| Séance du Lundi 7 Mai 2012 | |
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+10adil79 userid Pixon Abderrahmane Service alpha74 rachidi Pelican benji31 Denar 14 participants |
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Auteur | Message |
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Denar
Nbre méssages : 1588 Réputation : 11 Inscris le : : 18/05/2009
| Sujet: Séance du Lundi 7 Mai 2012 Lun 7 Mai 2012 - 9:23 | |
| Bonjour st bonne chance [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] | |
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benji31
Nbre méssages : 335 Réputation : 1 Inscris le : : 01/10/2010
| Sujet: Re: Séance du Lundi 7 Mai 2012 Lun 7 Mai 2012 - 9:37 | |
| Sentiment Europe au lendemain des élections francaises et à l'international: Les prochaines semaines sous le signe de la volatilité
[size=9]François Hollande prendra les rennes d’une France faible en croissance dans une Europe affaiblie, avec des défis comme le redressement des comptes publics de l’emploi. La pression sera forte et les marges de manoeuvre plus faibles que ses prédécesseurs. Il a désigné la croissance comme une condition de la réduction des déficits publics en Europe tout en choisissant des mesures qui ne détériorent pas les comptes de l’Etat. Les prochaines semaines seront quoiqu’il en soit placées sous le signe d’une volatilité extrême et de tensions.
Selon certains investisseurs, les taux de l’OAT risquent de se tendre au lendemain de cette élection présidentielle. Il faut toutefois noter que le France a réussi à emprunter jeudi dernier 7,4 milliards d’euros à des taux sous la barre symbolique des 3%. L’agenda des prochaines semaines aura un rythme soutenu avec des échéances connues à l’avance. Le nouveau président devra rencontrer rapidement ses partenaires européens, et particulièrement la chancelière allemande Angela Merkel. Le premier objectif sera de trouver un terrain d’entente en laissant le traité budgétaire inchangé mais en le complétant par un engagement plus ou moins important sur la croissance de la zone européenne.
La date importante sera probablement le 17 juin où l’on connaîtra la composition du nouveau parlement. Le nouveau gouvernement aura pour charge d’établir un collectif budgétaire afin que les premières mesures fiscales puissent être rapidement appliquées pour redressement des comptes. Il faut toutefois noter que même si certains voudraient nous faire croire qu’un mouvement de panique aura lieu le lendemain de ce scrutin, cela est déjà intégré dans les cours de bourse.
Les mauvaises nouvelles ont déprimé les marchés cette semaine
Cette semaine a vu une succession de mauvaises nouvelles de part et d’autre de l’Atlantique. L’indice ISM des services a déçu avec un recul à 53,5 contre 56 au mois de mars au Etats-Unis. Cet indice reste toutefois au-dessus de 50, ce qui est un signe d’une activité soutenue. D’autres indicateurs sont venus conforter ce sentiment général. L’ISM manufacturier a montré une accélération de l’activité en avril. La consommation des ménages aux Etats-Unis a également progressé de 0,3% en mars. Jeudi, le CAC 40 a accéléré sa baisse suite à la réunion de la BCE où Mario Draghi a refusé d’ouvrir la porte à une nouvelle baisse des taux d’intérêts malgré l’accumulation de mauvaises nouvelles dans la zone euro (indices PMI inquiétants, montée du chômage de la zone euro à des niveaux jusqu’ici jamais atteints). Cette baisse a été entérinée par les chiffres décevants de l’emploi américain : 115 000 postes ont été crées au lieu des 170 000 attendus. Le CAC est ainsi repassé sous la barre des 3 200 points.
Le mois d’avril s’est donc terminé sur une baisse de 6,2% de l’indice parisien, mois le moins bon depuis septembre dernier (-8,4%). Le nuage noir vient de l’Espagne qui rentre officiellement en récession avec un deuxième trimestre consécutif de recul de son PIB et un quart de sa population active au chômage.
Le vrai risque vient du résultat du scrutin grec
L’avenir de la Grèce se jouait aussi ce dimanche avec les élections législatives anticipées. Le discrédit d’un des deux principaux partis pourrait conduire à une instabilité politique. Les résultats de cette élection inquiète l’Union européenne et le Fonds monétaire international qui lui ont accordé deux prêts successifs afin de lui éviter la faillite. L’issue de cette élection pourrait conduire à une paralysie en Grèce et à un échec des efforts de la communauté internationale pour maintenir la Grèce dans l’Euro. La finalité de ce scrutin est toujours incertaine et pourrait reléguer les résultats de la présidentielle française au second plan. Les deux principales formations, les conservateurs de Nouvelle Démocratie et les socialises du Pasok qui ont soutenue l’austérité imposée par le monde depuis 2010 en échange d’une aide internationale, ne devraient plus conserver leur majorité au parlement. A la vue des premiers résultats, aucun parti ne peut aujourd’hui gouverner sans alliances. Le risque est donc que les investisseurs retrouvent une méfiance par rapport à la zone euro et conduisent à un nouveau stress des marchés comparable à l’été dernier.
