| | Articles presse: MARCHES BOURSIERS | |
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abdel62 Rang Spécial
Nbre méssages : 1041 Humeur : Espoir Réputation : 11 Inscris le : : 31/08/2009
| Sujet: Re: Articles presse: MARCHES BOURSIERS Mer 29 Avr 2015 - 15:56 | |
| Quid de l'hésitation actuelle du marché actions ?La correction post résultats annuels du marché boursier marocain a cédé la place à une quasi-stabilité de l'indice qui reflète une forte hésitation des investisseurs. Une telle hésitation pourrait être expliquée par plusieurs éléments.. En effet, comme nous le pressentions dans une analyse précédente, l'annonce d'un recul de 12,5% de la masse bénéficiaire 2014, s'est traduite par une correction du marché boursier. Ainsi, au 7 avril, le MASI affichait un recul de plus de 5% par rapport au pic enregistré le 9 mars. Toutefois, depuis le 7 avril, le MASI n'a guère quitté la zone des 9900 points affichant de faibles variations avec une moyenne de -0,04%. Une telle atonie reflète l'hésitation des investisseurs qui pourrait s'expliquer selon nous par les éléments suivants : - L'absence de consensus sur l'interprétation de la baisse de 5% enregistrée par le MASI en avril. En effet, pour certains il s'agit d'une simple prise de bénéfices vu que le MASI a gagné 25,9% entre le 29 août 2013 et le 9 mars 2015. Pour d'autres, c'est plutôt un ajustement qui devrait perdurer car les fondamentaux des sociétés ne sont pas au beau fixe. En particulier, le recul de 12,5% des bénéfices en 2014 perpétue la tendance entamée depuis 2012 (la masse bénéficiaire globale 2013 était en recul de quand celle de 2012 avait chuté de 10,3%). - Le début de crise politique qui obère la visibilité au niveau économique et financier. En effet, les combats incessants et virulents entre la majorité et l'opposition, laissent planer un doute sur le calendrier électoral. Il en est de même pour le remaniement potentiel qui pourrait donner une nouvelle orientation à certaines politiques publiques. C'est ainsi qu'en attente d'éclaircie politique, certains investisseurs préfèrent adopter l'attitude « Wait and See ». - Le retard pris par les OPV attendues (Total Maroc, Marsa Maroc et Mutandis) favorise l'attentisme vu que certains investisseurs préfèrent attendre pour arbitrer entre le marché primaire et le marché secondaire. - La non résolution des affaires qui avaient ralenti la Bourse en 2014-2015. Ainsi, entre autres la CGI est toujours suspendue en attente de son OPR. De même, Alliances n'a toujours pas présenté son plan de désendettement. Source : flm.ma | |
| | | abdel62 Rang Spécial
Nbre méssages : 1041 Humeur : Espoir Réputation : 11 Inscris le : : 31/08/2009
| Sujet: Re: Articles presse: MARCHES BOURSIERS Jeu 16 Avr 2015 - 17:53 | |
| Zoom sur l’investissement étranger à la Bourse de CasablancaLe CDVM a publié une notre relative à l'investissement étranger à la Bourse de Casablanca au titre du de l'année 2014. Il en ressort globalement le maintien d'une faible participation étrangère au flottant en Bourse. En effet, en 2014, le stock d'investissement des étrangers et MRE en actions cotées s'élève à 152,5 Mrd DH en hausse de 12,05% par rapport à l'année 2013. Ce montant représente 31,47% de la capitalisation boursière contre 30,37% en 2013. Cette hausse est expliquée principalement par un facteur prix, consécutif à la bonne performance du MASI (+5,55%) en 2014 ainsi qu'à la progression du stock des investissements. Toutefois, ce sont les participations stratégiques qui dominent l'investissement étranger en actions cotées, vu qu'elles représentent plus de 89% du total des montants investis. Cette part stratégique rapportée à la capitalisation boursière représente 28,29% contre 27,18 en 2013 soit une hausse de 1,11 point. Par ailleurs, la part flottante de l'investissement étranger à la Bourse de Casablanca est de 15 Mrds DH soit 3,18% de la capitalisation boursière. Ce niveau est assez faible et s'explique probablement par la faible liquidité et le nombre limité des sociétés cotées. Pour ce qui est l'origine géographique des investisseurs étrangers et MRE, il ressort, en 2014, un profil similaire à celui constaté en 2013. Néanmoins, après la cession de Maroc Telecom par Vivendi à l'émirati Etisalat en mai 2014, la part des investissements européens a enregistré une baisse passant de 80,55% en 2013, à 47,38% en 2014. En revanche, la part des investissements du Moyen Orient poursuit son trend haussier avec une part plus de 45% contre à peine 10,47% en 2013. Enfin, le montant de l'investissement étranger en titres d'OPCVM a atteint 1,4 Mrds DH contre 944,2 MDH en 2013 soit une hausse de 48%. Toutefois, cette part ne représente qu'une part négligeable dans l'actif net global (0,46%). Source : flm.ma | |
