| | Séance du Jeudi 26 Février 2015 | |
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+16Analyse achraf1711 TILILA Pelican dri maji hicham33 famille Service amrani Bell Creatori @n@ capital abk1 alpha74 habib 20 participants | |
Auteur | Message |
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Analyse
Nbre méssages : 552 Inscris le : : 21/10/2010
| Sujet: Re: Séance du Jeudi 26 Février 2015 Jeu 26 Fév 2015 - 20:45 | |
| - hicham33 a écrit:
La multiplication des Profit Warning des promoteurs immobiliers ainsi que la réunion de crise entre certains ministres et la FNPI, sont autant d’éléments laissant craindre une crise aiguë dans le secteur. D’ailleurs, les promoteurs n’hésitent plus à évoquer l’existence de stocks de logements finis invendus. En effet, le secteur immobilier enregistre un ralentissement de l’activité reconnu par la quasi-totalité des opérateurs. D’ailleurs, trois grands promoteurs immobiliers cotés ont déjà publié des profits warning sur leurs réalisations en 2014. A titre d’indication, la CGI prévoit une baisse de 28% de son CA contre 20% pour Alliances et 26% pour Addoha. D’ailleurs, ce dernier a ouvertement confirmé la mutation du secteur immobilier avec une demande moins importante et une tension sur les liquidités. A titre d’exemple, Addoha, porte dans son bilan 11 400 unités achevées non vendues et non pré-vendues. Au passage, les promoteurs immobiliers cotés ont été sévèrement sanctionnés en Bourse avec une chute depuis début 2014 des cours d’Alliances de 68% contre 43% pour Addoha et 15% pour Dar Saada (depuis son introduction en Bourse). Aussi, la fédération nationale des promoteurs immobiliers (FNPI) a tenu une « réunion de crise » avec une délégation gouvernementale de haut niveau, comprenant notamment les ministres de l’Intérieur, de l’Economie et de l’Habitat. L’objectif majeur de cette réunion était de tirer la sonnette de l'alarme sur le marasme sectoriel et de chercher les solutions potentielles. En particulier, la FNPI a soulevé le problème d’existence de stocks de logements finis invendus. En effet, les difficultés que rencontre le secteur immobilier se recentrent autour de trois facteurs majeurs, a déclaré Youssef Benmansour, Président de la FNPI au quotidien les Eco. Il s’agit de la solvabilisation de la demande par des fonds de garantie tels que Fogarim et Fogaloge, la non distribution des crédits garantis par certaines banques et le retard dans le remboursement de la TVA. Par ailleurs, rappelons aussi que plusieurs promoteurs se sont endettés pour stocker du foncier, tablant sur une croissance continue à deux chiffres de la demande de logements. Or, non seulement le foncier ne produit pas de revenus mais sa rentabilisation demande un cycle supérieur à la maturité de la dette, posant donc le problème de surendettement et de la pénalisation des marges par les charges financières. Justement, pour éviter un scénario catastrophe, certains promoteurs comme Addoha voire Alliances, ont revu leurs business plans pour se concentrer sur le désendettement et la réduction des stocks. Aussi, la FNPI semble solliciter l’aide de l’Etat notamment pour la location des logements invendus et la stimulation du crédit bancaire acquéreur. En effet, Youssef Benmansour a insisté sur la poursuite de la mise en place des mesures incitatives pour le secteur qui a pu réduire les besoins nationaux en logements salubres, tout en faisant émerger un secteur économique national, créant des emplois et faisant tourner la machine économique. Pour notre part, nous pensons que l’Etat doit se contenter de son rôle de régulateur en tentant de réunir, les promoteurs, les banquiers et les institutionnels pour réfléchir à une solution pour le reprofilage de la dette sectorielle, en vue d’un nouveau départ sur un modèle économique plus sain. source.flm *** Il y a une 1ere solution pour liquider immédiatement ces stocks c'est l'ouverture du secteur bancaire aux vrais banques islamiques. Mais, la mafia des "p u t e s" locales avec le Jouahri vont salir ce produit en essayant de présenter leur produit locale "dit maison" et je suis sure que les marocains vont boycotter ce produit rapidement. Car ici c'est le bled des " KWALEB", et quand les marocains sentent le "kaleb" ==> ils boycottent. Donc, s'il n'ya pas une vrai volonté à haut niveau, la crise continuera d'étrangler l'économie de ce bled. C’est mon impression et j'espère que je n’aurais pas raison. *** | |
| | | alpha74
Nbre méssages : 4639 Inscris le : : 01/12/2008
| Sujet: Re: Séance du Jeudi 26 Février 2015 Jeu 26 Fév 2015 - 21:18 | |
| - Pelican a écrit:
- alpha74 a écrit:
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Eh ben les bobos matuvus qui ont acheté des appartements à 3,2 Mdhs je veux bien voir leurs geules maintenant.
