Séance du Jeudi 20 Février 2014

L analyse technique ou graphique n est pas valable dans le marché qui est faiblement liquide actuellement

Ennakl? ne bouge plus

aboubarae a écrit:

abk1 a écrit:

samir réagit a l'information de remplacement d'une dette locale par une dette étrangère ( je ne sais pas ce que ça change) :

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Une dette reste toujours une dette (on s'endette pour payer les dettes)
le frein qui est énorme pour la SAMIR c'est son endettement.
Il faut une restructuration de fond de son endettement quitte à refaire un plan social. car comme ça SAMIRA est en train de chercher les murs pour aller droit vers eux. 

Je sais pas si vous avez remarquer une chose lors du passage de CHABAT sur la télé , il a parlé du prix des carburants et qu'il ne devrait pas dépasser les 5 a 6dh (c'est vrai qu'il est en train d'attaquer BENKIRAN ) mais ça confirme ce qu'a dit un forumiste avec nous (je crois que c'est TILILA ) qui travail dans le secteur et qui dit que le prix est très bas par rapport à ce qui est commercialisé 


CI-dessous un article sur la SAMIR qui date du 21-01-2014  : 
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Édition N° 4195 du 2014/01/21
SAMIR: DU CASH POUR RELANCER LA PRODUCTION
UN PRÊT DE 1,6 MILLIARD DE DH
OBJECTIF: FINANCER LES APPROVISIONNEMENTS ET REMBOURSER LA DETTE LOCALE
        

Samir n’avait plus le choix! Avec des dettes de financement de plus de 10 milliards de DH et un chiffre d’affaires en recul (18% à fin juin 2013), le raffineur était face au mur. Les difficultés financières  se sont multipliées après le vaste programme d’investissement lancé pour le topping 4. Pour dépasser cette conjoncture délicate, Samir a fait appel à des financements internationaux. En effet, le raffineur a pu lever 200 millions de dollars (plus de 1,6 milliard de DH) au début de ce mois de janvier. Le financement a été opéré avec Chartered Standard, Dubai Bank et soutenu par BP Oil international London.
Le contrat de financement porte sur une durée de 2 ans. Selon le management, cette opération rentre dans le cadre d’un re-engineering complet des finances de l’entreprise. D’autres sorties à l’international sont prévues pour les prochains mois dans un objectif de drainer 300 millions de dollars supplémentaires. Les financements obtenus permettront d’améliorer la trésorerie de l’entreprise pour garantir l’approvisionnement en matières premières, particulièrement le pétrole brut et les produits d’appoint. En effet, les entrées de la raffinerie ont affiché un ralentissement de 3,7% à fin octobre 2013. Cette baisse globale est en ligne avec celle du traitement des autres produits d’appoint (produits d’alimentation). Globalement, l’activité du raffinage s’est inscrite sur une tendance baissière lors des deux premiers trimestres de l’année dernière suite au ralentissement de la demande globale des produits raffinés d’environ 12,8%.
Toutefois, elle a affiché une amélioration de 10,5% sur la période juin-octobre 2013. Ainsi, le financement permettra de relancer la production. L’autre objectif et non des moindres consiste à accélérer le remboursement des emprunts locaux pour réduire le taux d’endettement de l’entreprise. En plus de la conjoncture, Samir a beaucoup souffert de la concurrence des autres opérateurs-importateurs. La libéralisation de l’importation a sérieusement impacté les performances de l’entreprise. Justement, le plan de re-engineering se base sur la signature de contrats à l’export avec des compagnies pétrolières internationales pour garantir l’écoulement des excédents de la production de Samir. Une stratégie qui commence déjà à porter ses fruits. Si les livraisons de la raffinerie au marché local sont en baisse de 12,6% à fin octobre, les exportations sont en hausse de 44%. Elles sont essentiellement constituées de naphta, de jet et de gasoil.
En réalité, le raffineur n’aurait jamais dû voir ses difficultés financières s’aggraver à ce point. L’entreprise avait signé les termes de référence d’un programme de restructuration de ses dettes avec la BCP et AWB. Il consiste à reclasser 4 milliards de DH de dettes court terme en dettes long terme à un taux d’intérêt de 6,8%. Toutefois, cette opération a été conditionnée par une augmentation du capital en numéraire. A l’époque, le conseil d’administration de Samir avait proposé une opération d’un montant maximum de 1,75 milliard de DH. Une mesure validée par l’assemblée générale extraordinaire en 2012. Pourtant, à ce jour, Samir attend toujours les fonds promis par sa maison mère, le groupe saoudien Corral.

