Séance du Mardi 28 Décembre 2010

Pelican a écrit:

Auditeur a écrit:

Un avis à tous les prisonniers du titre DIAC SALAF. Ceci vous concernes

La reprise de la cotation du titre DIAC SALAF ainsi que ses droits d'attribution, se fera à partir de demain, soit 29/12/2010.

Alors, sans pour autant vous reiterez mes postes sur titre et qui annoetra certaienement le regain d'interêt des investisseurs aprés un long sejours jamais observé sur un titre, je vous invite à conserver vos titres, car elle sera est sans doute la valeur de l'année 2011..

A suivre.....

http://www.casablanca-bourse.com/bourseweb/Documents/DIS/fr/181_10_Fr_fr.pdf

Alors que TOUT ce mois de décembre devait etre l'occasion pour un faire un TRAIT global informer au mieux le marché, voilà que le CDVM donne un nouveau argument au marché pour spéculer follement sur la fin des discussions qui dureront au minimum un mois. Ca fait plusieurs fois que le marché doit faire avec ces RUMEURS OFFICIELS, ces offre de prix, ces partenariats et à chaque fois le marché spécule et on voit rien de concret. C'est comme si le CDVM laisse sciemment ce genre de valeur se faire coter impunément sur le marché.

Pire, le CDVM à chaque fois est tenu de donner son " sceau " pour confirmer qu'il y'a des négociations....mais à la fin il n'y'a rien.

1 - d'abord il fallait attendre la fin des négociations avant de coter la valeur.

2- alors que la situation de diac est catastrophique, le moindre des choses c'est d'annoncer l'état des comptes actuels puisque le repreneur en sait quelque chose maintenant.

3- Comment se fait t'il que Crédit agricole sache les données comptables qui lui serviront de base pour son offre de prix, alors que les actionnaires actuels, en particulier les petits porteurs ne savent pas l'étendu des dégâts.

4- Pourquoi le CDVM n'a jamais demandé un profit warning à DIAC SALAF ?

5- A l'issue d'un mois de suspension, rien de nouveau...puisque al massae a déja parlé il y'a plusieurs jours d'une offre à 50 Mdhs, alors pourquoi tout ce temps ?


Nous voilà demain avec un rendez-vous du marché, pour une valeur qui traite à 85 dhs, et que le repreneur offre moins de 50 dhs/action soit une décote de presque 45% du cours boursier !

Permettez-moi de répliquer et de répondre à vos points d’interrogations, même si je ne cherche pas à défendre le titre, mais plutôt à être réaliste.

En fait, comme il ressort d’une simple lecture du graph du titre DIAC. Ce dernier a subi un sérieux coup de fouet qui a fait que le titre a été martelé pour plusieurs années et la je ne voudrais pas rentrée dans le detail pour ne pas être tro plong. En effet cette baisse reflète et de manière radicale, l’état de santé de la boite qui n’a cessé de se détériorer au fil de ses années et la preuve en est la perte du capital social, à cela s’ajoute un sous provisionnement relvé par les commissaires aux comptes, qui juridiquement et aux yeux de la loi, elle est dissoute d’autant que la société est en cessation d’activité.

Alors pour quoi le CDVM a resté à l’écart tous ce temps et n’a jamais exigé la publication d’un profit warning comme ce fut le cas pour le reste des sociétés faisant appel à l’épargne public ?
La réponse doit être posée directement au CDVM en tant que gendarme de la bourse et garant de l’épargne des investisseurs. Toutefois, je dirais que cette inattention, pourraient s’expliquer en partie par les des négociations entreprises par le top management en l’occurrence BENCHRKI pour trouver un 3eme partenaire, en plus du fonds Marocco koweitienne(CMKD). Lesquelles négociations couronnées par les diverses assemblées générales ordinaires et extraordinaires tenues ces dernières années. Peut être que c’est pour cette raison que la valeur a continué d’exister à la côte.