Mzyana fihom ! en fait j'ai compris toi tu veux absolument tenir compagnie a notre cher agora , wallah akhouya man khileweh tout seul , msikin il doit s'emmerder tout seul enfermer a double serrure ... aji si le prix corrige et se dirige vers la portée de la classe moyenne ( 700000 a 800000) avec un credit a un taux 0 % ca sera impeccable , meme Benky ( meli ysali sirbice dialou) et Lalla Nabila seraient intéressé et pourquoi pas ? , il n'a pas le droit ytafateh m3a rassou en face de la foret et jouer au golf , comme ca on emmènera les gosses a la skwila la plus proche et l'apres midi a rak alfraja ma3 Benky au café du coin , il nous racontera ses histoires ( recontre avec Mr Obama) et peripécies ila akhirihi ou dakchi lakhor ... [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] | |
| | | saadmm
Nbre méssages : 117 Humeur : ... Réputation : 0 Inscris le : : 13/10/2008
| Sujet: Re: Séance du Jeudi 26 Février 2015 Jeu 26 Fév 2015 - 21:38 | |
| Quels scénarios pour l’affaire SNEP ?Comme nous le relations dans notre analyse du 16 février, c’est le scénario d’un enlisement judiciaire qui semble être le plus probable dans l’affaire SNEP. Ainsi, le titre risque de s’attaquer au record de suspension de la CGI qui ne cote plus depuis plus de 4 mois. Toutefois, d’autres scénarios sont à prévoir dans cette affaire. En effet, le Tribunal de Commerce de Casablanca a décidé hier par ordonnance, le report de la vente aux enchères publiques des actions SNEP, détenues par Ynna Holding. Cette décision est motivée notamment par les différents recours juridiques d’Ynna Holding ainsi que la demande du CDVM. En particulier, la Bourse a rejeté la balle dans le camp du CDVM qui doit trouver un moyen pour concilier une décision de droit général tout en respectant les dispositions du marché boursier. Pourtant, théoriquement, les banques actent sans problème à leur profit régulièrement, la saisie d’actions de mauvais débiteurs pour les vendre sur le marché central. Par ailleurs, rappelons que même hors bourse, historiquement, un cas quasi-similaire avait opposé pendant une décennie Cimpor, Ciments Français et le groupe Laraqi, autour des titres d’Asment Témara. C’est ainsi que plusieurs scénarios peuvent se dessiner : - Une interprétation souple de la loi par le CDVM, en considérant la vente aux enchères comme une OPV avec un mode d’allocation basé sur le critère du mieux disant. Ainsi, l’obstacle de la cotation électronique est contourné. Toutefois, Fives FCB devra consentir dans ce cas à choisir un conseiller et un broker pour exécuter cette forme d’OPV, sous réserve de l’approbation du Tribunal de Commerce. - Une contre-attaque de Fives FCB, en substituant une société non cotée à la SNEP pour contourner l’obstacle du CDVM et de la Bourse de Casablanca. En effet, ce qui devait être un avantage (liquidité d’un titre coté), s’avère finalement un obstacle devant la lourdeur du droit boursier. - Un paiement par Ynna Holding aux plaignants des sommes réclamées pour éviter la vente aux enchères des actions détenues dans la SNEP. Ainsi, Miloud Chaabi évite de mettre son groupe en péril pour une simple question d’ego. - Un passage en force du Tribunal de Commerce qui peut ordonner un déroulement normal