| | Séance du Jeudi 07 Janvier 2010 | |
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+12tariq13 Sissa Abderrahmane chsalah newline alibaba40internautes starpolaire pedro0502 AbaRhita Pelican Admin DaRk-H 16 participants | |
Evolution Masi du jour | Forte hausse | | 37% | [ 15 ] | Hausse modérée | | 41% | [ 17 ] | Stable | | 7% | [ 3 ] | Baisse modérée | | 10% | [ 4 ] | Forte baisse. | | 5% | [ 2 ] |
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| Auteur | Message |
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Admin Admin
Nbre méssages : 2820 Inscris le : : 11/08/2008
| Sujet: Re: Séance du Jeudi 07 Janvier 2010 Jeu 7 Jan 2010 - 17:57 | |
| Le Maroc bascule dans le M-Banking | | 06-01-2010 |
Des coûts de transactions de 1 à 3% des montants en jeu là où les procédés classiques se rémunèrent à deux chiffres. Le M-Banking devrait booster le niveau de bancarisation du pays.
Un partenariat signé entre Maroc Télécom et les deux premières banques du pays, Attijariwafa Bank et le Groupe Banque populaire, permet depuis ce 6 janvier 2010 d’effectuer au Maroc des transactions financières par téléphone mobile. Baptisé Mobicash, ce premier service de transfert d’argent et de paiement par téléphone mobile a fait l’objet d’une convention tripartite signée entre Abdeslam Ahizoune, président du directoire de Maroc Télécom, d’une part et, d’autre part, Mohamed El Kettani, président du groupe Attijariwafa Bank et Mohamed Benchaaboun, président du Groupe Banque Populaire. La convention porte sur la tenue des comptes, la garantie de la monnaie électronique, les infrastructures et la plateforme Mobicash ainsi que le dispositif marketing et de gestion de relation client.
Le Mobicash permet aux clients du premier opérateur de téléphonie au Maroc d’effectuer par téléphone mobile des dépôts sur leurs comptes mobicash dans toutes les agences Maroc Télécom et distributeurs agréés, de retirer de l’argent et de transférer de l’argent partout au Maroc. Le transfert de l’argent à l’étranger devra suivre par la suite ont précisé les initiateurs du projet. Au-delà de son aspect technique, ce projet marque la convergence de vue entre les trois partenaires, inscrits tous qu’ils sont dans une optique de réduction des coûts des transactions financières. Ainsi, le Groupe Banque Populaire a lancé, il y a une année, le « Hissab Chaabi ». De son côté, Attijariwafa Bank a lancé la banque économique en fèvrier 2009 dans l’objectif d’élargir la bancarisation au niveau des populations défavorisées par la banque classique. Le Mobilcash permet d’aller plus vite et plus loin dans ces objectifs grâce à des couts de transaction faibles, situés entre 1 et 3% des montants en jeu, là où les procédés classiques se rémunèrent à deux chiffres. En plus de cet avantage, Mobicash qui fonctionne avec un code secret mis à la disposition du client n’entraine aucun frais de tenue de compte. Pour souscrire à ce service, il n’est pas nécessaire d’être titulaire d’un compte bancaire, ni de remplir des formulaires à chaque transfert, il suffit d’être client de Maroc Télécom et de se rendre à l’agence Maroc Telecom la plus proche, muni de sa carte d’identité. Le compte Mobicash est immédiatement activé.
A.W.
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| | | Admin Admin
Nbre méssages : 2820 Inscris le : : 11/08/2008
| Sujet: Re: Séance du Jeudi 07 Janvier 2010 Jeu 7 Jan 2010 - 17:58 | |
| Mohamed El Kettani | | 02-01-2010 |
PDG du groupe Attijariwafa Bank
Pensez-vous, après une légère pause en 2009, que la consolidation du secteur bancaire africain se poursuivra ?
Tout d’abord, il semble y avoir un consensus actuel sur le fait que l’Afrique constitue un gisement de croissance économique parmi les plus élevés au monde, vraisemblablement après la Chine et l’Inde. Cette croissance en cours concerne tous les secteurs économiques, puisque l’Afrique dispose de tous les ingrédients, à savoir des matières premières abondantes, une démographie en forte croissance, des besoins importants en infrastructure, etc.
Le secteur bancaire requiert une attention particulière puisqu’il devra jouer un rôle crucial dans l’accompagnement du tissu économique et l’aboutissement des projets structurants pour les pays.
Après une rapide analyse du paysage bancaire africain, on peut faire quelques constats.
Les banques africaines, dans leur grande majorité, demeurent encore trop petites et souvent sous-capitalisées. Cette situation ne leur permet donc pas de répondre aux besoins de financement et de conseil des opérateurs économiques. Par ailleurs, ces banques se trouvent fragilisées, particulièrement en période de crise. Aussi, il sera de plus en plus crucial pour ces banques de nouer des alliances. A défaut, elles seront des proies faciles.
