| | Séance du Jeudi 17 Décembre 2009 + 18 (1er Moharram) + Week End | |
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+18Admin madex torreszn lecteur starpolaire lahlou doc haakoo za.ahmed Abderrahmane habib Bell Pelican kamel99 DaRk-H AbaRhita moha alibaba40internautes 22 participants | |
Auteur | Message |
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haakoo
Nbre méssages : 1910 Inscris le : : 23/10/2008
| Sujet: Re: Séance du Jeudi 17 Décembre 2009 + 18 (1er Moharram) + Week End Sam 19 Déc 2009 - 15:42 | |
| Une petite histoire drole
Science du Management
Une histoire de fou, ou de relation de travail, révélatrice que le management est une science, peut-être, humaine, sans doute...
Un homme, dans la nacelle d'une montgolfière ne sait plus où il se trouve. Il descend et aperçoit une femme au sol. Il descend encore plus bas et l'interpelle :
"Excusez-moi ! Pouvez-vous m'aider ? J'avais promis à un ami de le rencontrer et j'ai déjà une heure de retard car je ne sais plus où je me trouve. "
La femme au sol répond :
" Vous êtes dans la nacelle d'un ballon à air chaud à environ 10 mètres du sol. Vous vous trouvez exactement à : 49°, 28', 11'' Nord et à : 8°, 25', 58'' Est ".
"Vous devez être ingénieur" dit l'aérostier.
"Je le suis", répond la femme, "comment avez-vous deviné ?"
"Eh bien", dit l'aérostier, "tout ce que vous m'avez dit à l'air techniquement parfaitement correct, mais je n'ai pas la moindre idée de ce que je peux faire de vos informations et en fait je ne sais toujours pas où je me trouve. Pour parler ouvertement, vous ne m'avez été d'aucune aide. Pire, vous avez encore retardé mon voyage."
La femme lui répond :
"Vous devez être un chef."
"Oui," répond l'homme avec fierté, "mais comment avez-vous deviné ?"
"Eh bien", dit la femme, "vous ne savez ni où vous êtes, ni où vous allez. Vous avez atteint votre position actuelle en chauffant et en brassant une énorme quantité d'air. Vous avez fait une promesse sans avoir la moindre idée comment vous pourriez la tenir et vous comptez maintenant sur les gens situés en dessous de vous pour qu'ils résolvent votre problème. Votre situation avant et après notre rencontre n'a pas changé, mais comme par hasard, c'est moi maintenant qui à vos yeux en suis responsable !"
Décidement, ces managers, tous les mêmes, à croire qu'ils sortent de la même école de management | |
| | | Creatori
Nbre méssages : 4827 Inscris le : : 13/08/2008
| | | | Pelican
Nbre méssages : 16978 Humeur : En construction Réputation : 69 Inscris le : : 12/08/2008
| Sujet: Re: Séance du Jeudi 17 Décembre 2009 + 18 (1er Moharram) + Week End Sam 19 Déc 2009 - 17:31 | |
| créatori, wach 9t3o 3likom ddow ? je vois rien dans ton graphe. _________________ visitez mon site Tikchbila-tiwliwla.com
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| | | Admin Admin
Nbre méssages : 2820 Réputation : 36 Inscris le : : 11/08/2008
| Sujet: Re: Séance du Jeudi 17 Décembre 2009 + 18 (1er Moharram) + Week End Sam 19 Déc 2009 - 17:37 | |
| Sociétés cotées : Que seront les résultats annuels ?
* Les analystes de la place ont revu leurs prévisions de résultats à la baisse.
