Séance du Mardi 1er Mars 2011

bonjour tlm
adh est encore suspendue?

naruto a écrit:

bonjour tlm
adh est encore suspendue?

C'EST RIDICULE de la suspendre par ce qu'elle arrive à vendre des logements.c'est son métier.
si c'est encore suspendue peut etre qu il y a une autre annonce.

MITAH a écrit:

naruto a écrit:

bonjour tlm
adh est encore suspendue?

C'EST RIDICULE de la suspendre par ce qu'elle arrive à vendre des logements.c'est son métier.
si c'est encore suspendue peut etre qu il y a une autre annonce.

C'est ce que je pense aussi, cette annonce ne mérite pas la suspension et je penche plutôt vers la prise de participation.
walahou a3lam

28/2/2011

j espére que le massacre que va subir le FOU kaddafi ne coincide pas avec les RH de ADH .

Si ADH est suspendue pour cette annonce relativement mineure,
je pense qu'Il faut suspendre Autohall car ce matin j'ai croisé une Ford Fiesta en WW!!!!

قرب الإعلان عن إعادة فتح الحدود بين المغرب و الجزائر

http://www.hibapress.com/details-4060.html

RÉSULTATS FINANCIERS
ATTIJARIWAFA BANK, TOUJOURS RENTABLE
LA BANQUE AFFICHE UN BÉNÉFICE NET DE PLUS DE 4 MILLIARDS DE DIRHAMS
L’ACTIVITÉ AU MAROC DEMEURE LE MEILLEUR CONTRIBUTEUR
BOURSE: LA VALEUR SURPERFORME LE MARCHÉ

En dépit de la non-récurrence des plus-values réalisées en 2009, AWB affiche l’un des plus importants PNB du secteur

Bon cru pour Attijariwafa bank en 2010. La première banque privée du pays poursuit sur sa lancée de 2009 en dépit de la non-récurrence des plus-values réalisées sur les cessions de ses participations dans Wafasalaf et dans Crédit du Maroc (1,1 milliard de DH). C’est le challenge qu’a lancé Mohamed El Kettani, PDG du groupe à ses collaborateurs. «Nous avons fait d’un événement exceptionnel une activité récurrente qui a été fixée dans la durée», se réjouit-il d’emblée, lors de la traditionnelle présentation des résultats, qui s’est tenue hier.
Et même si la croissance des résultats de 2010 reste relativement contenue par rapport à 2009, le groupe affiche des progressions non négligeables. A commencer par le PNB qui croît de près de 11% pour atteindre 14,7 milliards de DH. «Retraité des éléments exceptionnels et du changement du périmètre lié à l’acquisition du réseau du Crédit Agricole en 2009, la progression ressort à 12,6%», note Ismaïl Douiri, DG d’Attijariwafa bank.
Dans le détail, le chiffre d’affaires consolidé de la banque montre une évolution de sa structure avec une progression de 21 et 31% des marges d’intérêts (essentiellement due à la banque au Maroc et sur commissions (principalement porté par les filiales ex-Crédit Agricole) contre une régression de 16% sur le résultat des activités de marché (suite à la disparition des plus-values, entre autres).
Côté distribution de crédit, AWB demeure l’un des principaux organes de financement de l’économie. Le total de crédits distribués par le groupe s’élève à plus de 219 milliards de DH, soit un accroissement de 19 milliards par rapport à 2009. Au Maroc, le groupe a distribué pas moins de 183,5 milliards de DH de crédits.
Au niveau de la profitabilité, le résultat net consolidé qui ressort à 4,7 milliards de DH en progression de 3,3% au lieu de «15,4% si on le retraite des éléments exceptionnels cités». Progression également pour le résultat net part du groupe qui s’apprécie de plus de 4% à 4,1 milliards de DH. Retraité des plus-values, la croissance s’élève à plus de 18%.
Sans surprise, la banque de détail au Maroc reste le premier contributeur aux performances annuelles du groupe avec 65%. Elle est suivie de Wafa Assurance (13%), de Wafasalaf (4%) et d’Attijaribank Tunisie (4%) qui est le second marché du groupe.
Pour ce qui est de l’opérationnel, le coefficient d’exploitation marque une augmentation de 3 points à 43,8%. «Nous avons intégré dans notre périmètre des filiales, notamment celles acquises du Crédit Agricole, dont le coefficient d’exploitation est très élevé», explique Douiri. Mais sans ces éléments, le coefficient ressort en baisse de 2,6 points. Idem pour le coût du risque qui se dégrade de 0,05 point. Mais selon le management du groupe, «ce niveau demeure modéré malgré la constitution de provisions collectives additionnelles sur la Tunisie (190 millions de DH) et la Côte d’Ivoire (135 millions de DH). Résultat: un coût du risque de l’ordre de 1,2 milliard de DH qui provient d’Attijariwafa bank à hauteur de 40%, de Wafasalaf (20%)… (voir ci-contre).
Dans ce sillage, le groupe voit sa solidité financière et sa rentabilité se renforcer. Toutefois, au niveau des chiffres, son ROE se détériore de 2,3 points malgré la hausse de 13% de ses fonds propres à 28 milliards de DH et de 6% de son total bilan à 307 milliards de DH. Retraité des plus-values de 2009, il ressort en très légère augmentation de 0,05 point. Le ROA, pour sa part, ressort en quasi-stagnation à 1,55%.
Si le groupe affiche d’aussi bonnes performances, c’est, en grande partie grâce à la contribution de la banque de détail. En effet, l’activité (en social) d’AWB croît de plus de 17% avec un PNB de 8,2 milliards de DH et des charges d’exploitation maîtrisées et contenues en dépit de l’augmentation du réseau de distribution à 1.590 agences. Par conséquent, Attijariwafa bank au Maroc dépasse, et ce pour la première fois, la barre des 3 milliards de DH de résultat net.
Au volet boursier, le cours de la valeur surperforme l’indice phare de la place avec une progression de 50,7% contre 21,2% pour la Masi et 30% pour le secteur bancaire en 2010. De plus, la seconde capitalisation de la place et la première du secteur bancaire affiche des niveaux de valorisations intéressants: un PER de 19,5 fois contre 27 fois pour le secteur et un rendement de 1,9% en prenant compte du cours du 25 février. D’après le management, la valeur «représente le meilleur couple croissance/la valorisation du secteur bancaire».

