Séance du Mercredi 02 Avril 2014

Nbre méssages : 57 Inscris le : : 28/01/2014

alpha74 a écrit:: [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Je retiens ce passage très intéressant de l'article :

Un changement d'approche visible également dans les travaux de préparation de cette nouvelle stratégie, conçue entièrement par les cadres du minsitère. « J'ai appliqué une logique d'homme d'affaires. Avant de dépenser de l'argent, je pense d'abord à consommer ce que j'ai. Et le ministère regorge de compétences. Des experts marocains nous ont aussi accompagné bénévolement. Cette stratégie a coûté zéro dirham à l'Etat », explique le ministre. Les McKinsey, Valyans et autres cabinets de conseil stratégiques doivent s'en mordre les doigts...

Bravo Monsieur le Ministre.

Nbre méssages : 4639 Inscris le : : 01/12/2008

mz.benabdallah a écrit:

alpha74 a écrit:: [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Je retiens ce passage très intéressant de l'article :

Un changement d'approche visible également dans les travaux de préparation de cette nouvelle stratégie, conçue entièrement par les cadres du minsitère. « J'ai appliqué une logique d'homme d'affaires. Avant de dépenser de l'argent, je pense d'abord à consommer ce que j'ai. Et le ministère regorge de compétences. Des experts marocains nous ont aussi accompagné bénévolement. Cette stratégie a coûté zéro dirham à l'Etat », explique le ministre. Les McKinsey, Valyans et autres cabinets de conseil stratégiques doivent s'en mordre les doigts...

Bravo Monsieur le Ministre.

ca c'est bien aussi Very Happy

, moi je retiens dans tout ca deux choses essentielles :
*

1 - une volonté royale de s'impliquer dans la strategie industrielle du Pays , notez aussi l'implication du fond Hassan 2 et la creation d'un fond souverain .

2 - la prise de conscience de tous les acteurs que notre développement economique passe avant tout par la consolidation et le renforcement du tissu national .

Nbre méssages : 496 Réputation : -2 Inscris le : : 20/07/2013

02/04/2014 09:54:38Maroc : ENNAKL - Des réalisations financières 2013 au beau fixe

Fait : Publication des comptes sociaux annuels 2013. Analyse : Pour le concessionnaire tunisien du Groupe VOLKSWAGEN AG, ENNAKL AUTOMOBILES, l’année 2013 a été marquée par : - Le lancement d’un projet stratégique portant sur la période 2013-2016 « CAP 2016 », en collaboration avec un cabinet de consulting de renommée, visant (1) l’amélioration de la rentabilité de la société, (2) le renforcement de la position de la société en tant que leader sur le marché de l’automobile et (3) l’amélioration du niveau de satisfaction des clients ; - L’élargissement du réseau de distribution à 22 agences, suite à l’inauguration du nouveau atelier agrée de la MARSA ; - L’ouverture du nouveau terminal AUDI ; - Et, le lancement de nouveaux modèles notamment la nouvelle GOLF, la nouvelle SEAT TOLEDO, la nouvelle SEAT LEON et la nouvelle POLO SEDAN. Partant, la société affiche, au terme de l’exercice 2013, un chiffre d’affaires social de M TND 278,5 (soit M MAD 1 361,8 vs. nos prévisions annuelles de M MAD 1 206,, en progression de 12,2% comparativement à l’année précédente. Cette situation s’explique notamment par un mois de décembre exceptionnel marqué par des ventes de 1 114 unités en accroissement de 89% par rapport au mois de novembre 2013 et ce, malgré une dévaluation du dinar tunisien par rapport à l’Euro, ayant induit la hausse des prix de vente des différents modèles à plusieurs reprises. Dans une ample mesure, le résultat d’exploitation se hisse de 61,7% à M TND 10,0 (soit M MAD 49,1), consécutivement à (1) la maîtrise des coûts de ventes, qui représentent 89,5% des revenus contre 91% l’année précédente et (2) l’accroissement des autres produits d’exploitation de 67,8% à M TND 4,2 (soit M MAD 20,6). De ce fait, la marge opérationnelle se bonifie de 1,2 points à 3,6%. Pour sa part, le résultat financier s’améliore de 1,5% à M TND 7,4 (soit M MAD 36,1), suite à l’amélioration des produits financiers de 1,3% à M TND 7,6 (soit M MAD 37,4). Enfin, le résultat net social gagne 36,6% à M TND 15,4 (soit M MAD 75,2 vs. nos prévisions annuelles de M MAD 67,6), établissant la marge nette à 5,5% en 2013 contre 4,5% en 2012. Conclusion : A fin 2013, ENNAKL AUTOMOBILES affiche des réalisations en nette amélioration. Valorisation et recommandation en cours d’actualisation. (Source : BMCE K BOURSE)