| | | abdel62 Rang Spécial
Nbre méssages : 1041 Humeur : Espoir Réputation : 11 Inscris le : : 31/08/2009
| Sujet: Re: Articles presse: MARCHES BOURSIERS Ven 10 Avr 2015 - 16:19 | |
| Bourse, plus d'éclaircissements sur les valeurs suspendues De temps en temps, des valeurs sont suspendues au niveau de la corbeille casablancaise, en attendant «la publication d'informations importantes». Si cela fait partie de la vie d'une valeur cotée au niveau d'un marché boursier, il n'en demeure pas moins que certaines suspensions suscitent des interrogations, notamment en ce qui concerne leur duréeParmi celles-ci, il y a bien évidemment celle relative à Diac Salaf. La valeur, après de nombreuses suspensions et levées de suspension, est depuis belle lurette suspendue au niveau de la cote, alors que Bank Al-Maghrib a retiré l'agrément de la société depuis le 28 février 2013, et que le titre n'est plus négocié au niveau de la cote depuis le 13 mars 2013, soit plus de 2 ans. A quoi sert alors de maintenir cette valeur en Bourse ? La raison est que pour radier la valeur, il faut au préalable lancer une offre publique de retrait (OPR), qui nécessitera d'abord une évaluation de la valeur par un évaluateur indépendant, et un aval du CDVM sur les conclusions de cette opération. Seulement, cela fait 2 ans que ceux qui avaient misé sur la valeur attendent de savoir s'ils pourront tirer quelque chose de la liquidation de la société. Ce qui semble tout de même trop long, même si les actionnaires minoritaires de la société ne semblent pas s'attendre à grand-chose, vu le niveau d'endettement de la valeur. Il n'empêche, ils ont droit à des informations relatives au processus en cours concernant la valeur. Accélérer les procéduresSi Diac Salaf ne semble pas apparemment intéresser grand monde, ce n'est pas le cas pour la CGI. Si beaucoup d'investisseurs s'étaient étonnée de la rapidité avec laquelle le Conseil d'administration de la société avait pris la décision de la radiation de la valeur de la cote, sur injonction du ministère de l'Economie et des Finances, l'attente de l'OPR a été plus longue que d'habitude, et le prix de la première offre de l'initiateur de l'OPR a été rejetée par le gendarme du marché. Pour rappel, le CDVM avait demandé «des justifications et informations complémentaires à l'initiateur». Mieux, le gendarme du marché avait expliqué qu'«il a été convenu de réaliser une évaluation supplémentaire des actions de la société visée, et ce par un deuxième évaluateur indépendant dont la désignation devra se faire conformément aux dispositions de l'article 25 de la loi 26-03 relative aux offres publiques sur le marché boursier». En gros, vu la durée prise par cette opération, on note que l'évaluation de la valeur constitue un véritable casse-tête pour l'initiateur de l'offre -CDG Développement, filiale du Groupe CDG-, le ministère de l'Economie et des Finances, et surtout le CDVM qui a parmi ses missions la protection des investisseurs. En effet, les petits porteurs, remontés contre la décision de radier la valeur de la cote, souhaitent être bien rémunérés, pour ne pas dire indemnisés, par l'initiateur du projet, et il faut au moins répondre à certaines de leurs exigences sachant que la radiation n'est pas une décision du marché. Seulement, à ce niveau aussi, on sent une certaine lenteur au niveau de la décision, qui n'arrange pas les actionnaires minoritaires, qui ont des sommes, importantes pour certains, bloquées, et qui ratent ainsi des opportunités de se repositionner sur d'autres valeurs du marché et/ou de réaliser d'autres investissements à temps. D'où la nécessité que des décisions soient prises avec beaucoup plus de célérité afin d'atténuer les impacts négatifs sur les actionnaires minoritaires. Enfin, même quand il s'agit de lever des suspensions, parfois les investisseurs restent sur leur faim, du fait que les informations publiées pour