Seance du Vendredi 13 Janvier 2017

ABYDOS a écrit:

Très explicite merci. Toutefois, j'ai une interrogation. Est ce que y'a des crédit de taxe N-1?
Je m'explique. J'ai réalisé des -v en 2016 et que la en 2017 j'ai des +v. Bénéficierai-je de la restitution ou bien c'est revolu ? Merci

L'opération doit se faire en 1 mois. 
Les MV ne se transmettent pas à l'année suivante

Sissa a écrit:

ABYDOS a écrit:

Très explicite merci. Toutefois, j'ai une interrogation. Est ce que y'a des crédit de taxe N-1?
Je m'explique. J'ai réalisé des -v en 2016 et que la en 2017 j'ai des +v. Bénéficierai-je de la restitution ou bien c'est revolu ? Merci

L'opération doit se faire en 1 mois. 
Les MV ne se transmettent pas à l'année suivante

Ah d'accord.Dommage pour moi alors. Merci pour l'éclaircissement.

ABYDOS a écrit:

Très explicite merci. Toutefois, j'ai une interrogation. Est ce que y'a des crédit de taxe N-1?
Je m'explique. J'ai réalisé des -v en 2016 et que la en 2017 j'ai des +v. Bénéficierai-je de la restitution ou bien c'est revolu ? Merci

Salam,
Il n y a pas de restitution sur N-1 ou N+ 1. Il y a une restitution auprês du fisc sur N si votre plus value annuelle est de 30.000 dh ou moins. 
La Sociétés de bourse fait une restitution sur m (mois) seulement, pasde m-1 ou m+1.

Bonjour



[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Dette privée : Le Groupe Alliances en attente du visa de l’AMMC
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] S M  · 12 janvier 2017
0 0  2.1k

  Mohamed Alami Nafakh-Lazrak, Président du Groupe Alliances  
Trois mois après avoir annoncé une avancée importante dans la restructuration de sa dette privée, le groupe immobilier Alliances ne voit pas encore le bout du tunnel. En effet, l’Autorité Marocaine du Marché des Capitaux (AMMC) n’a pas encore donné son visa pour l’entrée en vigueur du protocole dit «Règlement Phase II» que le promoteur immobilier en difficulté a proposé tant aux porteurs des titres obligataires (émis à l’occasion de trois opérations lancées entre 2011 et 2015 par Alliances et sa filiale Alliances Darna), qu’aux souscripteurs aux billets de trésorerie émis fin 2014 par Alliances Darna. Il semblerait donc que le gendarme des marchés ne soit pas totalement rassuré quant aux modalités avancées par le groupe Alliances qui propose en gros de rembourser une partie du capital échu et de reprofiler le reste à travers une nouvelle émission dont les conditions n’ont pas été dévoilées.
Cette situation tient donc en haleine des milliers de créanciers de profils différents (compagnies d’assurances, Banques d’investissement, OPCVM, Organismes de prévoyance, Family Office….) qui espèrent limiter la casse dans ce qui est devenu la plus grande défaillance (défaut de paiement) de dette privée de toute l’histoire du marché financier marocain depuis sa réforme et sa modernisation en 1993. Il faut dire qu’on parle d’un encours total de dette privée dépassant les quatre milliards de dirhams et qui se trouve techniquement en défaillance (défaut de paiement) depuis la suspension en mars 2016 du paiement des coupons par l’émetteur. Les conséquences sur les bilans des créanciers sont ainsi plus qu’incendiaires, notamment pour ceux qui sont soumis à des règles strictes de provisionnement.
Quant au groupe présidé par Mohamed Alami Nafakh-Lazrak, son pari de presque diviser sa dette consolidée par trois (par rapport à son niveau de 2014) en la ramenant, à fin 2017, à quelques 3,5 milliards de dirhams (dont 1,8 milliard de DH pour la partie désintermédiée) semble donc définitivement perdu. Affaire à suivre.

Piphométrique a écrit:

Bonjour



[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Dette privée : Le Groupe Alliances en attente du visa de l’AMMC
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] S M  · 12 janvier 2017
0 0  2.1k

