Séance du Mardi 28 Décembre 2010

pouchkin a écrit:

bjr
M2M a touché son plus bas de l'année . La tendance de fond est baissiere mais j'ai remarqué qu'elle reprend tjrs vers Janv pour replonger d'avantage .

On ne peut pas dire qu'elle se comporte à merveille techniquement. Le macd croise sa moyenne en évoluant sous la ligne 0 ce qui est un " nouveau " signal baissier. Sa faible liquidité fait qu'elle reste quand même difficilement prévisible. La valeur évolue en dessous de sa moyenne mobile courte à 10 jours. Les moyennes mobiles 10J n'arrivent pas à former des pics successifs...bien au contraire.

Tant que ne l'a possède pas, je pense qu'il serait judicieux de la laisser et de s'intéresser vers une possible cassure des 520 dhs.

Pelican a écrit:

Lydec :

Je pense que les problémes entre la ville et le délégataire reprennent de plus belle. Les résponsables de la lydec ( top management ) n'a rien trouvé de mieux que de bouder le conseil de la ville et d'aller faire la féte à l'étranger. Ce départ en congé du top management n'est pas du gout du ministére de l'intérieur.

Les dérniers rapports montrent que la résponsabilité est partagée entre ville et délégataire qui visiblement n'a pas accompagné les innondations avec la diligence nécéssaire et par manque de matériels spécifiques qui " aurait " du etre déja acquis !.

Techniquement la valeur rompt avec son canal haussier, et un nouveau scénario corréctif de la poussée 188 dhs --> 440 dhs n'est pas à écarter.

merci Mr pelican mais je tiens à apporter une précision, selon la presse c'est Sajid qui aurait conculu un deal avec le Directeur de Lydec selon lequel Sajid se chargerait d'expliquer la position du délégataire concernant les inondations aux élus .... meskin 3andou lkebda 3la Lydec

Mr pixon...

Qu'ils partent en congé annuel ou qu'ils organisent une féte dans leurs villa à Casablanca ce n'est pas important. Ce qui est important c'est ce style de management français quasi-makhzénien qui consiste à faire la politique de la chaise vide.

Le style de management, la communication envers son environnement, l'implication des dirigeants, et leurs " souci du détail "...sont trés important.

Et on a vu comment Sonasid, pour des problémes beaucoup plus grave a commencer par la " refonte de son système de management ". C'est dire qu'à part les problémes conjoncturels, la qualité des hommes et le message qu'ils véhiculent à travers la gestion des crises sont primordiales.

creatori a écrit:

alibaba40internautes a écrit:

creatori a écrit:

leur produit sont excelent surtout leur liquide 2 en 1

je vois que t'es fort en allumentaire toi...non mais...Al hassassia tu connais pas ?..y a des gens qui souffrent monsieur.
Et puis pourqoui pas carrement un truc bio à base d'huile d'olive?

c a base d'aloe vera ca passe non

Créatori le sage a ouvert une vanne en cette fin d'année. Il décompresse mais sans retenue

Pixon a écrit:

Pelican a écrit:

Lydec :

Je pense que les problémes entre la ville et le délégataire reprennent de plus belle. Les résponsables de la lydec ( top management ) n'a rien trouvé de mieux que de bouder le conseil de la ville et d'aller faire la féte à l'étranger. Ce départ en congé du top management n'est pas du gout du ministére de l'intérieur.

Les dérniers rapports montrent que la résponsabilité est partagée entre ville et délégataire qui visiblement n'a pas accompagné les innondations avec la diligence nécéssaire et par manque de matériels spécifiques qui " aurait " du etre déja acquis !.

Techniquement la valeur rompt avec son canal haussier, et un nouveau scénario corréctif de la poussée 188 dhs --> 440 dhs n'est pas à écarter.

merci Mr pelican mais je tiens à apporter une précision, selon la presse c'est Sajid qui aurait conculu un deal avec le Directeur de Lydec selon lequel Sajid se chargerait d'expliquer la position du délégataire concernant les inondations aux élus .... meskin 3andou lkebda 3la Lydec

et 3andou lkedba 3la Casa.

La première maison mère de France, a toujours fait de la politique et surtout à Bordeau et chez le RPR.

Bonjour

Une mise à jour a été opérée au règlement général Bourse-Maroc. Elle concerne le caractère prétentieux et arriviste d'un message sensé vouloir offrir une prestation différente alors que le forum est déjà construit sur la base du partage du savoir et qui puise sa force dans les qualités différentes des membres, ce qui en soit est un élément différenciateur.