Les prochaines semaines seront donc décisives pour la zone euro | |
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Pelican
Nbre méssages : 16978 Humeur : En construction Réputation : 69 Inscris le : : 12/08/2008
| Sujet: Re: Séance du Lundi 7 Mai 2012 Lun 7 Mai 2012 - 9:52 | |
| SAMIR
Le conseil d'administration avale la décision d'augmenter le capital à 1,7 milliards de dhs sans que le cours par action à souscrire ne soit inférieur à 600 dhs.
Les décisons relatives à l'affectation du résultat et des jetons de présence ( 3 Mdhs ) ont été votés à la majorité...les autres décisions à l'unanimité. | |
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Denar
Nbre méssages : 1588 Réputation : 11 Inscris le : : 18/05/2009
| Sujet: Re: Séance du Lundi 7 Mai 2012 Lun 7 Mai 2012 - 9:58 | |
| BMC : maintien de l'activité au T1 2012 IB Maroc vient de communiquer sur son activité au premier trimestre 2012. Il en ressort : - Réalisation d'un chiffre d'affaire consolidé de 60.6 MDH au terme du premier trimestre 2012 -IB Maroc dispose d'un total de commandes fermes non livrés de 109.1 MDH -IB Maroc maintient sa prévision de CA de 300 MDH pour l'année 2012 Source : Communiqué IB Maroc [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] | |
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rachidi
Nbre méssages : 1072 Réputation : 5 Inscris le : : 28/09/2010
| Sujet: Re: Séance du Lundi 7 Mai 2012 Lun 7 Mai 2012 - 10:16 | |
| sid per 53 marges des plus faibles errodés(3%) div=0 cu deficits anterieurs
concurence exacerbée..>camelote _________________ M (tout manipulateur) c est celui: Qui vous harcele des jours et des jours tjrs sur le meme titre. -Il n ' achete pas à ces cours de harcellement. -Dénoncé , il jure de ne plus montrer sa face mais revient au galop coté pile.
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rachidi
Nbre méssages : 1072 Réputation : 5 Inscris le : : 28/09/2010
| Sujet: Re: Séance du Lundi 7 Mai 2012 Lun 7 Mai 2012 - 10:17 | |
| mng une action echangée gallik "valeur deffenssive" _________________ M (tout manipulateur) c est celui: Qui vous harcele des jours et des jours tjrs sur le meme titre. -Il n ' achete pas à ces cours de harcellement. -Dénoncé , il jure de ne plus montrer sa face mais revient au galop coté pile.
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alpha74
Nbre méssages : 4639 Humeur : tranquil Réputation : 19 Inscris le : : 01/12/2008
| Sujet: Re: Séance du Lundi 7 Mai 2012 Lun 7 Mai 2012 - 10:19 | |
| Productions étrangères, la poule aux oeufs d’or Par LesEchos.ma
Lundi, 07 Mai 2012 09:41
De sources concordantes, la SNRT a multiplié le budget des productions étrangères par dix entre 2006 et 2009 ! En effet, le montant réservé aux séries mexicaines, brésiliennes et autres télénovelas turques est passé de 10 MDH à 300 MDH ! Le volume de la publicité a-t-il augmentà pour autant ? L'audience a-t-elle crevé tous les plafonds ? Quelles sont ces productions «phares», qui nécessitent tout ce budget ? Et pour quel niveau de qualité ? Des questions auxquelles seul le rapport de l'IGF, dont les conclusions ne sont pas rendues publiques, pourrait apporter les réponses adéquates.
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rachidi
Nbre méssages : 1072 Réputation : 5 Inscris le : : 28/09/2010
| Sujet: Re: Séance du Lundi 7 Mai 2012 Lun 7 Mai 2012 - 10:21 | |
| - Pelican a écrit:
- SAMIR
Le conseil d'administration avale la décision d'augmenter le capital à 1,7 milliards de dhs sans que le cours par action à souscrire ne soit inférieur à 600 dhs.