* Les sociétés cotées resteraient tout de même sur une orientation favorable. L’année 2009 touche à sa fin. Elle n’a pas du tout été rose pour les investisseurs de la place boursière, au vu du comportement des indices. Il n’est effectivement plus un secret que la Bourse de Casablanca se dirige tout droit vers une clôture d’exercice dans le rouge. Au 15 décembre, le Masi, pour ne citer que lui, affiche un year to day de –5,41 %. En revanche, au niveau des fondamentaux économiques des sociétés cotées à la tour de verre du boulevard des FAR, la donne semble être différente. Au premier semestre 2009, la capacité bénéficiaire semestrielle globale de la place casablancaise s’est établie à 18,2 Mds de DH, en progression de 13% comparativement à la même période de l’exercice antérieur. Certes, cette situation est, en partie, imputable à l’effet des plus-values réalisées par ONA et la SNI sur la cession d’une partie de leurs participations dans le capital de Wana. Mais il n’en demeure pas moins que cela laisse présager que les investisseurs, ayant subi de plein fouet la baisse des cours, pourraient compenser leurs pertes par des dividendes intéressants qui leur seraient distribués au titre de l’exercice 2009. Encore faut-il que les bénéfices du semestre en cours soient, au moins, à l’image de ceux des six premiers mois de l’année. Répondre à cette dernière problématique est l’exercice auquel se livrent les analystes des sociétés de Bourse depuis plusieurs semaines afin d’anticiper et d’offrir à leur clientèle les meilleurs conseils de placement. Certains d’entres eux ont déjà livré leurs conclusions. C’est notamment le cas de ceux de BMCE Capital Bourse qui ont revu à la baisse leurs estimations du début de l’année suite à l’analyse des publications financières semestrielles. D’après cette source, les bénéfices de la place casablancaise devraient rester tout de même sur une orientation favorable. Les pronostics font état d’une progression annuelle de 17,3% de la capacité bénéficiaire de la place pour s’établir à 31,4 Mds de DH. Cela voudrait donc dire que le second semestre 2009 devrait rapporter plus que le premier, comparativement à l’année 2008. Cependant, il ne faut pas omettre que les réalisations des six derniers mois de 2008 incluent les pertes colossales de Managem et de la Samir suite à l’effet des dépréciations des cours sur les marchés mondiaux. Ceci étant, il est clair qu’une analyse plus détaillée s’impose avant de tirer toute conclusion sur le rendement des actions des valeurs cotées au titre de l’exercice touchant à son terme. Dossier réalisé par Y. A. T. |
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| | | Admin Admin
Nbre méssages : 2820 Réputation : 36 Inscris le : : 11/08/2008
| Sujet: Re: Séance du Jeudi 17 Décembre 2009 + 18 (1er Moharram) + Week End Sam 19 Déc 2009 - 17:38 | |
| Attijariwafa bank : Une dette subordonnée d’un milliard
Attijariwafa bank lance un nouvel emprunt obligataire subordonné. Le CDVM vient en effet d’annoncer qu’il a visé, en date du 15 décembre 2009, une note d’information relative à cette opération. Celle-ci comportera un montant global d’un milliard de DH réparti en 4 tranches, dont deux cotées en Bourse. D’un montant nominal de 100.000 DH, les 10.000 obligations émises donneront droit à leurs souscripteurs à 4,76% de rémunération à taux fixe, tandis que le taux variable dépendra du taux moyen pondéré au jour le jour constaté une année avant le détachement des intérêts. L’ouverture des souscriptions est prévue le 22 décembre courant; elles seront réservées aux zinzins nationaux. |
Dernière édition par Admin le Sam 19 Déc 2009 - 17:43, édité 1 fois | |
| | | Admin Admin
Nbre méssages : 2820 Réputation : 36 Inscris le : : 11/08/2008
| Sujet: Re: Séance du Jeudi 17 Décembre 2009 + 18 (1er Moharram) + Week End Sam 19 Déc 2009 - 17:38 | |
| Khalid Oudghiri : Présumé innocent !
* Il jouit, contrairement à certaines plumes braillardes qui ont vite fait de l’accuser, de la présomption d’innocence tant que sa culpabilité n’a pas été légalement et définitivement établie.
* Oudghiri découvre, assez tardivement, que l’aura et l’immunité que procurent le «pouvoir absolu» sont bien éphémères.
Grâce. Disgrâce. On ne peut trouver mieux pour qualifier le cheminement de l’ex-PDG d’Attijariwafa bank, Khalid Oudghiri. Sa position actuelle, il faut l’avouer, n’est guère enviable. En peu de temps, il aura pratiquement tout connu : une ascension fulgurante qui lui aura valu son ticket d’entrée dans le cercle restreint des hommes d’influence et incontournables du milieu des affaires; et une chute tout aussi brutale qui lui vaut d’être cité dans une rocambolesque affaire de corruption. Nous écrivions tantôt dans ces colonnes que c’est un privilège que de diriger l’une des banques les plus prestigieuses du Royaume, Attijariwafa bank notamment. Ceux qui ont eu ce privilège ont trôné, l’espace d’un moment, sur le monde des affaires, en étant des acteurs incontournables de la vie économique. Khalid Oudghiri l’a été. Tout comme Bendidi lorsqu’il assurait la présidence de l’ONA. Le cas Bendidi avait déchaîné les passions et alimenté les discussions dans les salons feutrés de Casablanca. Bras droit de Othman Benjelloun alors qu’il occupait de hautes fonctions au sein du Groupe Finances.com, il s’est subitement retrouvé numéro 1 de l’ONA. Belle ascension ! Mais qui n’aura pratiquement duré que trois ans. On ne lui laissera même pas le privilège de sortir par la petite porte. Il est sorti par la fenêtre avec un CV sali et une image ternie par des propos pour le moins humiliants : «incompétence, dissimulation d’informations stratégiques». Tout ce dont un haut cadre doit se passer pour pouvoir rebondir. Il a ainsi quitté l’ONA la tête basse, avec de surcroît une triple peine : la disgrâce, le discrédit et les sarcasmes.
