Séance du Mardi 10/03/2015

Conquerant a écrit:

Pour la SNP, Certains voient en cette baisse une occasion inespérée de faire des plus values ....C'est la dichotomie classique Moitié pleine, moitié vide du verre...A méditer

Une façon unique de faire des plus values, je suppose.

bonjour

je suis débutant dans cette aventure de bourse marocaine.

je veux savoir si l'achat des actions de SNEP dans cette période est une bonne affaire ou pas? 

merci 

Pelican a écrit:

abk1 a écrit:

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C'est quand tu as une épicerie et tu demandes à un professeur d'économie de te montrer comment tu va découper le fromage edam et le vendre au détail.
Ce n'est pas une  du banque d'affaire qui fait le business plan, ce sont les gens du métier, à l'intérieur de la boite. Or, à vouloir désigner un évaluateur étranger, il parrait que les bailleurs de fonds n'ont plus confiance dans le management du groupe.

Personellement je l'ai remarqué lors de l'AG :
Mr Sebti ne " souvenait plus du taux de l'ancien emprunt ".
Mr Brahim Skalli, directeur de la stratégie a passé 5 minutes à expliquer qu'ils sont en train de refaire la stratégie.
Que vaut une stratégie lorsqu'on arrive à bord du précipice ?
C'est peut etre à cause de celà que Belmaachi a quitté le navire et qu'il est coulé juste aprés. Non pas car il est bon ou pas, mais qu'il y'a un malaise dans le cockpit de pilotage.

Bonjour,
Il y a aussi la possibilité d'une éventuelle réelle pression des bailleurs de fonds, en plus du choix d'un étranger et vrai professionnel du B.P (c.à.d pas la cata de nos banques d'affaires qui ne prennent pas les pp au sérieux même quand ces dernier en le dernier mot en mettant les premier plein dedans au point que les bailleurs de fonds ne font plus confiance à ceux qui débordent de confiance mais arbitrairement), pour scinder le poste de PDG d'A.L en deux par le recrutement d'un nouveau DG de renommé reconnue professionnellement et avec les pleins pouvoirs (A.L reste président mais sans gérer le quotidien). Ils auront du mal à trouver un candidat valable pour accepter facilement ce défi alors que ADI est déjà en réanimation.

Dans le cadre des chamboulements aux sommets des immobilières, après CGI, la fille d'A.S occuperait éventuellement les fonctions de vice président de ADH. Donc, le management d'ADH restera familiale car les 3 postes clefs seront respectivement occupé par S. père, S. fille, S. neuveu et S. fils (filiales étrangères). Espérons que le mixte ancienne et nouvelle génération, appuyés par des non actionnaires, donnera de meilleurs résultats qu'avant.

belayachi a écrit:

bonjour

je suis débutant dans cette aventure de bourse marocaine.

je veux savoir si l'achat des actions de SNEP dans cette période est une bonne affaire ou pas? 

merci 

Bonjour et bienvenu, 

l'achat de bouquins (meme pas juste telecharger et etudier) sera une trés bonne Affaire. et un conseil de combatant ! la bourse n'est plus source d'argent pour les petits porteurs.

en gros ne touches surtout pas au valuer a probleme et suit les intervention sur le forum, pour te familiariser avec les pratiques.



sinon Y a pas d’opportunité sur la SNEP, et meme s'il y en avait vous y prenez bcp de risque mais vraiment bcp , il faut arreter d'etre maso avec soit meme ! rah rza9 wladkoum hada ! ne le dilapider pas pour suivre une mode !

belayachi a écrit:

bonjour

je suis débutant dans cette aventure de bourse marocaine.

je veux savoir si l'achat des actions de SNEP dans cette période est une bonne affaire ou pas? 

merci 

ça peut être une opportunité, si le cours se stabilise et remonte la pente, comme ça peut être un risque si la chute du cours continue...Nos confrères vous dirons qu'il ne faut jamais attraper un couteau qui tombe..."il ne faut jamais acheter une valeur dont le cours est sur une pente descendante...mais il faut dire que celles qui sont sur une pente ascendante ne sont pas légion en cette période..Ce qui est sure, c'est que certains voient en cette chute du cours une opportunité, sinon, comment expliquer le volume de 1,403 actions vendues ce matin ?
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Ce n'est pas une incitation à la vente ni à l'achat...