M. A. B.

ADDOHA/ALEM: UN GÉANT DE L’IMMOBILIER EST NÉ
CRÉATION D’UNE SOCIÉTÉ COMMUNE 50-50%
UNE RÉSERVE FONCIÈRE DE 230 HECTARES À MOBILISER

Un géant de l’immobilier social et moyen standing est né. En effet, le promoteur Addoha vient de signer un accord de partenariat pour la création d’une société à parts égales (50/50) avec l’Agence des logements et équipements militaires (ALEM). Ce sont là deux métiers complémentaires (la promotion immobilière et l’une des plus importantes réserves foncières publiques) qui devront faire jouer des synergies pour accélérer la cadence de production de logements dans deux segments très prisés au Maroc. Forts de cette nouvelle société, les deux partenaires s’offrent une réserve foncière de 230 hectares dans trois grandes agglomérations: Casablanca, Kénitra et Oujda. Des villes où l’Alem dispose d’importantes réserves foncières très bien situées (casernes, logements, dépôts…).
Pour commencer, le protocole de partenariat porte sur la construction de plus de 37.000 logements avec 85% d’habitats sociaux. Le reste (15%) ira à des programmes de logements type moyen standing. L’enjeu de cette opération, selon l’entourage du groupe Addoha, est «de faciliter l’accès à la propriété au profit du personnel civil et militaire» et ayants droit de la Défense nationale. Autre objectif stratégique affiché dans un contexte de rareté du foncier, principalement dans les grandes agglomérations, la délocalisation de plusieurs infrastructures militaires (casernes, champs de tir, garnisons, places d’armes…) situées en plein centre-ville. Enfin, la création d’une société commune entre la filiale du Groupe Douja Promotion et l’Alem se fixe pour objectif «d’optimiser la valorisation du patrimoine foncier en vue de la réalisation d’autres infrastructures militaires et sociales», précise un communiqué commun. Tout un programme de production de logements sociaux et intermédiaires a été arrêté par les deux partenaires. Il porte notamment sur la réalisation de 18.500 logements à Casablanca uniquement. Autant de logements sont programmés à Oujda et Kénitra. Le chef-lieu de l’Oriental compte 10.600 unités. Le reste (soit 8.200 logements) seront construits dans la capitale du Gharb. Valeur aujourd’hui, le groupe Addoha dispose de quelque 5.800 hectares, auxquels s’ajoute un programme d’acquisition de 200 ha de foncier, uniquement à Casablanca, avait confié il y a trois semaines Anas Séfrioui à L’Economiste. Un investissement global de 2 milliards de DH. Ce programme, selon le PDG, permettra la réalisation d’environ 40.000 logements dont les livraisons commenceront à partir de 2013. Côté trésorerie, le promoteur se veut catégorique: «Nous n’avons aucun problème de financement». Il en veut pour preuve, la réussite de l’opération d’augmentation de capital de 3 milliards de DH, réalisée en août 2010. Ce qui a fortement, selon le management, consolidé «la structure bilancielle du groupe avec un niveau de fonds propres en adéquation avec les investissements». A noter que l’endettement du groupe s’établit à environ 0,6 fois les fonds propres.

mega transaction sur le marché central

personne ne parle du cih dans ce forum !
sur l'autre forum on fait le parallele etre le cas de MNG en 2010 et celui que vivra cih en debut 2011

Bonjour,

N y a t-il pas une autre annonce cachée par ADH ?