La deuxième observation est que certaines banques du continent se trouvent désormais à l’étroit dans leur marché national et éprouvent le besoin, afin de maintenir des taux de croissance acceptables pour leur actionnaires, d’aller chercher des opportunités au niveau régional ou continental. Il s’agit souvent, pour ces banques, d’un développement considéré comme « naturel » compte tenu des similitudes culturelles et des liens historiques avec les pays d’expansion. C’est effectivement le cas d’Attijariwafa Bank qui, aujourd’hui, exprime une forte ambition panafricaine, avec une présence confirmée qui se renforce dans des pays comme la Tunisie, le Sénégal, le Mali, le Gabon, le Cameroun, le Congo, la Côte d’Ivoire…
Le troisième constat, et non des moindres, est que le taux de bancarisation dans certaines parties de l’Afrique demeure dérisoire lorsqu’il est comparé à d’autres régions du monde (probablement entre 5% et 7%). Cette faiblesse du taux de bancarisation présente des opportunités indéniables de croissance pour l’industrie bancaire. Mais, au-delà de cela, la banque vue sous le prisme de « bien public » peut, selon nous, participer pleinement à l’effort d’intégration sociale, de lutte contre l’économie informelle et de développement au sens large. Par conséquent, nous pensons que les Etats de la région devraient encourager le processus en cours de consolidation au sein du système bancaire africain.
Au total, nous restons convaincus, compte tenu des éléments précités, que le processus de consolidation bancaire en Afrique se poursuivra inéluctablement. La crise a, certes, dans un premier temps ralenti ce mouvement qui était en marche, mais elle a permis également d’offrir de nouvelles perspectives en termes de meilleure gouvernance et a rendu ce processus de consolidation encore plus nécessaire pour l’avenir.
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| | | Admin Admin
Nbre méssages : 2820 Réputation : 36 Inscris le : : 11/08/2008
| | | | Invité Invité
| Sujet: Re: Séance du Jeudi 07 Janvier 2010 Jeu 7 Jan 2010 - 18:19 | |
| - Pelican a écrit:
07/01/2010: Franchissement à la hausse des seuils de participation de 5% et 10% par cdg dans le capital de addoukha
| 04-01-2010
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| Le Conseil géologique des Valeurs Mobilières porte à la connaissance du public que La caisse des droits généraux ( cdg )représentée par son Président Directeur Général, Monsieur luck luke, a déclaré le 30 décembre 2009, avoir acquis le 05 décembre 2010, sur le marché de blocs 9.299.596 actions addokha, au cours unitaire de 130 dh, franchissant directement à la hausse les seuils de participation de 5% et 10%.
Suite à cette transaction, la cdg détient directement 25.987.400 actions doukha, soit 13,46% du capital de ladite société.
Dans les douze mois qui suivent le franchissement des seuils de participation précités, la cdg envisage de poursuivre ses achats des actions .
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C 'EST PAS DROLE |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Séance du Jeudi 07 Janvier 2010 Jeu 7 Jan 2010 - 19:09 | |
| Bourse: Médiaco animé par Intégra Retour aux dépêches Le titre Médiaco sera animé par Intégra Bourse pour une durée d’un an.
Ce contrat, qui a pris effet, le mardi 5 janvier porte sur une offre, par la société de Bourse, à l’achat et à la vente la quantité de titres minimale fixée. Cette quantité ne peut être inférieure à 25.000 titres au dernier cours de référence. Cette quantité minimale doit être présentée à des prix compris dans une fourchette maximale déterminée. Une fourchette qui ne peut dépasser 4% du cours de référence autorisé par la Bourse de Casablanca. Par ailleurs, la société de bourse doit assurer une fréquence de cotation au moins quotidienne du titre fixée.
L'Economiste - Jeudi 7 janvier - 13h03 |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Séance du Jeudi 07 Janvier 2010 Jeu 7 Jan 2010 - 19:13 | |
| Fondation Alliances: Yann Arthus Bertrand chez Alami
La Fondation Alliances pour le déve-loppement durable sera inaugurée le 3 février prochain, en présence de Yann Arthus Bertrand. C’est Albert Mallet, le fondateur du célèbre Forum de Paris, qui est chargé de la vice-présidence exécutive de cette fondation, éponyme du groupe de promotion immobilière et touristique Alliances, créé par Alami-Lazrak. A noter que ce dernier est le président de la fondation.
http://www.leconomiste.com/index_online.html?d=3222 |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Séance du Jeudi 07 Janvier 2010 Jeu 7 Jan 2010 - 21:06 | |
| Plusieurs Cannaux et sénaris Possibles. ce qui est toutfois certain c'est qu'un Important Canal Baissier MT a été Brisé ce Jour. |
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| Sujet: Re: Séance du Jeudi 07 Janvier 2010 | |
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