Séance du Lundi 20 Décembre 2010

Raffinage Dernier virage pour la restructuration des dettes de la SAMIR



Objectif : basculer une partie des 9,4 milliards de DH de dettes à court terme vers le long terme.

La communauté financière est enfin fixée sur la situation de la SAMIR (société cotée à la Bourse de Casablanca). Le raffineur vient d’annoncer que « le processus de négociation pour la restructuration de sa dette est toujours maintenu et suit son cours avec les bailleurs de fonds concernés. Il est actuellement en phase de finalisation ».

La SAMIR avait en effet mandaté la Banque Populaire pour la restructuration de l’ensemble de ses dettes. Le rééquilibrage de sa situation financière consistait à faire basculer une partie des dettes à court terme vers le long terme. Au titre de ses résultats annuels, le passif circulant (à court terme) du groupe ressortait à quelque 9,4 milliards de DH, contre 5,4 milliards pour les dettes à long terme et 3,8 milliards de fonds propres. Dans le cadre de ce processus de restructuration, Samir avait également mandaté un cabinet conseil international pour lui conseiller des produits de couverture sur l’euro et le dollar.

SAMIR vise à travers ce réglage à renforcer ses capacités financières pour assurer le financement des projets de modernisation de ses unités de traitement aux meilleures conditions de marché. Le raffineur est en effet engagé sur trois grands chantiers d’investissement : le topping 4 destiné à injecter une capacité additionnelle de 4 millions de tonnes/an, une unité d’augmentation de la capacité de production de bitume (280.000 tonnes) et un générateur de turbo à vapeur pour assurer l’indépendance énergétique. Des projets qui permettront au raffineur de maintenir la capacité annuelle nationale de raffinage à quelque 8,5 millions de tonnes, d’améliorer l’efficacité énergétique et celle de la qualité de l’air par l’utilisation de technologies de pointe, mais aussi la satisfaction de la demande en fioul et la réduction du déficit structurel en gasoil.

La SAMIR annonce dans ce cadre que les travaux de construction de la nouvelle unité de distillation (Topping 4) et de doublement de la production de bitumes, dont les contrats de financement ont été signés au cours du premier semestre 2010 avec des institutions financières nationales et internationales, avancent conformément au planning arrêté. Ils ont de ce fait atteint 70% d’avancement pour le projet de bitume et 50% pour le Topping 4 à fin 2010. La construction de cette unité, qui aura une capacité de production annuelle de 4 millions de tonnes, nécessitera un budget d’environ 120 millions d’euros, soit 1,3 milliard de DH. Elle sera opérationnelle début 2011.

alibaba40internautes a écrit:

Bonjour
Est ce que quelqu'un a un fichier avec le Beta des titres svp.

Merci

Quelqu'un à déjà posté ca je me rappelle pas qui et quand.

alibaba40internautes a écrit:

alibaba40internautes a écrit:

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c'est M. OMEL27

alibaba40internautes a écrit:

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voila

Pixon a écrit:

alibaba40internautes a écrit:

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vous voulez calculez le MEDAF ou quoi

Merci à creatori et Pixon.

Bonjour,
alpha et beta des valeurs merci creatori

Microchoix compte aller en Bourse


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MCROCHOIX, entreprise spécialisée dans la vente de matériel informatique par internet, lance une nouvelle stratégie de croissance. Une stratégie censée donnera à l'entreprise un nouvel élan de développement sur le marché marocain. En effet, Microchoix Maroc, dont le QG est domicilié à Oujda, n'est autre que le prolongement de l'expérience française de Microchoix.com. Depuis sa création en 2004, l'entreprise offre aux internautes, aussi bien le grand public que les entreprises, la possibilité de choisir à travers une galerie virtuelle et de commander des produits infom1atique' en ligne. L'autre atout du distributeur multi- marques réside dans sa capacité à offrir des prix compétitifs et des promotions à longueur d'année. A l'origine de cette compétitivité, le partenariat avec Microchoix France. La centrale d'achats basée dans l'Hexagone s'occupe du référencement des produits et négocie les prix en France et en Europe avec les meilleures conditions possible. Autre point fort est celui lié au statut d’importateur et distributeur sans intermédiaire (Revendeurs) vers le client final. La mise en place d’une plateforme logistique de 3.000 m2 plaide aussi en faveur de la compétitivité. Basée à Témara, la plateforme permet à l’entreprise d’avoir une forte capacité de stockage et négocier des achats en volume. Ce qui se traduit inévitablement par l’accessibilité des prix. Microchoix mise aussi sur le marché de l’entreprise (B2B) en créant un site e-commerce dédié (www.microchoixpro.ma). Conformément à son plan d’action quinquennal, Microchoix compte s’introduire en Bourse dès 2014 et tripler ainsi son chiffre d’affaires pour atteindre 350 millions de DH. Aujourd'hui, l'entreprise réalise un chiffre d'affaires de l'ordre de 100 millions de DH. A plus court terme, la filiale marocaine compte développer quatre pôles distincts dès 2011. Microchoix dispose déjà d'un site marchand décliné en deux versions. La première concerne les produits, toutes marques confondues, immédiatement disponibles et dont la livraison peut se réaliser sous 48 heures. Quant à la seconde, ellefront- office et back-office. En termes de comporte les produits disponibles en stock en France. Pour ces produits, la livraison est effectuée dans une durée plus ou moins plus longue. Le site web est géré par des équipes de webmasters et d'infographistes en interne. Leur mission consiste à mettre à jour et en temps réelles données sur les produits, la disponibilité, les prix ... sur la base d'un système de gestion incluant service après- vente, une prestation de «call back» a été mise en place pour le support technique. «Dès la réclamation client, un ingénieur ou technicien se charge de rappeler le client en question pour un diagnostic et un support à distance», annonce-t-on auprès de Microchoix. (Source : L'Economiste)