Nbre méssages : 496 Réputation : -2 Inscris le : : 20/07/2013

02/04/2014 09:54:38Maroc : MEDIACO - De mal en pis

Fait : Publication des résultats annuels. Analyse : Au titre de 2013, MEDIACO affiche un chiffre d’affaires de M MAD 41,9, en amélioration de 25,3% par rapport à 2012. Le résultat d’exploitation se redresse affichant un excédent à M MAD 12,9, eu égard à une reprise d’exploitation de M MAD 29,3. Le résultat financier allège son déficit à M MAD -2,3 en 2013 contre M MAD -15 ,5 en 2012 du fait de la baisse des charges d’intérêt. Le résultat non courant passe de K MAD 112 à M MAD -27,3 en 2013 en raison d’autres charges non courantes de M MAD 16,3. Dans ce sillage, le résultat net demeure négatif à M MAD -17 contre M MAD -40 en 2013. Structurellement négatif, le fonds de roulement passe M MAD 98,7 à M MAD 86,1 suite à la baisse de 15% de l’actif immobilisé à M MAD 178,7. Le BFR se monte à M MAD 12,1 contre K MAD -235,6 notamment dû au repli de 78,1% des stocks à K MAD 939. Eu égard à la stagnation des dettes de financement et d’une trésorerie nette négative à M MAD -98,3, la dette nette s’établit à M MAD 235,9 en 2013. Il est à noter que suite au cumul des pertes des dernières années, les capitaux propres creusent leur déficit à M MAD -45,3 contre -26,1 en 2012. Enfin, les CAC attirent l’attention sur les points suivants : - Les comptes 2012 n’ayant pas été approuvés par l’assemblée générale, les CAC ne sont pas en mesure d’évaluer ni procéder aux ajustements éventuels pouvant affecter les capitaux propres d’ouverture ; - La société a établi la situation provisoire au 31 décembre 2013 sous le respect de la continuité d’exploitation. L’application de ce principe ne prend pas en considération les ajustements éventuels qui s’avéreraient nécessaires si la société venait à cesser son activité. Les CAC ne sont donc pas en mesure de se prononcer sur la présentation de cette situation ; - La société a procédé à un inventaire physique du «matériel roulant» et du «matériel et outillages» dont le montant total au 31 décembre 2013 s’élève à M MAD 151, auquel les CAC n’ont pas assisté. Les résultats de cet inventaire physique font ressortir un écart de M MAD 74 sur la valeur brute correspondant aux immobilisations non trouvées ou saisies par les créanciers. Cet écart d’inventaire a donné lieu à la comptabilisation d’une perte dans les comptes 2013 pour un montant de M MAD 12,3. Les autres éléments de l’actif corporel immobilisé pour M MAD 8 n’ont pas fait l’objet d’un inventaire physique. Par ailleurs, les CAC ont identifié l’existence de matériels non utilisés nécessitant d’importantes réparations pour lesquelles aucune perte de valeur n’a été constatée dans les comptes. Compte tenu des points évoqués ci-dessus, les CAC ne sont pas en mesure de prononcer la valeur des immobilisations au 31 décembre 2013 ; - Les CAC n’ont pas assisté à l’inventaire physique des stocks de marchandises et consommables effectués le 31 Décembre 2013 et dont le montant s’élève à M MAD 1. Les résultats de l’inventaire physique des stocks font ressortir des marchandises et consommables non trouvés pour un montant de M MAD 2,8. La comptabilisation de cet écart a eu pour impact la diminution du résultat de l’exercice du même montant. Les CAC ne sont pas en mesure de se prononcer sur la valeur des ces stocks au 31 décembre 2013 ; - L’examen des comptes clients au 31 décembre révèle l’existence de créances hors Groupe anciennes