Séance de Vendredi 11 Avril 2014

salam alaikom et jomoaa mobaraka in chae allah . hier c etait fort ennuyeux et aujourdhui comme dit par mr abk1 c est trop faible comme volume

Morning News du 11/04/2014

Eco News
TRESOR : Lancement d'une opération de placement des excédents de trésorerie avec prise en pension d'un montant de MAD 2,5 Md, d'une durée d'un jour et au taux de 2,84%
MAROC : Approbation d'une aide financière de M EUR 60 par l'UE pour la réforme de la justice
INVESTISSEMENTS ETRANGERS : A la quête d'investissements qataris privés

Nouvelles sectorielles
CEREALES : Une collecte de 21,8 Mqx à fin février 2014 au titre de la campagne 2013-2014
LOGEMENT SOCIAL : Lancement des travaux de réalisation du projet immobilier intégré Ibn Khaldoune, portant sur la construction de 766 logements sociaux pour un budget de M MAD 330
INVESTISSEMENTS : Hausse de 76,58% à MAD 10,73 Md au niveau de la région de Rabat-Salé en 2013
TRAFIC AERIEN : Accroissement de 13,82% à 1,44 million de passagers à fin Mars 2014, selon la presse économique
CARTON ONDULE : Progression de 5% de la production à 220 000 tonnes en 2013, pour un chiffre d'affaires de MAD 2,2 Md

Nouvelles de sociétés
MEDIACO MAROC : Saisie de ses terrains au profit de la BMCI, selon la presse économique
ONE TECH : Création par le holding tunisien, opérant dans le secteur de la câblerie, d'une filiale au Maroc baptisée ONE TECH M&A MAROC
SEPN/SEFID : Projet de fusion des 2 sociétés

Source : BMCE Capital Bourse

une bonne gifle ... ca fait du bien ... merci l'UE ...

Un double langage de l’UE envers le Maroc ?

2014-04-11 | Maroc


Alors que l’UE, espérait des progrès significatifs dans l’ALEC avec le Maroc, un ton différent aurait été donné avec la modification unilatérale du régime des prix d'accès des fruits et légumes marocains aux marchés européens. Ceci est d’autant plus désolant que le volet agricole de l’accord d’Association avec l’UE avait nécessité plusieurs années de négociations.

En effet, un acte délégué, a été adopté en début de semaine par la commission de l’Agriculture au sein du Parlement européen. Cet acte qui vise la mise en œuvre du projet de réforme de l’organisation des marchés, prévoit la modification du régime des prix d’accès des fruits et légumes marocains aux marchés européens. Certes la mesure n’est pas destinée qu’au Maroc, mais son adoption définitive signifierait un important recul des exportations de la tomate, voire l'effondrement de ce créneau, avec les importantes répercussions sociales et économiques éventuelles qu'elle risque de provoquer, notamment en termes de perte emplois.

D’où, le commentaire du le ministre de l'Agriculture et de la Pêche Maritime, M. Aziz Akhannouch, qui a rappelé que la modification du régime des prix d'accès des fruits et légumes marocains aux marchés européens, est une démarche aussi étonnante qu'incompréhensible de la part d'un partenaire historique tel que l'Union Européenne.

Dans le même sillage, le Chef du gouvernement, Abdelilah Benkirane a demandé, à l’Union européenne de trouver rapidement des solutions concrètes pour préserver les acquis contractuels du Royaume et maintenir le flux traditionnel des exportations marocaines des fruits et légumes sur le marché européen, conformément aux dispositions de l’Accord agricole.

En effet, cette approche de l’UE pourrait s’assimiler à un double langage frisant l’arrogance, autant sur le fond que sur la forme. En effet, sur le fond, c’est un coup économique porté à un pays que l’UE veut ériger en modèle de partenariat stratégique. Sur la forme, l’UE a signé des accords commerciaux avec le Maroc, qu’elle ne peut modifier unilatéralement. Ceci est d’autant plus vrai, que les représentants de l’UE, ne se sont pas gênés de donner des leçons au ministère de l’Industrie lors de la prise des mesures de sauvegarde pour la sidérurgie.



Notons enfin en autocritique, l’insuffisance du lobbying marocain au Parlement européen. En effet, ce dernier compte plusieurs pays européens inamicaux ou désintéressés du Maroc. D’où, l’attitude frisant souvent l’arrogance, comme lors de l’accord de pêche ou sur d’autres dossiers. Ainsi, le Maroc gagnerait à prendre cette donnée en compte, pour éviter de subir le double langage, entre une Commission favorable et un Parlement inamical.

