| | Séance du Mercredi 13 février 2012 | |
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+15ouane_mar TILILA MITAH bybourse sakane.ma fadel Carno alpha74 chourtchik satoune Pelican Pixon amrani Service Hatim 19 participants | |
Auteur | Message |
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amin
Nbre méssages : 1068 Inscris le : : 31/05/2011
| Sujet: Re: Séance du Mercredi 13 février 2012 Mer 13 Fév 2013 - 17:24 | |
| - alpha74 a écrit:
Tu veux dire qu'on est entrain de tester le marché , et on a pris certaines valeurs comme chair a canon ... Mr Alpha, tu as bien reçu mon message ? | |
| | | madex
Nbre méssages : 1980 Inscris le : : 16/11/2008
| Sujet: Re: Séance du Mercredi 13 février 2012 Mer 13 Fév 2013 - 17:49 | |
| - Hatim a écrit:
- A ce qu'on constate, L'exception cette année sera de trouver une société qui maintiendra une Var% positive de son RN ..
Je vais prendre le risque mesure' en citant;LYDEC/Alliance Développement Immobilier ( A D I )/JALU/ATH ,il doit y avoir d'autres il parait que le dernier delais pour les PW est pour le 15 fev ,passe' ce delai la ste doit payer une amende,qlq'1 a la meme info? | |
| | | amin
Nbre méssages : 1068 Réputation : 8 Inscris le : : 31/05/2011
| Sujet: Re: Séance du Mercredi 13 février 2012 Mer 13 Fév 2013 - 17:53 | |
| Thomson Reuters prévoit 2.500 réductions de postes cette année
Le groupe anglo-canadien d'informations financières et professionnelles Thomson Reuters a l'intention de réduire de 2.500 postes les effectifs de sa principale division, "finance et risque", d'ici la fin de l'année, a indiqué mercredi son directeur général James Smith.
ING annonce 2.400 nouvelles suppressions d'emplois aux Pays-Bas et en Belgique
Le bancassureur néerlandais ING a annoncé mercredi 2.400 nouvelles suppressions d'emplois au sein de ses branches bancaires aux Pays-Bas et en Belgique dans le cadre de programmes de réduction des coûts et publié un bénéfice net en baisse de 32,5% pour l'année 2012.
Tendance des entreprises mondiales vers diminution des effectifs pour faire fasse à la crise . est ce le tour des marocaines aussi?
Transport maritime: La débâcle du pavillon marocain
....Actuellement, IMTC est en train de négocier sa survie avec les banques. «Ces dernières nous suggèrent de réduire les effectifs, mais ce n’est pas possible. Car nous sommes tenus par des normes internationales. Par ailleurs, nous sommes le seul débouché pour les lauréats de l’Institut d’études maritimes», précise Karia. "L'economiste" | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Séance du Mercredi 13 février 2012 Mer 13 Fév 2013 - 18:18 | |
| - madex a écrit:
- Hatim a écrit:
- A ce qu'on constate, L'exception cette année sera de trouver une société qui maintiendra une Var% positive de son RN ..