creatori a écrit:

vous voulez calculez le MEDAF ou quoi

ya qlq temps j'avais fait le calcul pour adh le Beta obtenu c'est 1.7 ---> MEDAF=15.6%

NB: les chiffres d'alpha beta dessus sont copyright Mr Omel

Comme nous l’annoncions dans notre édition du 7 et 8 Décembre, l’introduction en bourse de Stroc Industrie, prévue avant la fin de l’année, devrait être retardée à janvier 2011. Selon nos sources, ce retard est dû à une demande d’explication et de précision supplémentaires de la part du CDVM. Comme pour l’OPV de CNIA SAADA, qui a longtemps été retardéée en raison d’investigations supplémentaires, le gendarme de la Bourse est de plus en plus tatillon sur les demandes d’introduction. De sources concordantes, il « attache davantage d’attention aux différents aspects qui composent la note d’information ».

L’Economiste

Sociétés cotées - Réalisations des Programmes de Rachat en novembre 2010

Sur les 12 sociétés conduisant des programmes de rachat de leurs propres actions, huit ont été actives durant le mois de novembre. A cet égard, Label Vie a acquis 284 de ses titres et en a cédé 18 829 à des CPM respectifs de 1 316,95 MAD et de 1 217,50, ramenant ainsi sa part dans son propre capital de 2,89% à 2,08% (47 703 actions) contre un maximum de 5,0%. De son côté, Maroc Télécom a racheté 71 500 titres à un cours moyen pondéré (CMP) de 148,24 MAD. Moyennant cette transaction, la part de la société dans son propre capital est passée de 0,005% à 0,013% (111 500 titres) contre un maximum autorisé de 1,82%. (Source : CDG Capital)

APSE : Les professionnels présentent leurs doléances à Abdellatif Jouahri
A fin septembre 2010, les statistiques de la production des crédits-bails mobilier et immobilier ont affiché une régression de 5,3% avec un net fléchissement du crédit-bail immobilier qui a chuté de 25,9%.


L’Association professionnelle des sociétés de financement ( APSF)a tenu, mardi 14 décembre, son conseil du 4ème trimestre. Cette rencontre de concertation et de réflexion fut une occasion pour les membres de l’APSF de présenter leurs doléances à Abdellatif Jouahri, gouverneur de Bank Al-Maghrib (BAM), qui a assisté à ce conseil des sociétés de financement marocaines. Dans son mot de bienvenu, Abdelkrim Bencherki, président de l’APSF, a mis en relief les principales recommandations du secteur. Bien que l’APSF, dans le cadre de son plan en commun avec Bank Al-Maghrib, ait réalisé d’importantes avancées, une bonne partie du travail reste à accomplir traçant ainsi les principaux axes de l’année 2011. Citons, en premier lieu les centrales d’information. L’APSF appelle dans ce sens à ce que ce système soit enrichi d’une nouvelle fonctionnalité dédiée au partage d’information au sujet de la fraude. En outre, l’APSF aspire au réexamen du champ d’activité du factoring, et ce à la lumière de l’entrée sur ce marché des banques. Sans oublier également que les sociétés de financement ne sont toujours pas autorisées à présenter au public des opérations d’assurances. Par ailleurs, M. Bencherki a mis l’accent sur l’évolution de l’activité des métiers de financement à fin septembre 2010. Selon M. Bencherki, «l’activité des métiers de financement, au titre de cette période, fait état d’un recul de financements notamment en crédit-bail, d’une hausse de remises de créances auprès des factors ainsi que d’une stagnation du montant des garanties et des crédits à la consommation distribués». Et de poursuivre que «dans le cas du crédit à la consommation, cette évolution cache un phénomène nouveau, consistant en le transfert d’encours de crédit de la maison- mère à sa filiale pour certaines sociétés membres. Sans ce transfert, l’activité globale aurait sans doute reculé ». En effet, les statistiques de la production des crédits-bails mobilier et immobilier ont affiché une régression.
Ce repli est de 5,3% avec un net fléchissement du crédit-bail immobilier qui a chuté de 25,9%. Pour leur part, les crédits de la consommation ont connu à fin septembre 2010 une hausse de 6,6% avec un encours global de 2.556 millions de dirhams. Cette croissance a été soutenue principalement par la progression des prêts non affectés. Ces derniers se sont établis à 2.970 millions de dirhams soit un pic de 12% alors que les prêts affectés ont reculé de 3,1%. En commentant ces prestations, le président de l’APSF a souligné que ces évolutions traduisent certainement les incertitudes liées à un horizon économique pour le moins peu dégagé et reflètent la vigilance accrue des sociétés de financement.