de Médicapital Bank la marque internationale de la BMCE. L’appât du gain Mais il n’y a pas que cette raison expansionniste. On raconte qu’en créant Médicapital Bank, Benjelloun voulait contourner les contrôles sévères de Bank Al-Maghrib en matière d’acquisition de produits dérivés. Les autorités marocaines ont toujours été fermes là-dessus (et c’est heureusement ce tour de vis qui a permis au système financier marocain d’échapper à la crise). Mais cette barrière paraissait frustrante pour Benjelloun et Ayed qui voyaient que les banques internationales se développent grâce à ces produits sophistiqués. Alors, quoi de plus ingénieux que de créer une banque internationale? Seulement voilà. A l’époque où Médicapital a été mise en place, l’euphorie financière était à son apogée. Les marchés croulaient sous le poids des liquidités et des bonus extravagants. Il était facile pour une entreprise de lever des fonds avec très peu de fonds propres. En 2008, la crise financière arrive. Le cash se tarit et les coûts de la «lady londonienne» dépassent ses revenus (voir encadré). En plus, la livre sterling perd presque 45% de sa valeur. En fait, le président se rend rapidement compte qu’il a mis en place une institution prestigieuse, une machine à broyer des capitaux, et que même la BMCE Bank n’a pas les moyens de suivre. Il était d’autant plus perturbé que la tourmente de Médicapital Bank coïncide avec un repli d’activité au Maroc, et un recentrage du groupe à Casablanca (gel de Cap Retail, difficultés chez Hanouty, retrait de M’Dina Bus). BMCE Bank veut désormais se concentrer sur ses métiers financiers. Et pour cela, elle a besoin d’une architecture cohérente où les fonds et les opportunités d’investissement pourraient circuler d’une façon fluide aussi bien au niveau national qu’international. C’est le plan qu’Ayed exécutera à partir de 2010. Non sans difficulté, car la question du financement de tous ces projets va sûrement se poser avec insistance. | |
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