lever celles-ci n'apportent pas toujours des réponses sur les causes de la suspension. A titre d'exemple, l'action Alliances a été suspendue de la cote dernièrement. Alors que le Groupe Alliances parle d'une saisie sur ses comptes bancaires d'un montant de 10,73 MDH, de sources fiables font état d'une saisie sur compte de plus de 40 MDH, représentant une dette non remboursée par EMT, filiale d'Alliances, au Comptoir Métallurgique Marocain, filiale du Groupe Holmarcom. Sur cette différence, le communiqué d'Alliances n'apporte pas de précisions. De plus, Alliances parle d'un montant total des cautions octroyés par le groupe à ses filiales du pôle Construction au profit de leurs fournisseurs d'un montant total de 69,27 MDH, et sachant que la seule créance la filiale du Groupe Holmarcom dépasse les 40 MDH, qu'en sera- t-il pour les autres créanciers du pôle ? En somme, les investisseurs aimeraient que le Groupe apporte plus de précisions sur les déblocages des fonds saisis et les moyens mis en place pour éviter que de tels événements ne surviennent. Source : lnt.ma | |
| | | abdel62 Rang Spécial
Nbre méssages : 1041 Humeur : Espoir Réputation : 11 Inscris le : : 31/08/2009
| Sujet: Re: Articles presse: MARCHES BOURSIERS Ven 20 Mar 2015 - 6:48 | |
| Bourse. L'optimisme du marché et le "laxisme" du régulateurLes cols blancs veulent toujours croire à une bonne performance du marché actions en 2015. La succession de coups durs n’est pas pour les décourager, même si la responsabilité du CDVM est à nouveau pointée du doigt.. Lire la suiteSource : le360.ma | |
| | | abdel62 Rang Spécial
Nbre méssages : 1041 Humeur : Espoir Réputation : 11 Inscris le : : 31/08/2009
| Sujet: Re: Articles presse: MARCHES BOURSIERS Mar 17 Mar 2015 - 6:29 | |
| Crise à la Bourse: Où est le CDVM?
• De «vrais-faux» profit warnings! • Les grandes capitalisations, au cas par cas • Les institutionnels informés avant les petits porteurs
Voir Édition N° 4483 du 16/03/2015 | |
| | | abdel62 Rang Spécial
Nbre méssages : 1041 Humeur : Espoir Réputation : 11 Inscris le : : 31/08/2009
| Sujet: Re: Articles presse: MARCHES BOURSIERS Mer 11 Mar 2015 - 19:41 | |
| Hausse de 7,9% du chiffre d'affaires de 16 sociétés cotéesLe chiffre d'affaires de 16 sociétés sur les 74 cotées à la bourse de Casablanca, montre une progression de 7,9% à la fin de l'exercice 2014.Parmi les 16 sociétés recensées, représentant tout de même 62% de la capitalisation boursière globale, 12 ont rapporté des résultats nets en croissance et 4 sociétés affichent des réalisations en baisse au terme de l'exercice écoulé, souligne la société de bourse dans un "Bilan partiel des réalisations annelles 2014".
La même source relève aussi un nombre inédit de sociétés ayant publié un profit warning, notant que 7 sociétés ont déjà annoncé à travers ces avertissements des résultats financiers en décalage par rapport à leurs prévisions. Ces sociétés opèrent dans différents secteurs d'activité à l'image de l'agroalimentaire (Centrale Laitière), du BTP (Jet Contractors), de l'énergie (Samir), de l'immobilier (Alliances) et enfin du secteur minier où aucune valeur n'a été épargnée par la chute des métaux précieux et industriels à l'international observée en 2014, a-t-elle ajouté.
En effet, les résultats annuels 2014 de Centrale Laitière font ressortir une baisse significative de ses indicateurs opérationnels. Malgré une légère hausse de son chiffre d'affaires consolidé de 0,5% à 7,04 milliards de dirhams, l'excédent brut d'exploitation enregistre une baisse de 35,4% à 610 millions de dirhams, relève en outre Attijari dans son Bilan. Au final, le résultat net part du groupe s'est établi à 41 millions de dirhams, soit un repli de 81% de ses bénéfices par rapport à 2013. Face à ce recul des résultats, le management propose de ne pas distribuer de dividende en 2014.
S'agissant de l'opérateur sucrier, Cosumar, les analystes d'Attijari Intermédiation ont rappelé la cession de 3.817.190 actions Cosumar par la Société nationale d'investissement (SNI), représentant 9,1% du capital de la société. Ces cessions sont intervenues sur le marché central entre le 13 février et le 5 mars 2015 au profit d'une trentaine d'investisseurs, aussi bien nationaux qu'internationaux, composés principalement d'Organismes de placement collectif en valeurs mobilières (OPCVM).