pour un montant toutes taxes comprises de M MAD 20. La provision pour dépréciation des comptes clients s’élève à M MAD 2 et pourrait s’avérer insuffisante ; - Les créances clients envers le Groupe au 31 décembre 2013, déduction faite des dettes fournisseurs envers le Groupe, totalisent un montant de M MAD 36. En réponse à la confirmation de solde, MEDIACO INTERNATIONAL reconnait une dette inférieure de M MAD 29 à celle constatée dans les comptes de la société. L’ensemble de ces comptes aurait dû être provisionné selon les CAC ; - La société a annulé des provisions d’intérêt courus sur les emprunts et encours bancaires pour un montant de M MAD 22 comptabilisées durant les exercices précédents, et le montant des intérêts au titre de cet exercice estimé à M MAD 12. Les CAC déclarent ne pas être en mesure de se prononcer sur ces annulations ; - Un recours collectif contre la société pour le motif de licenciement abusif a été déposé en juillet 2012. Aucune provision pour faire face à ce risque n’a été constatée dans les comptes de la société. N’ayant pas reçu de réponse à leurs demandes de confirmation de la part des avocats de la société, les CAC ne sont pas en mesure de prononcer les ajustements éventuels qui pourraient résulter de la réception de ces confirmations ; - La société a fait l’objet d’un contrôle fiscal au titre de l’impôt sur les sociétés, de l’impôt sur les revenus et de la taxe sur la valeur ajoutée, couvrant les exercices allant de 2009 à 2012. Dans sa réponse relative à la première notification reçue relative à l’exercice 2009, la société a rejeté l’ensemble des chefs de redressements qui lui ont été notifiés. A ce stade, les CAC ne sont pas en mesure de savoir quelle sera l’issue finale de ce contrôle ni son impact éventuel définitif sur les comptes de la société. Par ailleurs, la société a été notifiée par l’administration fiscale d’un commandement à payer pour M MAD 6. Aucune provision n’a été constituée par la société. Il est à noter également que la société n’a pas comptabilisé les pénalités de retard pour non paiement des impôts, taxes et cotisations aux organismes sociaux ; - La société a procédé au cours de l’exercice 2011 à la réévaluation de ses actifs ce qui a donné lieu à la constatation d’un écart de réévaluation de M MAD 130. Cette réévaluation a porté essentiellement sur un terrain, dont la cession a été annulée ainsi que de divers matériels et outillages ; - Du fait des pertes cumulées, la situation nette de la société est devenue inférieure au quart du capital social. La société devrait se confirmer aux dispositions de l’article 357 de la loi 17-95 telle que complétée et modifiée par la loi 20-05. Au vu des éléments précités, les CAC déclarent que la situation provisoire des comptes publiés ne donne pas l’image fidèle du résultat des opérations de la période écoulée ainsi que de la situation financière et du patrimoine de la société arrêtés au 31 décembre 2013, conformément au référentiel comptable admis au Maroc. Conclusion : Suite au refus du Tribunal de Commerce de la demande de liquidation judiciaire de la société et face au litige concernant sa propriété, MEDIACO continue à cumuler des pertes ne devant pas lui permettre en principe de rembourser l’Emission Obligataire émise en 2007 et dont l’échéance arrive en 2014. (Source : BMCE K BOURSE)

Nbre méssages : 8 Réputation : -1 Inscris le : : 28/02/2014

Snep reste le bon choix pour investissement long terme.