  Mohamed Alami Nafakh-Lazrak, Président du Groupe Alliances  
Trois mois après avoir annoncé une avancée importante dans la restructuration de sa dette privée, le groupe immobilier Alliances ne voit pas encore le bout du tunnel. En effet, l’Autorité Marocaine du Marché des Capitaux (AMMC) n’a pas encore donné son visa pour l’entrée en vigueur du protocole dit «Règlement Phase II» que le promoteur immobilier en difficulté a proposé tant aux porteurs des titres obligataires (émis à l’occasion de trois opérations lancées entre 2011 et 2015 par Alliances et sa filiale Alliances Darna), qu’aux souscripteurs aux billets de trésorerie émis fin 2014 par Alliances Darna. Il semblerait donc que le gendarme des marchés ne soit pas totalement rassuré quant aux modalités avancées par le groupe Alliances qui propose en gros de rembourser une partie du capital échu et de reprofiler le reste à travers une nouvelle émission dont les conditions n’ont pas été dévoilées.
Cette situation tient donc en haleine des milliers de créanciers de profils différents (compagnies d’assurances, Banques d’investissement, OPCVM, Organismes de prévoyance, Family Office….) qui espèrent limiter la casse dans ce qui est devenu la plus grande défaillance (défaut de paiement) de dette privée de toute l’histoire du marché financier marocain depuis sa réforme et sa modernisation en 1993. Il faut dire qu’on parle d’un encours total de dette privée dépassant les quatre milliards de dirhams et qui se trouve techniquement en défaillance (défaut de paiement) depuis la suspension en mars 2016 du paiement des coupons par l’émetteur. Les conséquences sur les bilans des créanciers sont ainsi plus qu’incendiaires, notamment pour ceux qui sont soumis à des règles strictes de provisionnement.
Quant au groupe présidé par Mohamed Alami Nafakh-Lazrak, son pari de presque diviser sa dette consolidée par trois (par rapport à son niveau de 2014) en la ramenant, à fin 2017, à quelques 3,5 milliards de dirhams (dont 1,8 milliard de DH pour la partie désintermédiée) semble donc définitivement perdu. Affaire à suivre.

Déjà vu hier .

Piphométrique a écrit:

Bonjour



[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Dette privée : Le Groupe Alliances en attente du visa de l’AMMC
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] S M  · 12 janvier 2017
0 0  2.1k

  Mohamed Alami Nafakh-Lazrak, Président du Groupe Alliances  
Trois mois après avoir annoncé une avancée importante dans la restructuration de sa dette privée, le groupe immobilier Alliances ne voit pas encore le bout du tunnel. En effet, l’Autorité Marocaine du Marché des Capitaux (AMMC) n’a pas encore donné son visa pour l’entrée en vigueur du protocole dit «Règlement Phase II» que le promoteur immobilier en difficulté a proposé tant aux porteurs des titres obligataires (émis à l’occasion de trois opérations lancées entre 2011 et 2015 par Alliances et sa filiale Alliances Darna), qu’aux souscripteurs aux billets de trésorerie émis fin 2014 par Alliances Darna. Il semblerait donc que le gendarme des marchés ne soit pas totalement rassuré quant aux modalités avancées par le groupe Alliances qui propose en gros de rembourser une partie du capital échu et de reprofiler le reste à travers une nouvelle émission dont les conditions n’ont pas été dévoilées.
Cette situation tient donc en haleine des milliers de créanciers de profils différents (compagnies d’assurances, Banques d’investissement, OPCVM, Organismes de prévoyance, Family Office….) qui espèrent limiter la casse dans ce qui est devenu la plus grande défaillance (défaut de paiement) de dette privée de toute l’histoire du marché financier marocain depuis sa réforme et sa modernisation en 1993. Il faut dire qu’on parle d’un encours total de dette privée dépassant les quatre milliards de dirhams et qui se trouve techniquement en défaillance (défaut de paiement) depuis la suspension en mars 2016 du paiement des coupons par l’émetteur. Les conséquences sur les bilans des créanciers sont ainsi plus qu’incendiaires, notamment pour ceux qui sont soumis à des règles strictes de provisionnement.
Quant au groupe présidé par Mohamed Alami Nafakh-Lazrak, son pari de presque diviser sa dette consolidée par trois (par rapport à son niveau de 2014) en la ramenant, à fin 2017, à quelques 3,5 milliards de dirhams (dont 1,8 milliard de DH pour la partie désintermédiée) semble donc définitivement perdu. Affaire à suivre.

BVC comme par magie devient aussi efficiente et intègre les informations dans le cours aussi rapidement!!!
ADI, hier ou avant hier article positif sur la livraison akwaba, résultat +10% . aujourd'hui article négative relatif a l'etat de la dette(des éléments déjà connu par le publique) +6 la matinée et mnt -6%...

Vous expliquez comment ces dernières rh en faveur de Snep?allez comprendre .