A l'issue de cette opération, le flottant en bourse de Cosumar dépasse désormais 30% du capital, ce qui aurait pour conséquence de dynamiser la liquidité du titre, ont-t-ils estimé. A trois semaines de la date butoir des publications des résultats annuels 2014, le marché des actions casablancais s'était inscrit en légère baisse hebdomadaire de 0,04% à 10.456,47 points, ramenant ainsi sa performance annuelle à 8,69%.Source : h24info.ma | |
| | | abdel62 Rang Spécial
Nbre méssages : 1041 Humeur : Espoir Réputation : 11 Inscris le : : 31/08/2009
| Sujet: Re: Articles presse: MARCHES BOURSIERS Ven 28 Mar 2014 - 19:20 | |
| Bourse : En 6 ans, les volumes ont fléchi de 70% Le cabinet de conseil «Cejefic Consulting» vient de publier une étude selon laquelle les volumes à la Bourse ont chuté de 70% entre 2007 et 2013. Cejefic précise que les volumes ont été momentanément dopés par des introductions en Bourse, la tendance haussière des cours des actions et la présence des investisseurs étrangers sur le marché national. Néanmoins, le ratio de liquidité de la place «n'a jamais dépassé 20%», précise l'étude qui ajoute que des groupes marocains, notamment Attijariwafa bank, BMCE et Addoha, ont à eux seuls drainé plus de la moitié des volumes de la Bourse.
Source : Le Reporter | |
| | | yassine0610
Nbre méssages : 68 Réputation : 0 Inscris le : : 02/12/2013
| Sujet: Re: Articles presse: MARCHES BOURSIERS Ven 28 Mar 2014 - 18:30 | |
| Édition N° 4243 du 2014/03/28SIDÉRURGIE L’EFFET PERVERS DE LA DÉFENSE COMMERCIALE [size=12]BOUCLIER ET RESTRUCTURATION DE LA FILIÈRE LA RUDE CONCURRENCE DES NOUVEAUX SEIGNEURS SURCAPACITÉS DANS UN MARCHÉ MONDIAL EN MUTATION [size=11]
[/size][/size] Les sidérurgistes devraient garder un œil sur l’évolution du marché à l’international. Avec Sonasid comme chef de file, [size][color][font][size][font][size] Dans les produits longs, l’opérateur historique Sonasid a évolué dans un contexte de monopole jusqu’en 2002. Année à partir de laquelle plusiers opérateurs font leur entrée (Univers Acier, Moroccan Iron Steel, Ynna Steel, SomaSteel...). Quant aux produits plats, Maghreb Steel est l’unique producteur la quasi-majorité des membres de l’Association des sidérurgistes du Maroc (ASM) se sont engagés dans un programme d’ajustement en contrepartie des clauses de sauvegarde auxquelles ils ont eu droit pour une durée de 4 ans. Maghreb Steel va leur emboîter le pas si jamais il décroche son bouclier antidumping contre les importations en provenance de l’UE et de la Turquie. Quelle sera finalement la portée de ces mesures de défense face à un marché qui change? En restant alerte, la restructuration de la branche de production nationale sera paramétrée avec prudence. Même si la reconfiguration du marché mondial pousse à ne pas se faire trop d’illusions sur l’avenir. Il y a une montée en puissance de la Chine, de l’Inde et du Brésil dans la production mondiale de l’acier qui est de 1,5 milliard de tonnes. «L’empire du Milieu s’adjuge à lui seul près de la moitié de la production en 2013 contre 34% en 2006 (voir graphique). Cette montée en flèche de la part de marché chinois d’acier trouve son origine dans l’explosion de la demande interne, infrastructure, construction et automobile», selon Eurler Hermes Economic Research. Chez les autres pays du BRIC, l’Inde a accru sa production de plus de 60% alors que les brésiliens n’en affichent «qu’un petit 10%». C’est la Russie, avec une baisse de moins de 2%, qui se trouve en queue du peloton. Japon, Etats-Unis et UE perdent du terrain face aux nouveaux seigneurs du marché. «A eux trois, ils ne représentent plus que 23% de la production mondiale en 2013 contre 34% en 2006», rapporte l’étude Eurler Hermes. Un changement d’échiquier où l’on enregistre aussi d’importantes surcapacités estimées à 330 millions de tonnes. Les principaux acteurs vont donc tenter de réguler leur activité en misant sur l’export. Même si, parallèlement, la croissance de la production mondiale sera inférieure à 2% et devrait progresser d’un point en 2014. Ce qui représente une petite hausse bien inférieure à celle affichée avant la crise de 2008, soit 5% en moyenne annuelle. La concurrence est donc très rude. «Pour comprendre la situation de l’industrie sidérurgique, il faut comparer les volumes de production d’avant-crise avec ceux réalisés après-crise par les principaux producteurs», relèvent les experts. La Chine et l’Inde enregistrent des taux de croissance faramineux «justifiant les importants investissements dans l’outil de production». Les