@ alpha74,

on nous disait "spécialisez vous". faite des produits dans lesquelles vous êtes compétitifs. 

on investie dans la tomate , tout marche bien au début   
après on nous dit : on n'en veut pas  

alpha74 a écrit:

adilos a écrit:

Le ministère de la santé doit se pencher aussi  sur les frais des analyses, radios, hospitalisation. Il y a une grande فوضى.

Bien dit ... le prix du medicament c'est la face cachée de l'iceberg ...et ca ne resoudra pas le pb de fond ... le secteur pharmaceutique a consentie d'enormes efforts , il a donné l'exemple mais le reste doit suivre ... hada jhedna   

Sans oublier le tarif des consultations entre théorie et pratique (au lieu de 100 ou 120 DH on paye 200, 250, 300 et parfois même 500 DH ! ) Vraiment incompréhensible.
En tout cas, Merci Monsieur le Ministre  EL OUARDI.

a ne pas oublier que c est l italie qui presidera l ue et aussi la position du parlement italien a l egard de l affaire du sahara arocain

alpha74 a écrit:

une bonne gifle ... ca fait du bien ... merci l'UE ...

Un double langage de l’UE envers le Maroc ?

2014-04-11 | Maroc


Alors que l’UE, espérait des progrès significatifs dans l’ALEC avec le Maroc, un ton différent aurait été donné avec la modification unilatérale du régime des prix d'accès des fruits et légumes marocains aux marchés européens. Ceci est d’autant plus désolant que le volet agricole de l’accord d’Association avec l’UE avait nécessité plusieurs années de négociations.

En effet, un acte délégué, a été adopté en début de semaine par la commission de l’Agriculture au sein du Parlement européen. Cet acte qui vise la mise en œuvre du projet de réforme de l’organisation des marchés, prévoit la modification du régime des prix d’accès des fruits et légumes marocains aux marchés européens. Certes la mesure n’est pas destinée qu’au Maroc, mais son adoption définitive signifierait un important recul des exportations de la tomate, voire l'effondrement de ce créneau, avec les importantes répercussions sociales et économiques éventuelles qu'elle risque de provoquer, notamment en termes de perte emplois.

D’où, le commentaire du le ministre de l'Agriculture et de la Pêche Maritime, M. Aziz Akhannouch, qui a rappelé que la modification du régime des prix d'accès des fruits et légumes marocains aux marchés européens, est une démarche aussi étonnante qu'incompréhensible de la part d'un partenaire historique tel que l'Union Européenne.

Dans le même sillage, le Chef du gouvernement, Abdelilah Benkirane a demandé, à l’Union européenne de trouver rapidement des solutions concrètes pour préserver les acquis contractuels du Royaume et maintenir le flux traditionnel des exportations marocaines des fruits et légumes sur le marché européen, conformément aux dispositions de l’Accord agricole.

En effet, cette approche de l’UE pourrait s’assimiler à un double langage frisant l’arrogance, autant sur le fond que sur la forme. En effet, sur le fond, c’est un coup économique porté à un pays que l’UE veut ériger en modèle de partenariat stratégique. Sur la forme, l’UE a signé des accords commerciaux avec le Maroc, qu’elle ne peut modifier unilatéralement. Ceci est d’autant plus vrai, que les représentants de l’UE, ne se sont pas gênés de donner des leçons au ministère de l’Industrie lors de la prise des mesures de sauvegarde pour la sidérurgie.



Notons enfin en autocritique, l’insuffisance du lobbying marocain au Parlement européen. En effet, ce dernier compte plusieurs pays européens inamicaux ou désintéressés du Maroc. D’où, l’attitude frisant souvent l’arrogance, comme lors de l’accord de pêche ou sur d’autres dossiers. Ainsi, le Maroc gagnerait à prendre cette donnée en compte, pour éviter de subir le double langage, entre une Commission favorable et un Parlement inamical.

Comme je disais il y a des mois, avant même que le ministère de commerce ne commence à prendre les mesures antidumping, les partenaires étrangers ne resteront pas les bras croisés. Ils vont riposter.
Et voilà, c'est fait, et ce n'est que le début

Baisse du prix des médicaments : Des malades et leur famille qui souffraient vont pouvoir SE SOIGNER

Le reste n'est que détail.

Berghoul a écrit:

alpha74 a écrit:

une bonne gifle ... ca fait du bien ... merci l'UE ...

Un double langage de l’UE envers le Maroc ?

