Séance du Jeudi 9 Février 2012

Salam Tt le monde ,
Je serai tres reconnaissant si quelqu'un pourrait me dire ce quil faut faire pour recuperer ma taxe sur les plus values , sachant que je nhabites plus au MAROC depuis deux ans. les prelevement se font automatiquement sur mon compte DARTAWFIR ,Alors que jai entendu parler que je peux bien les recuperer.
Jen profites pr saluer tt les membres surtout les plus actifs qui ne cessent pas de nous gratifier de leurs analyses, conseils, et informations tres utils, jai bcp appris deux ....Merci Mille fois
Bonne fin de journee

@Alpha74

Le graphe n'est pas trés précis. Mais j'éstime qu'il y'avait une de consolidation dont le sommet se trouve vers les 11 300 Pts. Donc, la prise de bénéfice ( normal et souhaitable ) ne doit pas faire revenir le marché sous la résistance. Je pense que si Attijari Wafa-bank, Ittisalat Al Maghrib ( Maroc télécom ), Alliance Développement Immobilier ( A D I ), SAM, BCP, LAFARGE CIMENTS, hol...baissent, il faut qu'elles retrouvent les acheteurs qui sont confiants dans le potentiel haussier et qui vont confirmer la sortie de la zone d'hésitation, et qui seront une sorte de deuxiéme rangée de soldats qui vont pousser les plus courageux vers le front ( on théatralise le combat ).


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AIGLE a écrit:

ryn badr

J'aime bien savoir les sociétés halal en bourse?

On peut pas dire qu'il ya des societes qui sont 100% halal. Le raison c'est la mode que nous utilizons pour les IPO ici au Maroc. Toujours au Maroc on fait les Introductions comme les introductions au etas Unis, ca veut dire, on fait avec les banques et les taux d'interet. Mais il est possible de faire un IPO qui n'utilize pas les sectors Bancaire qui existe maintenant.
On peut utilize un strategy qui s'appelle direct, "direct perentage buy" - avec cette maniere d'achat, les gens qui veut achete des actions dans un societe achete directment avec le boutique. Le boutique ouvre des comptes a les grands banque, mais cette compte ne prends pas l'interet. Quands tu veut achetez un action, vous achete directment un percentage de le profit de la societe.
Essentialment, tu eliminer les banques traditionelles. Tous les autres chose reste la meme, le seul chose qui va changer sont les, "players" et le process technique.
Maintenant il ya les societe au Etas Unis qui veut du capital pour ouvre un autre location. Il est haram de prendre un pret a la banque, il utilize cette boutique qui viens et faire un valorization de la societe qui veut l'argent et apres il trouve les gents, la plus par de fois dans la meme ville que veut achetez un percentage de cetter societe. La meme boutique faire le accounting pour le societe et rendre les dividends. Il construit le nouveau constitution aussi.
Leadership Consulting group on a commence le travaille au Maroc l'annee derniere - pour le moment, il prenne le role du broker pour son clientelle aux etas Unis et Asie. Mais j'ai entendu que il a aproache le chef de CDVM pour presenter l'idea de les Halal introductions du bourse.
Pour moi, quands je fait mes investments, je search le role de la societe et s'il ne fait pas de pret, ou vende l'alcol, c'est ok. Par example, je sais que la plus part de les societe immobilier utilize les banques, mais il ne fait les pret directment. S'il fait les pret directment, je ne peut pas achete. C'est la meme chose pour le sector touristique, si il achete un chaine qui vend l'alcol, je ne peux pas acheter son actions.
Les societe qui sont quasi hallal sont dans le sector petro chemique au Maroc. Aussi la pluparts des autres sectors son acceptables sauf les sectors credit, banaire ou societe qui vend l'alcol direct ou indirect.

mohammed77 a écrit:

Ingrédient de La bourse = Analyse tchnique + Analyse fondamentale + humeur de l'investisseur + rumeur .

Bon appétit

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Ingrédient de La bourse = 35%Analyse tchnique + 30%Analyse fondamentale + 25%Prise de risque de l'investisseur + 5%Rumeur +5%Aléatoire

omel_27 a écrit:

Bonjour,
ADH doit réagir au plus tard demain pour reprendre car il n'y a pas beaucoup d'espace de manœuvre. sinon il continuera sa baisse surtout si elle casse 70.50 mais déja il y a un ordre d'achat de 50000 qui l'attends à 70.56. Ça sera le catalyseur. Espérons le.
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Effectivement,

si Achat, alors on tente au-desous de 70.25

si in pf, il faut encore patienter car le ticker pourrait décider d'aller vers le haut.

En fait, l'AT montre qu'on arrive à un fond convexe!

!

Communication financière : Une longue route encore pour les informations en ligne 

Jeudi, 09 Février 2012 15:53  Finances news ma .
 