Je vais prendre le risque mesure' en citant;LYDEC/Alliance Développement Immobilier ( A D I )/JALU/ATH ,il doit y avoir d'autres
il parait que le dernier delais pour les PW est pour le 15 fev ,passe' ce delai la ste doit payer une amende,qlq'1 a la meme info? A quel moment un émetteur devient-il assujetti à la publication d’un profit warning ? Un émetteur est dans l’obligation d’informer le marché au moment opportun lorsque ses perspectives de clôtures doivent être modifiées. La publication d’un profit warning est obligatoire lorsqu’il y’a une rupture par rapport : § à l’historique des résultats de l’émetteur, § aux prévisions annoncées, § au consensus de place récent, et ce, sur la base des dernières informations publiques diffusées par l’émetteur. Le profit warning est rendu public par voie de communiqué de presse, précisant l’impact sur la situation financière de l’émetteur ainsi que les moyens mis en oeuvre afin de remédier à la situation. Quelles sont les modalités de publication d’une information importante ? Une information importante doit être rendue publique à travers un communiqué de presse, inséré dans un journal d'annonces légales. Ledit communiqué doit être rédigé dans un style neutre avec des faits précis, suffisamment détaillés afin de permettre au public d’apprécier la substance réelle de l’information. Les émetteurs doivent s’assurer de la diffusion effective et intégrale du communiqué dans le journal d'annonces légales choisi. Quels sont les délais de la publication d’une information importante ? Sans délai : Le délai de publication d’une information importante court aussitôt que l’émetteur a pris connaissance de ladite information.Un émetteur peut-il retarder la publication d’une information importante ? Bien que déconseillée d’une manière générale, la publication d’une information importante peut légitimement être différée si cette information est de nature à porter atteinte aux intérêts propres de l’émetteur, à condition qu’elle puisse demeurer confidentielle. Ce différé dans la publication de l’information importante est possible sous réserve de respecter certaines conditions cumulatives : § Probabilité d’atteinte aux intérêts de l’émetteur ; § Confidentialité garantie par les dirigeants ; § La non publication de l’information n’induit pas l’investisseur en erreur ; En cas de valeur mobilière cotée, l’émetteur peut demander au CDVM, la suspension de la cotation de ses titres, dans l’attente de publication de l’information importante en question. Cette suspension n’est pas accordée à l’émetteur d’une manière systématique, et en cas d’accord, elle ne peut pas durer plus de cinq séances de cotation. |
| | | bybourse
Nbre méssages : 1175 Humeur : 5/5 Réputation : -1 Inscris le : : 18/12/2012
| Sujet: Re: Séance du Mercredi 13 février 2012 Mer 13 Fév 2013 - 18:28 | |
| - Pelican a écrit:
- Oui, mais là on est pas en dans la mise en oeuvre pratique de la vente à découvert.
Par ailleurs, et concrétement, si on veut acheter à découvert, il y'a un CO, des ordres à saisir et tout ça ? Comment on procéde dans ce marché ? ça n'existe pas acheter a decouvert ! la vente a decouvert est reserverer au institutionnelle et ça ne peut concerner que valeurs 4 ou 5 des plus grandes capi,comme Ittisalat Al Maghrib ( Maroc télécom ), ADH les petits porteurs n'ont pas le droit de le faire pour le moment. la vente a decouvert marche comme une operation normal sauf que sur ton portefeuille du verra les titres avec inscprition negatif ex: -5000 Ittisalat Al Maghrib ( Maroc télécom ).la regularisation se fera quand tu achete les titres. le contraire des ventes a decouvert c'est l'effet de levier. pour gagner dans les ventes a decouvert il faut maitriser l'analyse technique et graphique pour anticiper l'evolution des tendances. pour l'instant cette faveur est exclusif pour les instits et quelques valeurs grand capi. | |
| | | madex
Nbre méssages : 1980 Humeur : bon Réputation : 17 Inscris le : : 16/11/2008
| Sujet: Re: Séance du Mercredi 13 février 2012 Mer 13 Fév 2013 - 18:39 | |
| Sans délai : Le délai de publication d’une information importante court aussitôt que l’émetteur a pris connaissance de ladite information.
merci pour le texte,le cas cite' plus haut concerne une information importante,le PW est autre chose dont la date limite n'est pas precise'
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| | | amin
Nbre méssages : 1068 Réputation : 8 Inscris le : : 31/05/2011
| Sujet: Re: Séance du Mercredi 13 février 2012 Mer 13 Fév 2013 - 18:44 | |
| - Pelican a écrit:
- Est ce que le prêt de titres peut avoir un effet sur la baisse du marché actuellement ?
Je n'ai pas encore très bien assimilé le mécanisme des ventes à découvert dans notre contexte.... Tu sais Mr Pelican ce concept de vente à découvert m'a rappelé du documentaire suivant [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] (posté par Mr Satoune) Créer l'inexistant => destruction de valeur , c’est le résultat qu'on peut obtenir pour un marché immature. | |
| | | alpha74
Nbre méssages : 4639 Humeur : tranquil Réputation : 19 Inscris le : : 01/12/2008
| Sujet: Re: Séance du Mercredi 13 février 2012 Mer 13 Fév 2013 - 19:42 | |
| [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]La place casablancaise retrouve sa vraie place de «Frontier Market» ... | |
| | | alpha74
Nbre méssages : 4639 Humeur : tranquil Réputation : 19 Inscris le : : 01/12/2008
| Sujet: Re: Séance du Mercredi 13 février 2012 Mer 13 Fév 2013 - 19:52 | |
| Moody’s – Maroc : Une dégradation prévisible
13/02/2013 | Classé sous: Finance,Financements | Publié par: LNT
La place financière de Casablanca actuelle et future, telle que projetée par le projet d’en faire une plateforme internationale, a pris plusieurs coups ces derniers jours. En effet, les protagonistes, directeur de la Bourse et de CFC et autres personnes concernées, ont tenu une réunion cette semaine sur la gravite des nouvelles qui se sont succédées à savoir la dégradation de la note du Maroc par Moody’s et la sortie du Maroc du MSCI, indice regroupant plusieurs pays émergents. Mais franchement, comment pourrons-nous nous en étonner quand nous assistons depuis 2008 à une dégradation de la liquidité du marché boursier casablancais sans lever le petit doigt. La baisse de la liquidité se traduit tous les jours sous nos «yeux d’expert » par une rétraction des volumes traités sur le marché central, par une dépréciation des cours des sociétés fleurons de notre économie et par une capitalisation boursière qui se réduit en peau de chagrin.