Pelican a écrit:

abk1 a écrit:

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C'est quand tu as une épicerie et tu demandes à un professeur d'économie de te montrer comment tu va découper le fromage edam et le vendre au détail.
Ce n'est pas une  du banque d'affaire qui fait le business plan, ce sont les gens du métier, à l'intérieur de la boite. Or, à vouloir désigner un évaluateur étranger, il parrait que les bailleurs de fonds n'ont plus confiance dans le management du groupe.

Personellement je l'ai remarqué lors de l'AG :
Mr Sebti ne " souvenait plus du taux de l'ancien emprunt ".
Mr Brahim Skalli, directeur de la stratégie a passé 5 minutes à expliquer qu'ils sont en train de refaire la stratégie.
Que vaut une stratégie lorsqu'on arrive à bord du précipice ?
C'est peut etre à cause de celà que Belmaachi a quitté le navire et qu'il est coulé juste aprés. Non pas car il est bon ou pas, mais qu'il y'a un malaise dans le cockpit de pilotage.

la mon ami je suis pas d,accord avec toi; je vais parler en général;

dans tous les domaines les entreprises ou les institutions font appel a des équipes externes pour résoudre des problèmes particuliers; parfois c,est par manque de compétence, ou de temps (les gens sont pris par les problèmes quotidien d,exploitation) ou tout simplement pour faire bénéficier l'entreprise des dernières innovations techniques ou de gestion (une manière d'être au niveau de ce qui se passe ailleurs);

j'ai eu a faire des travaux de ce genre mais dans un autre domaine; une fois tu rentre a l'entreprise se sont les cadres de l'entreprise qui t'explique tout au point que tu lis dans leurs yeux qu'ils se demandent ce que tu fais la-bas; mais une fois tu fais ton diagnostic et tu sort tes résultats la il se rendent comptent que tu as fais un travail auquel personne n,a pensé auparavant;

vous dites vous même que ces gens la sont incapables d,élaborer une stratégie; mais ils sont capables de parler des heures et des heures pour vous décrire leur travail; donc a mon avis éxternaliser des travaux de ce genre est judicieux.

agora a écrit:

Pelican a écrit:

C'est quand tu as une épicerie et tu demandes à un professeur d'économie de te montrer comment tu va découper le fromage edam et le vendre au détail.
Ce n'est pas une  du banque d'affaire qui fait le business plan, ce sont les gens du métier, à l'intérieur de la boite. Or, à vouloir désigner un évaluateur étranger, il parrait que les bailleurs de fonds n'ont plus confiance dans le management du groupe.

Personellement je l'ai remarqué lors de l'AG :
Mr Sebti ne " souvenait plus du taux de l'ancien emprunt ".
Mr Brahim Skalli, directeur de la stratégie a passé 5 minutes à expliquer qu'ils sont en train de refaire la stratégie.
Que vaut une stratégie lorsqu'on arrive à bord du précipice ?
C'est peut etre à cause de celà que Belmaachi a quitté le navire et qu'il est coulé juste aprés. Non pas car il est bon ou pas, mais qu'il y'a un malaise dans le cockpit de pilotage.