 

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L'information capitale est loin d'être publiée et qui fera sans aucun doute l'effet de reprise du titre.
Techniquement, en weekly, la valeur est sur le point de casser sa resistance de DH 306.-309 avec comme cible une 1er cible de DH 347 compte tenu du spread entre 265 et 309. Sinon, l'objectif moyen termiste n'est pas loin de se réaliser. en somme, la décision de restructurer la dette est notable et mérite une reprise technique. A suivre demain et le vendredi prochain SURTOUT.

Berghoul a écrit:

satoune a écrit:

@Berghoul, si la valeur dépasse 22 c'est en quelque sorte "la validation" de la reprise du coup le volume sera très fort (ceux qui ne voudrons pas raté la reprise, ...) c'est à ce moment que le risque du BreackOutFail est important !

Exactement, et c'est exactement ce que fait actuellement celui qui dirige le marché. Il achète, il diffuse l'information, et après il chauffe. Toi tu dis, mon dieu, elle reprend, tu t'engage et lui il te fourge son stock à 22 dh. Après tu connais l'histoire, chute libre au moins vers les 16 dh. 
Pour ne pas rentrer dans sa combine, je dis : 
Achter à 18 et vendez à 22 dh , 
et Si jamais le cours dépasse 22, tu te positionne même à 26 dh en ayant déboursé 0 dh en fait. 22-18 = 4 dh c'est les même que tu met au dessus des 22, tranquillement après. Tu peux même ajouter à ce moment là 2 autre dh 3la 7ssabi  et se positionner à 28. Car il y aura bien des vendeurs à 28 crois même, et beaucoup.
Maintenant, si tu fais le contraire, et tu achète à 18 et tu te renforce à 22, c'est le PEIGE vers lequel le faiseur du marché emmène les PP.

la on est d'accord   

ce qui s'est passer sur MDP c'est qu'il y avait beaucoup d'initiés. elle a commencé  a monter avant que l'information ne soit public. je dirais qu'ils ont choisit le moment (atteindre le support long terme) pour donner plus de force au rebond. personnelement je pense que le mal est derniere nous. ce sera le même scénario que snep et sonasid après l'instauration des droits antidumping.

abk1 a écrit:

Berghoul a écrit:

Exactement, et c'est exactement ce que fait actuellement celui qui dirige le marché. Il achète, il diffuse l'information, et après il chauffe. Toi tu dis, mon dieu, elle reprend, tu t'engage et lui il te fourge son stock à 22 dh. Après tu connais l'histoire, chute libre au moins vers les 16 dh. 
Pour ne pas rentrer dans sa combine, je dis : 
Achter à 18 et vendez à 22 dh , 
et Si jamais le cours dépasse 22, tu te positionne même à 26 dh en ayant déboursé 0 dh en fait. 22-18 = 4 dh c'est les même que tu met au dessus des 22, tranquillement après. Tu peux même ajouter à ce moment là 2 autre dh 3la 7ssabi  et se positionner à 28. Car il y aura bien des vendeurs à 28 crois même, et beaucoup.
Maintenant, si tu fais le contraire, et tu achète à 18 et tu te renforce à 22, c'est le PEIGE vers lequel le faiseur du marché emmène les PP.

la on est d'accord   

ce qui s'est passer sur MDP c'est qu'il y avait beaucoup d'initiés. elle a commencé  a monter avant que l'information ne soit public. je dirais qu'ils ont choisit le moment (atteindre le support long terme) pour donner plus de force au rebond. personnelement je pense que le mal est derniers nous. ce sera le même scénario que snep et sonasid après l'instauration des droits antidumping.

Là on n'est pas d'accord  
il faut pas mettre sonasid, snep et mdp dans le même panier ! 
sonasid est filiale de la SNI, une structure lourde, une machine huilé et sera la première dans les projets d'infrastructures au maroc et en afrique aussi. 
snep de si miloud, qu'on suffoque puisqu'on juge qu'il a déjà atteint sa taille optimale dans le milieu des affaires, si reprise il y a elle sera modérée, pas plus. 
mdp est problématique, problème d'actionnariat entre cdg et famille sefroui, assise foncière liquidée et résultats déficitaire. si reprise il y a, il faut déjà qu'elle se concrétise. 

rappelons une chose importante, les mesures antidumping, sont pas essence temporaire. elles ne peuvent dépasser 5 ans. de plus, ca ne tient pas la route avec nos amis européen. pourquoi à ton avis, on négocie le traité élargie et approfondie ? !! pourquoi les déclarations d'un ministre européen sur la question ? ! 

les accords de l'omc, c'est pas un jeu. on y revient pas dessus. surtout en géopolitique internationale pour un petit pays comme le maroc.