Quant au prix qui a été avancée par le crédit Agricole est qui est de KDH 50 000 soit un prix unitaire de DH 48 DH, qui est affiche une décote de 45% par rapport au cours boursier. Je dirais qu’il s’agirait d’une opération stratégique qui concerne le tour de table et qui ne reflète en rien le potentiel de croissance sur le moyen et le long terme, et que ce prix à mon avis est subjective, tant qu’il y’ait pas un évaluateur externe qui exprime son avis à travers un rapport d’évaluation.

En fin, pour quoi la reprise du titre à partir de demain ?,
Moi je la considère très salutaire pour la simple raison qu’il faudrait faire jouer la loi de l’offre et de la demande pour la détermination du prix boursier et témoigner ainsi le regain de confiance des investisseurs quant l’avenir d’un titre longuement sanctionnée et que seul les mois qui viennes nous dessinera la vrai trajectoire d’un canard boiteux qui soudain est devenu une mine d’or pour ses porteurs, en l’occurrence les PP.

Chapeau bas à M. BENCHERKI qui a su géré la situation au fil des années est s’est trouvé un repreneur de taille, genre Crédit Agricole & CMKD, pour sauver sa boite….

A suivre….

_____

c'etait une journée dial T9adia.

Google a écrit:

_____

c'etait une journée dial T9adia.

D'accord avec toi..........

Maroc : Diac Salaf renégocie sa valorisation

.
Levée de suspens ? Pas vraiment. Néanmoins, le management aura au moins le mérite d’être sorti de son mutisme après les interminables suspensions de cotation de la valeur Diac Salaf. L’information avancée confirme les éléments annoncés en avant première, il y a un peu plus d’un mois par Les Echos quotidien. Les négociations avec le Crédit Agricole pour la reprise de Diac Salaf et Diac Equipement ont effectivement commencé en octobre dernier et c’était presque bouclé en novembre. Sauf que depuis, les deux parties ne se sont pas mises d’accord sur le montant de la transaction et plus exactement sur la valorisation de Diac Salaf. C’est ce que nous apprend le management de Diac dans le communiqué rendu public hier. La contre-offre a provoqué une série d’autres travaux d’audit qui ne sont pas prêts d’aboutir dans les jours qui viennent. Une possible révision de l’offre de prix est donc envisageable et devrait être communiquée courant janvier. Nous le disions, il y a quelques semaines, sur ces mêmes colonnes, le repêchage de Diac Salaf par le Crédit Agricole Maroc est un bon deal pour tous. La banque verte y gagne un modèle commercialement défendable qui la rendra un peu plus agressive sur ce segment et lui permettra de renforcer son offre par une expérience et un savoir-faire du groupe DIAC. Encore faut-il redresser l’entreprise et lui permettre d’être à un niveau conforme aux nouvelles exigences de la banque centrale pour se prémunir contre le risque crédit. Faut-il le rappeler, cette même société, Diac Salaf, qui rejette aujourd’hui une valorisation à 50 millions de DH, est en situation de quasi faillite. Au titre du 1e semestre, la société affichait un déficit net de 10 millions de dirhams et les commissaires aux comptes avaient soulevé un sous-provisionnement de 156,1 millions de DH. Les travaux d’audit enclenchés pour envisager une éventuelle contre proposition deprix ne risquent donc pas d’aller très loin. Il est à noter que Diac n’en est pas à sa première tentative de vente. D’autres candidats potentiellement sérieux avaient essayé de la repêcher par le passé, mais se sont désistés à la dernière minute. Cela a été le cas pour CMKD par exemple. Crédit Agricole Maroc paraît plus déterminé, vu les perspectives qu’une telle «ouverture » peuvent lui offrir. Ceci sans parler de l’image du secteur, qui est en pleine phase de maturation et qui n’a pas besoin d’une tâche «faillite» à ce stade. Cette fois a donc toutes les chances d’être la bonne. Selon les indiscrétions autour du deal Diac-CAM, les deux parties auraient convenu de maintenir Abdelkrim Bencherki, PDG de DIAC dans ses fonction pour deux ans, le temps que les choses se mettent en place mais aussi et surtout pour que la transition se passe en douceur. Au moment où les négociations avaient commencé, Diac Salaf ne pouvaient prétendre à aucune part de marché, l’encours des crédits s’élevait à 250 millions de dirhams tandis que le portefeuille crédit moyen était estimé à 3,5 milliards de dirhams pour le secteur du financement coté en bourse.