autres pays industriels peinent en revanche à retrouver l’épopée faste d’avant-crise. Repli significatif du tonnage avec moins 23% pour l’UE qui est le premier partenaire économique du Maroc. Les surcapacités du marché mondial (environ 330 millions de tonnes) font ressortir un taux d’utilisation moyen inférieur à 80% quand le seuil d’équilibre est plutôt proche de 85%. D’où aussi la baisse des prix de l’acier: 850 dollars la tonne en 2008 (sommet historique), de 500 à 550 dollars /t en La production a atteint 1,5 milliard de tonnes avec une surcapacité de 330 millions de tonnes 2009, environ 700 dollars/t en 2011. En moyenne annuelle, les prix affichent une baisse de 10% sur les douze derniers mois. «Face à l’ampleur des surcapacités, il est peu probable que les prix remontent d’ici fin 2014 à début 2015. L’excès d’offre et la baisse des prix de vente entraînent un effondrement de la rentabilité», annoncent les analystes. Dans ce contexte, les quelques restructurations annoncées à l’échelle internationale paraissent encore bien faibles. Les fermetures ou projets de fermeture de hauts fourneaux en Europe montrent que cela ne se fait pas sans interventions et réticences des gouvernements. Arcelor Mittal, Duferco, US Steel, groupe Riva ont dû faire face à des situations très difficiles. La question des surcapacités et restructurations de la filière risque encore de se poser pendant plusieurs années. Le Maroc ne fait pas l’exception. [/size][/font][/size][/font][/color][/size] Faiçal FAQUIH
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| | | yassine0610
Nbre méssages : 68 Réputation : 0 Inscris le : : 02/12/2013
| Sujet: Re: Articles presse: MARCHES BOURSIERS Ven 28 Mar 2014 - 18:25 | |
| La percée de Bim inquiète les enseignes de la grande distributionIntriguées par le développement du discounter turc, elles le soupçonnent de bénéficier de subventions. Bim Stores nie l’existence d’une quelconque aide de l’Etat turc. Le succès du concept est expliqué par la maîtrise des charges qui permet de fixer des prix plus compétitifs. La marge est maintenue coûte que coûte entre 2,5 et 3%. Bim Stores inquiète les autres enseignes de la distribution moderne. Le discounter turc, implanté depuis 2009 au Maroc, semble sérieusement secouer le secteur : prix très accessibles, promotions spécifiques, fidélisation des ménagères grâce aux fameux «Vendredis de Bim» et surtout grâce à la proximité des points de vente. Il compte actuellement 180 magasins sur l’axe Kénitra-El Jadida, en passant bien sûr par Rabat et Casablanca. Tout cela permet de ratisser large et de grignoter des parts de marché. Ce qui fait grincer des dents les concurrents qui avouent être gênés et surtout intrigués par le «fonctionnement de ce modèle». Que reprochent les opérateurs de la distribution moderne au concurrent turc ? Essentiellement, l’agressivité au niveau des prix. «Comment cette enseigne arrive-t-elle à s’en sortiravec des prix aussi bas ? Et cette pratique agressive entache l’image des autres enseignes qui sont, du coup, taxées de très chères et sélectives!», déclare un opérateur de la distribution moderne, se faisant l’écho de ses pairs. De plus, il avance que Bim Stores a enregistré, depuis 2010, un déficit régulier qui va en s’aggravant au rythme des ouvertures. Les informations déposées au registre de commerce confirment l’existence d’un déficit de l’ordre de 40 MDH en 2009 et qui est passé à 56 millions en 2010, 68 millions l’année suivante et 86 millions en 2012. Le chiffre d’affaires, quant à lui, est en hausse soutenue: de 50 MDH en 2009, il est monté à 580 millions en 2012 contre 189 millions et 360 millions, respectivement en 2010 et 2011. Dès lors, ses concurrents, tout en restant très prudents dans leurs propos, ne s’empêchent pas d’invoquer l’existence de subventions de l’Etat turc. «Si c’est bien le cas, il s’agit d’une concurrence déloyale qu’il nous faut dénoncer», disent-ils. Ils seraient même prêts, s’ils disposaient de preuves tangibles, à porter l’affaire devant le Conseil de la concurrence. Aura-t-on droit à une nouvelle version du feuilleton Lesieur-Savola ? 