Cette mise à jour est aussi en relation avec une partie du forum qui aborde ce sujet, en particulier le message sensé être apporteur d'un fait positif au forum, alors que son sous-entendu offre plutôt une nuisance au forum et une utilisation abusive et discriminatoire de l'apport des autres forumistes et de l'effort de l'équipe Bourse-Maroc.


Ancienne disposition du règlement :

- II - I - 7 : Ne pas faire de publicités pour votre propre site web sans accord de l’équipe Bourse Maroc. Vous avez le droit de le faire inscrire dans votre profil. Les sites ayant un caractère contradictoire au règlement et aux lois seront supprimés du profil. Les liens, vers d’autres sites boursiers peuvent être affichés dans le forum
tant qu’ils respectent la charte, et l’orientation des discussions. L’inobservation de ces règles expose le contrevenant à des sanctions tels que prévu dans le code spécial des modérateurs.





Nouvelle disposition du règlement :

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expose le contrevenant à des sanctions tels que prévu dans le code spécial des modérateurs.




Cette mise à jour prend effet à partir de sa date de publication.

la reprise du marché actions


Les OPCVM terminent l’année sur une note très positive



La majorité des fonds actions a fait mieux que
le Masi. Jusqu’à 24% de performance pour les OPCVM diversifiés. Le
retour en force du Trésor sur le marché des adjudications a profité aux
fonds obligataires.
Les performances sont au rendez-vous pour les Organismes
de placement collectif en valeurs mobilières (OPCVM). Qu’ils soient
investis en actions, en bons du Trésor ou en produits monétaires, ces
fonds affichent tous en cette fin d’année des progressions honorables de
leurs valeurs liquidatives. Dans le compartiment actions, 37 OPCVM sur
les 47 ouverts au grand public affichent des taux de croissance
supérieurs à celui du Masi, qui s’établissait le 17 décembre à 21,7%.
Une dizaine de fonds actions a même dépassé les 30% de performance. Dans
la catégorie des OPCVM diversifiés, les hausses de valeurs liquidatives
atteignent les 24%, sachant que presque la moitié de ces fonds est
investie dans le marché obligataire. Pour les véhicules investis
principalement dans les bons du Trésor, les meilleures performances
s’approchent des 6%, et la majorité des fonds dépasse le seuil des 3%.
Quant aux OPCVM monétaires, leurs réalisations se situent comme
d’habitude autour du taux directeur de Bank Al-Maghrib, variant entre
2,7 et 3,8%.
Il faut dire que tout prêtait à ce que les produits de
placement collectif réalisent de bonnes performances cette année.
D’abord, ce marché a connu un engouement notoire de la part des
investisseurs, qui s’est matérialisé par un nombre important de
souscriptions aux parts d’OPCVM. Cette hausse des souscriptions a
naturellement exercé une pression à l’achat sur les marchés actions et
obligataires, conduisant ainsi à un renchérissement des valeurs et à la
réalisation par les OPCVM de performances intéressantes. Les derniers
chiffres du Conseil déontologique des valeurs mobilières, arrêtés au 15
octobre, montrent que le nombre total de parts d’OPCVM en circulation a
augmenté de 10,3% depuis le début de l’année. Le nombre de porteurs de
parts a également progressé de 6,1%, à 24 491 investisseurs. Cette
progression traduit à la fois la montée en puissance des particuliers
marocains, qui représentent plus de 80% du total, et le retour en force
des investisseurs étrangers, notamment les personnes morales, dont le
nombre a augmenté de 15%.
Cet engouement des souscripteurs s’est fait
ressentir sur l’évolution de l’actif net des OPCVM depuis le début de
l’année. S’établissant le 17 décembre à 228 milliards de DH, cet actif
net est en hausse de 18,2% par rapport à fin décembre 2009, soit un
additionnel d’actif de 35 milliards de DH. Il a été drainé
essentiellement par les fonds obligations moyen et long terme et
actions.
Outre l’engouement des souscripteurs pour ces instruments de
placement, c’est surtout le bon comportement des marchés où ils sont
investis qui explique leurs bonnes performances. En effet, le marché
actions affiche une progression de plus de 20% depuis le début de
l’année, et les volumes de transactions ont augmenté de plus de 50%,
traduisant le retour de confiance progressif des investisseurs. Les
OPCVM actions ont pleinement profité de cette reprise et ont boosté
leurs valeurs liquidatives par l’envolée de plusieurs titres qui pèsent
dans leurs portefeuilles. Notons par exemple qu’Attijariwafa bank a
enregistré une hausse de plus de 50% cette année, la BCP une progression
de 65%, Lafarge une augmentation de cours 54% et Managem une envolée de
plus de 180%.
Le marché obligataire s’est bien comporté également,
et ce, malgré les importantes levées du Trésor cette année. Il faut
savoir en effet qu’une demande élevée de la part du Trésor se traduit
normalement par une hausse des taux obligataires, ce qui représente un
élément défavorable pour les OPCVM dans la mesure où les anciens titres
qui composent leurs portefeuilles perdent de leur valeur. Or, malgré
l’appétit grandissant du Trésor, les taux sont restés plutôt stables
grâce à des investisseurs en soif de papier frais.
Quant au marché
monétaire, le maintien du taux directeur à 3,25%, l’abaissement du taux
de la réserve monétaire obligatoire à 6%, le succès de l’emprunt d’un
milliard d’euros du Trésor et le maintien d’une politique monétaire
expansionniste par Bank Al-Maghrib ont permis aux OPCVM monétaires
d’évoluer dans un contexte stable et sans grande pression sur les
liquidités, pour dégager des performances conformes aux attentes.