A cette époque d’ailleurs, on écrivait que le cas Oudghiri était moins grave. Car il a été, certes, débarqué sans les honneurs, mais ses employeurs n’ont, à aucun moment, justifié officiellement les motifs de son départ. C’est la raison pour laquelle, certainement, il a pu, un laps de temps, poser ses valises au sein d’une banque saoudienne. C’est dire qu’à aucun moment ses compétences en tant que banquier n’ont été mises en cause.
Bien au contraire. Lorsqu’il est arrivé de BNP Paribas pour prendre les rênes de la BCM, Oudghiri a eu droit au tapis rouge. Bénéficiant d’un préjugé favorable, motivé à bloc, il entama, par la grâce des actionnaires, la restructuration du Groupe pour absorber par la suite la défunte Wafabank. Puis naquit Attijariwafa bank, premier groupe bancaire privé du Royaume. Oudghiri a surtout été le père du désormais concept populaire «champions nationaux». C’est-à-dire, faire de toutes les filiales du groupe des leaders dans leur domaine d’activité. Et il a réussi son pari, tout en initiant une ambitieuse et audacieuse politique de croissance externe qui poussa le Groupe bancaire à être fortement présent en Afrique subsaharienne. Les éloges fusaient alors de toutes parts. Attijariwafa bank (au même titre d’ailleurs que BMCE Bank) était même citée comme modèle dans le cadre du développement de la coopération sud-sud.
Puis vint subitement la disgrâce, avec pour corollaire une sortie par la petite porte. Motif officieux : sa mésentente avec sa hiérarchie. «Oudghiri est, certes, bon banquier, mais c’est une forte tête qui a voulu jouer au bras de fer avec sa hiérarchie. Et à ce jeu, il n’avait aucune chance de gagner», confie un cadre d’Attijariwafa bank pour qui «il y a des règles auxquelles il faut se soumettre lorsqu’on fait partie du Groupe ONA».
La cabale continue
A la différence d’un Bendidi qui, au même titre que lui, a connu la disgrâce, Oudghiri n’est pas tombé dans l’anonymat bien longtemps. Le voilà, aujourd’hui, cité dans une affaire pour «complicité de corruption». Une affaire qui date de plusieurs années, mais qui n’atterrit qu’aujourd’hui sur la table de la Justice, et dont les informations contradictoires distillées ici et là imposent la retenue et plus d’intelligence dans l’analyse. Car, alors même que l’affaire est en cours d’instruction, voilà qu’une certaine presse se substitue à la Justice pour discréditer Oudghiri et en faire un coupable idéal. Pourtant, il est «présumé innocent» tant qu'il n'est pas déclaré coupable, conformément à la loi, par un tribunal indépendant et impartial à l'issue d'un procès public et équitable. Autrement dit, il est présumé innocent jusqu’à preuve du contraire. Mais il faut dire que ce qui semble être une cabale contre l’ancien homme fort d’Attijariwafa bank a commencé depuis bien longtemps. Lorsqu’un hebdomadaire de la place a consacré, il y a 4 mois, quatre de ses numéros à ternir son image, sans le bénéfice du doute, dans ce qui ressemblait fort à un règlement de comptes. Au point qu’il semble logique de se demander qui veut la peau de Oudghiri. Qu’a-t-il fait pour être lynché médiatiquement ? En tout cas, il ne pourra sortir indemne de toutes ces épreuves qu’il traverse actuellement. Quand bien même la Justice le blanchit. Car, dans la conscience populaire, le doute subsistera toujours, comme pour confirmer le célèbre dicton «il n’y a pas de fumée sans feu». Aujourd’hui hors du pays, il essaie de trouver, avec certainement beaucoup de rancœur, ceux qui, dans l’anonymat, contribuent à son lynchage médiatique et qui, jadis, rampaient à ses pieds pour s’attirer ses faveurs. Et constate avec dégoût que ses prétendus amis d’hier ont retourné leur veste dès lors qu’il est tombé de son piédestal. Oudghiri découvre ainsi d’autres facettes du monde des affaires. Un monde où la morale est souvent sacrifiée sur l’autel des intérêts personnels. Un monde où le business et l’argent font et défont les amitiés de circonstance. Un monde où, finalement, l’aura et l’immunité que procurent le pouvoir absolu sont bien éphémères. Ce que, malheureusement, lui et bien d’autres n’ont pas saisi à temps.
