Journée ( +Week-end) du 21/22/23 Novembre 2008

SOF est cinquième en termes de : volume et nombre de titres échangés
37500 * 387 = 14 512 500
:!: :?:

Bonjour;

wallah que je comprends rien
qu'est ce qui se passe a cette m***** de bourse marocaine
on est déconnecté des autres bourse ? oui c'est ca mon oeil
wallah que j'arrive plus a suivre ce marché de mer***


ana 3tit 7mari
mchi nbi3 chi koulkoul wla zerri3a 7ssen li

scénario optimiste :

ADH rebondit et va chercher son support long terme dans ce cas 2 possiblités :

1 --> La valeur franchit le support à la hausse.
2---> La valeur n'arrive pas à s'installer de nouveau sur le support qui deviendra alors résistance.

scénario pessimiste :

la valeur dégringole, le prochain support serait 60 dhs.

aboubarae a écrit:

wallah que je comprends rien
qu'est ce qui se passe a cette m***** de bourse marocaine
on est déconnecté des autres bourse ? oui c'est ca mon oeil
wallah que j'arrive plus a suivre ce marché de mer***


ana 3tit 7mari
mchi nbi3 chi koulkoul wla zerri3a 7ssen li

Si aboubarae

il n'ya plus rien à comprendre. Les dés sont jetés. Le marché est le plus fort......

Maintenant que faire ?????????

1 ERE OPTION : viser le LT ( il faut assumer l'idée d'être coincé pour plusieurs mois)

2 EME OPTION : Compartimenter son portefeuille en 3 catégories :

1. actions à garder quelque soit la moins value
2. actions à liquider quelque soit la moins value
3. actions à surveiller à très court terme pour une décision différée

Il faut prendre des décisions mais surtout les assumer et ne pas les regretter par la suite

Il faut aussi être prêt pour un rebond certain

Flash résultat définitif du duel Bennis Vs Bra-da :
* BENNIS :
Les 4 valeurs en rouge
===> Performence : -8000 (-4,00%)

* BRA-DA :
Les 4 valeurs en rouge aussi (moins 0,23% seulement sur LBV).
===> -8735 (-4,37%)

Bennis confirme son statut de roi lion des perdants.

Néanmoins, son Pifomètre est d'une précision chirurgicale pour arriver à une contre performance de 8000,00 dirhams.

Au suivant.

aboubarae a écrit:

wallah que je comprends rien
qu'est ce qui se passe a cette m***** de bourse marocaine
on est déconnecté des autres bourse ? oui c'est ca mon oeil
wallah que j'arrive plus a suivre ce marché de mer***


ana 3tit 7mari
mchi nbi3 chi koulkoul wla zerri3a 7ssen li

7mir RB !!! y a plus d acheteurs!! khalih 3andak ;)

(j rigole mon ami) LLAH YJIB LLI FIHA LKHIR

Appel à candidature pour se mesurer à notre champion de trader Bennis.

Le premier à se proposer occupe le siège de dualiste de la semaine prochaine.

Le P.F de quatre valeurs à choisir sur la base du cours de clôture de vendredi devra être transmis par MP à Admin durant ce week-end. Le PF définitif sera valorisé par Admin aux cours d'ouverture du lundi.

C'est l'occassion de tester certains choix et placements sans prendre aucun risque financier. Un bon galot d'entrainement.

A vos candidatures.

Bourse: Une gouvernance new-look?