http://www.lavieeco.com/index

La reprise de la cotation du titre DIAC SALAF ainsi que ses droits d'attribution, se fera à partir de demain, soit 29/12/2010.

Alors, sans pour autant vous reiterez mes postes sur titre et qui annoetra certaienement le regain d'interêt des investisseurs aprés un long sejours jamais observé sur un titre, je vous invite à conserver vos titres, car elle sera est sans doute la valeur de l'année 2011..

A suivre.....

http://www.casablanca-bourse.com/bourseweb/Documents/DIS/fr/181_10_Fr_fr.pdf

Auditeur a écrit:

Un avis à tous les prisonniers du titre DIAC SALAF. Ceci vous concernes

La reprise de la cotation du titre DIAC SALAF ainsi que ses droits d'attribution, se fera à partir de demain, soit 29/12/2010.

Alors, sans pour autant vous reiterez mes postes sur titre et qui annoetra certaienement le regain d'interêt des investisseurs aprés un long sejours jamais observé sur un titre, je vous invite à conserver vos titres, car elle sera est sans doute la valeur de l'année 2011..

A suivre.....

http://www.casablanca-bourse.com/bourseweb/Documents/DIS/fr/181_10_Fr_fr.pdf

Alors que TOUT ce mois de décembre devait etre l'occasion pour un faire un TRAIT global informer au mieux le marché, voilà que le CDVM donne un nouveau argument au marché pour spéculer follement sur la fin des discussions qui dureront au minimum un mois. Ca fait plusieurs fois que le marché doit faire avec ces RUMEURS OFFICIELS, ces offre de prix, ces partenariats et à chaque fois le marché spécule et on voit rien de concret. C'est comme si le CDVM laisse sciemment ce genre de valeur se faire coter impunément sur le marché.

Pire, le CDVM à chaque fois est tenu de donner son " sceau " pour confirmer qu'il y'a des négociations....mais à la fin il n'y'a rien.

1 - d'abord il fallait attendre la fin des négociations avant de coter la valeur.

2- alors que la situation de diac est catastrophique, le moindre des choses c'est d'annoncer l'état des comptes actuels puisque le repreneur en sait quelque chose maintenant.

3- Comment se fait t'il que Crédit agricole sache les données comptables qui lui serviront de base pour son offre de prix, alors que les actionnaires actuels, en particulier les petits porteurs ne savent pas l'étendu des dégâts.

4- Pourquoi le CDVM n'a jamais demandé un profit warning à DIAC SALAF ?

5- A l'issue d'un mois de suspension, rien de nouveau...puisque al massae a déja parlé il y'a plusieurs jours d'une offre à 50 Mdhs, alors pourquoi tout ce temps ?


Nous voilà demain avec un rendez-vous du marché, pour une valeur qui traite à 85 dhs, et que le repreneur offre moins de 50 dhs/action soit une décote de presque 45% du cours boursier !

Pelican a écrit:

Auditeur a écrit:

Un avis à tous les prisonniers du titre DIAC SALAF. Ceci vous concernes

La reprise de la cotation du titre DIAC SALAF ainsi que ses droits d'attribution, se fera à partir de demain, soit 29/12/2010.

Alors, sans pour autant vous reiterez mes postes sur titre et qui annoetra certaienement le regain d'interêt des investisseurs aprés un long sejours jamais observé sur un titre, je vous invite à conserver vos titres, car elle sera est sans doute la valeur de l'année 2011..