Nbre méssages : 496 Réputation : -2 Inscris le : : 20/07/2013

02/04/2014 10:38:14Maroc : Sidérurgie - les mesures de sauvegarde ramenées à 2 ans

Fixées initialement à 4 ans, les clauses de sauvegarde accordées à la branche de production nationale seront ramenées à deux ans (2014-2015). Les importateurs devront payer un droit additionnel de 550 MAD/tonne. Il cible le fil machine et le rond à béton. La décision sera actée par arrêté ministériel. Mais elle a déjà été prise par le département du commerce extérieur via son avis 03/14. Les contingents exonérés de la taxe sont fixés à 100 000 tonnes pour le fil machine et à 60 000 tonnes pour le rond à béton. (Source : SOGECAPITAL BOURSE)

Nbre méssages : 496 Réputation : -2 Inscris le : : 20/07/2013

02/04/2014 10:38:14Maroc : CMT renforce sa présence à l’étranger

La Compagnie Minière de Touissit (CMT) poursuit son développement à l’international. Après la prise de participation de Minière de Guyane à 100%, CMT a racheté 40% d’OSEAD Niger pour 10 000 MAD. Elle a également augmenté sa participation dans OSEAD Côte d’Ivoire pour un montant de 778 000 MAD. (Source : SOGECAPITAL BOURSE

Nbre méssages : 57 Réputation : 1 Inscris le : : 28/01/2014

alpha74 a écrit:

mz.benabdallah a écrit:: Je retiens ce passage très intéressant de l'article :
Un changement d'approche visible également dans les travaux de préparation de cette nouvelle stratégie, conçue entièrement par les cadres du minsitère. « J'ai appliqué une logique d'homme d'affaires. Avant de dépenser de l'argent, je pense d'abord à consommer ce que j'ai. Et le ministère regorge de compétences. Des experts marocains nous ont aussi accompagné bénévolement. Cette stratégie a coûté zéro dirham à l'Etat », explique le ministre. Les McKinsey, Valyans et autres cabinets de conseil stratégiques doivent s'en mordre les doigts...
Bravo Monsieur le Ministre.

ca c'est bien aussi Very Happy

, moi je retiens dans tout ca deux choses essentielles :
*

1 - une volonté royale de s'impliquer dans la strategie industrielle du Pays , notez aussi l'implication du fond Hassan 2 et la creation d'un fond souverain .

2 - la prise de conscience de tous les acteurs que notre développement economique passe avant tout par la consolidation et le renforcement du tissu national .

Vous avez tout à fait raison.
En fait. On ne peut que se réjouir, en tant que marocains, de la dynamique positive et du vent de modernité qui semble souffler depuis qqs temps sur la politique de développement socio économique menée par notre pays et personnellement orchestrée par S.M. Le Roi en personne.
La récente tournée Africaine et les multiples contrats qui ont été signés à cette occasion n'en sont qu'un exemple qui nous donne plusieurs longueurs d'avance sur les pays voisins.
J'ai été aussi fort impressionné par le projet présenté hier pour le développement de la nouvelle zone autour de la marina de Casablanca.
Que de grands projets intégrés qui semblent s'inscrire dans le cadre d'une réelle "vision stratégique".
Espérons cependant que le facteur humain ne sera pas oublié et qu'une politique adéquate d'accompagnement au niveau de la formation des ressources humaines sera menée en parallèle.
Le plan d'émergence industrielle, présenté à l'époque, par M. Ahmed Reda Chami avait pas mal souffert de l'insuffisante implication du secteur de la formation, notamment au niveau universitaire.
l'OFPPT ne peut en aucun cas, être le seul acteur concerné du domaine de la formation.
Il faut créer de réelles synergies avec le monde universitaire public et privé.

Vaste débat ...

Nbre méssages : 8 Réputation : -1 Inscris le : : 28/02/2014

Mr Abdou conseil a propos jlec merci bcp.

