Le jeudi 6 April 2017

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Là on est dans le cas d'une société qui était en difficulté et retrouve petit à petit des fondamentaux solides. Désendettement  progressif (mieux que ce qui a été prévu), l’allègement des charges financières, chiffre d'affaire qui revient à la normale,  renoue avec les bénéfices… donc elle sort d’une situation de limite dépôt de bilan  (risque extrême)  à une situation où les fondamentaux retrouve la santé tout en ayant encore du potentiel par rapport aux niveaux des cours d’avant la crise.  Si on ajoute à cela le fait que la bourse est entrée dans un nouveau cycle haussier (qui est à confirmer au second trimestre vue la correction du mois de Mars) et que le secteur de l’immobilier connaîtra les retombés positifs des banques participatives et d’une bonne  année en terme de croissance (une bonne campagne  agricole se dessine). Tous ses facteurs vont  aider pour porter le titre.

ça reste un avis personnel sans incitation.

@Cavalier des vagues


Je vous rejoins sur le choix des secteurs et le nombre des valeurs à suivre. C’est mission impossible de s’intéresser à plus de 10 valeurs et arriver à les suivre ne parlons pas de les maîtriser. Toujours choisir les secteurs qu’on maîtrise le plus et qui ne demande pas beaucoup d’efforts pour déchiffrer les informations  qu’ils offrent et les lier automatiquement aux éventuels impacts sur le cours. Ça permet de rester très réactifs à tout comportement suspect sur les valeurs qu’on détient.


C’est bien de diversifier pour minimiser le risque mais il faut prendre en considération sa capacité à analyser, à suivre et à prendre des décisions rapides.
Bien sûr la diversification doit se faire entre secteurs indépendants qui n’ont pas une influence l’un sur l’autre.


Merci pour votre contribution !


 
PS  je m’excuse il y a une erreur dans la quatrième catégorie : la quantité de chaque valeur dans le portefeuille est inversement proportionnelle au risque qu'elle présente. Plus une valeur présente un risque plus elle doit être minimale dans son portefeuille. Je pense que vous l’avez compris.

Bougayou a écrit:

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Là on est dans le cas d'une société qui était en difficulté et retrouve petit à petit des fondamentaux solides. Désendettement  progressif (mieux que ce qui a été prévu), l’allègement des charges financières, chiffre d'affaire qui revient à la normale,  renoue avec les bénéfices… donc elle sort d’une situation de limite dépôt de bilan  (risque extrême)  à une situation où les fondamentaux retrouve la santé tout en ayant encore du potentiel par rapport aux niveaux des cours d’avant la crise.  Si on ajoute à cela le fait que la bourse est entrée dans un nouveau cycle haussier (qui est à confirmer au second trimestre vue la correction du mois de Mars) et que le secteur de l’immobilier connaîtra les retombés positifs des banques participatives et d’une bonne  année en terme de croissance (une bonne campagne  agricole se dessine). Tous ses facteurs vont  aider pour porter le titre.

ça reste un avis personnel sans incitation.

Que cette sté est sortie d'une situation où elle risquait un dépôt de bilan, je suis d'accord ( pour le moment ), mais que ses fondamentaux retrouvent la santé, ça c très discutable. On est content qu'un patient qui vient de sortir d'une dangereuse opération est resté en vie après 48h, qu'il est conscient après qq semaines, mais espérer qu'il va retrouver sa santé à 100% avant l'incident, ça c une autre histoire. Même après qq années on trainera toujours des cicatrices. Mais espérer qu'on va superformer bientôt la santé d'autres personnes saines, c irréaliste. C l'idée en gros que je veux expliquer.
Quant vous parlez de conditions de marché favorable, je suis également d'accord, même MDP avec FP négatifs a plus que doublé. Mais bien évidemment il s'agit de la partie spéculative dans le cours que vous avez cité. D'ailleurs concernant les charges financières, il me semble qu'on avait parlé de suspens de versement des intérêts pour certains créanciers, mes informations datent un peu, j'en suis pas sûr. En gros la partie fondamentale à mon sens est encore floue.

PS: pour les gens qui s'intéressent au PER, je pense pour ADI il faut l'ajuster avant de la comparer aux autres. Les ORA que cette sté détient faussent le calcul du BPA. Supposez qu'ils ont été convertis dans les conditions actuelles, quel serait le BPA dilué dans ce cas? À partir de cette valeur on peut avoir une valeur du PER plus représentative. Les ORA ici sont considérés comme un financement hybride entre dette classique et actions, d'où l'intérêt d'en tenir compte. Et il me semble que c uniquement ADI qu'en détient parmi les immobilières.

Une petite mise au point!
C.A Agrégé 2016 des Stés Non Financières:
157,2 Milliards DHS +4,1% (+6,2 MDHS)
ADI à elle seule y a contribué pour(+2,7 MDHS) !!!
.......
......
Alors qu'on arrêtte de nous chanter les rossignols!
Sans avoir à en présenter les raisons évidentes, l'Immobilier EST et RESTERA UN PILIER DE CE PAYS... Et ce, pour encore bien longtemps.
point.

Moi j'arrête d'intervenir sur ADI, ça dépasse la normale.
Bonne chance pour chacun dans ses choix

Bonsoir les amis
Svp ya quelcun qui peut m'expliquer comment se calculent les cours d'ouverture et de clôture ?
Merci

abk1 a écrit:

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Bonsoir. .. est ce que le secteur de l immobilier peut faire parti de la liste halal ?

alpha74 a écrit:

abk1 a écrit:

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Bonsoir. .. est ce que le secteur de l immobilier peut faire parti de la liste halal ?

Pas supposé, mais au maroc même brasseries ils peuvent la casheriser !