Nous n’oublions pas qu’un des premiers engagements de M. Baraka notre Ministre des finances qui a démontré encore cette semaine son réalisme économique, en révélant les difficultés du Maroc pour 2013 allant dans le même sens que l’agence Moody’s, a été de s’attaquer à une réelle réforme du marché des capitaux. Un an après, aucune décision probante n’a été annoncée et encore moins légiférée, alors qu’une équipe continue à préparer CFC comme si le projet était réalisable dans de telles circonstances. Le contenu de la réforme de la bourse préalable à tout avancement en la matière est pourtant clair, il faut introduire de nouveaux instruments financiers pour améliorer la liquidité, de nouveaux compartiments pour de nouvelles introductions en bourse, de nouvelles règles d’évaluations des sociétés candidates donc une déontologie des banques d’affaires, un nouveau système d’information, la mise en place d’une chambre de compensation etc… Car, les campagnes de communication de la bourse s’adressent à des entreprises aujourd’hui qui attendent la relance du marché, à des personnes physiques qui ont laissé une grande partie de leurs économies et à des institutionnels qui devant provisionner les pertes de valeurs boursières commencent à afficher des résultats en baisse avant de passer obligatoirement aux pertes si la dépréciation boursière n’est pas stoppée.
Il faut restaurer la confiance en concrétisant les réformes c’est urgent mais aussi en ne mettant pas la charrue avant les boeufs en construisant physiquement la quartier financier, signant des accords avec des partenaires de taille comme les places Luxembourgeoise, Londres et Singapour qui deviennent des spectateurs de notre incompétence à réformer notre marché des capitaux… Si la relance ne se décrète pas comme prétendent certains, la passivité et l’attentiste ne sont pas de mise. C’est en période de crise que les réformes doivent être menées pour favoriser et conforter la reprise. D’autant que de part leur nature cyclique, les marchés ne peuvent que reprendre de la croissance comme le montre déjà l’amélioration des marché boursiers internationaux depuis l’été dernier….
Afifa Dassouli LNT .
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| | | madex
Nbre méssages : 1980 Humeur : bon Réputation : 17 Inscris le : : 16/11/2008
| Sujet: Re: Séance du Mercredi 13 février 2012 Mer 13 Fév 2013 - 21:30 | |
| de nouvelles règles d’évaluations des sociétés candidates donc une déontologie des banques d’affaires, un nouveau système d’information,
on a tue' la poule aux oeufs d'or,les banques et les Sociétés de bourse sont complices et responsables de cette situation,ils ont fait introduire des stes a la bourse avec des multiples de benefices exagerement eleves',maintenant ces banques et Sociétés de bourse et les pauvres petits porteurs payent les pots casses. on parle des coupures du personnel et meme des rumeurs sur la fermeture eventuelles des certaines Sociétés de bourse,voila ou on est maitenant
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| | | fadel
Nbre méssages : 2033 Humeur : bonne Réputation : 7 Inscris le : : 22/11/2008
| Sujet: Re: Séance du Mercredi 13 février 2012 Mer 13 Fév 2013 - 21:45 | |
| - madex a écrit:
- de nouvelles règles d’évaluations des sociétés
candidates donc une déontologie des banques d’affaires, un nouveau système d’information,
on a tue' la poule aux oeufs d'or,les banques et les Sociétés de bourse sont complices et responsables de cette situation,ils ont fait introduire des stes a la bourse avec des multiples de benefices exagerement eleves',maintenant ces banques et Sociétés de bourse et les pauvres petits porteurs payent les pots casses. on parle des coupures du personnel et meme des rumeurs sur la fermeture eventuelles des certaines Sociétés de bourse,voila ou on est maitenant