Nbre méssages : 57 Réputation : 1 Inscris le : : 28/01/2014

BMW a écrit:

02/04/2014 10:38:14Maroc : CMT renforce sa présence à l’étranger

La Compagnie Minière de Touissit (CMT) poursuit son développement à l’international. Après la prise de participation de Minière de Guyane à 100%, CMT a racheté 40% d’OSEAD Niger pour 10 000 MAD. Elle a également augmenté sa participation dans OSEAD Côte d’Ivoire pour un montant de 778 000 MAD. (Source : SOGECAPITAL BOURSE

Et pourtant, on pouvait lire dans le dernier numéro de la vie économique un article où les analystes de CFG préconisaient la vente immédiate des titres de la valeur CMT qui devrait connaître rapidement une forte baisse.

Faut il faire confiance à leur recommandation ?

Nbre méssages : 8 Réputation : -1 Inscris le : : 28/02/2014

Tableau de dividende merci bcp.et tableau programme achat des societes cotees.

Mr benabdallah , je remets votre analyse sur le pb de la formation car elle est peut etre passée inapercue :

Bonjour tout le monde.
Je suis très heureux de lire des analyses sur la politique nationale en matière de formation de cadres au sein de ce forum.
C'est un problème sérieux et tous les gouvernements précédents "se sont cassé les dents" là dessus.
Il y a eu un début de réflexion approfondie sur la problématique en 1999 au sein de la Commission Spéciale de l'Education et de la Formation (COSEF) formée par feu Hassan II et coordonnée par feu Meziane Belfquih.
Les travaux de cette commission ont abouti à un large consensus de toutes les forces vives de la nation sur une "charte" nationale de l'éducation et de la formation.
C'est le document le plus abouti et la réflexion la plus sérieuse qui a été faite au Maroc sur la question.
Beaucoup de choses intéressantes ont été faites depuis mais beaucoup reste à faire car tous les objectifs de la charte sont loin d'être atteints, faute de continuité dans la politique gouvernementale dans le domaine.
Il est malheureux de constater que chaque nouveau ministre, au lieu de capitaliser sur les acquis de son prédécesseurs, décrie son bilan et annule toutes ses décisions pour reprendre tout à zéro.
Que d'efforts perdus et que des milliards de dhs engloutis dans des actions sans lendemain.
En 2008, le conseil supérieur de l'enseignement avait publié un rapport "courageux" sur l'état de notre système éducatif et préconisé la mise en place d'un plan d'urgence pour la mise à niveau de nos établissements scolaires et universitaires tout en s'engageant dans une réflexion stratégique sur la politique de formation à moyen et long terme.
Le gouvernent Jettou avait initié en 2006 une très prometteuse politique de formation de cadres sur la base des besoins des divers secteurs de l'économie nationale. (Programmes de formation dans le cadre d'une politique contractuelle entre les universités et l'état, d'ingénieurs, de cadres pour l'off shoring, de médecins, de travailleurs sociaux, etc.)
L'état a consacré 43 milliards de dhs au programme d'urgence et une politique claire et rationnelle basée sur des objectifs chiffrés et un suivi sur la base d'indicateurs de performance commençait à se mettre en place.

Toute cette dynamique positive a été "torpillée" par le gouvernement Benkirane dont les ministres en charge des portefeuilles de l'éducation nationale (Louafa) et de l'enseignement supérieur (Daoudi) ont pris un malin plaisir à tout stopper et à s'engager dans une politique démagogique de "mou7arabat al fassad" sur la base d'actions irréfléchies et sans aucune suite dans les idées.
S.M. Le roi les a rappelé à l'ordre d'ailleurs dans un récent discours du trône en soulignant la nécessité de préserver les acquis des gouvernements précédents dans le domaine de l'éducation.

Aujourd'hui, 14 ans après, je pense qu'il serait temps que l'on initie de nouveau un large débat national impliquant toutes les forces vives de la nation, loin de toute démagogie politicienne et électoraliste.
Nous avons réellement besoin d'une nouvelle charte nationale de l'éducation et de la formation qui fasse l'objet d'un consensus et dont les orientations et la mise en œuvre ne soient plus remises en questions à chaque changement de majorité gouvernementale.

L'avenir de l'économie nationale de notre pays en dépend.

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