2014-04-11 | Maroc


Alors que l’UE, espérait des progrès significatifs dans l’ALEC avec le Maroc, un ton différent aurait été donné avec la modification unilatérale du régime des prix d'accès des fruits et légumes marocains aux marchés européens. Ceci est d’autant plus désolant que le volet agricole de l’accord d’Association avec l’UE avait nécessité plusieurs années de négociations.

En effet, un acte délégué, a été adopté en début de semaine par la commission de l’Agriculture au sein du Parlement européen. Cet acte qui vise la mise en œuvre du projet de réforme de l’organisation des marchés, prévoit la modification du régime des prix d’accès des fruits et légumes marocains aux marchés européens. Certes la mesure n’est pas destinée qu’au Maroc, mais son adoption définitive signifierait un important recul des exportations de la tomate, voire l'effondrement de ce créneau, avec les importantes répercussions sociales et économiques éventuelles qu'elle risque de provoquer, notamment en termes de perte emplois.

D’où, le commentaire du le ministre de l'Agriculture et de la Pêche Maritime, M. Aziz Akhannouch, qui a rappelé que la modification du régime des prix d'accès des fruits et légumes marocains aux marchés européens, est une démarche aussi étonnante qu'incompréhensible de la part d'un partenaire historique tel que l'Union Européenne.

Dans le même sillage, le Chef du gouvernement, Abdelilah Benkirane a demandé, à l’Union européenne de trouver rapidement des solutions concrètes pour préserver les acquis contractuels du Royaume et maintenir le flux traditionnel des exportations marocaines des fruits et légumes sur le marché européen, conformément aux dispositions de l’Accord agricole.

En effet, cette approche de l’UE pourrait s’assimiler à un double langage frisant l’arrogance, autant sur le fond que sur la forme. En effet, sur le fond, c’est un coup économique porté à un pays que l’UE veut ériger en modèle de partenariat stratégique. Sur la forme, l’UE a signé des accords commerciaux avec le Maroc, qu’elle ne peut modifier unilatéralement. Ceci est d’autant plus vrai, que les représentants de l’UE, ne se sont pas gênés de donner des leçons au ministère de l’Industrie lors de la prise des mesures de sauvegarde pour la sidérurgie.



Notons enfin en autocritique, l’insuffisance du lobbying marocain au Parlement européen. En effet, ce dernier compte plusieurs pays européens inamicaux ou désintéressés du Maroc. D’où, l’attitude frisant souvent l’arrogance, comme lors de l’accord de pêche ou sur d’autres dossiers. Ainsi, le Maroc gagnerait à prendre cette donnée en compte, pour éviter de subir le double langage, entre une Commission favorable et un Parlement inamical.

Comme je disais il y a des mois, avant même que le ministère de commerce ne commence à prendre les mesures antidumping, les partenaires étrangers ne resteront pas les bras croisés. Ils vont riposter.
Et voilà, c'est fait, et ce n'est que le début

L'Europe ne voulant pas prendre de tomates ou de légumes marocains n'est pas une mauvaise chose. Il va forcer le Maroc à aller effectivement la voie de la valeur ajoutée. 

Pour un pays d'être compétitif sur les marchés mondiaux, il doit apporter une valeur ajoutée. 

En termes de produits, le Maroc serait beaucoup mieux servi la vente de légumes en Côte-d'Ivoire, Cameroun, et même en Tanzanie. Quand vous allez à l'Afrique occidentale française, la chose la plus choquante est de savoir comment Oranges coûteux et jus d'orange est. 

Les prix des aliments ne peuvent aller dans un sens et qui est en place. L'Europe sera elle-même un coup de pied sur la ligne, mais c'est une occasion extraordinaire de développer d'autres marchés.

salamalikom.
haraka na3ssa en travail et en bourse auusi.hamdollah 3la kol hal

مقتطف من مقولة للشعراوي
الرزق هو ما ينتفع به وليس ما تحصل عليه فقد تربح مالا وافرا و لكنك لا تستفيد منه فلا يكون هذا رزقك و لكنه رزق غيرك و أنت تظل حارسا عليه لا تنفق منه شيئا حتى توصله الى صاحبه. قال عليه الصلاة و السلام : يقول بن ادم مالي مالي و هل لك يا ابن ادم في مالك الا م اكلت فأفنيت و لبست فأبليت أو تصدقت فأمضيت.

Merci oummih pour vos commentaires et vos idées que je trouve intéressantes
Vous avez promis je pense un portefeuille  performant nous l attendons avec impatience et curiosité
Bonne continuation