Bonjour,
Il y a aussi la possibilité d'une éventuelle réelle pression des bailleurs de fonds, en plus du choix d'un étranger et vrai professionnel du B.P (c.à.d pas la cata de nos banques d'affaires qui ne prennent pas les pp au sérieux même quand ces dernier en le dernier mot en mettant les premier plein dedans au point que les bailleurs de fonds ne font plus confiance à ceux qui débordent de confiance mais arbitrairement), pour scinder le poste de PDG d'A.L en deux par le recrutement d'un nouveau DG de renommé reconnue professionnellement et avec les pleins pouvoirs (A.L reste président mais sans gérer le quotidien). Ils auront du mal à trouver un candidat valable pour accepter facilement ce défi alors que ADI est déjà en réanimation.

Dans le cadre des chamboulements aux sommets des immobilières, après CGI, la fille d'A.S occuperait éventuellement les fonctions de vice président de ADH. Donc, le management d'ADH restera familiale car les 3 postes clefs seront respectivement occupé par S. père, S. fille, S. neuveu et S. fils (filiales étrangères). Espérons que le mixte ancienne et nouvelle génération, appuyés par des non actionnaires, donnera de meilleurs résultats qu'avant.

@pélican tout le monde sait pourquoi belmaachi a quitté le navire et surtout s'est fait remercié et s'est cassé hors territoire tout en ayant crée ca propres boite de promotion immobiliere et BTP d'apres ce qui circule ! et c'est lui apparement qui es tà la base de la transaction EMT et l'autre filliale défaillante du groupe ! ce qui se dit dans les journaux n'est pas toujours ce qui circule dans le monde des affaires !

Conquerant a écrit:

belayachi a écrit:

bonjour

je suis débutant dans cette aventure de bourse marocaine.

je veux savoir si l'achat des actions de SNEP dans cette période est une bonne affaire ou pas? 

merci 

ça peut être une opportunité, si le cours se stabilise et remonte la pente, comme ça peut être un risque si la chute du cours continue...Nos confrères vous dirons qu'il ne faut jamais attraper un couteau qui tombe..."il ne faut jamais acheter une valeur dont le cours est sur une pente descendante...mais il faut dire que celles qui sont sur une pente ascendante ne sont pas légion en cette période..Ce qui est sure, c'est que certains voient en cette chute du cours une opportunité, sinon, comment expliquer le volume de 1,403 actions vendues ce matin ?
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Ce n'est pas une incitation à la vente ni à l'achat...

comment tu qualifies le volumes de ce matin ?

CIH est dans les starting blocks, comme dans une course au moment du départ
Essayez de gérer votre stress, et n'oubliez pas de travailler à côté de la bourse..

Surement il aura droit aussi au respect en tant que militant honnête. Normale, il est un des représentant de H.C dans le sud du pays. Que vaut le témoignage administratif écrit d'un Boussaid, ministre non Istiqlalien, face au témoignage verbal de moralité de H.C, président du PI de l'opposition?

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agora a écrit:

Pelican a écrit:

C'est quand tu as une épicerie et tu demandes à un professeur d'économie de te montrer comment tu va découper le fromage edam et le vendre au détail.
Ce n'est pas une  du banque d'affaire qui fait le business plan, ce sont les gens du métier, à l'intérieur de la boite. Or, à vouloir désigner un évaluateur étranger, il parrait que les bailleurs de fonds n'ont plus confiance dans le management du groupe.

Personellement je l'ai remarqué lors de l'AG :
Mr Sebti ne " souvenait plus du taux de l'ancien emprunt ".
Mr Brahim Skalli, directeur de la stratégie a passé 5 minutes à expliquer qu'ils sont en train de refaire la stratégie.
Que vaut une stratégie lorsqu'on arrive à bord du précipice ?
C'est peut etre à cause de celà que Belmaachi a quitté le navire et qu'il est coulé juste aprés. Non pas car il est bon ou pas, mais qu'il y'a un malaise dans le cockpit de pilotage.