D. W. |
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| | | Admin Admin
Nbre méssages : 2820 Réputation : 36 Inscris le : : 11/08/2008
| Sujet: Re: Séance du Jeudi 17 Décembre 2009 + 18 (1er Moharram) + Week End Sam 19 Déc 2009 - 17:39 | |
| Secteur Financier : Les banques réaliseraient 7,5% de bénéfices en plus
* Le secteur bancaire tirerait vers le haut les réalisations globales des sociétés cotées.
* Sa contribution aurait été plus importante n’était le repli attendu du RNPG du CIH.
* Wafa Assurance serait aussi un bon élève de l’exercice 2009, en rehaussant son bénéfice de 27%. Au vu de l’importance de sa capitalisation boursière, le secteur financier, incluant les banques, les sociétés de financement et les opérateurs de leasing, pèse sur la performance globale de la place. Les analystes attribuent même une partie de la hausse des bénéfices que devrait réaliser la place aux résultats prévisionnels des établissements bancaires. Ces derniers devraient en effet afficher une capacité bénéficiaire globale de 7 Mds de DH, soit une amélioration de 7,5% comparativement à l’année dernière. Et les prévisions auraient été encore plus optimistes n’était l’impact négatif de la baisse attendue de 48% du RNPG du CIH sur la performance globale du secteur. La filiale commune à la CDG et au Groupe français Caisses d’Epargne a effectivement déjà déçu en publiant un résultat semestriel en baisse de 40% et devrait rester sur la même tendance au terme du second semestre. «Les réalisations financières du CIH demeurent impactées par l’épuisement des récupérations des créances en souffrance ainsi que par le niveau important du coût des ressources», expliquent les analystes de BKB.
C’est donc bien entendu la filiale de l’ONA qui tirerait le secteur vers le haut, avec des prévisions tablant sur un RNPG de 3,38 Mds de DH, soit une hausse dépassant 8,5% au titre de l’année en cours. Cet optimisme sur les réalisations d’Attijariwafa bank est d’autant plus justifié quand on sait que les comptes de l’année en cours connaîtront l’entrée dans le périmètre de consolidation de nouvelles filiales africaines. D’autres filiales, qui gagnent en maturité au fur et à mesure que les chantiers de restructuration avancent, devraient renforcer leurs contributions dans la réalisation des bénéfices. La banque du cheval serait, elle aussi, responsable de l’embellie que devraient afficher les réalisations du secteur. Les pronostics des analystes de BKB tablent sur une hausse de 49,2% des gains de la BCP en 2009. Le RNPG devrait s’établir à 1,23 Md de DH, sous l’effet de la concrétisation du choix stratégique visant à renforcer son positionnement sur les métiers de Banque de Financement et d’Investissement. Du côté de la BMCE, après le repli de 3,4% des bénéfices au 30 juin dernier, suite notamment à l’aggravation du coût du risque, la banque bleue compte renouer avec la croissance au terme de l’exercice en cours. Les analystes de BKB prévoient une progression de 5,5% de son RNPG à 876 MDH. « Ces réalisations sont le fruit de sa stratégie de déploiement en Afrique, notamment via le Groupe BOA dont la contribution au RNPG s’élève d’ores et déjà à 13%», mentionne-t-on au sein de BKB. Les filiales bancaires des groupes français contribueraient également à la hausse des bénéfices des secteurs bancaire et financier. BMCI serait en phase de réaliser un RNPG de 812 MDH, en progression de 4% par rapport à 2008, tandis que Crédit du Maroc ferait progresser sa capacité bénéficiaire de 4,2% à 377 MDH. Du côté des sociétés de financement cotées en Bourse, l’on s’attend à un repli de 0,5% des résultats en 2009, suivi d’une reprise de 4,6% pour le compte de l’exercice 2010. Cette situation serait imputable à la dégradation éventuelle de la qualité des portefeuilles des sociétés de crédit à la consommation sous l’effet de la conjoncture qui a marqué l’année, et qui pousse les compagnies à faire preuve de plus de vigilance dans l’octroi de financement. Si Eqdom devrait afficher une quasi-stagnation de son résultat au terme de l’année, se fixant à 231 MDH, on notera tout de même la bonne tenue de l’activité de Salafin avec une progression de 8% de son bénéfice à 110 MDH, et celle de Taslif qui s’apprête à connaître un bond de 22,7% de son gain. Par ailleurs, les entreprises spécialisées dans le leasing devraient présenter une meilleure performance au terme de l’année 2009. Les analystes tablent effectivement sur un élargissement de 4,9% de la capacité bénéficiaire à 192 MDH, portée essentiellement par la contribution de Maroc Leasing qui s’apprête à récolter les premiers fruits de sa fusion-absorption avec Chaabi Leasing. La nouvelle entité devrait donc atteindre un résultat net de 117,2 MDH, soit 61% des bénéfices globaux du secteur coté. Dossier réalisé par Y. A. T. |
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| | | Admin Admin
Nbre méssages : 2820 Réputation : 36 Inscris le : : 11/08/2008
| Sujet: Re: Séance du Jeudi 17 Décembre 2009 + 18 (1er Moharram) + Week End Sam 19 Déc 2009 - 17:42 | |
| Holdings : Des plus-values exceptionnelles dopent les performances
* La cession de Wana stimulera les performances annuelles des holdings cotées.