@ berghoul
je n'aime pas trop le fondamental parce qu'on a pas suffisamment d'information pour le faire. je me limite a ce que me dit les graphes. 

pour la similitude avec sonasid snep, je voulais juste dire que si tu prend n'importe quelle société qui a un résultats d'exploitation positif et tu lui accorde une droit  antidumping de 10 % alors le prix de vente augmente en conséquence te et bénéfice aussi. donc sa rentabilité s'améliore.

je ne veux pas qu'on tarde trop sur cette "coquille vide"   , j'ai juste dit ce que me disent mes graphes et je ne veux pas en faire une histoire de défi. je traite mdl comme toute autres valeurs. si elle monte je me renforce, si elle baisse j'actionne mon stop loss.

N.B : les droits antidumping peuvent aller jusqu'a 10 ans.

Bonjour je viens d'arriver et je trouve 6 pages qui traitent majoritairement MDP 


YAK LABASS qu'est ce qui se passe tous le monde parle d'un truc qui ne fait même pas 1 millions de dhs de volumes ,
wa rbahna bekri


la dernière fois que j'ai vendu mdp c'était au alentours de 99 dhs et avec un capital de 500.000 dhs je pourrais la faire réserver pendant dix jours a la hausse .

Auditeur a écrit:

aboubarae a écrit:

Une dette reste toujours une dette (on s'endette pour payer les dettes)
le frein qui est énorme pour la SAMIR c'est son endettement.
Il faut une restructuration de fond de son endettement quitte à refaire un plan social. car comme ça SAMIRA est en train de chercher les murs pour aller droit vers eux. 

Je sais pas si vous avez remarquer une chose lors du passage de CHABAT sur la télé , il a parlé du prix des carburants et qu'il ne devrait pas dépasser les 5 a 6dh (c'est vrai qu'il est en train d'attaquer BENKIRAN ) mais ça confirme ce qu'a dit un forumiste avec nous (je crois que c'est TILILA ) qui travail dans le secteur et qui dit que le prix est très bas par rapport à ce qui est commercialisé 


CI-dessous un article sur la SAMIR qui date du 21-01-2014  : 
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Édition N° 4195 du 2014/01/21
SAMIR: DU CASH POUR RELANCER LA PRODUCTION
UN PRÊT DE 1,6 MILLIARD DE DH
OBJECTIF: FINANCER LES APPROVISIONNEMENTS ET REMBOURSER LA DETTE LOCALE
        

Samir n’avait plus le choix! Avec des dettes de financement de plus de 10 milliards de DH et un chiffre d’affaires en recul (18% à fin juin 2013), le raffineur était face au mur. Les difficultés financières  se sont multipliées après le vaste programme d’investissement lancé pour le topping 4. Pour dépasser cette conjoncture délicate, Samir a fait appel à des financements internationaux. En effet, le raffineur a pu lever 200 millions de dollars (plus de 1,6 milliard de DH) au début de ce mois de janvier. Le financement a été opéré avec Chartered Standard, Dubai Bank et soutenu par BP Oil international London.
Le contrat de financement porte sur une durée de 2 ans. Selon le management, cette opération rentre dans le cadre d’un re-engineering complet des finances de l’entreprise. D’autres sorties à l’international sont prévues pour les prochains mois dans un objectif de drainer 300 millions de dollars supplémentaires. Les financements obtenus permettront d’améliorer la trésorerie de l’entreprise pour garantir l’approvisionnement en matières premières, particulièrement le pétrole brut et les produits d’appoint. En effet, les entrées de la raffinerie ont affiché un ralentissement de 3,7% à fin octobre 2013. Cette baisse globale est en ligne avec celle du traitement des autres produits d’appoint (produits d’alimentation). Globalement, l’activité du raffinage s’est inscrite sur une tendance baissière lors des deux premiers trimestres de l’année dernière suite au ralentissement de la demande globale des produits raffinés d’environ 12,8%.
Toutefois, elle a affiché une amélioration de 10,5% sur la période juin-octobre 2013. Ainsi, le financement permettra de relancer la production. L’autre objectif et non des moindres consiste à accélérer le remboursement des emprunts locaux pour réduire le taux d’endettement de l’entreprise. En plus de la conjoncture, Samir a beaucoup souffert de la concurrence des autres opérateurs-importateurs. La libéralisation de l’importation a sérieusement impacté les performances de l’entreprise. Justement, le plan de re-engineering se base sur la signature de contrats à l’export avec des compagnies pétrolières internationales pour garantir l’écoulement des excédents de la production de Samir. Une stratégie qui commence déjà à porter ses fruits. Si les livraisons de la raffinerie au marché local sont en baisse de 12,6% à fin octobre, les exportations sont en hausse de 44%. Elles sont essentiellement constituées de naphta, de jet et de gasoil.
En réalité, le raffineur n’aurait jamais dû voir ses difficultés financières s’aggraver à ce point. L’entreprise avait signé les termes de référence d’un programme de restructuration de ses dettes avec la BCP et AWB. Il consiste à reclasser 4 milliards de DH de dettes court terme en dettes long terme à un taux d’intérêt de 6,8%. Toutefois, cette opération a été conditionnée par une augmentation du capital en numéraire. A l’époque, le conseil d’administration de Samir avait proposé une opération d’un montant maximum de 1,75 milliard de DH. Une mesure validée par l’assemblée générale extraordinaire en 2012. Pourtant, à ce jour, Samir attend toujours les fonds promis par sa maison mère, le groupe saoudien Corral.