Piphométrique a écrit:

Bonjour



[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Dette privée : Le Groupe Alliances en attente du visa de l’AMMC
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] S M  · 12 janvier 2017
0 0  2.1k

  Mohamed Alami Nafakh-Lazrak, Président du Groupe Alliances  
Trois mois après avoir annoncé une avancée importante dans la restructuration de sa dette privée, le groupe immobilier Alliances ne voit pas encore le bout du tunnel. En effet, l’Autorité Marocaine du Marché des Capitaux (AMMC) n’a pas encore donné son visa pour l’entrée en vigueur du protocole dit «Règlement Phase II» que le promoteur immobilier en difficulté a proposé tant aux porteurs des titres obligataires (émis à l’occasion de trois opérations lancées entre 2011 et 2015 par Alliances et sa filiale Alliances Darna), qu’aux souscripteurs aux billets de trésorerie émis fin 2014 par Alliances Darna. Il semblerait donc que le gendarme des marchés ne soit pas totalement rassuré quant aux modalités avancées par le groupe Alliances qui propose en gros de rembourser une partie du capital échu et de reprofiler le reste à travers une nouvelle émission dont les conditions n’ont pas été dévoilées.
Cette situation tient donc en haleine des milliers de créanciers de profils différents (compagnies d’assurances, Banques d’investissement, OPCVM, Organismes de prévoyance, Family Office….) qui espèrent limiter la casse dans ce qui est devenu la plus grande défaillance (défaut de paiement) de dette privée de toute l’histoire du marché financier marocain depuis sa réforme et sa modernisation en 1993. Il faut dire qu’on parle d’un encours total de dette privée dépassant les quatre milliards de dirhams et qui se trouve techniquement en défaillance (défaut de paiement) depuis la suspension en mars 2016 du paiement des coupons par l’émetteur. Les conséquences sur les bilans des créanciers sont ainsi plus qu’incendiaires, notamment pour ceux qui sont soumis à des règles strictes de provisionnement.
Quant au groupe présidé par Mohamed Alami Nafakh-Lazrak, son pari de presque diviser sa dette consolidée par trois (par rapport à son niveau de 2014) en la ramenant, à fin 2017, à quelques 3,5 milliards de dirhams (dont 1,8 milliard de DH pour la partie désintermédiée) semble donc définitivement perdu. Affaire à suivre.

Salam,
C'est du rabattage gratuit.

salut
les 13000 du MASI pas pour  ce vendredi. les boursicoteurs ont le mal des hauteurs. esperant que cest juste une correction des indicateurs.

lecteur a écrit:

Piphométrique a écrit:

Bonjour



[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Dette privée : Le Groupe Alliances en attente du visa de l’AMMC
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] S M  · 12 janvier 2017
0 0  2.1k

  Mohamed Alami Nafakh-Lazrak, Président du Groupe Alliances  
Trois mois après avoir annoncé une avancée importante dans la restructuration de sa dette privée, le groupe immobilier Alliances ne voit pas encore le bout du tunnel. En effet, l’Autorité Marocaine du Marché des Capitaux (AMMC) n’a pas encore donné son visa pour l’entrée en vigueur du protocole dit «Règlement Phase II» que le promoteur immobilier en difficulté a proposé tant aux porteurs des titres obligataires (émis à l’occasion de trois opérations lancées entre 2011 et 2015 par Alliances et sa filiale Alliances Darna), qu’aux souscripteurs aux billets de trésorerie émis fin 2014 par Alliances Darna. Il semblerait donc que le gendarme des marchés ne soit pas totalement rassuré quant aux modalités avancées par le groupe Alliances qui propose en gros de rembourser une partie du capital échu et de reprofiler le reste à travers une nouvelle émission dont les conditions n’ont pas été dévoilées.
Cette situation tient donc en haleine des milliers de créanciers de profils différents (compagnies d’assurances, Banques d’investissement, OPCVM, Organismes de prévoyance, Family Office….) qui espèrent limiter la casse dans ce qui est devenu la plus grande défaillance (défaut de paiement) de dette privée de toute l’histoire du marché financier marocain depuis sa réforme et sa modernisation en 1993. Il faut dire qu’on parle d’un encours total de dette privée dépassant les quatre milliards de dirhams et qui se trouve techniquement en défaillance (défaut de paiement) depuis la suspension en mars 2016 du paiement des coupons par l’émetteur. Les conséquences sur les bilans des créanciers sont ainsi plus qu’incendiaires, notamment pour ceux qui sont soumis à des règles strictes de provisionnement.
Quant au groupe présidé par Mohamed Alami Nafakh-Lazrak, son pari de presque diviser sa dette consolidée par trois (par rapport à son niveau de 2014) en la ramenant, à fin 2017, à quelques 3,5 milliards de dirhams (dont 1,8 milliard de DH pour la partie désintermédiée) semble donc définitivement perdu. Affaire à suivre.

Salam,
C'est du rabattage gratuit.

Pas tout a fait gratuit. Il a été mentionné hier que ce papier a été, peut etre, publié pour que certains qui n'ont pas acheté ADI, fassent leur marché à bon prix.

euro a écrit:

lecteur a écrit:

Salam,
C'est du rabattage gratuit.

Pas tout a fait gratuit. Il a été mentionné hier que ce papier a été, peut etre, publié pour que certains qui n'ont pas acheté ADI, fassent leur marché à bon prix.

hhh, gratuit pour ceux qui le postent ici. Pas pour ceux qui l'ont commandé.