* Sans cette opération, les holdings gagneraient 18,4% de moins. A l’image des banques cotées, les holdings de la place connaissent une année exceptionnelle où leur résultat devrait croître de plus de 107 % à 3,7 Mds de DH. Et c’est la plus-value non récurrente qu’ont dégagée l’ONA et la SNI sur la cession de parts de Wana à Zain qui explique cette surperformance. En retraitant cette opération, «la capacité bénéficiaire du secteur devrait ressortir en baisse de –18,4% en 2009 et en progression de +56,4% en 2010», soulignent les analystes de BKB. Dans ce contexte, la SNI devrait réaliser la meilleure évolution des bénéfices du marché en 2009, avec une progression frôlant les 210% à 1,58 Md de DH, tandis que l’ONA dégagerait un RNPG de 1,94 Md de DH, en hausse de 73%. «La SNI profite de l’impact combiné de la réduction des pertes de Wana et de la réalisation d’une plus-value non cash pour afficher des indicateurs d’activité en hausse», rappelle un analyste de BKB. Si l’on élimine la transaction sur Wana, le RNPG de la SNI réaliserait tout de même une performance honorable avec plus de 45% de hausse, alors que celui de l’ONA gagnerait 4%. Pour ce dernier, il faut signaler que « dans l’attente de la montée en puissance des relais de croissance, les performances à fin 2009 devraient dépendre davantage de l’orientation globale de l’économie marocaine au second semestre», précisent les analystes. Devant ces deux ténors de l’économie marocaine, les réalisations des autres holdings côtés deviennent marginales. Cependant, il est utile de noter que Delta Holding s’achemine tout droit vers une clôture d’exercice dans le vert, avec une hausse de sa capacité bénéficiaire dépassant les 20% à 208,6 MDH. Elle serait essentiellement due à la poursuite maîtrisée des programmes d’investissement et des plans d’actions des différentes filiales qui devraient permettre à Delta Holding de gagner en compétitivité tout en améliorant sensiblement ses marges dans les années à venir. Dossier réalisé par Y. A. T. |
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| | | madex
Nbre méssages : 1980 Humeur : bon Réputation : 17 Inscris le : : 16/11/2008
| Sujet: Re: Séance du Jeudi 17 Décembre 2009 + 18 (1er Moharram) + Week End Sam 19 Déc 2009 - 20:07 | |
| - Admin a écrit:
- Bonjour,
En relation avec le droit au commentaire, et vu les dispositions du règlement du forum, il est interdit à " Admin " d'émettre une opinion, un commentaire a caractère boursier, ou avis sur un sujet particulier. De même qu'il lui est interdit d'émettre une opinion, une recommandation ou une analyse que ce soit sur le forum central ou par messagerie privée. Le role " d'Admin " se limite à la gestion technique du forum, à son organisation, à l'envoi d'articles de presses.
L'administration du forum souhaite une bonne de l'hégire à tous les membres du forum.
Cordialement un role certe non negligeable,mais on aurait aime que vous soyez impliqué d'avantage,votre apport en valeur ajouté ne sera que apprecié bonne continuation | |
| | | Pelican
Nbre méssages : 16978 Humeur : En construction Réputation : 69 Inscris le : : 12/08/2008
| Sujet: Re: Séance du Jeudi 17 Décembre 2009 + 18 (1er Moharram) + Week End Dim 20 Déc 2009 - 16:38 | |
| - Pelican a écrit:
- D'après ma toute petite expérience, le marché essaye de vous faire comprendre une chose, que ce soit à travers la bourse ou à travers l'environnement ( presse, lois, fiscs, rumeurs... ) . Lorsque vous faites le cumul de ces informations, vous les analysez dans votre cerveau...vous croyez que vous avez compris et vous vous décidez ( a acheter ou à vendre )...or vous n'aurez compris QUE ce qu'ils veulent vous faire comprendre et vous tombez alors dans de l'information déja consommée ou du froid qu'on va vous faire réchauffer pour que vous gardez toujours de l'appétit.