Bonjour,
Il y a aussi la possibilité d'une éventuelle réelle pression des bailleurs de fonds, en plus du choix d'un étranger et vrai professionnel du B.P (c.à.d pas la cata de nos banques d'affaires qui ne prennent pas les pp au sérieux même quand ces dernier en le dernier mot en mettant les premier plein dedans au point que les bailleurs de fonds ne font plus confiance à ceux qui débordent de confiance mais arbitrairement), pour scinder le poste de PDG d'A.L en deux par le recrutement d'un nouveau DG de renommé reconnue professionnellement et avec les pleins pouvoirs (A.L reste président mais sans gérer le quotidien). Ils auront du mal à trouver un candidat valable pour accepter facilement ce défi alors que ADI est déjà en réanimation.

Dans le cadre des chamboulements aux sommets des immobilières, après CGI, la fille d'A.S occuperait éventuellement les fonctions de vice président de ADH. Donc, le management d'ADH restera familiale car les 3 postes clefs seront respectivement occupé par S. père, S. fille, S. neuveu et S. fils (filiales étrangères). Espérons que le mixte ancienne et nouvelle génération, appuyés par des non actionnaires, donnera de meilleurs résultats qu'avant.

j'ai posté une intervention le 18 février qui parle de cette problématique :

merci Mr pélican pour ces informations et cette analyse qui dépasse de loin le cas de ADI et pourrait être généralisée a tout notre capitalisme familiale au maroc; en effet, si notre économie de rente a accouché dans la douleur (injustice sociale) d'une bourgeoisie locale  et que cette dernière a pu mettre en place  un capitalisme familiale ce dernier a joué son rôle et atteint ses limites. maintenant on doit passer a autre chose : des entreprises moderne capable de lever le défit de la croissance et la conquête de nouveaux marchés;  

nos entreprises ont vu la naissance et grandit dans un cadre ou nos chefs d,entreprise dirigent non pas parce qu'ils ont les compétences requises mais tout simplement parce qu'il détiennent le capital; pire que ça les principaux postes de responsabilité ne sont pas accordés selon les compétences mais plutôt selon le degré de confiance et retrouvent principalement entre les mains de la famille ou des proches. l,entreprise se trouve ainsi privée des compétence que nécessite sa croissance, la conjoncture et les défis qu'elle doit lever;

c,est comme un enfant qui grandit mais dont les capacités mentales ne se développent pas en conséquence; et ben ça donne un mongolien.

c,est exactement ce qui arrive a nos entreprises; elles ont grossit certaines sont même devenu des monstres qui se développent a l,international mais gardent leurs méthodes archaïques de gestion;

pour lever le défit a l'international ou meme chez nous, puisque le maroc a opté pour l'ouverture, nos entreprises doivent être institutionnalisé et  se mettre au diapason des technique de gestion international;

et croyez moi la meilleur occasion pour se restructurer c,est une crise tel que ce qui se passe dans le secteur immobilier. c'est la que les dysfonctionnement sont mis a nu;  

et c'est ce a quoi on assiste chez ADI; une entreprise familiale dirigé a la recette stalinienne ou Mr Lazraq fait tout.  l'euphorie immobilière a camouflé les défaillances de gestion mais trois événements majeurs ont bouleversé cet équilibre instable :

1- la crise dans l'immobilier

2- l,achat des EMT;

3- les marchés publics

la crise de l,immobilier a montré que l,entreprise ne fait aucune étude prospective donc pas de stratégie long terme mais plutôt une navigation a vue (ce que remarque pélican dans sa rencontre). et cela est lié au fait du caractère familiale de la gestion de l,entreprise qui ne favorise les recrutements des cadres adéquats capables de faire le travail d,anticipation que requiert la conjoncture;

de l,autre coté en achetant EMT Lazraq a voulu se diversifier mais a oublier qu,il ne peut gérer directement un métier qu,il ne maitrise pas a cause des raisons que j,ai développés ci dessus; résultats EMT au lieu jouer le rôle de bouée pour  ADI durant cette période de crise immobilière elle s'est transformée en ânée pesante qui crève la marche de ADI.(@mr pélican : le résultat déficitaire du S2 n'est pas récurrent car il est causé en grande partie par le contentieux d'EMT)

la troisième erreur et de mettre les pieds dans le marécage des marchés publis et tout ce qui en découle comme retards de payement;

maintenant pour le futur,

- je pense que vu le taux de risque de l,emprunt obligataire ce dernier sera souscrit et le risque de cessation de payement sera écarté;