· Un proche du ministère des Finances à la place de Berrada

· Retour à la formule direction générale et Conseil d’administration

LA liquidation des membres du directoire de la Bourse de Casablanca devrait être imminente. «C’est juste une question de gestion de paperasse administrative». C’est, en substance, ce qui est ressorti de la réunion marathon du Conseil de surveillance de la Bourse. Selon nos informations, le Conseil a convenu d’accepter les démissions volontaires de deux membres du directoire. «Fathallah Berrada, président, et Omar Idrissi Kaitouni, secrétaire général responsable du système d’information, ont décidé de partir de leur plein gré», souligne une source proche du dossier. En échange, ils auraient exigé une prime de départ d’un montant allant de 6 à 24 mois de salaire en fonction de l’ancienneté. Haya Hynd Bouhaya, la troisième concernée, devrait déposer sa démission incessamment. A l’heure où nous mettions sous presse, elle était la seule des trois responsables mis en cause à ne pas avoir pris une décision définitive.
En attendant, il ne s’agit plus seulement de «régler oui ou non les choses à l’amiable», il faut surtout taper du poing sur la table. Ayant demandé la démission des responsables du mauvais paramétrage du système de cotation de la BVC, les sociétés de Bourse avaient essuyé une fin de non recevoir. Le ministre leur avait demandé d’attendre le rapport de l’enquête du CDVM, sur les ventes à découvert et la diffusion d’informations non publiques. Selon nos informations, Salaheddine Mezouar semble, maintenant, vouloir donner suite à cette requête. En effet, il aurait recommandé et nommé Jamal Hamri, un de ses conseillers. Ce dernier sera en charge de l’intérim. Contacté par L’Economiste, Hamri dit n’avoir pas été informé de cette décision. Laquelle, pour lui, «revient au Conseil de surveillance de la Bourse». Mais de source persistante, le conseiller de Mezouar fera le lien entre les affaires de la Bourse et le ministère de tutelle le temps de l’intérim. Cette période ne devrait pas dépasser trois mois, en attendant la constitution de la nouvelle équipe dirigeante. Elle devrait être composée d’un minimum de deux personnes. Sur ce point, le conseil est déjà parti à la chasse de nouvelles têtes. Il va, sans aucun doute, ratisser large aussi bien au Maroc qu’à l’étranger, pour «trouver les personnes compétentes». Si l’information venait à être officialisée, ça sera pour Hamri une sorte de retour à ses premières amours. En effet, il a notamment dirigé City Bourse. La société de Bourse s’était vu retirer son agrément suite à sa décision de mise en liquidation durant l’été 2002. Le CDVM avait fixé le prix de rachat de sa quote-part dans le capital de la société gestionnaire par les autres sociétés de Bourse.
Autre décision du conseil serait de revenir à l’ancienne formule de gouvernance (direction générale et Conseil d’administration), puisque l’actuelle a montré ses limites, «même si sur le papier, c’est une belle formule rationnelle».

Contrôle


DANS son entretien accordé à L’Economiste (du 20 novembre), Dounia Taârji, DG du CDVM, a proposé de «remettre à plat et de clarifier les responsabilités des parties» qui contrôlent la Bourse. Pour elle, «il est temps de s’attaquer aux questions importantes, de gouvernance, d’actionnariat et de mode de contrôle».

M. A. B.

Envoyer à un amiImprimer cet article Agrumes et primeurs Près de 173.000 tonnes exportées Haj: Vers la création d’une agence de régulation!
Crise financière: La recette Zouhair Chorfi

