Séance du Vendredi 25 Avril 2014

TILILA a écrit:

La défaillance de l'enseignement public est la plus GRANDE INJUSTICE envers la société marocaine :

* Appauvrissement de la classe moyenne ;
* Inégalité des chances.

Le Maroc a besoin d'un enseignement public de qualité qui attirera toutes les classes sociales confondues.
Tout en ayant les moyens de payer l'école ptrivée à mes enfants, je veux sincérement et dans la mesure du possible qu'ils soient scolarisés dans le public :

Il est anormal que l'enseignement public ne soit pas la régle pour TOUTES LES CLASSES SOCIALES.

tout a fait d'accord avec toi , un secteur qui echappe a tout control sous le regard impuissant des autorités en l'absence d'une loi ... il faut s'attaquer en urgence a ce probleme et en invitant les parents a s'organiser et a faire de la resistance quitte a refuser de payer des prestations abusives ...

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Comment la pharmacie a manqué de vigilance
Médicaments: le Maroc sur le point de perdre la bataille des normes sur les marchés arabes
Les Egyptiens donnent une vraie leçon d’intelligence économique… où tous les coups sont permis!

«Le problème au Maroc c'est que tout le monde se la joue solitaire. Il ne faut guère s'étonner alors que nous soyons les spécialistes des accords loose-win», reconnaît un industriel ayant requis l'anonymat.   

alpha74 a écrit:

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Comment la pharmacie a manqué de vigilance
Médicaments: le Maroc sur le point de perdre la bataille des normes sur les marchés arabes
Les Egyptiens donnent une vraie leçon d’intelligence économique… où tous les coups sont permis!

«Le problème au Maroc c'est que tout le monde se la joue solitaire. Il ne faut guère s'étonner alors que nous soyons les spécialistes des accords loose-win», reconnaît un industriel ayant requis l'anonymat.   

Cher ALPHA, comment pourrais-tu m'expliquer:

Pour faire face aux crampes on m'a conseillé du magnésium: OK, j'ai pris le 300+vitamine 6 mg à 99 DH, il y a 3jours. Ironie du sort mon quo-compétiteur l'a eu chez SBM à 56 DH,aujourd'hui, soit-43% moins cher qu'en pharmacie !!.

Que dois-je conclure, dorénavant m'approvisionner en pharmacie ou en para-pharmacie ?.

bonjour et bon fin de semaine

fadel a écrit:

alpha74 a écrit:

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Comment la pharmacie a manqué de vigilance
Médicaments: le Maroc sur le point de perdre la bataille des normes sur les marchés arabes
Les Egyptiens donnent une vraie leçon d’intelligence économique… où tous les coups sont permis!

«Le problème au Maroc c'est que tout le monde se la joue solitaire. Il ne faut guère s'étonner alors que nous soyons les spécialistes des accords loose-win», reconnaît un industriel ayant requis l'anonymat.   

Cher ALPHA, comment pourrais-tu m'expliquer:

Pour faire face aux crampes on m'a conseillé du magnésium: OK, j'ai pris le 300+vitamine 6 mg à 99 DH, il y a 3jours. Ironie du sort mon quo-compétiteur l'a eu chez SBM à 56 DH,aujourd'hui, soit-43% moins cher qu'en pharmacie !!.

Que dois-je conclure, dorénavant m'approvisionner en pharmacie ou en para-pharmacie ?.

la qualité d'un produit varie en fonction de la clientele et de la marque ... certains produits n'ont pas d'AMM et sont considérés comme des compléments alimentaires et non des medicaments qui sont soumis a un contrôle plus strict .

alpha74 a écrit:

fadel a écrit:

Cher ALPHA, comment pourrais-tu m'expliquer:

Pour faire face aux crampes on m'a conseillé du magnésium: OK, j'ai pris le 300+vitamine 6 mg à 99 DH, il y a 3jours. Ironie du sort mon quo-compétiteur l'a eu chez SBM à 56 DH,aujourd'hui, soit-43% moins cher qu'en pharmacie !!.

Que dois-je conclure, dorénavant m'approvisionner en pharmacie ou en para-pharmacie ?.

la qualité d'un produit varie en fonction de la clientele et de la marque ... certains produits n'ont pas d'AMM et sont considérés comme des compliments alimentaires et non des medicaments qui sont soumis a un contrôle plus strict .

Tout à fait. Les vitamines et multivitamines sont considérés comme des compliments alimentaires et non des medicaments.

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Bonjour une belle chronique ....

alpha74 a écrit:

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Bonjour une belle chronique ....

Bien dit et résumé en peu de mots.