Moralité : parfois vous comprenez une chose, mais en faisant totalement l'inverse de ce que vous avez compris alors vous pouvez faire le bon choix.
N'oubliez pas qu'on vit dans un système qui contrôle l'information, et que les organes de presse sont l'arme des " décideurs " , " des faiseurs de marchés, des " leaders d'opinion " qui façonnent le débat public à leur guise. Ainsi on assiste à 1 mois de " tuer addoha " puis à un mois de " mais non, addoha c'est toujours du béton ". Puis on passe au truc " les small caps ont du potentiel ".....3 mois aprés " les investisseurs ne s'interéssent qu'aux grosses capitalisations "....puis on va entendre parlez de la grippe h1n1, puis " économisons l'eau " puis " le TGV ".....
Tout ça c'est contrôlé. L'espace médiatique est contrôlé à 100% dans notre pays. Si le gouvernement veut nous faire comprendre que nous vivons dans le plus beau pays du monde, alors 85% des gens vont le croire. Lorsque Mezouar, Lahlimi, et le gouvernement disait que le Maroc est à l'abri de la crise financière mondiale, tout le monde a passé 1 an à se dire que finalement, notre pays est bel et bien en dehors de toute cette tempête. Lorsqu'on disait que le Maroc a pris " toutes les dispositions " pour freiner l'entrée de la grippe H1N1 on les avait cru !
Tout peut être faux, erroné, suspect...sauf " Le Coran ". Voici un Editorial que je trouve intéréssant au sujet de la relation entre le monde des affaires et celui de la presse : Tout salir. Faire douter de tout. Tout abîmer. Tout réduire à néant. Tout nier. Nous sommes, aujourd’hui, sans repères, sans orientation et sans références. Nos médias sont devenus la caisse de résonance du vide. Et croyez-moi, ça fait du bruit. A longueur de colonnes, d’écrans, d’ondes, de claviers, etc., les spécialistes du rien ont pris le pouvoir. Suivis de près par les champions du vide. Et les professionnels du creux. C’est sidéral. L’élargissement des espaces de la liberté d’expression et la libération de l’audiovisuel ont attiré beaucoup de promoteurs dans ce pauvre secteur. Ils l’investissent. Comme les promoteurs immobiliers. Ils lotissent, ils vendent à la découpe, ils commercialisent, ils font de médias-témoins, s’offrent de pseudos professionnels qui tournent en rond, salarient des nègres, achètent des éditos, louent des idées, et finissent par devenir des confrères. La belle affaire! Comment faire d’un affairiste un journaliste ? La question peut s’inverser mais ce n’est pas le sujet du jour. L’affairisme est-il un journalisme? Est-il un humanisme? «Ecoute mon cher ami, moi, je monte un journal pour défendre mes intérêts. Pas pour le débat, les idées et toutes vos conneries de journaleux vermoulus. C’est simple. Moi, celui qui me touche, je lui rentre dedans. C’est tout. Je peux tenir longtemps. Mon argent, je le gagne ailleurs. Et vous allez me supporter pendant longtemps.» Cette tirade célèbre d’un promoteur de presse réputé est authentique. Elle dit tout. Explique tout. Et montre dans quel état est devenu ce pauvre secteur réceptacle de toutes les frustrations, de toutes les indigences, de toutes les bassesses, de toutes les combines. Les professionnels accordent beaucoup d’espoir dans les débats qui se préparent autour du secteur notamment au Parlement. L’espoir de la dernière chance. L’espoir de ceux qui ont tout perdu. L’espoir de ceux qui n’ont pas su, ou pu, protéger suffisamment leur métier.