70 nouveaux magasins programmés d’ici la fin de l’annéeAucune chance, si l’on s’en tient à la version de Bim Stores. «Il n’est pas question de créer des tensions sur le marché. L’objectif est de développer le concept du hard discount au profit de nos clients», répondent les responsables de Bim Stores. Ils reconnaissent en effet, sans pourtant avancer de données chiffrées, ne pas encore gagner de l’argent. «Ce n’est pas une surprise puisqu’il est prévu dans notre business plan de ne pas réaliser de bénéfices au cours de la phase de croissance. Et c’est à l’image du modèle turc où les premiers gains ont été réalisés sept années après le démarrage de l’enseigne», explique un dirigeant. L’enseigne a réalisé durant ses quatre premières années d’activité un investissement global de 800 MDH pour ouvrir àCasablanca, El Jadida, Rabat, Settat et Kénitra. Elle compte ouvrir 70 points de vente au cours de cette année. Selon la même source, l’entreprise ne bénéficie d’aucune subvention publique. «Nous reproduisons simplement le modèle de la maison mère qui a fait ses preuves en Turquie. Il s’agit du concept de hard discount qui nous permet de maîtriser nos charges pour offrir un prix accessible à notre clientèle cible», plaide-t-on chez Bim Stores. Le modèle économique est basé sur une réduction maximale des charges et une petite marge. Pour cela, le discounter choisit ses fournisseurs locaux et étrangers et négocie ses prix car «nous sommes contraints de respecter la marge de profit net qui se situe entre 2,5 et 3%. S’il y a dépassement, nous révisons notre politique de prix mais jamais au détriment de la qualité», souligne notre interlocuteur. L’entreprise présente des cahiers des charges précis que les fournisseurs doivent respecter à la lettre et des tests de qualité de tous les produits, importés ou fabriqués localement, sont effectués en laboratoire avant leur achat. Et pour une optimisation des achats gérés dans les deux centrales d’Ain Sebaâ et Bouskoura, Bim Stores dit procéder à un dosage judicieux entre la production locale et les importations. Elle ne recourt à ces dernières que lorsque les contacts avec des fabricants locaux n’aboutissent pas (pour des raisons de volume parfois) ou que la fabrication ne peut se faire au Maroc. Les marges arrière sont banniesToujours dans le même souci d’accessibilité du prix, le discounter a développé des marques propres de divers produits (huile, détergents, couches pour bébé, sauces, thé, café, produits d’hygiène corporelle, boissons gazeuses, fromage, yaourts, biscuits, confiserie…) en partenariat avec des groupes industriels locaux et des fournisseurs de la maison mère implantés en Belgique, Espagne, Allemagne, Pologne et aux Pays-Bas. N’étant pas tenus par un taux de référencement des produits importés, Bim Stores privilégie de plus en plus l’approvisionnement court recommandé par la maison mère afin de toujours afficher des prix inférieurs à ceux de la concurrence.En dehors de cette technique d’approvisionnement très rodée, les charges sont bien surveillées. Le personnel est limité à 3 ou quatre caissiers par magasin, les locaux sont loués, l’agencement est simplifié au maximum et certains produits présentés directement dans des cartons rangés sur des palettes. Aucune animation sur le lieu de vente n’est non plus organisée.Et pour rompre avec des pratiques en vigueur dans le secteur, l’enseigne turque dit travailler loyalement avec ses fournisseurs. De fait, elle écarte le ticket d’entrée, les frais de référencement, les gratuités accordées par les fournisseurs, ainsi que leur contribution à l’impression des flyers ou encore à l’entretien et à la rénovation des points de vente.Aziza Belouas. La Vie éco www.lavieeco.com2014-03-25 | |
| | | abdel62 Rang Spécial
Nbre méssages : 1041 Humeur : Espoir Réputation : 11 Inscris le : : 31/08/2009
| Sujet: Re: Articles presse: MARCHES BOURSIERS Ven 28 Mar 2014 - 17:42 | |
| Sociétés cotées : premiers résultats 2013 satisfaisants
La capacité bénéficiaire des 20 sociétés qui ont publié leurs résultats est en baisse de 4,3%. Hors Maroc Telecom, elle ressort en hausse de 9%. Le marché a bien accueilli les publications avec une hausse du Masi de 5%. Sociétés cotées : premiers résultats 2013 satisfaisants
Les premières publications des sociétés cotées au titre de l’exercice 2013 sont jugées satisfaisantes par les analystes de la place. Elles sont conformes à leurs prévisions, sachant qu’ils tablaient sur un léger redressement de la situation. Ces réalisations interviennent dans un contexte économique national peu favorable. Car même si la croissance en 2013 est estimée à 4,4% par le Haut commissariat au plan, elle est surtout tirée par les activités agricoles. Le secteur non agricole, lui, est toujours en ralentissement, subissant l’impact de la faiblesse de la demande locale, d’une activité à l’export qui peine à reprendre et d’un taux d’utilisation des capacités de production encore faible.