 

Citation :

Pelican a écrit:

Médias24 titre " Palmerai développement en bourse, Exclusif ". C'est du réchauffé, tout le monde sait que Berrada veut l'introduire en bourse car il ne peut plus financer ses projets éparpillés.

L'exclusivité, je vous la donne toute de suite : La prochaine intro en bourse est une société dont l'activité se rapproche à " Timar ".  Intro dans deux mois. Exclusivité Bourse-Maroc.

On parle du rapprochement de la " SNTL " avec l'O.N.C.F alors que d'autres parlent d'une probable introduction en bourse, je pense que c'est ça Pelican non?

TILILA a écrit:

Bonjour,

L'installation de Bouygues au Maroc peut tirer la qualité de l'immobilier vers le haut.

L'immobilier marocain reste orienté ZWAK (marbre, bois...) alors que l'isolation reste médiocre entrainant deux incovénients majeurs :

* Consommation élevée de l'énergie (chauffage ou clim);
* Bruits (on peut acheter un appart à + de 20000 DH M2 et entendre les bruits d'un camion dans sa chambre à coucher voire la vie quotidienne de ses voisins).


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Bouygues Immobilier Maroc met au cœur de ses priorités, la qualité architecturale et technique de ses produits, tous certifiés HQE (Haute Qualité Environnementale), la satisfaction de ses clients par un accompagnement constant et personnalisé, et surtout le respect de ses promesses et engagements.

Bonjour,

Personne n'a défendu la préférence nationale  . Et les sociétés immobilières marocaines  .

Bouygues est une fierté pour la france ( 1 pays qui refuse la delocalisation de ces fleurons) pour rappel bouygues est detenue par architecte nommé Bouygues celui qui a suivi tt les travaux de la mosquée Hassan 2 de casa , le 3eme operateur telephonique français et elle detient 30% deALSTOM le maitre d'ouvrage de tram de casa et rabat

MasterCard livre son diagnostic sur la monétique au Maroc

2014-04-26 | Maroc FLM


Pour MasterCard, l'essor de l’activité du paiement électronique et de la monétique au Maroc pourrait s'accélérer d'avantage en cas d'élimination de certains obstacles et d'exploration de nouveaux leviers. Par ailleurs, un tel essor pourrait aussi soulager la liquidité des banques et améliorer certaines prestations publiques.

C'est ainsi que Faissal Khdiri, DG de Mastercard Africa, a exploré ce sujet dans une interview accordée à la Vie Économique.

Tout d'abord, trois principaux obstacles semblent ralentir le développement de la monétique. Le premier est celui de l'insuffisance de points d'acceptation. En effet, le Maroc ne compte qu'environ 30 000 points d’acceptation dont seulement 50% sont actifs. Une telle situation fait que 93% des transactions enregistrées sur les cartes actives sont des opérations de retrait.

Le deuxième obstacle est relatif à l'adossement quasi-exclusif des cartes aux comptes bancaires. Ceci a comme principale conséquence la difficulté de changement de prestataires et la stimulation de la concurrence.

Quant au dernier frein, il s'agit de la nette préférence accordée au cash qui jouit d'un important capital confiance. Un tel phénomène freine notamment la pénétration des moyens de paiement au niveau des petits commerçants. De même, les usagers préfèrent toujours garder une trésorerie en cash de préférence à l'usage des cartes bancaires.

Par ailleurs, le DG de MasterCard Africa a évoqué des leviers de croissance. Le premier levier est celui des cartes Corporate qui permettent d'offrir aux entreprises des moyens modernes de suivi des dépenses des collaborateurs. Quant au deuxième levier, le Maroc pourrait s'inspirer de l'expérience de sa société en Afrique du Sud, où l'Agence de sécurité sociale a économisé 375 M$ grâce à la distribution des aides via des cartes multi-applicatives. En effet, Tayssir, RAMED ou toutes autres aides pourraient être distribués via des cartes multi-applicative (retrait, paiement, identification...) ce qui permet d'économiser les coûts administratifs tout en bancarisant les personnes démunies.

En conclusion, si le Maroc a réalisé des progrès satisfaisants en termes de taux d'équipement des cartes bancaires (10 millions de cartes en circulation), l'usage du paiement électronique demeure insuffisant. Ceci est d'autant plus important que la baisse de l'usage de la monnaie fiduciaire, améliorerait la liquidité des banques. En effet, un tel développement nécessite en plus du diagnostic de MasterCard, une forte implication des banques, notamment en termes d'amélioration de la disponibilité des points de paiement et de flexibilité d'usage des cartes (en terme de connexion online avec le compte et changement de plafonds).