A suivre.....

http://www.casablanca-bourse.com/bourseweb/Documents/DIS/fr/181_10_Fr_fr.pdf

Alors que TOUT ce mois de décembre devait etre l'occasion pour un faire un TRAIT global informer au mieux le marché, voilà que le CDVM donne un nouveau argument au marché pour spéculer follement sur la fin des discussions qui dureront au minimum un mois. Ca fait plusieurs fois que le marché doit faire avec ces RUMEURS OFFICIELS, ces offre de prix, ces partenariats et à chaque fois le marché spécule et on voit rien de concret. C'est comme si le CDVM laisse sciemment ce genre de valeur se faire coter impunément sur le marché.

Pire, le CDVM à chaque fois est tenu de donner son " sceau " pour confirmer qu'il y'a des négociations....mais à la fin il n'y'a rien.

1 - d'abord il fallait attendre la fin des négociations avant de coter la valeur.

2- alors que la situation de diac est catastrophique, le moindre des choses c'est d'annoncer l'état des comptes actuels puisque le repreneur en sait quelque chose maintenant.

3- Comment se fait t'il que Crédit agricole sache les données comptables qui lui serviront de base pour son offre de prix, alors que les actionnaires actuels, en particulier les petits porteurs ne savent pas l'étendu des dégâts.

4- Pourquoi le CDVM n'a jamais demandé un profit warning à DIAC SALAF ?

5- A l'issue d'un mois de suspension, rien de nouveau...puisque al massae a déja parlé il y'a plusieurs jours d'une offre à 50 Mdhs, alors pourquoi tout ce temps ?


Nous voilà demain avec un rendez-vous du marché, pour une valeur qui traite à 85 dhs, et que le repreneur offre moins de 50 dhs/action soit une décote de presque 45% du cours boursier !

Permettez-moi de répliquer et de répondre à vos points d’interrogations, même si je ne cherche pas à défendre le titre, mais plutôt à être réaliste.

En fait, comme il ressort d’une simple lecture du graph du titre DIAC. Ce dernier a subi un sérieux coup de fouet qui a fait que le titre a été martelé pour plusieurs années et la je ne voudrais pas rentrée dans le detail pour ne pas être tro plong. En effet cette baisse reflète et de manière radicale, l’état de santé de la boite qui n’a cessé de se détériorer au fil de ses années et la preuve en est la perte du capital social, à cela s’ajoute un sous provisionnement relvé par les commissaires aux comptes, qui juridiquement et aux yeux de la loi, elle est dissoute d’autant que la société est en cessation d’activité.

Alors pour quoi le CDVM a resté à l’écart tous ce temps et n’a jamais exigé la publication d’un profit warning comme ce fut le cas pour le reste des sociétés faisant appel à l’épargne public ?
La réponse doit être posée directement au CDVM en tant que gendarme de la bourse et garant de l’épargne des investisseurs. Toutefois, je dirais que cette inattention, pourraient s’expliquer en partie par les des négociations entreprises par le top management en l’occurrence BENCHRKI pour trouver un 3eme partenaire, en plus du fonds Marocco koweitienne(CMKD). Lesquelles négociations couronnées par les diverses assemblées générales ordinaires et extraordinaires tenues ces dernières années. Peut être que c’est pour cette raison que la valeur a continué d’exister à la côte.

Quant au prix qui a été avancée par le crédit Agricole est qui est de KDH 50 000 soit un prix unitaire de DH 48 DH, qui est affiche une décote de 45% par rapport au cours boursier. Je dirais qu’il s’agirait d’une opération stratégique qui concerne le tour de table et qui ne reflète en rien le potentiel de croissance sur le moyen et le long terme, et que ce prix à mon avis est subjective, tant qu’il y’ait pas un évaluateur externe qui exprime son avis à travers un rapport d’évaluation.

En fin, pour quoi la reprise du titre à partir de demain ?,
Moi je la considère très salutaire pour la simple raison qu’il faudrait faire jouer la loi de l’offre et de la demande pour la détermination du prix boursier et témoigner ainsi le regain de confiance des investisseurs quant l’avenir d’un titre longuement sanctionnée et que seul les mois qui viennes nous dessinera la vrai trajectoire d’un canard boiteux qui soudain est devenu une mine d’or pour ses porteurs, en l’occurrence les PP.

Chapeau bas à M. BENCHERKI qui a su géré la situation au fil des années est s’est trouvé un repreneur de taille, genre Crédit Agricole & CMKD, pour sauver sa boite….

A suivre….

_____

c'etait une journée dial T9adia.