 

- See more at: [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

L'information capitale est loin d'être publiée et qui fera sans aucun doute l'effet de reprise du titre.
Techniquement, en weekly, la valeur est sur le point de casser sa resistance de DH 306.-309 avec comme cible une 1er cible de DH 347 compte tenu du spread entre 265 et 309. Sinon, l'objectif moyen termiste n'est pas loin de se réaliser. en somme, la décision de restructurer la dette est notable et mérite une reprise technique. A suivre demain et le vendredi prochain SURTOUT.

Pourtant monsieur auditeur, le marché ne semble pas réagir à ces informations, que vous dites capitales. 
les volumes échangés sont dérisoires, à part bien sur les mouvements d'aller-retour menés avec coup de 1000 actions depuis ce matin ! 
pourquoi à votre avis ?

abk1 a écrit:

@ berghoul
je n'aime pas trop le fondamental parce qu'on a pas suffisamment d'information pour le faire. je me limite a ce que me dit les graphes. 

pour la similitude avec sonasid snep, je voulais juste dire que si tu prend n'importe quelle société qui a un résultats d'exploitation positif et tu lui accorde une droit  antidumping de 10 % alors le prix de vente augmente en conséquence te et bénéfice aussi. donc sa rentabilité s'améliore.

je ne veux pas qu'on tarde trop sur cette "coquille vide"   , j'ai juste dit ce que me disent mes graphes et je ne veux pas en faire une histoire de défi. je traite mdl comme toute autres valeurs. si elle monte je me renforce, si elle baisse j'actionne mon stop loss.

N.B : les droits antidumping peuvent aller jusqu'a 10 ans.

loin de là si abk1, c'est pas un défi, 
j'y voyais un simple échange d'idées et de visions. 
une simple discussion quoi

Berghoul a écrit:

abk1 a écrit:

@ berghoul
je n'aime pas trop le fondamental parce qu'on a pas suffisamment d'information pour le faire. je me limite a ce que me dit les graphes. 

pour la similitude avec sonasid snep, je voulais juste dire que si tu prend n'importe quelle société qui a un résultats d'exploitation positif et tu lui accorde une droit  antidumping de 10 % alors le prix de vente augmente en conséquence te et bénéfice aussi. donc sa rentabilité s'améliore.

je ne veux pas qu'on tarde trop sur cette "coquille vide"   , j'ai juste dit ce que me disent mes graphes et je ne veux pas en faire une histoire de défi. je traite mdl comme toute autres valeurs. si elle monte je me renforce, si elle baisse j'actionne mon stop loss.

N.B : les droits antidumping peuvent aller jusqu'a 10 ans.

loin de là si abk1, c'est pas un défi, 
j'y voyais un simple échange d'idées et de visions. 
une simple discussion quoi

alors parfait.
si pélican revient il va nous chasser tout les deux dehors pour continuer la discussion sous la pluie. 

jlec se porte mieux aujourd'hui

fan a écrit:

Ennakl? ne bouge plus

qqun lance 1 actions pour monter le cours  a casa 
viens a tunis n y a que les RH sauf nakl