des enchères avec le rachat des 63% de la SNEP par un industriel ou un pool financier. Ces enchères pourraient se dérouler hors bourse, avec une demande de transfert des titres, une fois la saisie exécutée et la vente actée. Dans ce cas, l'acquéreur potentiel des actions saisies devra lancer une OPA sur le reliquat, ce qui offrira aux minoritaires une porte de sortie et/ou un nouveau modèle industriel. Notons enfin que plus qu’un simple litige financier entre deux sociétés, l’issue de l’affaire SNEP, constitue aussi un test pour le climat des affaires au Maroc avec un cas grandeur nature. En particulier, la rapidité de prise de décision et l’inventivité juridique du CDVM, seront autant de critères surveillés, notamment par les investisseurs étrangers. source flm | |
| | | RACHID
Nbre méssages : 380 Réputation : 1 Inscris le : : 13/03/2009
| Sujet: Re: Séance du Jeudi 26 Février 2015 Jeu 26 Fév 2015 - 22:13 | |
| - madex a écrit:
- RACHID a écrit:
Je pense que l'action est en mode prise de benefices pour les gens qui ont achete a 120 - 130 dh و الله اعلم .on aimerait bien avoir l'avis de nos experts . veuillez verifier vos chiffres avant de les poster,a moins que vous le faites expres,le titre n'a jamais coté 120 Dsl mon ami 121 dh et non pas 120 dh je l'ai pas fais expres . | |
| | | Analyse
Nbre méssages : 552 Réputation : 3 Inscris le : : 21/10/2010
| Sujet: Re: Séance du Jeudi 26 Février 2015 Jeu 26 Fév 2015 - 23:37 | |
| *** Voila ils ont trouvé la formule pour les BI : Un resumé : [size=32]بنك المغرب يلائم سياسته النقدية مع البنوك الإسلامية[/size] أفرجت وزارة الاقتصاد والمالية عن مشروع قانون، يقضي بمراجعة ملاءمة سياسته النقدية كما هو متعارف عليها ونص الباب الثاني على أن "يلائم البنك أدوات تدخله في السوق النقدية وسوق الصرف ويخول المشروع الجديد للجواهري، أن يفرض تكوين احتياطات إجبارية لديه إصدار... وإعادة بتوظيف السيولة لديه في شكل ودائع لأجل وتمكينه من نهج السياسية النقدية بكل استقلالية ويهدف إلى توسيع مهام البنك في إطار القانون البنكي الجديد. | |
| | | TILILA
Nbre méssages : 2083 Réputation : -1 Inscris le : : 25/06/2011
| Sujet: Re: Séance du Jeudi 26 Février 2015 Ven 27 Fév 2015 - 8:31 | |
| - abk1 a écrit:
- TILILA a écrit:
Raisonnement d'un spéculateur et pas d'un ménage.
La spéculation a ruiné l'immobilier. si tu raisonnes ménage, il n y a ni enrichissement ni appauvrissement; on monte et on descend avec la vague;
maintenant si vous pensez qu'on n'achète une maison que pour le besoin d'y habiter, c'est logique que pour vous les prix de l'immobilier doivent rester fixes durant tout le 21 eme siècle.
il faut choisir son système économique; le libéralisme se base sur la loi du marché et la spéculation en est une conséquence. derrière l'acte de vente ou d'achat il y a toujours un aspect spéculatif; on achète pas des action pour faire la soupe le soir; on achète parce qu'on espère vendre plus cher; Bonjour, Pour l'immobilier la loi du marché n'a pas été respecté : les prix ont presque triplé pour qu'une poignée de personnes accumulent des fortunes colossales suite à l'intro en bourse d'ADH CGI et Alliances. La casse actuelle est en partie due au DNOUB dial les personnes sui se sont appauvries à cause de cette bulle. | |
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