 
 
■ Une mise à jour des données publiées dans les sites web est obligatoire afin d’améliorer la communication financière.  
■ Seuls les grands mastodontes du marché peuvent prétendre mettre constamment à jour leur site Internet. 
L'information financière peine encore à être efficace. Pourtant, elle n’a jamais été autant au cœur des débats. 
En effet, toutes les sociétés cotées essayent de se mettre à niveau et d’innover dans ce sens. Et si certaines outrepassent le minimum légal, d’autres, par contre, s’en accommodent tout simplement. 
Bien évidemment, tous les élèves ne peuvent pas être tous bons ou moyens, les cancres existent bel et bien et ils sont assez nombreux; en tout cas sur le marché marocain. Il est fait référence ici aux sociétés qui ne se donnent pas la peine de prendre en considération cette obligation. Les sanctions prévues d’ailleurs à l’encontre de ces dernières nous le prouvent largement. 
Tandis que certains peaufinent leur communication financière, d’autres ne s’en souviennent même pas. 
Combien de fois, en effet, n’a-t-on pas critiqué ces sociétés qui ne communiquaient pas, ou pas assez; ces sociétés qui publient dans un support pour le moins non spécialisé cherchant plus à dissimuler l’information qu’à la présenter au grand public. Celles qui ne fournissent aucune explication, laissant les analystes tirer leurs propres conclusions. 
Pour rappel, au-delà des exigences légales et réglementaires, seules 31 sociétés cotées sur un total de 74 ont organisé des points de presse pour commenter leurs résultats de l’année passée.
C'est dire que la communication ne doit pas se limiter aux publications obligatoires.
D'où l'uilité des sites Internet qui permettent de pouvoir accéder à tout moment à toute forme d’information, qui puisse toucher de près ou de loin la société. 
Mais, il ne suffit pas d’avoir un site Internet, encore faut-il qu’il serve à quelque chose. Un simple petit test comme celui auquel nous avons procédé au sein de Finances News Hebdo nous démontre que le site Internet, dans plusieurs cas, est plus utilisé comme outil de luxe que comme outil de communication. 
En effet, plusieurs sociétés cotées, hormis les mastodontes pour lesquels la communication financière est un enjeu primordial, mettent en place un site web tout juste pour faire bonne figure. 
Car, tout simplement, les informations ne sont pas mises à jour.
À titre d’exemples Diac Salaf dont la dernière, publication d’informations financières date de décembre 2006; Colorado qui s’est arrêtée en 2008; Dari couspate qui n’a pas vu l’utilité de publier ses indicateurs financiers ou ses rapports d’activité sur son site. 
Un autre constat concerne les sociétés qui font partie de holdings et qui n’ont pas de site dédié : les informations publiées sont le plus souvent annexées aux résultats et informations du groupe. 

Avantages de la communication financière en ligne
Le site Internet des émetteurs apparaît comme un média fondamental pour la promotion du titre des entités. Il permet un accès immédiat aux données et au moment choisi par l'utilisateur. 
L’Internet constitue un outil de communication de masse des données de l'entreprise, permettant de réduire les coûts de diffusion de l'information en direction d'un public.
C'est aussi un moyen efficace de s'ouvrir vers des investisseurs internationaux. Encore faut-il que les responsables des sociétés prennent conscience de cette réalité. 

Encore plus d’efforts 
Les mastodontes du marché, en l’occurrence les grandes capitalisations, excellent dans ce domaine. Ces derniers figurent en tête de liste des meilleurs en terme de communication financière. 
Cependant, si l'éventail des informations apparaît comme satisfaisant, peu de sociétés s'aventurent sur le chemin de la profondeur de l'information publiée en ligne.
En effet, l'information doit être exhaustive mais, pour être lisible, elle doit être enrichie d'indicateurs permettant d’évaluer les résultats de l'entreprise : présentation des stratégies à court, moyen et long terme, description de l'évolution du marché, prise en compte de critères de développement durable... Sa présentation doit également bénéficier des avantages offerts par Internet : interactivité, personnalisation selon les profils de public, disponibilité immédiate et sous de multiples formes, synthèses, graphiques, présentations dynamiques. 
Seule une communication transparente qui renseigne sur la situation réelle de l’entreprise pourrait rétablir la confiance dans un marché boursier et financier qui en manque cruellement. Cependant, la réalité confirme qu’il reste encore beaucoup à faire sur ce terrain ! ■

Par W. M.

BSR,nous avons un nouveau precheur , faut lui dire que tout le monde est adulte est instruit dans ce site ,qui est normalement dedie a la bourse et pas a la salafia jihadia a bon entendeur salut

118 a écrit:

BSR,nous avons un nouveau precheur , faut lui dire que tout le monde est adulte est instruit dans ce site ,qui est normalement dedie a la bourse et pas a la salafia jihadia a bon entendeur salut

il parle bien de la bourse ,le forum est la pour exprimer des avis
je ne sais pas prq il y a des gens qui ne ratent pas l'occasion pour porter un coup a l'ARABE et LA RELIGION


ALLAH EST GRAND

Pelican a écrit:

@Alpha74

Le graphe n'est pas trés précis. Mais j'éstime qu'il y'avait une de consolidation dont le sommet se trouve vers les 11 300 Pts. Donc, la prise de bénéfice ( normal et souhaitable ) ne doit pas faire revenir le marché sous la résistance. Je pense que si Attijari Wafa-bank, Ittisalat Al Maghrib ( Maroc télécom ), Alliance Développement Immobilier ( A D I ), SAM, BCP, LAFARGE CIMENTS, hol...baissent, il faut qu'elles retrouvent les acheteurs qui sont confiants dans le potentiel haussier et qui vont confirmer la sortie de la zone d'hésitation, et qui seront une sorte de deuxiéme rangée de soldats qui vont pousser les plus courageux vers le front ( on théatralise le combat ).