· Doper le commerce extérieur

· Soutenir la demande intérieure


«POUR ne pas être impacté par la crise financière internationale, il faut vraiment être en dehors de la planète!» Anecdotiques, les propos de Zouhair Chorfi, à l’occasion de la conférence annuelle organisée par Attijariwafa bank, ont le mérite d’être au moins terre à terre. Pour le directeur du Trésor et des finances extérieures, si le Maroc peut se targuer d’avoir un PIB en hausse régulière, c’est grâce à la diversification de ses sources de croissance, tels que le secteur du BTP, des télécommunications… Mais cette croissance a été davantage tirée par la demande intérieure à travers ses deux composantes, la consommation et l’investissement, ce qui réduit notamment le rôle de la demande extérieure. «Cette indépendance place le Maroc dans une situation plus ou moins confortable», souligne Chorfi, qui insiste sur les performances du Maroc en matière de gestion de l’inflation. En effet, «à fin septembre 2008, le taux d’inflation en glissement annuel ressort à 3,3% au lieu de 2,5% un an auparavant», explique Chorfi. Au niveau de l’épargne et de l’investissement, «nous avons vécu avec un excédent pendant six ans et depuis 2007 nous avons un compte courant en quasi-équilibre, proche de 0 et -1%. Cet excédent du compte courant a permis une naissance de liquidités chez les acteurs économiques».
Concernant les effets de la crise, «pour les pays émergents qui dépendent des ressources extérieures, et dont la position extérieure est fragile, l’impact est direct et immédiat», prévient Chorfi. L’ensemble des pays émergents devraient pâtir, à différents degrés, du ralentissement de la demande extérieure émanant des pays développés. Cependant, à en croire l’orateur, le Maroc a une position extérieure solide. Les engagements du Royaume en devises envers les banques internationales représentent moins de 20% de son PIB. Par ailleurs, la dépendance des agents économiques vis-à-vis des financements extérieurs reste marginale grâce au développement des marchés de capitaux domestiques. Les engagements extérieurs des banques marocaines demeurent également faibles, puisqu’ils représentent seulement 1,2% de leurs ressources. Pour ce qui est des entreprises marocaines, leurs engagements en devises représentent à peine 3,3% des crédits qui leur sont accordés par les banques. S’agissant de la dette extérieure publique, elle s’est élevée à 130 milliards de DH à fin juin 2008, et représente dans sa quasi-totalité une dette à moyen et long termes. De plus, elle est dominée par la dette à l’égard des institutions financières internationales (51%) et des créanciers bilatéraux (37%). Pour ce qui est des banques internationales, leur part est de 12,2% à fin juin 2008 contre 18,4 % en 2003.
Comment expliquer cette faiblesse des engagements en devises?
Selon Chorfi, «les conditions de financement pour les entreprises sont meilleures sur le marché domestique, en raison de la réforme du secteur financier. De plus, la maîtrise du déficit budgétaire et le développement du marché des bons du Trésor ont permis la réduction du poids de la dette extérieure publique, puisque celle-ci représente en 2007 moins de 20% du PIB contre 44% en 2000».
Le projet de loi de Finances 2009 a été élaboré de manière à stimuler la demande intérieure et à renforcer la résilience de l’économie nationale. Ainsi, l’investissement public sera en forte progression. Une enveloppe de 44 milliards de DH sera ainsi débloquée pour soutenir la consommation, améliorer le pouvoir d’achat, et garantir la stabilité des prix (34 milliards de DH). A signaler aussi l’augmentation des salaires (3,5 milliards), la réduction du prélèvement fiscal sur les revenus (4,8 milliards de DH), ainsi que l’introduction de mécanismes de soutien aux démunis (1,5 milliard de DH). En outre, le budget de 2009 intègre également la diversification des sources de la croissance, via le renforcement des stratégies sectorielles.
Ainsi, concernant le secteur agricole, le plan Maroc vert sera axé sur deux piliers: le développement d’une agriculture à forte valeur ajoutée et à haute productivité, tourné essentiellement vers l’export, soit un investissement de 120 milliards de DH sur la période 2009-2020. Le second pilier concerne la mise à niveau solidaire du tissu productif au profit de 800.000 agriculteurs, notamment à travers la reconversion et le développement des activités agricoles locales, pour un investissement d’environ 20 milliards de DH, sur la même période. En raison de l’importance de ce secteur pour l’économie nationale, les crédits alloués à l’investissement ont progressé de 1,6 milliard de DH en 2008 à 4 milliards de DH en 2009, soit une augmentation de 2,4 milliards (+150%)
Le renforcement des secteurs exportateurs s’articulera autour de plusieurs aspects. Le tourisme en sera le fer de lance, avec l’allocation d’une enveloppe de 823 millions de DH, soit une augmentation de 11% par rapport à 2008. De manière générale, les crédits consacrés au secteur du commerce extérieur augmenteront de 40%. La promotion des exportations sera également soutenue via la création d’un fonds de 500 millions de DH, dont 250 millions pour 2009. Cependant, même avec le choc extérieur, la croissance prévue dans la loi de finances de 2009 reste quand même de 5%. «Nous avons un match dur à jouer, mais je suis sûr qu’on pourra s’en sortir», assure le directeur du Trésor.
Selon les prévisions du directeur du Trésor pour l’année 2009, les effets de la crise seront limités. Ils se manifesteront par un ralentissement des exportations, un tassement des recettes touristiques, une quasi-stagnation des IDE, faible évolution des transferts des MRE. Néanmoins ces effets négatifs seront contrebalancés par la vigueur de la demande intérieure, qui demeurera le principal moteur de croissance. Autre facteur positif, la baisse du cours du pétrole qui devrait se situer en 2009 aux alentours de 70 dollars le baril. Sans oublier le ralentissement des importations sous régime de l’admission temporaire.
A fin septembre, les importations des biens d’équipement et des demi-produits sont en augmentation respective de 27 et 22,4%. Les crédits à l’économie connaissent pour leur part une progression soutenue de 12,3%. Les termes des échanges sont également favorables: +20% à fin septembre. Sans oublier la bonne performance sur le plan de l’exécution de la loi de Finances 2008, ainsi que la réduction du poids de la dette du Trésor.

H. E. & A. B.