Que Karim hajji se souvienne de ses déclarations à l'éveil de 2012!!!! (+10% BVC, nouvelles introductions...). Résultat d’aujourd’hui: 265 MMDH de perte de la BVC, aucune introduction en bourse et un MASI de -15%)= son bilan. Moi à sa place je n'aurai pas hésité le moindre instant à déclarer mon incompétence et par conséquent me déclaré démissionnaire, par honneur, sauf si voudrait-il vouloir être remercier, comme ses prédécesseurs, moyennant pactole !!!!! | |
| | | abdel01s
Nbre méssages : 490 Réputation : 13 Inscris le : : 06/05/2009
| Sujet: Re: Séance du Mercredi 13 février 2012 Jeu 14 Fév 2013 - 1:04 | |
| - alpha74 a écrit:
- Moody’s – Maroc : Une dégradation prévisible
13/02/2013 | Classé sous: Finance,Financements | Publié par: LNT
La place financière de Casablanca actuelle et future, telle que projetée par le projet d’en faire une plateforme internationale, a pris plusieurs coups ces derniers jours. En effet, les protagonistes, directeur de la Bourse et de CFC et autres personnes concernées, ont tenu une réunion cette semaine sur la gravite des nouvelles qui se sont succédées à savoir la dégradation de la note du Maroc par Moody’s et la sortie du Maroc du MSCI, indice regroupant plusieurs pays émergents. Mais franchement, comment pourrons-nous nous en étonner quand nous assistons depuis 2008 à une dégradation de la liquidité du marché boursier casablancais sans lever le petit doigt. La baisse de la liquidité se traduit tous les jours sous nos «yeux d’expert » par une rétraction des volumes traités sur le marché central, par une dépréciation des cours des sociétés fleurons de notre économie et par une capitalisation boursière qui se réduit en peau de chagrin.
Nous n’oublions pas qu’un des premiers engagements de M. Baraka notre Ministre des finances qui a démontré encore cette semaine son réalisme économique, en révélant les difficultés du Maroc pour 2013 allant dans le même sens que l’agence Moody’s, a été de s’attaquer à une réelle réforme du marché des capitaux. Un an après, aucune décision probante n’a été annoncée et encore moins légiférée, alors qu’une équipe continue à préparer CFC comme si le projet était réalisable dans de telles circonstances. Le contenu de la réforme de la bourse préalable à tout avancement en la matière est pourtant clair, il faut introduire de nouveaux instruments financiers pour améliorer la liquidité, de nouveaux compartiments pour de nouvelles introductions en bourse, de nouvelles règles d’évaluations des sociétés candidates donc une déontologie des banques d’affaires, un nouveau système d’information, la mise en place d’une chambre de compensation etc… Car, les campagnes de communication de la bourse s’adressent à des entreprises aujourd’hui qui attendent la relance du marché, à des personnes physiques qui ont laissé une grande partie de leurs économies et à des institutionnels qui devant provisionner les pertes de valeurs boursières commencent à afficher des résultats en baisse avant de passer obligatoirement aux pertes si la dépréciation boursière n’est pas stoppée.
Il faut restaurer la confiance en concrétisant les réformes c’est urgent mais aussi en ne mettant pas la charrue avant les boeufs en construisant physiquement la quartier financier, signant des accords avec des partenaires de taille comme les places Luxembourgeoise, Londres et Singapour qui deviennent des spectateurs de notre incompétence à réformer notre marché des capitaux… Si la relance ne se décrète pas comme prétendent certains, la passivité et l’attentiste ne sont pas de mise. C’est en période de crise que les réformes doivent être menées pour favoriser et conforter la reprise. D’autant que de part leur nature cyclique, les marchés ne peuvent que reprendre de la croissance comme le montre déjà l’amélioration des marché boursiers internationaux depuis l’été dernier….
Afifa Dassouli LNT .
Salam pour tout le monde... Le Maroc fait comme celui qui prèpare un chien de garde avant même d'avoir les ressources de contruire son villa...rien à dire...sacré maroc!!! | |
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