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Merci , c'est clair maintenant , moi perso je scrute deja l'exercice 2012 , le plus difficile c'est de prevoir le creux de la vague ....

FMI, le deux poids, deux mesures de Mme Lagarde
09/02/2012 | Classé sous: Finance,Financements | Publié par: LNT 
 
 
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Depuis le déclenchement de la crise financière internationale, le Fonds Monétaire International, FMI, pratique une politique nouvelle à l’endroit des pays émergents et en particulier ceux du Maghreb, celle des deux poids, deux mesures. En effet, lorsqu’il s’agit de pays européens en proie à de graves difficultés liées à leur dette souveraine ou aux déficits budgétaires abyssaux, il affirme sa totale disposition à mettre en place des politiques de financement qui s apparentent à des aides. Ainsi, pour l’Italie, sous certaines conditions certes, le FMI «allongerait» un prêt de 450 milliards de dollars à un très faible taux d intérêt pour l’aider à se désendetter envers les marchés financiers. Cette même largesse est également constatée à l’endroit de la Grèce qui connaît les difficultés que l’on sait, lesquelles risquent même de faire imploser la zone Euro !

Par contre, lors de sa récente tournée en Algérie et en Tunisie, Mme Christine Lagarde, Directeur général du FMI, a fait preuve d une grande sévérité. Sa recommandation à l’adresse des dirigeants algériens et tunisiens a été de “rétablir la confiance des investisseurs”, un principe qui devrait être valable aujourd’hui urbi et orbi et donc tout autant pour les pays européens.

Une telle attitude est de nature à faire regretter le prédécesseur de Mme Lagarde, Dominique Strauss-Kahn, lequel avait reconsidéré et valorisé la place des pays émergents au sein du FMI pour leur contribution à la croissance mondiale et leur rôle dans le rééquilibre de la création des richesses dans le monde. DSK avait même été jusqu’à leur faire une place dans les instances de décision de cette institution internationale en augmentant leurs droits de vote.

La sévérité de l’équipe actuelle du Fonds est d’autant étonnante que l’institution née des Accords de Bretton Woods avait apporté un soutien explicite aux ” Printemps arabes ” émettant pour l’occasion des promesses d’aide financière, de concert avec l’Europe et les Etats-Unis, à la relance économique des pays concernés.

Or, sur la base de l’exemple de la Tunisie, où la DG du FMI s’est rendue le mois dernier, l’on peut affirmer que la révolution du peuple y a mis l’économie a plat. Les finances publiques ont été mises à forte contribution pour apaiser la grogne sociale et, de ce fait, asséchées. L’activité économique et les investissements productifs, quant à eux, ont subi un brutal coup d’arrêt qui ne s’est guère, à ce jour, terminé.

L’Occident, qui a applaudi des deux mains au départ de Benali, est aujourd’hui submergé par ses propres problèmes de crise de financement doublée d’une récession économique réelle. Pourtant, la Tunisie a besoin d une aide immédiate et d’un plan de soutien économique à moyen terme pour redresser la tête. Ce que Mme Lagarde a voulu délibérément ignorer, se contentant d’expliquer aux Tunisiens qu’ils devaient rétablir la confiance pour mobiliser de nouveau les investisseurs nationaux et internationaux.

Une telle lapalissade est la preuve de son désintérêt ou de son incapacité à tenir les engagements du FMI qu elle dirige !

Si l’on devait s’en tenir à un tel constat, il faudrait alors accepter le fait que le FMI n’a pour seule mission que d’aider les pays riches et développés à sortir de leur crise…

Avec pour corollaire que les pays qui ont opté pour la démocratie, sous des mots d’ordre largement soutenus, entre autres, par l’Institution de Washington, devraient rester livrés à eux-mêmes et compter sur leurs seules forces domestiques pour reconstruire leur économie.

Si devait en être ainsi, quand les pays occidentaux sortiront de la crise, les pays émergents, qui ont opté pour la démocratie et le pluralisme, se trouveront encore plus appauvris qu’ils ne l’étaient sous leurs régimes totalitaires !

Que Mme Lagarde n’a-t-elle compris que pour rétablir la confiance des investisseurs, la Tunisie, justement, a besoin de l’aide du FMI. Car, en cette affaire, comme dans beaucoup d’autres, la charrue ne passe pas avant les boeufs…

Afifa Dassouli