En dépit de ces conditions, sur les 20 sociétés qui ont publié leurs résultats financiers jusqu’au 17 mars, 12 affichent des prestations en hausse contre 6 qui ont accusé une baisse de leur capacité bénéficiaire. Les deux sociétés qui restent sont Risma et Sonasid ; la première est toujours déficitaire tandis que la seconde est sortie du rouge après un exercice 2012 difficile.
En gros, la capacité bénéficiaire de ces 20 sociétés ressort en baisse de 4,3%, à 12,2 milliards de DH pour un chiffre d’affaires en progression de 2,3%, à 98,5 milliards de DH. En fait, c’est Maroc Telecom qui a plombé les résultats de la cote, puisque l’opérateur accapare 45% de la masse bénéficiaire. En effet, son résultat net part du groupe s’est dégradé de 17,4% pour s’établir à 5,5 milliards de DH, sachant que son chiffre d’affaires est en baisse de 4,3%, à 28,5 milliards de DH. Maroc Telecom continue de pâtir de la recrudescence de la concurrence sur son marché domestique.
D’ailleurs, pour la 3e année consécutive, le groupe enregistre une dépréciation de ses revenus au Maroc, compensée partiellement par la montée en puissance des filiales africaines. Il a en plus fait les frais d’un contrôle fiscal, qui lui a coûté 1,5 milliard de DH dont près du tiers a été provisionné. Retraitée de Maroc Telecom, la masse bénéficiaire de la cote ressort en croissance de 9%.
Jlec, société nouvellement introduite, a également contribué négativement à la formation du résultat de la place. Elle a réalisé un bénéfice en recul de 12,6%, à 395 MDH. Et malgré le redressement de sa situation, Risma clôture l’exercice avec un résultat toujours déficitaire, de 46,3 MDH contre 200 MDH une année auparavant, à cause essentiellement du déficit enregistré par sa filiale SAEMOG (Société d’aménagement d’Essaouira-Mogador) de 54 MDH. Cosumar a également vu ses résultats baisser de 13,8% pour atteindre 629 MDH. En cause, unediminution des ventes liée à la politique de déstockage massif qu’ont adoptée les grossistes.
La baisse des bénéfices de la cote aurait pu être plus prononcée si le CIH et la BCP n’avaient pas réalisé un exercice 2013 au beau fixe. En effet, avec respectivement 515 MDH et 1,9 milliard de DH, le bénéfice de ces deux banques est en hausse de 5,6% et de 4%. Les réalisations de la première sont portées par les performances intrinsèques de la banque et par le redressement de sa filiale Sofac, au moment où la seconde doit la progression de ses indicateurs à sa force commerciale. Seul bémol : le niveau du coût du risque. Si le CIH a vu ce poste de charge se réduire de 76%, à près de 30 MDH, grâce au dénouement du litige fiscal de Sofac, ce n’est pas le cas pour la BCP.
En effet, la banque a augmenté ses provisions de 54,8%, à 1,9 milliard de DH. «La constitution de ces provisions témoigne certes de l’élévation du niveau des impayés auprès des clients des banques, en raison d’une situation économique encore faible. Mais cela n’est pas forcément un mauvais signal remettant en cause la santé financière des banques. Cela prouve que ces établissements disposent d’un matelas financier assez solide pour faire face aux risques, sans pour autant que l’occurrence de ces derniers affecte leur rentabilité», nuance le directeur recherche et analyste d’une société de bourse.
CFG table sur une stagnation des bénéfices, BMCE Capital sur une hausse
Pour leur part, les compagnies d’assurance alignent des réalisations meilleures par rapport aux attentes des analystes. En effet, Wafa Assurance et CNIA Saada ont réussi à hisser leurs bénéfices respectivement à 733 et 263 MDH, en hausse de 19% et 10,8%. Cela est attribuable notamment à l’atténuation de la contre-performance du marché boursier au terme de 2013 (-2,96%). Parallèlement, «l’activité non vie n’est certes pas en forte croissance, mais elle demeure favorablement orientée, contrairement au segment vie qui, lui, demeure toujours affecté par le manque de liquidités sur le marché, entraînant donc une épargne moins conséquente», détaille notre source.