| Le 18-12-2009 à 10:18 | Par : Khalil HACHIMI IDRISSI |
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| | | Pelican
Nbre méssages : 16978 Humeur : En construction Réputation : 69 Inscris le : : 12/08/2008
| Sujet: Re: Séance du Jeudi 17 Décembre 2009 + 18 (1er Moharram) + Week End Dim 20 Déc 2009 - 16:47 | |
| TELQUEL / Confidentiel Mustapha Bakkoury, ancien patron de la CDG, serait pressenti pour présider Attijariwafa Bank, filiale de l’ONA. “Le technocrate du Makhzen”, qu’on disait en disgrâce après son débarquement de la tête de la CDG, se serait même rendu samedi dernier à la villa de Mohamed Mounir Majidi, PDG du holding royal Siger. _________________ visitez mon site Tikchbila-tiwliwla.com
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Séance du Jeudi 17 Décembre 2009 + 18 (1er Moharram) + Week End Dim 20 Déc 2009 - 19:31 | |
| Permettez moi quelques commentaires sur cette sortie de presse, où Sefrioui rompe avec son silence et prend la parole après l'avoir délégué à son DG. En gros Rien de nouveau pour moi la majorité de ce qui est dit est dèjà présent sur les Bilans comptables. - Admin a écrit:
Addoha mise sur le logement social en 2010 | | |
- · Haut standing: une locomotive pour 2011
· Des ratios d’endettement «maîtrisables»
· Un actif bilan de 16 milliards de DH
«2010 sera pour nous une année exceptionnelle». Anas Sefrioui, PDG d’Addoha, est formel. Mais qu’est-ce qui justifie cet optimisme en cette fin d’année? Le patron d’Addoha invoque une série d’arguments: d’abord, une loi de Finances 2010 qui relance le segment du logement social, qui est l’activité initiale du groupe. Ainsi, le budget 2010, qui a été voté jeudi en plénière (voir aussi page 11), vient confirmer l’aide directe aux acquéreurs ainsi qu’aux promoteurs. Concrètement, l’acheteur bénéficiera d’une réduction immédiate de 20% correspondant à la déduction de la TVA. Le promoteur, pour sa part, profitera en plus de l’exonération de la TVA (Il ne peut plus profiter de l'exonération de la TVA si c'est l'acheteur qui en bénéficiera.) de celle de l’IS. Mais l’argument de taille, selon Sefrioui, reste «la visibilité sur 10 ans», puisque les nouvelles mesures du logement social couvrent toute la décennie 2010-2020. Mieux encore, le VIT (valeur immobilière totale) passe de 200.000 à 250.000 DH pour les nouvelles livraisons. Le seuil de production a également été revu à la baisse. L’on passe ainsi de 1.500 à 500 unités. (ça ne doit pas Arranger Addoha puisqu'elle aura de nouveaux concurrents qui ne pouvaient pas réaliser les 1500 unités et peuvent maintenant réaliser les 500. Addoha n'avait pas besoin de cette mesure) Ce qui permettra, aux dires de Sefrioui, de ratisser large et d’ouvrir l’offre à plus de promoteurs. L’enjeu est de répondre au déficit de 1 million de logements, auquel s’ajoute un besoin de 20.000 annuellement. Selon le management du groupe Addoha, les nouvelles mesures devront «booster les ventes du logement social. Avec la nouvelle loi de Finances, nous tablons sur la production de pas moins de 25.000 logements en 2010». Pour l’heure, la capacité de production d’Addoha tourne autour de 18.000 à 20.000 unités.(Si Addoha est en sous capacité par rapport au marché, pourquoi elle n'arriverait pas à écouler sa production? et comment fera t elle avec une sur production de +30% ??) Plus encore, la moitié du foncier du groupe (plus de 5.000 ha) (Attention aux amalgames entre unités de mesure, là on parle en superficie en Ha et non pas Chiffre d'Affaire en DH ) est dédiée à des projets de logement social. Ce qui préfigure que le promoteur fera de ce segment son cheval de bataille en 2010. «Le chiffre d’affaires 2010 sera en grande partie réalisé par le logement social», confirme le PDG. Quant à 2011, elle sera l’année du haut standing, puisque la majorité des projets déjà lancés sera livrable cette année-là. C’est notamment le cas pour Prestigia. D’ailleurs, Sefrioui assure que les carnets de commandes du haut standing sont pleins. (Pleins par rapports aux sous tranches en cours de réalisation et non pas par rapports aux projets dans leurs globalité qui ne sont amorcés qu'à près de 10% à 15%) Il en veut pour preuves: 2.800 appartements et villas qui ont déjà trouvé acquéreur sur les neuf premiers mois de l’année (Attendez c'est quel chiffre d'affaire ça?? 5 Milliards de DH?? c'est pas énorme!!Il sera réalisé sur combien d'années??) , contre seulement 5 désistements. Ce