Les décisons relatives à l'affectation du résultat et des jetons de présence ( 3 Mdhs ) ont été votés à la majorité...les autres décisions à l'unanimité. 600dh!! ils prennent les gens pour des cons?mais qui sait avec les specus tt est possible sam devient une machine à pomper le fric des naifs | |
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rachidi
Nbre méssages : 1072 Réputation : 5 Inscris le : : 28/09/2010
| Sujet: Re: Séance du Lundi 7 Mai 2012 Lun 7 Mai 2012 - 10:23 | |
| assurances:la plus chere avec des fondamentaux mediocres en hausse(cnia) et atl et wass la meilleure en baisse!! _________________ M (tout manipulateur) c est celui: Qui vous harcele des jours et des jours tjrs sur le meme titre. -Il n ' achete pas à ces cours de harcellement. -Dénoncé , il jure de ne plus montrer sa face mais revient au galop coté pile.
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Nbre méssages : 3192 Réputation : 6 Inscris le : : 03/11/2009
| Sujet: Re: Séance du Lundi 7 Mai 2012 Lun 7 Mai 2012 - 10:40 | |
| 07/05/2012 09:25:00Maroc : Pétroliers-Samir, le torchon brûle |
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Ça chauffe entre les pétroliers et la Samir. Ayant récemment annoncé l'intention de la Société anonyme marocaine de l'industrie du raffinage d'entrer dans la distribution de pétrole, Jamal Ba-Amer, le directeur général du raffineur national a allumé une mèche dans le secteur. Il se positionne ainsi tant sur l'amont que sur l'aval. «Cela va changer la distribution », augure déjà Adil Zyadi, président du Groupement des pétroliers du Maroc (GPM). Selon le représentant des pétroliers, la concrétisation d'une telle décision a un point positif: «Elle permettre à chacun de prendre ses responsabilités », commente-t-il. «Nous ne serons plus obligés de nous approvisionner auprès de la Sa mir», ajoute Zyadi. Une guerre des tranchées est donc annoncée entre le raffineur et les pétroliers. Ces derniers prennent les devants en se plaignant de perturbations dans l'approvisionnement. «Nous relevons de nombreuses défaillances dans la livraison», affirme Zyadi qui déplore des problèmes au niveau des quantités livrées mais aussi de la qualité. À ce propos, il relaye les doléances des pétroliers qui «soufrent beaucoup du fait que la Samir a des problèmes de programmation de son outil». Le torchon brûle donc entre la Samir et les distributeurs qui vont jusqu'à reprocher au raffineur de ne pas respecter ses engagements vis-à-vis de l'État. Pour Jamal Ba-Amer, la question est perçue différemment, car c'est plutôt l'État qui a failli aux siens. «L'ancien gouvernement n'a pas respecté les termes de la convention», avait notamment plaidé le directeur général de la Samir, lors de l'annonce des résultats financiers du raffineur, avant de signifier que «les négociations sont en cours avec le gouvernement, notamment pour la convention d'investissement». Dans ce cadre, Ba-Amer avait plaidé, à la même occasion, l'importance de la Samir dans l'industrie nationale. «Nous dirons haut et fort qu'il en va du maintien et de la sauvegarde de cette industrie vitale», a-t-il expliqué. Pas sûr que cela suffise surtout à l'heure où l'État fait face à des difficultés budgétaires croissantes. En tout cas, en attendant une nouvelle convention d'investissement avec l'État, Jamal Ba-Amer exclut toute possibilité d'expansion ou d'augmentation significative des capacités de production. Pour ce qui est des banques, le directeur général ne se fait pas tendre, même s'il affirme qu'il attend la réponse de son conseiller financier, Attijari Capital, pour connaître les modalités à suivre. Une chose est sûre, le raffineur est entré dans une zone de turbulences. C'est le cas, en effet, depuis cette fameuse sortie de Ba-Amer pour la présentation des résultats 20II de la Samir. Le patron avait fait feu de tout bois en déclarant son intention de «hausser le ton à l'avenir, pour montrer qu'il y a sur nous une pression non logique et injuste». Et ce durcissement de ton, justement, a été annoncé pour toucher tous les maillons de la chaîne du secteur (banques, distributeurs et, dans une moindre mesure, l'État). C'est que Ba-Amer reproche au système bancaire d'imposer désormais un financement en dirham au lieu de celui en dollar pratiqué jusque là, mais aussi une hausse du taux d’intérêt qui freinerait l’entreprise pour la restructuration de sa dette. En tout état de cause, le gouvernement devrait certainement réagit pour calmer les tensions dans un secteur aussi stratégique. Pour le moment, le ministère de l’Energie étudie les options de l’organisation de l’activité. Entre autres actions, une étude est dans le pipe pour benchmarker plusieurs expériences internationales en matière de procédures législatives, réglementaires et techniques de contrôle de la qualité des produits pétroliers liquides. L’idée étant d’en sortir avec des propositions d’amélioration des procédures en la matière en vigueur au Maroc. (Source : Les Echos) |
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