Les deux sociétés du secteur des BTP qui ont publié leurs résultats pour le moment, à savoir Ciments du Maroc et Sonasid, affichent également des bénéfices en hausse. Sonasid est carrément sortie du rouge en enregistrant un bénéfice de 86 MDH contre -93 MDH une année auparavant. Le sidérurgiste a tiré profit de sa nouvelle politique d’achat de ferraille et de la maîtrise de ses coûts financiers dans un marché de la construction peu dynamique.
Ciments du Maroc a, lui, réussi à améliorer ses bénéfices de 23%, à 808,8 MDH. Cela n’est aucunement redevable à une reprise de la consommation nationale de ciment, puisque le marché a clôturé l’année 2013 sur une baisse de 6,2%, mais plutôt à des éléments non récurrents, notamment la constatation d’une provision moins importante par rapport à 2012 sur les titres Suez Cement Company ainsi que d’une plus-value de 26 MDH liée à une cession de terrains. D’ailleurs, les analystes ne prévoient pas une appréciation des bénéfices du secteur dans un contexte de baisse de la consommation et d’acharnement de la concurrence. «Au mieux, les bénéfices du secteur devraient stagner au terme de l’exercice écoulé», espère un analyste.
Ces résultats ont été jusqu’à présent bien accueillis par le marché boursier, comme l’atteste la performance de l’indice général qui a dépassé 5% en date du 17 mars. Sur le seul mois de février, le MASI a enregistré une croissance de 3,5%. «Les investisseurs considèrent que le marché est sur le point de sortir de sa mauvaise passe qui a duré 6 années et tablent sur une reprise imminente.
Du coup, ils commencent à se repositionner sur le marché, en privilégiant surtout les valeurs à haut rendement de dividende», s’accordent à expliquer certains analystes. Cependant, cette hausse n’est pas perçue de la même manière par tous les professionnels. En effet, d’autres considèrent que cette reprise du marché est plus mécanique que fondamentale, surtout que l’on attend toujours les résultats des grandes capitalisations à l’instar des sociétés minières, cimentières et des autres banques. Ce qui pourrait renverser la tendance haussière de la bourse au cas où les résultats seraient décevants.
Quoi qu’il en soit, dans leurs prévisions, les analystes tablent sur une quasi-stagnation de la masse bénéficiaire à fin 2013. Selon CFG Group par exemple, les résultats de la cote seraient tirés vers le bas à cause de la contraction de 5,2% des bénéfices du secteur minier, de 3,3% de ceux du secteur bancaire et de 13,8% des résultats du secteur agroalimentaire. BMCE capital, par contre, prévoit une croissance de la capacité bénéficiaire de 4,4% consécutivement à la hausse des bénéfices des banques de 3,6%, de 3% pour les sociétés de financement et de 5% pour le secteur industriel.
Des dividendes toujours élevés
Malgré un contexte économique toujours difficile, les sociétés cotées, du moins celles qui ont déjà annoncé leurs résultats, ont maintenu élevé le niveau des dividendes distribués. Mis à part Agma Lahlou Tazi et Maroc Telecom qui ont réduit le montant de la rémunération des actionnaires, toutes les autres sociétés ont proposé une rétribution au moins égale à celle offerte l’année dernière. En effet, Agma compte distribuer un dividende unitaire de 225 DH, en baisse de 2% comparativement à 2012, alors que Maroc Telecom a réduit le sien de 19%, à 6 DH par action.
Six sociétés devraient conserver le même niveau de distribution: 15 DH par action pour Disway et HPS, 3,50 DH pour Auto Hall, 4,75 DH pour la BCP et 15 DH pour Maroc Leasing. Les autres offrent des dividendes supérieurs à l’exercice écoulé avec une hausse de 31%, à 34 DH pour CNIA Saada, 13% pour Wafa Assurance avec 90 DH, 5% pour Afriquia Gaz avec 105 DH et 19% pour Lesieur avec 5 DH. Cependant, en termes de rendement de dividende, Maroc Telecom figure toujours parmi les sociétés qui offrent les meilleurs taux, avec 6%. Jlec offre certes un rendement plus important de 23,8% sur la base d’un dividende de 106,60 DH, mais il devrait revenir à la norme à partir de l’exercice prochain. Source : La Vie économique
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