(Source : Les Echos)

Bonsoir,

DIAC SALAF = Beaucoup de prudence

_____

ne vous vous embetez pas avec diac salaf ,ils ont tout fait et tout essayé pour donner du souffle et de la vitalité à la société mais rien n a marché, c'etait comme s'ils appliquent de la pommade sur une jambe de bois.

_____
je souhaite bonne chance aux diacSalafistes.

Toujours dans le cadre du principe de partage de l'information, il m'a été donné de constater à travers une étude graphique du titre de côte mensuel ce qui suit:

- les indicateurs techniques et mathématiques du titres, en l'occurrence ses moyennes mobiles courte sur 10,20 et 50 mois, se situent en dessus du niveau du cours actuel, ce qui denote que le titre est survendus et pourrait s'apprêter à renverser sa tendance.
- le titre à DH 92 a renversé sa tendance, après avoir marqué une pause fin septembre à DH 85, ce qui dénote de l'attention toute particulière qui lui prête le marché.
- la tendance de fond demeure linéairement haussier, sur un horizon de 7 ans avec un cours cible par rapport a sa droite linéaire toujours à DH 200, et baissière depuis 08/2008.
- la limite supérieur de la droite long termiste fait ressortir un cours cible mensuel de DH 254 comme illustre le graph suivant.

Alors à votre avis, pourquoi céder un titre qui affiche toutes les potentialités techniques de reprises, abstraction faite du fondamentale, qui serait sur le point de subir un assainissement par des professionnels du métier de crédit en l'occurrence la Banque verte........

Encore une fois, conserver vos titres et ne ceder pas à la panique.....

Google a écrit:

_____

ne vous vous embêtez pas avec diac salaf , ils ont tout fait et tout essayé pour donner du souffle et de la vitalité à la société mais rien n a marché, c'était comme s'ils appliquent de la pommade sur une jambe de bois.

[quote="Auditeur"]
Toujours dans le cadre du principe de partage de l'information, il m'a été donné de constater à travers une étude graphique du titre de côte mensuel ce qui suit:

- les indicateurs techniques et mathématiques du titres, en l'occurrence ses moyennes mobiles courte sur 10,20 et 50 mois, se situent en dessus du niveau du cours actuel, ce qui denote que le titre est survendus et pourrait s'apprêter à renverser sa tendance.
- le titre à DH 92 a renversé sa tendance, après avoir marqué une pause fin septembre à DH 85, ce qui dénote de l'attention toute particulière qui lui prête le marché.
- la tendance de fond demeure linéairement haussier, sur un horizon de 7 ans avec un cours cible par rapport a sa droite linéaire toujours à DH 200, et baissière depuis 08/2008.
- la limite supérieur de la droite long termiste fait ressortir un cours cible mensuel de DH 254 comme illustre le graph suivant.

[color=green]Alors à votre avis, pourquoi céder un titre qui affiche toutes les potentialités techniques de reprises, abstraction faite du fondamentale, qui serait sur le point de subir un assainissement par des professionnels du métier de crédit en l'occurrence la Banque verte........[/c

Encore une fois, conserver vos titres et ne ceder pas à la panique.....


Vous concédez donc que c'est pas gagné d'avance et que ça peut commencer d'abord par une panique

Google a écrit:

_____

c'etait une journée dial T9adia.

Quelles sont, à votre avis, les valeurs bon marché ?