qui balaie d’un coup les rumeurs de mévente et, par ricochet, celles du surendettement du groupe. A ce propos, Sefrioui est catégorique: «Les dettes du groupe ne dépassent pas au total 8,2 milliards de DH». (même sur le Bilan comptable de Addoha, on annonce 9 milliards!! ) Dans le détail, 6 milliards portent sur le groupe Addoha et ses filiales détenues à 100%. Les 2,2 milliards restant concernent plutôt les filiales détenues à 50%. Selon Hassan Ben Bachir, conseiller du président d’Addoha, un benchmark sur les ratios de solvabilité a été récemment mené avec 7 à 8 groupes de promotion internationaux (Emaar, Urbis, Kauffmann, Nexity…). (Bizarre, on se compare avec des Sociétés au fond du gouffre et qui ont vu leurs valeurs fondre ! il ne faut donc pas s'étonner si on des résultats similaires à la fin!!) Il en ressort un ratio de dette sur fonds propres de 1,5 fois pour le groupe contre 1.6 pour le benchmark (aussi mauvais que les autres) . Quant aux dettes par rapport à l’Ebitda (résultat d’exploitation), le ratio pour Addoha est de 3.9 contre une moyenne de 7.6 pour les autres (Ok mais par rapport à quel Exercice? pourquoi ne pas faire la moyenne sur 3 ou 5 ans? Certe la conclusion ne sera pas la même) . Enfin, la dette par rapport à la capitalisation boursière, son ratio s’élève à 154 pour le benchmark contre seulement 28% pour Addoha. (Une lame à double tranchon, ça pourra dire que la dette est faible or comme on a déjà comparé la dette, ça pourra également dire que la valeur est sur évaluée (dénominateur élevé) ou bien que les autres n'ont qu'un faible flottant à la bourse) A noter que la dette du promoteur ne représente que 50% de l’actif. (C'est déjà énorme!! Il fallait avoir combien? 100%??!!) Celui-ci est principalement composé du foncier au prix de départ, auquel s’ajoutent les constructions en cours. Le tout évalué à quelque 16 milliards de DH.(le tous voudra t-il dire L'actif? ou bien les constructions non encore achevée?) Par ailleurs, selon le management, valeur aujourd’hui, 14 milliards de chiffre d’affaires sont déjà sécurisés via des compromis de vente.(étalées sur combien d'années? Les charges des fournisseurs et charges internes ne sont pas encore payées!) En termes de production, ce chiffre se traduit par un total de 192.000 unités. (Attendez! plus haut, Annuellement, c'était 25 000 pour logements sociaux +2 800 commandées en 2009!!!, ça fait 28 000 par ans) 78% seront destinés au logement social. (Attention aux amalgames entre unités de mesure, là on parle de pourcentage en unités vendues et non pas en vente en DH ) Le reste ira au luxe. Il est réparti à hauteur de 15% pour les résidences principales et 7% pour le secondaire. «Sur ce sous-segment des résidences secondaires, Addoha n’en détient que 1%», précise Ben Bachir. Fort de ces acquis, le groupe écarte pour le moment toute ouverture de son capital. (Oui, c'est ça !!! et pourquoi cette fois ce n'est pas Sefrioui qui le dit? "Pas de fumée sans feu!") D’ailleurs, Addoha est en train de mener une étude sur les 5 années à venir pour évaluer le rythme de croissance et «la montée en puissance» qu’elle entend réaliser. ( Ahhh ok, tout ce qui a été dit, est déclaré sur la bas d'aucune Etude) «Pour l’heure, l’on se suffit à nous-mêmes».
Cimenteries
Contrairement aux rumeurs d’abandon des projets de cimenteries, Anas Sefrioui dit maintenir ses investissements. Quelle que soit la capacité de production du secteur, l’ouverture est maintenue pour 2010. Les contrats ont été passés clés en main. Ainsi, «la première tonne de ciment sera produite à Ben Ahmed en avril 2010», annonce Sefrioui. La seconde cimenterie, basée à Béni Mellal, sera opérationnelle vers fin 2010. A noter que l’enveloppe globale de ces investissements porte sur 5 milliards de DH, financés à 40% par fonds propres. ( Bon courrage. Après, il faut vendre le ciment et être compétitif et payer les dettes de ce gros investissement !!! Chaabi s'est désisté pour une Cimenterie, alors que Sefrioui reste sur ses positions pour un double investissement très capitalistiques!! Acte de bravour ou entêtement?? Détermination d'un homme visionnaire ou bien fuite en avant??)
Amin RBOUB et My Ahmed BELGHITI
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* : Annotations Amiir en Bleu (.....) Wallahou A3lam
Dernière édition par Amiir le Dim 20 Déc 2009 - 20:04, édité 1 fois |
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