- le BP qui sera grosso modo similaire a celui d,ADH permettra de réduire les charges par la baisse de la dette et le déstockage des appartements déjà construits

- la conversion des ORA permettra d,un coté de réduire l,endettement et de l'autre coté , et c'est ça le plus important,: institutionnaliser le capital de l,entreprise;

et c,est la que le vrai travail de bâtir une entreprise moderne doit commencer;

lazraq n,a pas besoin de chercher loin, la SNI est précurseur dans ce domaine. il n'a qu'a structurer sa joutia  , céder les postes de commandement aux personnes adéquates et aller construire des iglous au Nunavut.

je pense que les rumeurs autour de Sefrioui  irait dans ce sens aussi.


je dis tout ça non pas pour dire aux formistes que tout va bien mais plutôt pour contribuer a comprendre ce qui se passe;

abk1 a écrit:

Pelican a écrit:

C'est quand tu as une épicerie et tu demandes à un professeur d'économie de te montrer comment tu va découper le fromage edam et le vendre au détail.
Ce n'est pas une  du banque d'affaire qui fait le business plan, ce sont les gens du métier, à l'intérieur de la boite. Or, à vouloir désigner un évaluateur étranger, il parrait que les bailleurs de fonds n'ont plus confiance dans le management du groupe.

Personellement je l'ai remarqué lors de l'AG :
Mr Sebti ne " souvenait plus du taux de l'ancien emprunt ".
Mr Brahim Skalli, directeur de la stratégie a passé 5 minutes à expliquer qu'ils sont en train de refaire la stratégie.
Que vaut une stratégie lorsqu'on arrive à bord du précipice ?
C'est peut etre à cause de celà que Belmaachi a quitté le navire et qu'il est coulé juste aprés. Non pas car il est bon ou pas, mais qu'il y'a un malaise dans le cockpit de pilotage.

la mon ami je suis pas d,accord avec toi; je vais parler en général;

dans tous les domaines les entreprises ou les institutions font appel a des équipes externes pour résoudre des problèmes particuliers; parfois c,est par manque de compétence, ou de temps (les gens sont pris par les problèmes quotidien d,exploitation) ou tout simplement pour faire bénéficier l'entreprise des dernières innovations techniques ou de gestion (une manière d'être au niveau de ce qui se passe ailleurs);  

j'ai eu a faire des travaux de ce genre mais dans un autre domaine; une fois tu rentre a l'entreprise se sont les cadres de l'entreprise qui t'explique tout au point que tu lis dans leurs yeux qu'ils se demandent ce que tu fais la-bas; mais une fois tu fais ton diagnostic et tu sort tes résultats la il se rendent comptent que tu as fais un travail auquel personne n,a pensé auparavant;

vous dites vous même que ces gens la sont incapables d,élaborer une stratégie; mais ils sont capables de parler des heures et des heures pour vous décrire leur travail; donc a mon avis éxternaliser des travaux de ce genre est judicieux.

Peut être que j'ai mal passé le message. Oui, un oeil externe et neutre c'est surement une bonne chose pour réaliser un diagnostic, un objectif et les moyens pour y parvenir.

OR, je doute de la capacité du management actuel de le réaliser.

A part les problèmes sectoriels, il y'a un problème d'hommes et de femmes dans cette organisation.

Et messieurs d'Alliances, on fait pas une assemblée dans une salle minuscule, des chaises manquantes ( pas de stylos ) pour approuver un emprunt de 1 Milliards de dhs.